lundi 16 mai 2011
Gérard Longuet lance la campagne de sensibilisation des agents de la Défense au handicap
Gérard Longuet a inauguré la 3 e édition de la Campagne itinérante de formation et d’information sur le handicap à destination des agents du ministère de la Défense et des Anciens combattants, à Paris, jeudi 12 mai 2011
Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, a inauguré la 3e édition de la Campagne itinérante de formation et d’information sur le handicap ( CIFIH) , dont le point de départ a eu lieu place du Palais Royal à Paris, le 12 mai 2011.
Mise en place à l’initiative du ministère de la Défense, dans le cadre des actions définies dans son Plan Handicap 2009-2011, la nouvelle édition de cette campagne est interministérielle.
Celle-ci réunit en effet, cette année, outre le ministère de la Défense, les services du Premier ministre, du ministère de la Justice et des Libertés, ainsi que du ministère de la Culture et de la Communication.
Son objectif est de sensibiliser les agents de la Défense au handicap et à leur parcours professionnel, à travers plus particulièrement des ateliers permettant d’expliquer les différents types d’handicaps (neuropsychologiques, physiques moteurs, déficiences et maladies mentales, etc.) et de se mettre en situation par le biais de parcours, avec des chiens-guides et cannes, et en fauteuil roulant.
La campagne itinérante se rend ensuite à Lyon (16 mai), Marseille (19 mai), Montpellier (23 mai), Bordeaux (26 mai) et Orléans 30 mai
Cet événement coïncide avec la Journée nationale du Handicap dans la fonction publique pilotée par la direction générale de l’administration et de la fonction publique.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/gerard-longuet-lance-la-campagne-de-sensibilisation-des-agents-de-la-defense-au-handicap
Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, a inauguré la 3e édition de la Campagne itinérante de formation et d’information sur le handicap ( CIFIH) , dont le point de départ a eu lieu place du Palais Royal à Paris, le 12 mai 2011.
Mise en place à l’initiative du ministère de la Défense, dans le cadre des actions définies dans son Plan Handicap 2009-2011, la nouvelle édition de cette campagne est interministérielle.
Celle-ci réunit en effet, cette année, outre le ministère de la Défense, les services du Premier ministre, du ministère de la Justice et des Libertés, ainsi que du ministère de la Culture et de la Communication.
Son objectif est de sensibiliser les agents de la Défense au handicap et à leur parcours professionnel, à travers plus particulièrement des ateliers permettant d’expliquer les différents types d’handicaps (neuropsychologiques, physiques moteurs, déficiences et maladies mentales, etc.) et de se mettre en situation par le biais de parcours, avec des chiens-guides et cannes, et en fauteuil roulant.
La campagne itinérante se rend ensuite à Lyon (16 mai), Marseille (19 mai), Montpellier (23 mai), Bordeaux (26 mai) et Orléans 30 mai
Cet événement coïncide avec la Journée nationale du Handicap dans la fonction publique pilotée par la direction générale de l’administration et de la fonction publique.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/gerard-longuet-lance-la-campagne-de-sensibilisation-des-agents-de-la-defense-au-handicap
dimanche 15 mai 2011
Nathalie, Rimontaise, se bat en Afghanistan
Une compagnie du 1er RCP de Pamiers a décollé de Blagnac voici une semaine à destination de Nijrab, au nord de l'Afghanistan. Une jeune Rimontaise, Nathalie Bossart, était du nombre, en tant qu'officier du matériel. « La Para » Nathalie fait partie de la réserve opérationnelle au sein d'une compagnie d'active. C'est pourquoi, bien qu'étant réserviste, elle continue à participer à toutes les activités, tant de sport que de tir, de sauts, etc. Mais surtout, son engagement l'a amenée à participer à la mise au point d'un nouveau matériel qui peu à peu équipe l'armée de terre française, technologie de pointe pour répondre aux besoins des armées modernes et qui a déjà permis de sauver de nombreuses vies. Sa mission va donc consister, sur le terrain, au suivi d'un convoi logistique afin de pourvoir à la première maintenance de ce matériel. Nathalie, para accomplie, est également un modèle d'intégration dans sa commune, Rimont. Dans les années 2000, à l'invitation d'amis au 1er RCP de Pamiers, elle découvre l'Ariège et, séduite, décide de s'y installer. En 2008, grâce à un très dur travail et à sa passion des chevaux, elle obtient l'agrément de ferme équestre qu'elle exploite à Lassale avec son amie Pascale Canepeel, infirmière-anesthésiste à l'hôpital de Saint-Girons. Aidée d'une monitrice équestre, c'est elle qui assurera la gestion et le fonctionnement de la ferme pendant l'absence de Nathalie, qui a tout prévu et organisé avant son départ pour que continue l'activité au centre équestre. C'est ça une tête bien pleine, avec un sens de l'organisation exemplaire. A Rimont, sans cesse en mouvement, Nathalie est conseillère municipale et membre du comité des fêtes. Pour la foire annuelle, ses magnifiques fjords ont promené en calèche et gratuitement tous les amateurs intéressés. Sa générosité ne se dément jamais. En 2010, elle a participé aux journées « portes ouvertes » du 1er RCP. Pendant deux jours, un grand nombre d'enfants ont pu monter ses poneys. Bien évidemment, elle a versé la totalité de la recette aux œuvres sociales du régiment.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/15/1082499-Nathalie-Rimontaise-se-bat-en-Afghanistan.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/15/1082499-Nathalie-Rimontaise-se-bat-en-Afghanistan.html
la présentation de la Garde Royale Norvégienne
A VOIR EN PLEIN ECRAN ! Vous n'avez certainement jamais rien vu de tel, ni dans les superproductions hollywoodiennes, ni dans toutes les revues militaires que vous avez pu voir! Prenez juste un moment pour voir la présentation de la Garde Royale Norvégienne! Il s'agit là d'une prestation à la précision indescriptible! Extraordinaire et tout simplement sensationnelle! Cliquez sur ce lien ci-dessous http://sorisomail.com/email/16993/exibicao-de-banda-militar--um-espectaculo-imperdivel.html
samedi 14 mai 2011
Fermeture de la BA 112 / Le Pays rémois va perdre 3 600 habitants
Le Pays rémois n'avait pas besoin de cela. La base aérienne qui va être dissoute en juin va entraîner le départ de 3 600 personnes. Et peser très lourd sur l'économie et l'emploi.
OUVERTE en 1928 à deux pas de Reims, la base aérienne 112 sera dissoute le 30 juin prochain en présence du chef d'État-major de l'Armée de l'Air. Deux cent cinquante personnes y resteront encore un an jusqu'à la fermeture définitive le 30 juin 2012. Depuis l'annonce de la fermeture de la base aérienne en 2008, 46 officiers ont déjà quitté l'armée ainsi que 80 militaires du rang.
Cet événement marquant qui s'approche à grand pas ne sera pas sans conséquences économiques, sociales et humaines pour le Pays Rémois. C'est pour en parler, et évoquer les possibilités d'aides à la reconversion pour ceux qui vont rester, qu'hier soir, le colonel Jean-Michel Meyer, commandant de la base 112 « Marin-la-Meslée » avait convié sur le site des responsables de l'association Ecores regroupant les entreprises de la zone industrielle Farman-Pompelle-Croix-Blandin.
La dure réalité des chiffres
On l'aura vite compris, la fermeture de cette grosse entreprise qui emploie 1 500 salariés en direct et 500 en indirect et concerne 4 800 personnes si l'on inclut les familles, ne va pas se faire sans grincement de dent.
Chargé de mission emploi auprès de la ville de Reims, Dominique Ledeme, fort de deux études (non scientifique a-t-il pris la peine de préciser, NDLR) a dressé un scénario pas folichon. Sur les 4 800 personnes rattachées professionnellement ou familialement à la base, on considère que 3 600 quitteront le Pays Rémois (dont 47 % vivant à Reims, le reste autour de la base).
600 emplois libérés, mais…
Trois cent cinquante personnes risquent de se retrouver sans emploi tandis que dans le même temps les conjoint(e) s des militaires libéreront 600 emplois a-t-on appris. Tout le problème, et il n'est pas aisé, vient du fait qu'il n'y aura pas forcément adéquation entre les compétences des demandeurs d'emploi qui restent (administratifs, logisticiens, mécaniciens, responsables sécurité, métiers de la restauration et électromécanicien) avec les secteurs qui étaient occupés par ceux qui partent (45 % d'administration, 14 % de médical ou para médical, 7 % Education nationale, 7 % de services à la personne, etc.) On comprend l'impérieuse nécessité pour l'Armée de préparer la reconversion des militaires et de les mettre en contact avec des entreprises.
Un manque à gagner de 69 M d'euros
Autre conséquence et non des moindres. Le départ de ces 3 600 personnes (dont 800 scolaires), c'est un manque à gagner de 69 M€ pour le Pays Rémois. Seront ainsi impactés : le logement pour 17,5 M€, les transports et les communications (12 M€), l'alimentation (12 M€), les loisirs (6,4 M€), les biens d'équipement (4,1 M€), l'habillement (3,2 M€), la santé (2,4 M€).
La base aérienne va quitter, pas fière, le berceau de l'aviation. Et que propose l'État en guise de compensation ? Pas grand-chose. Il faut dire que le Pays Rémois ne s'est guère mobilisé pour retenir cette manne. Dommage.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/fermeture-de-la-ba-112-le-pays-remois-va-perdre-3-600-habitants
OUVERTE en 1928 à deux pas de Reims, la base aérienne 112 sera dissoute le 30 juin prochain en présence du chef d'État-major de l'Armée de l'Air. Deux cent cinquante personnes y resteront encore un an jusqu'à la fermeture définitive le 30 juin 2012. Depuis l'annonce de la fermeture de la base aérienne en 2008, 46 officiers ont déjà quitté l'armée ainsi que 80 militaires du rang.
Cet événement marquant qui s'approche à grand pas ne sera pas sans conséquences économiques, sociales et humaines pour le Pays Rémois. C'est pour en parler, et évoquer les possibilités d'aides à la reconversion pour ceux qui vont rester, qu'hier soir, le colonel Jean-Michel Meyer, commandant de la base 112 « Marin-la-Meslée » avait convié sur le site des responsables de l'association Ecores regroupant les entreprises de la zone industrielle Farman-Pompelle-Croix-Blandin.
La dure réalité des chiffres
On l'aura vite compris, la fermeture de cette grosse entreprise qui emploie 1 500 salariés en direct et 500 en indirect et concerne 4 800 personnes si l'on inclut les familles, ne va pas se faire sans grincement de dent.
Chargé de mission emploi auprès de la ville de Reims, Dominique Ledeme, fort de deux études (non scientifique a-t-il pris la peine de préciser, NDLR) a dressé un scénario pas folichon. Sur les 4 800 personnes rattachées professionnellement ou familialement à la base, on considère que 3 600 quitteront le Pays Rémois (dont 47 % vivant à Reims, le reste autour de la base).
600 emplois libérés, mais…
Trois cent cinquante personnes risquent de se retrouver sans emploi tandis que dans le même temps les conjoint(e) s des militaires libéreront 600 emplois a-t-on appris. Tout le problème, et il n'est pas aisé, vient du fait qu'il n'y aura pas forcément adéquation entre les compétences des demandeurs d'emploi qui restent (administratifs, logisticiens, mécaniciens, responsables sécurité, métiers de la restauration et électromécanicien) avec les secteurs qui étaient occupés par ceux qui partent (45 % d'administration, 14 % de médical ou para médical, 7 % Education nationale, 7 % de services à la personne, etc.) On comprend l'impérieuse nécessité pour l'Armée de préparer la reconversion des militaires et de les mettre en contact avec des entreprises.
Un manque à gagner de 69 M d'euros
Autre conséquence et non des moindres. Le départ de ces 3 600 personnes (dont 800 scolaires), c'est un manque à gagner de 69 M€ pour le Pays Rémois. Seront ainsi impactés : le logement pour 17,5 M€, les transports et les communications (12 M€), l'alimentation (12 M€), les loisirs (6,4 M€), les biens d'équipement (4,1 M€), l'habillement (3,2 M€), la santé (2,4 M€).
La base aérienne va quitter, pas fière, le berceau de l'aviation. Et que propose l'État en guise de compensation ? Pas grand-chose. Il faut dire que le Pays Rémois ne s'est guère mobilisé pour retenir cette manne. Dommage.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/fermeture-de-la-ba-112-le-pays-remois-va-perdre-3-600-habitants
Cambrai sert une dernière fois de décor au plus prestigieux des exercices de l'OTAN
Tiger Meet ? Un vaste exercice estampillé OTAN, créé il y a cinquante ans en pleine guerre froide, par trois escadrons de chasse (de l'US Air Force, de la Royal Air Force et le 1/12 Cambrésis, le seul subsistant aujourd'hui) ayant un tigre pour emblème. Depuis, une vingtaine d'autres nations sont venues se greffer à un entraînement mobilisant chaque année plus d'un millier d'hommes attachés à des coutumes parfois déroutantes.
Probante, cette inédite cérémonie d'ouverture au gré de laquelle la rigueur vestimentaire et la discipline militaire sont un tantinet chamboulées. Ainsi, sur le tarmac de la BA 103, avec des F16, Mirage, Awacs et autres Rafale ornés de motifs félins et à l'allure féroce pour décor, c'est certes en rangs serrés et droits comme des « i » que pilotes, mécanos et autres répondaient lundi aux traditionnelles sollicitations : garde-à-vous, repos, garde-à-vous, hymnes, repos...
Mais le néophyte de s'étonner de voir leurs uniformes parés de drôles d'accessoires, de nature à transformer un valeureux soldat en éminent membre des Village People ! Et de tomber des nues en voyant soudainement les troupes éructer un cri de reconnaissance suivant de fantasmagoriques incantations, avant de se jeter à terre, les quatre fers en l'air, et de s'ébattre tels des nourrissons à qui l'on viendrait d'ôter les couches... Des traditions et de joyeuses agapes, très codifiées, qui ne font pas oublier l'essentiel.
Car le Tiger Meet, c'est du sérieux. Ainsi sont planifiés des scénarii au fil desquels est mise à l'épreuve l'interopérabilité entre ces unités, susceptibles d'intervenir de concert dans un conflit, comme c'est le cas en Libye. Chacune des nations joue à tour de rôle au gentil et au méchant, dans des simulations de combats qui vont du simple mano a mano au quarante contre vingt. Tandis que les hélicos prennent part à des missions d'extraction d'otages en milieu hostile.
Ainsi a-t-il fallu ériger un vaste campement de 140 tentes, alimentées en électricité par 13 km de câbles. De même a-t-on monté de toutes pièces une cantine de campagne où sont servis plus de 800 repas trois fois par jour... Une logistique que l'armée française est en mesure de déployer à tout instant et n'importe où dans le monde.
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/05/13/article_la-base-aerienne-de-cambrai-sert-une-der.shtml
Probante, cette inédite cérémonie d'ouverture au gré de laquelle la rigueur vestimentaire et la discipline militaire sont un tantinet chamboulées. Ainsi, sur le tarmac de la BA 103, avec des F16, Mirage, Awacs et autres Rafale ornés de motifs félins et à l'allure féroce pour décor, c'est certes en rangs serrés et droits comme des « i » que pilotes, mécanos et autres répondaient lundi aux traditionnelles sollicitations : garde-à-vous, repos, garde-à-vous, hymnes, repos...
Mais le néophyte de s'étonner de voir leurs uniformes parés de drôles d'accessoires, de nature à transformer un valeureux soldat en éminent membre des Village People ! Et de tomber des nues en voyant soudainement les troupes éructer un cri de reconnaissance suivant de fantasmagoriques incantations, avant de se jeter à terre, les quatre fers en l'air, et de s'ébattre tels des nourrissons à qui l'on viendrait d'ôter les couches... Des traditions et de joyeuses agapes, très codifiées, qui ne font pas oublier l'essentiel.
Car le Tiger Meet, c'est du sérieux. Ainsi sont planifiés des scénarii au fil desquels est mise à l'épreuve l'interopérabilité entre ces unités, susceptibles d'intervenir de concert dans un conflit, comme c'est le cas en Libye. Chacune des nations joue à tour de rôle au gentil et au méchant, dans des simulations de combats qui vont du simple mano a mano au quarante contre vingt. Tandis que les hélicos prennent part à des missions d'extraction d'otages en milieu hostile.
Prouesses au sol... aussi
Si ces rugissements aériens volent forcément un peu la vedette, il n'en demeure pas moins que ce sont des prouesses qui sont accomplies au sol.Ainsi a-t-il fallu ériger un vaste campement de 140 tentes, alimentées en électricité par 13 km de câbles. De même a-t-on monté de toutes pièces une cantine de campagne où sont servis plus de 800 repas trois fois par jour... Une logistique que l'armée française est en mesure de déployer à tout instant et n'importe où dans le monde.
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/05/13/article_la-base-aerienne-de-cambrai-sert-une-der.shtml
14 mai - Nuit européenne des musées 2011
19 musées de la Défense vous ouvrent leurs portes gratuitement le samedi 14 mai pour la 7e édition de la « Nuit européenne des musées » organisée par le ministère de la Culture et de la Communication.
Dix-neuf musées du ministère de la Défense et des anciens combattants donneront un libre accès à leurs collections permanentes et temporaires le 14 mai prochain à Paris et en province.
Animations, concerts, expositions seront l’occasion de découvrir ou redécouvrir la richesse et la diversité du patrimoine culturel de la Défense.
Pour sa première participation à cet évènement national, le musée de l’air et de l’espace du Bourget présentera la plus belle collection au monde de machines volantes, prototypes, avions mythiques d’hier et d’aujourd’hui. De nombreuses animations sont également prévues avec une démonstration inédite du Concorde etc.
En province, les amis des musées, notamment ceux des musées nationaux de la Marine, ont préparé des animations autour des expéditions françaises durant la période coloniale.
Le musée du sous-officier dans les Deux-Sèvres proposera dans le cadre de l’année des Outre-mer 2011une visite sur le thème de l’empire colonial français et des démonstrations de tir au mousquet, en partenariat avec l’association "Histoire en Deux-Sèvres".
Dix-neuf musées du ministère de la Défense et des anciens combattants donneront un libre accès à leurs collections permanentes et temporaires le 14 mai prochain à Paris et en province.
Animations, concerts, expositions seront l’occasion de découvrir ou redécouvrir la richesse et la diversité du patrimoine culturel de la Défense.
Pour sa première participation à cet évènement national, le musée de l’air et de l’espace du Bourget présentera la plus belle collection au monde de machines volantes, prototypes, avions mythiques d’hier et d’aujourd’hui. De nombreuses animations sont également prévues avec une démonstration inédite du Concorde etc.
En province, les amis des musées, notamment ceux des musées nationaux de la Marine, ont préparé des animations autour des expéditions françaises durant la période coloniale.
Le musée du sous-officier dans les Deux-Sèvres proposera dans le cadre de l’année des Outre-mer 2011une visite sur le thème de l’empire colonial français et des démonstrations de tir au mousquet, en partenariat avec l’association "Histoire en Deux-Sèvres".
Pour en savoir plus, téléchargez la liste des dix-neuf musées de la Défense participant à cette opération
Liste des musées de la Défense ouverts pour la nuit des musées 2011 (format pdf, 19
http://www.defense.gouv.fr/sga/a-la-une/14-mai-nuit-europeenne-des-musees-2011
http://www.defense.gouv.fr/sga/a-la-une/14-mai-nuit-europeenne-des-musees-2011
vendredi 13 mai 2011
Libye : point de situation n°25
Depuis le 05 mai 2011, le dispositif militaire français continue à assurer plus de 30 sorties par jour en moyenne, dont près de la moitié sont des missions de frappe au sol. Ces chiffres représentent environ 20% des sorties de l’OTAN et 30% des sorties d’attaque au sol.
Entre le 05 mai 2011 06h00 et le 12 mai 2011 06h00, la France a réalisé près de 230 sorties :
- 110 sorties attaques au sol (Rafale Air, Mirage 2000-D, Mirage 2000N et Mirage F1 CR / Rafale Marine et Super-Etendard Marine),
- 56 sorties de reconnaissance (Rafale Air, Mirage F1 CR et Rafale Marine / Reco NG),
- 20 sorties de défense aérienne (Mirage F1CR depuis Solenzara et Mirage 2000-5 depuis La Sude, en coopération avec le Qatar),
- 12 sorties de contrôle aérien (E3F et E2C Hawkeye),
- 29 sorties de ravitaillement (C135 et Rafale Marine)
En outre, depuis le 05 mai, les frappes des aéronefs français ont permis de neutraliser une cinquantaine d’objectifs, dont :
- une quinzaine de véhicules militaires parmi lesquels treize chars de bataille dans la zone de combat d’Adjabya,
- une demi-douzaine de pièces d’artillerie dont deux lance-roquettes multiples dans les régions de Misratah et Yafran,
- deux sites de commandement, dans les régions de Syrte et de Tripoli,
- une trentaine de bâtiments de stockage de munitions ou de véhicules, dans les régions de Tripoli, Zintan, Syrte et Misratah.
- Dans la nuit du 07 au 08 mai, la frégate Courbet a détecté des tirs des forces pro-Kadhafi sur la ville de Misratah. Les marins français ont identifié la source des tirs : une batterie de lance-roquettes sur la bande littoral au sud-est de la ville. En coordination avec l’état-major de l’opération Unified Protector , la frégate a ouvert le feu au canon de 100 mm et a fait cesser le bombardement sur les populations civiles. Une action similaire avait été conduite le 02 mai depuis la frégate français Montcalm au large de Brega.Enfin, la semaine écoulée a été marquée, le 10 mai, par l’arrivée à La Sude (Crète) du porte-avions Charles de Gaulle pour une escale prévue jusqu’au 14 mai, et par l’engagement des Mirage 2000 N depuis La Sude, opérationnels depuis le 09 mai. Un Mirage F1CR supplémentaire a également été déployé à Solenzara.Le 17 mars 2011 au soir, le Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) a adopté la résolution 1973 relative à la situation en Libye, à l’initiative de la France et du Royaume-Uni, dans la suite de la résolution 1970 du 26 février 2011. Le 19 mars, sur ordre du Président de la République, le chef d’état-major des armées (CEMA) a lancé l’opération Harmattan, nom de la participation française à l’engagement militaire international d’opérations aéromaritimes pour protéger la population libyenne contre les attaques des forces du colonel Kadhafi. Depuis le 31 mars, l’engagement militaire international est passé sous commandement de l’OTAN.Sources : EMA
jeudi 12 mai 2011
mercredi 11 mai 2011
Afghanistan - Décès du 1re classe Loïc Roperh
Le soldat de 1re classe Loïc Roperh, du 13e régiment du génie de Valdahon (13e RG) est décédé en fin de matinée en Afghanistan. Il a été tué par l’explosion d’un engin explosif improvisé, alors qu'il progressait à pied en phase d'ouverture d'itinéraire.
Célibataire, âgé de 24 ans, le sapeur de 1re classe Loïc Roperh avait choisi de s’engager pour trois ans au 13e régiment du génie de Valdahon (13e RG) en mars 2009.
Après six mois de formation initiale, il rejoint la 1re compagnie où il sert en tant que sapeur. Il y montre d’emblée de belles qualités de soldat et est déclaré titulaire du certificat technique élémentaire « combat du génie » en décembre 2010. Jeune engagé dynamique, animé du goût de l’action et bien intégré à sa section, le sapeur de 1re Classe Roperh se prépare avec motivation à sa mission en Afghanistan dès la fin de l'année 2010. Il y montre un réel potentiel dans sa spécialité et rejoint l'Afghanistan avec la section de protection-dépollution du détachement d'ouverture d'itinéraire piégé (DOIP) le 3 avril 2011.
Il était décoré de la médaille de bronze de la Défense nationale ("agrafe génie").
Dès l’annonce de son décès, le président de la République a présenté à sa famille et à ses proches ses plus sincères condoléances et s'est associé à leur douleur. Il réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes et exprime la détermination de la France à continuer d’œuvrer au sein de la force internationale d’assistance à la sécurité.
M. Gérard Longuet, ministre de la Défense et des anciens combattants , a exprimé sa plus vive émotion. Le ministre salue le dévouement et le très grand courage des forces françaises engagées sur ce théâtre d'opération et leur réaffirme son soutien et sa confiance dans leur détermination à poursuivre leur action pour le rétablissement de la paix en Afghanistan.
L’armée de Terre , unie dans la peine, partage le deuil de ses proches et de ses camarades.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/afghanistan-deces-du-1re-classe-loic-roperh
Célibataire, âgé de 24 ans, le sapeur de 1re classe Loïc Roperh avait choisi de s’engager pour trois ans au 13e régiment du génie de Valdahon (13e RG) en mars 2009.
Après six mois de formation initiale, il rejoint la 1re compagnie où il sert en tant que sapeur. Il y montre d’emblée de belles qualités de soldat et est déclaré titulaire du certificat technique élémentaire « combat du génie » en décembre 2010. Jeune engagé dynamique, animé du goût de l’action et bien intégré à sa section, le sapeur de 1re Classe Roperh se prépare avec motivation à sa mission en Afghanistan dès la fin de l'année 2010. Il y montre un réel potentiel dans sa spécialité et rejoint l'Afghanistan avec la section de protection-dépollution du détachement d'ouverture d'itinéraire piégé (DOIP) le 3 avril 2011.
Il était décoré de la médaille de bronze de la Défense nationale ("agrafe génie").
Dès l’annonce de son décès, le président de la République a présenté à sa famille et à ses proches ses plus sincères condoléances et s'est associé à leur douleur. Il réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes et exprime la détermination de la France à continuer d’œuvrer au sein de la force internationale d’assistance à la sécurité.
M. Gérard Longuet, ministre de la Défense et des anciens combattants , a exprimé sa plus vive émotion. Le ministre salue le dévouement et le très grand courage des forces françaises engagées sur ce théâtre d'opération et leur réaffirme son soutien et sa confiance dans leur détermination à poursuivre leur action pour le rétablissement de la paix en Afghanistan.
L’armée de Terre , unie dans la peine, partage le deuil de ses proches et de ses camarades.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/afghanistan-deces-du-1re-classe-loic-roperh
Visite virtuelle du Musée de l'Infanterie
Le 18 décembre 2009, le Musée de l’Infanterie a fermé ses portes.
Dans le cadre de la restructuration des forces armées françaises, l’Ecole de l’Infanterie, dont il est partie intégrante, va quitter Montpellier pour Draguignan durant l’été 2010.
Le Musée va déménager également et sera réinstallé dans un nouveau bâtiment qui sera aménagé à Neuf-Brisach (Haur-Rhin), place forte construite par Vauban et qui est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.Les travaux prendront plusieurs années avant que le Musée de l'Infanterie puisse rouvrir et accueillir le public.
Formons des vœux pour que ce jour soit le plus proche possible, même si l’on sait qu’il faudra être patient.
Mais, quel que soit le délai, rien ne saurait justifier que l’on laisse le Musée de l’Infanterie tomber dans l’oubli.
C’est pourquoi l’Association Nationale des Réservistes de l’Infanterie (ANORI) a pris l’initiative de concevoir et de vous proposer un « musée virtuel » sur son site internet.
Les pages qui suivent vous présentent une partie des collections du Musée de l’Infanterie et sont une preuve de sa richesse et de son intérêt.
Réalisée par des bénévoles, cette présentation est faite pour évoluer et maintenir vivante l’image du Musée, témoignage de l’histoire de l’Infanterie et support de l’esprit Fantassin.
Je vous invite à cliquer sur ce lien pour effectuer une visite virtuelle de ce musée. C'est vraiment à voir...c'est un fantassin qui vous le dit!
Dans le cadre de la restructuration des forces armées françaises, l’Ecole de l’Infanterie, dont il est partie intégrante, va quitter Montpellier pour Draguignan durant l’été 2010.
Le Musée va déménager également et sera réinstallé dans un nouveau bâtiment qui sera aménagé à Neuf-Brisach (Haur-Rhin), place forte construite par Vauban et qui est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.Les travaux prendront plusieurs années avant que le Musée de l'Infanterie puisse rouvrir et accueillir le public.
Formons des vœux pour que ce jour soit le plus proche possible, même si l’on sait qu’il faudra être patient.
Mais, quel que soit le délai, rien ne saurait justifier que l’on laisse le Musée de l’Infanterie tomber dans l’oubli.
C’est pourquoi l’Association Nationale des Réservistes de l’Infanterie (ANORI) a pris l’initiative de concevoir et de vous proposer un « musée virtuel » sur son site internet.
Les pages qui suivent vous présentent une partie des collections du Musée de l’Infanterie et sont une preuve de sa richesse et de son intérêt.
Réalisée par des bénévoles, cette présentation est faite pour évoluer et maintenir vivante l’image du Musée, témoignage de l’histoire de l’Infanterie et support de l’esprit Fantassin.
Je vous invite à cliquer sur ce lien pour effectuer une visite virtuelle de ce musée. C'est vraiment à voir...c'est un fantassin qui vous le dit!
Après un travail fastidieux et plusieurs reports, le site de la visite virtuelle du musée de l'infanterie, bien qu'incomplet, est ouvert.
Il est demandé aux visiteurs de le regarder et de donner leurs impressions premières afin que nous en tenions compte dans le mois à venir.
Pour accéder au site taper : www.musee-infanterie.com
Partir en mission, un guide pour le militaire et ses proches
Le service de santé des armées a édité le livret « Partir en mission » pour aider le militaire et ses proches lors d’un départ en opération extérieure (OPEX).
« Partir en mission » est un guide édité par le service de santé des armées (SSA) à destination des militaires et de leurs proches. Il aide à mieux comprendre les étapes psychologiques traversées depuis l’annonce d’un départ en mission jusqu’au retour. Grâce au témoignage de militaires de retour d’OPEX, ce livret est très proche de la réalité. À travers différents exemples, il donne explications et conseils pour aider le militaire et sa famille à surmonter certaines difficultés.
« À partir de mots qu’ils entendent quotidiennement, les soignants qui ont écrit ce livret ont voulu témoigner de la disponibilité des personnels du SSA et de leur engagement pour que chacun puisse trouver l’aide dont il a besoin et combattre ainsi la souffrance et l’isolement auxquels mène le silence. »
Médecin en chef Humbert Boisseaux, chef du service de psychiatrie de l’hôpital d’instruction des armées du Val-de-Grâce.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/partir-en-mission-un-guide-pour-le-militaire-et-ses-proches
« Partir en mission » est un guide édité par le service de santé des armées (SSA) à destination des militaires et de leurs proches. Il aide à mieux comprendre les étapes psychologiques traversées depuis l’annonce d’un départ en mission jusqu’au retour. Grâce au témoignage de militaires de retour d’OPEX, ce livret est très proche de la réalité. À travers différents exemples, il donne explications et conseils pour aider le militaire et sa famille à surmonter certaines difficultés.
« À partir de mots qu’ils entendent quotidiennement, les soignants qui ont écrit ce livret ont voulu témoigner de la disponibilité des personnels du SSA et de leur engagement pour que chacun puisse trouver l’aide dont il a besoin et combattre ainsi la souffrance et l’isolement auxquels mène le silence. »
Médecin en chef Humbert Boisseaux, chef du service de psychiatrie de l’hôpital d’instruction des armées du Val-de-Grâce.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/partir-en-mission-un-guide-pour-le-militaire-et-ses-proches
mardi 10 mai 2011
Un soldat français tué par un engin explosif en Afghanistan (état-major)
Un soldat français âgé de 24 ans a été tué mardi peu après midi par l'explosion d'un engin explosif improvisé dans la vallée de Tagab, dans l'est de l'Afghanistan, a indiqué à Paris l'état-major des armées.
Il s'agit du 57e soldat français mort en Afghanistan depuis le déploiement des forces françaises dans ce pays, en 2001.
"Une explosion d'un engin explosif improvisé a visé les sapeurs du détachement d'ouverture d'itinéraire piégé (DOIP), qui étaient engagés dans une mission (...) préliminaire à une opération dans la vallée de Tagab", a indiqué le ministre de la Défense, Gérard Longuet, dans un communiqué.
Le sapeur de 1ère classe Loïc Roperh a été tué lors de l'explosion, a précisé le service de presse des armées. Engagé en mars 2009 au 13e régiment du génie de Valdahon (Doubs), il avait rejoint l'Afghanistan le 3 avril dernier avec la section de protection-dépollution du détachement d'ouverture d'itinéraire piégé (DOIP).
Selon le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard, l'explosion n'a pas fait de blessé.
"Peu après midi, un élément du génie a débuté à pied la reconnaissance des abords de la piste située au nord du Cop 46 (poste avancé). Une violente explosion a alors eu lieu et un soldat a été tué", a précisé le porte-parole.
Le président Nicolas Sarkozy a présenté pour sa part dans un communiqué ses "plus sincères condoléances" à la famille du soldat tué et réaffirmé "son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes".
Le chef de l'Etat a exprimé "la détermination de la France a continuer d'oeuvrer au sein de la Force internationale d'assistance et de sécurité. Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan".
Le 20 avril, un caporal du 2e Régiment d'Infanterie de Marine avait trouvé la mort et 9 autres marsouins avaient été blessés, également par l'explosion d'un engin explosif improvisé, en Kapisa, l'une des régions de l'est de l'Afghanistan où son déployées les forces françaises.
Environ 4.000 soldats français sont actuellement déployés en Afghanistan, notamment dans le district de Surobi et en Kapisa.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gwuB3NgQa8w-cXS78HPzC2O2aCRA?docId=CNG.33e021daf801b558804b9668e78fa9f6.b21
Il s'agit du 57e soldat français mort en Afghanistan depuis le déploiement des forces françaises dans ce pays, en 2001.
"Une explosion d'un engin explosif improvisé a visé les sapeurs du détachement d'ouverture d'itinéraire piégé (DOIP), qui étaient engagés dans une mission (...) préliminaire à une opération dans la vallée de Tagab", a indiqué le ministre de la Défense, Gérard Longuet, dans un communiqué.
Le sapeur de 1ère classe Loïc Roperh a été tué lors de l'explosion, a précisé le service de presse des armées. Engagé en mars 2009 au 13e régiment du génie de Valdahon (Doubs), il avait rejoint l'Afghanistan le 3 avril dernier avec la section de protection-dépollution du détachement d'ouverture d'itinéraire piégé (DOIP).
Selon le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard, l'explosion n'a pas fait de blessé.
"Peu après midi, un élément du génie a débuté à pied la reconnaissance des abords de la piste située au nord du Cop 46 (poste avancé). Une violente explosion a alors eu lieu et un soldat a été tué", a précisé le porte-parole.
Le président Nicolas Sarkozy a présenté pour sa part dans un communiqué ses "plus sincères condoléances" à la famille du soldat tué et réaffirmé "son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes".
Le chef de l'Etat a exprimé "la détermination de la France a continuer d'oeuvrer au sein de la Force internationale d'assistance et de sécurité. Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan".
Le 20 avril, un caporal du 2e Régiment d'Infanterie de Marine avait trouvé la mort et 9 autres marsouins avaient été blessés, également par l'explosion d'un engin explosif improvisé, en Kapisa, l'une des régions de l'est de l'Afghanistan où son déployées les forces françaises.
Environ 4.000 soldats français sont actuellement déployés en Afghanistan, notamment dans le district de Surobi et en Kapisa.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gwuB3NgQa8w-cXS78HPzC2O2aCRA?docId=CNG.33e021daf801b558804b9668e78fa9f6.b21
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