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jeudi 8 février 2018
mardi 12 septembre 2017
dimanche 27 août 2017
samedi 5 août 2017
jeudi 12 novembre 2015
Qui est Florent Groberg, le soldat français décoré par Barack Obama?
Son geste aurait très bien pu faire l’objet d’une scène de la série Homeland. Lors d’une opération en Afghanistan, en août 2012, Florent Groberg avait plaqué au sol un kamikaze bourré d’explosifs, l’empêchant de tuer un grand nombre de personnes dont son chef, le colonel Mingus.
« A ce moment-là, il atterrit sur le sol, je le regarde, et il explose »
Pour cet acte de bravoure, qui aurait pu lui coûter la vie, cet Américain d’origine française recevra jeudi la Medal of Honor des mains du président Barack Obama. Il s’agit de la plus haute distinction militaire américaine pour un « acte d’héroïsme allant au-delà du devoir ».Dans un entretien au magazine Army Times, le capitaine Florent Groberg, 32 ans, racontait récemment comment il s’était retrouvé face à face avec cet homme sur le point de commettre un attentat-suicide, un engin explosif accroché sur le torse. « La seule chose que j’avais en tête, c’était : "Je dois l’éloigner de mon chef, je dois l’éloigner de tout le monde », se souvient-il, expliquant comment il l’a alors projeté au sol. « A ce moment-là, il atterrit sur le sol, je le regarde, et il explose, il explose juste devant mes pieds », poursuit le capitaine né à Poissy, en banlieue parisienne, le 8 mai 1983, avant d’être naturalisé américain en 2001.
« Le pire jour de ma vie »
L’explosion avait fait quatre morts et de nombreux blessés du côté américain. Mais l’intervention du capitaine Groberg a empêché le candidat au suicide d’actionner sa bombe au moment où il avait prévu de le faire et ainsi évité un nombre de victimes beaucoup plus élevé. « C’est le pire jour de ma vie, raconte le soldat, grièvement blessé à la jambe, car, même si nous avons vaincu l’ennemi, j’ai perdu quatre de mes frères ». « Cette médaille n’est pas pour moi, elle est pour les quatre hommes que j’ai perdus. »http://www.20minutes.fr/monde/1728699-20151112-florent-groberg-soldat-francais-decore-barack-obama
jeudi 5 novembre 2015
lundi 17 août 2015
Dans la peau d'un maréchal des logis au 501e RCC de Mourmelon-le-Grand
Recruté en 2012 en tant que sous-officier direct dans le combat des blindés, le maréchal des logis Jean-Antoine était auparavant ingénieur dans les télécommunications. Après un Master 1 en télécommunications et réseaux, il a travaillé dans une grande Start-up.
« Pour des raisons personnelles d’engagement pour la France et le besoin d’un métier atypique et actif, je me suis engagé en tant que sous-officier dans l’armée de Terre. J’ai voulu rejoindre la mêlée et plus particulièrement la cavalerie car je la considère comme l’arme la plus technique. Si j’ai choisi la catégorie des sous-officiers, c’est parce que je voulais faire mon expérience en tant « qu’intermédiaire » entre le commandement et les militaires du rang, faire la jonction entre l’organe décisionnel et l’organe exécutif », révèle le maréchal des logis Jean-Antoine. Avant d’ajouter, « je tire de cette expérience, beaucoup de rigueur, beaucoup de connaissances de moi-même, on nous apprend à aller toujours plus loin, à être rigoureux parce que notre métier ne peut souffrir d’une imperfection. Et sur le rapport humain, c’est très enrichissant car on rencontre beaucoup de profils différents, des personnes qui viennent de tous les horizons, de tous les milieux, avec un brassage des niveaux d’études ».
Au 501 e régiment de chars de combat, les militaires découvrent l’esprit Leclerc, celui de cohésion, de rigueur, de dépassement de soi, d’audace etc.
Etre militaire, c’est être polyvalent car l’institution offre bon nombre de formations de qualité. « Outre le fait d’être spécialiste dans notre domaine de compétence, on est aussi secouriste, technicien, mécanicien etc., autant de domaines divers qui s’offrent à nos connaissances », précise le maréchal des logis Jean-Antoine.
« Je tire de ces expériences professionnelles antérieures et actuelles que le rapport humain est plus prononcé dans l’armée car on passe énormément de temps avec nos camarades. On connait beaucoup plus les aspects personnels de nos collègues-camarades, on est obligé d’en tenir compte dans notre gestion de l’humain pour éviter les problèmes sur un théâtre d’opérations. De plus, nous n’avons pas des horaires de travail précis comme dans le milieu civil, on ne peut parfois pas retrouver notre foyer chaque soir. Dans l’armée, vie professionnelle et privée sont liées ! »
Les familles, avant un départ en opération extérieure d’un membre de la famille, viennent au régiment pour être informées, encadrées et accompagnées et ce jusqu’au retour du proche. Outre les départs en mission, les familles sont conviées aux diverses activités cohésion organisées tout au long de l’année au 501 e régiment de chars de combat.
http://www.lunion.com/node/529676
« Pour des raisons personnelles d’engagement pour la France et le besoin d’un métier atypique et actif, je me suis engagé en tant que sous-officier dans l’armée de Terre. J’ai voulu rejoindre la mêlée et plus particulièrement la cavalerie car je la considère comme l’arme la plus technique. Si j’ai choisi la catégorie des sous-officiers, c’est parce que je voulais faire mon expérience en tant « qu’intermédiaire » entre le commandement et les militaires du rang, faire la jonction entre l’organe décisionnel et l’organe exécutif », révèle le maréchal des logis Jean-Antoine. Avant d’ajouter, « je tire de cette expérience, beaucoup de rigueur, beaucoup de connaissances de moi-même, on nous apprend à aller toujours plus loin, à être rigoureux parce que notre métier ne peut souffrir d’une imperfection. Et sur le rapport humain, c’est très enrichissant car on rencontre beaucoup de profils différents, des personnes qui viennent de tous les horizons, de tous les milieux, avec un brassage des niveaux d’études ».
Au 501 e régiment de chars de combat, les militaires découvrent l’esprit Leclerc, celui de cohésion, de rigueur, de dépassement de soi, d’audace etc.
Etre militaire, c’est être polyvalent car l’institution offre bon nombre de formations de qualité. « Outre le fait d’être spécialiste dans notre domaine de compétence, on est aussi secouriste, technicien, mécanicien etc., autant de domaines divers qui s’offrent à nos connaissances », précise le maréchal des logis Jean-Antoine.
« Je tire de ces expériences professionnelles antérieures et actuelles que le rapport humain est plus prononcé dans l’armée car on passe énormément de temps avec nos camarades. On connait beaucoup plus les aspects personnels de nos collègues-camarades, on est obligé d’en tenir compte dans notre gestion de l’humain pour éviter les problèmes sur un théâtre d’opérations. De plus, nous n’avons pas des horaires de travail précis comme dans le milieu civil, on ne peut parfois pas retrouver notre foyer chaque soir. Dans l’armée, vie professionnelle et privée sont liées ! »
Les familles, avant un départ en opération extérieure d’un membre de la famille, viennent au régiment pour être informées, encadrées et accompagnées et ce jusqu’au retour du proche. Outre les départs en mission, les familles sont conviées aux diverses activités cohésion organisées tout au long de l’année au 501 e régiment de chars de combat.
http://www.lunion.com/node/529676
mercredi 29 juillet 2015
Le lieutenant-colonel Budan de Russé, nouveau patron du 1er régiment d’infanterie de Sarrebourg
Le jeune officier désigné par le commandement pour succéder au colonel Testart à la tête du 1er régiment d’infanterie, vient de prendre ses fonctions. C’est le second séjour à Sarrebourg du lieutenant-colonel Anne-Henri Budan de Russé. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il a confirmé son honneur et sa fierté d’avoir été choisi : « Pour des raisons logiques de filiation entre le BOI (bureau opération instruction) d’une part, la fonction de chef de corps d’autre part, Sarrebourg était mon premier choix. J’avoue que l’aventure afghane (décembre 2011 à juin 2012) m’avait permis de vivre six mois avec les Picards. J’avais envie de les retrouver. »
Âgé de 42 ans, l’officier retrouve un régiment « aguerri, solide, bien dans ses baskets, fier de ce qu’il est, prêt à affronter les échéances à venir, et peu ou prou, tel que je l’avais quitté il y a trois ans ». Voilà qui le conforte dans son choix. De plus, sa parfaite intégration au sein de la brigade franco-allemande (BFA) est une réelle satisfaction. Pour appuyer ses propos, il ajoute : « Elle est unique en son genre puisque binationale. Les fantassins du 1er RI se sont lancés très professionnellement dans cette nouvelle aventure. Maintenant, on entre dans la phase de consolidation avec un certain nombre de partenariats, d’entraînements communs, de binômage avec les bataillons d’infanterie de la BFA, d’échange de savoir-faire ». Le 1er RI est le seul régiment d’infanterie du territoire à s’entraîner sur terrain allemand.
Mission Sentinelle : un nécessaire effort
Au quartier Rabier, il a revu avec plaisir des visages connus, dont le commandant en second, le lieutenant-colonel Beausoleil, avec lequel il avait eu l’occasion de travailler par le passé. Il lui reste à faire connaissance avec les hommes et les femmes qui constituent la richesse de l’unité. « Pour le peu que je sache, un Picard… C’est rustique dans le sens noble du terme. C’est aussi quelqu’un de bonne volonté, sans état d’âme, un soldat d’élite et un vrai professionnel. » Autant d’éléments qui lui donnent raison et envie de refaire un bout de route, non plus à leurs côtés, mais à leur tête.Aucune projection n’est en cours, mais les compagnies se relayent sur le terrain dans le cadre de l’opération Sentinelle. En ce moment, l’une d’entre elle est déployée à Marseille, Nice et Montpellier. Début août, une autre se rendra à Paris. Le lieutenant-colonel Budan de Russé souligne à ce sujet : « Cela représente un effort considérable pour le régiment. Je suis fier du comportement de mes Picards, qui conduisent des missions difficiles, qui exigent beaucoup de sang-froid. Compte tenu du niveau de menace très élevé que nous connaissons actuellement, cet effort est nécessaire ».
Liens armée-nation : des idées à creuser
Parallèlement, même si la prochaine opération n’est programmée qu’à l’automne 2016, les soldats vont continuer à s’entraîner, afin de maintenir les fondamentaux du combat acquis en Afghanistan et en Afrique. « Un objectif modeste et réaliste qui montera en puissance en temps utile. »La machine est lancée pour le 135e chef de corps du 1er RI. Les deux prochaines années seront forcément denses et enrichissantes sur le plan humain. S’il ambitionne de développer plusieurs actions en rapport avec les liens armée-nation, il envisage aussi de rapprocher le régiment de l’Éducation nationale, et de l’ouvrir aux acteurs du monde industriel local.
Marié et père de six enfants âgés de 14 à 1 ans, il aborde sa mission avec enthousiasme et sérénité.
Souhaitons-lui, ainsi qu’à sa famille, un bon séjour en Moselle-sud.
http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-sarrebourg-chateau-salins/2015/07/29/le-lieutenant-colonel-budan-de-russe-nouveau-patron-du-1er-regiment-d-infanterie-de-sarrebourg
samedi 27 juin 2015
dimanche 21 juin 2015
samedi 20 juin 2015
vendredi 19 juin 2015
jeudi 28 mai 2015
mercredi 27 mai 2015
jeudi 2 avril 2015
mercredi 1 avril 2015
samedi 28 mars 2015
mercredi 25 mars 2015
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