Le Premier ministre François Fillon s'est rendu à Verdun (Meuse) pour la commémoration du 95e anniversaire de la bataille de Verdun. Il était accompagné de Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants.
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mardi 28 juin 2011
dimanche 26 juin 2011
Commémoration du 95e anniversaire de la bataille de Verdun
l’occasion du 95e anniversaire de la bataille de Verdun, le Premier ministre, François Fillon préside la cérémonie de commémoration, dimanche 26 juin à Verdun.
Durant 300 jours et 300 nuits, du 21 février au 19 décembre 1916, des combats acharnés opposant les armées françaises et allemandes eurent lieu près de Verdun. Plus de 300 000 soldats trouvèrent la mort.
Dimanche 26 juin, le 95e anniversaire de la bataille de Verdun sera commémoré au cours d’une cérémonie présidée par François Fillon, Premier ministre, en présence de Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants.
Le programme de cette commémoration prévoit notamment un dépôt de gerbe au monument aux morts des enfants de Verdun et une cérémonie nocturne aux flambeaux à l’Ossuaire de Douaumont.
Depuis les années 1920, la bataille de Verdun est commémorée le 3e dimanche du mois de juin. Cette date est fixée par les anciens de Verdun en rapport avec le déroulement de la bataille, qui a duré 300 jours.
L'association "Ceux de Verdun" est le principal organisateur de la cérémonie en partenariat avec les collectivités territoriales.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/95e-anniversaire-de-la-bataille-de-verdun
Dimanche 26 juin, le 95e anniversaire de la bataille de Verdun sera commémoré au cours d’une cérémonie présidée par François Fillon, Premier ministre, en présence de Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants.
Le programme de cette commémoration prévoit notamment un dépôt de gerbe au monument aux morts des enfants de Verdun et une cérémonie nocturne aux flambeaux à l’Ossuaire de Douaumont.
Depuis les années 1920, la bataille de Verdun est commémorée le 3e dimanche du mois de juin. Cette date est fixée par les anciens de Verdun en rapport avec le déroulement de la bataille, qui a duré 300 jours.
L'association "Ceux de Verdun" est le principal organisateur de la cérémonie en partenariat avec les collectivités territoriales.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/95e-anniversaire-de-la-bataille-de-verdun
dimanche 19 juin 2011
Commémoration du 71e anniversaire de l’Appel du 18 juin
A l’occasion du 71e anniversaire de l’Appel du 18 juin, une cérémonie présidée par Nicolas Sarkozy, président de la République s'est déroulée samedi 18 juin au Mont Valérien.
Le président de la République, Nicolas Sarkozy, a présidé la cérémonie du Souvenir samedi 18 juin à 11h00 au Mont-Valérien. Cette cérémonie, organisée par la Chancellerie de l’ordre de la Libération se déroule en présence du Premier ministre, François Fillon, du ministre de la Défense et des anciens combattants, Gérard Longuet et des membres du Gouvernement.
C’est au Fort du Mont Valérien, situé à Suresnes (région parisienne) que les Allemands ont fusillé, de 1940 à 1944, plus d’un millier d’otages et de prisonniers. Parmi les fusillés, on compte sept compagnons de la Libération.
Après la guerre, le 18 juin 1946, le général de Gaulle a tenu à consacrer lui-même ce haut lieu au cours d’une cérémonie dédiée à la mémoire des massacrés et fusillés.
Un mémorial de la France combattante est érigé près de la clairière des fusillés sur une esplanade de plus de 10 000 m2. Il a été inauguré le 18 juin 1960 par le général de Gaulle, alors président de la République. La veille, seize cercueils des compagnons de la Libération ont été transférés dans la crypte.
La cérémonie au Mont Valérien se déroule avec la participation notamment du Gouverneur militaire de Paris (GMP), du Chancelier de l’Ordre de la Libération, des chefs d’états-majors des armées de terre, air, marine.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/71e-anniversaire-de-l-appel-du-18-juin
Le président de la République, Nicolas Sarkozy, a présidé la cérémonie du Souvenir samedi 18 juin à 11h00 au Mont-Valérien. Cette cérémonie, organisée par la Chancellerie de l’ordre de la Libération se déroule en présence du Premier ministre, François Fillon, du ministre de la Défense et des anciens combattants, Gérard Longuet et des membres du Gouvernement.
C’est au Fort du Mont Valérien, situé à Suresnes (région parisienne) que les Allemands ont fusillé, de 1940 à 1944, plus d’un millier d’otages et de prisonniers. Parmi les fusillés, on compte sept compagnons de la Libération.
Après la guerre, le 18 juin 1946, le général de Gaulle a tenu à consacrer lui-même ce haut lieu au cours d’une cérémonie dédiée à la mémoire des massacrés et fusillés.
Un mémorial de la France combattante est érigé près de la clairière des fusillés sur une esplanade de plus de 10 000 m2. Il a été inauguré le 18 juin 1960 par le général de Gaulle, alors président de la République. La veille, seize cercueils des compagnons de la Libération ont été transférés dans la crypte.
La cérémonie au Mont Valérien se déroule avec la participation notamment du Gouverneur militaire de Paris (GMP), du Chancelier de l’Ordre de la Libération, des chefs d’états-majors des armées de terre, air, marine.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/71e-anniversaire-de-l-appel-du-18-juin
samedi 18 juin 2011
mardi 10 mai 2011
La cérémonie de commémoration du 8 mai 1945 à Port-Louis en Bretagne
C’est à la citadelle de Port Louis dans le Morbihan, en Bretagne, que le président de la République, Nicolas Sarkozy a décidé de commémorer la victoire du camp Allié sur l’Allemagne nazie du 8 mai 1945.
lundi 9 mai 2011
8-Mai nostalgique avec la dernière sortie de la base aérienne 112
Hautes en couleur mais finalement peu suivies par les Rémois, les cérémonies du 8-Mai ont vu pour la dernière fois la sortie publique des militaires de la BA 112.
«AU nom des Rémois, je peux vous le dire, colonel Meyer, la présence de la base aérienne 112 va nous manquer. » Au terme d'une journée patriotique organisée à l'occasion du 66e anniversaire de la capitulation nazie, une journée marathon commencée à 9 h 45 devant le monument des déportés de la communauté juive pour s'achever à 12 heures devant le monument aux morts de la Résistance, la maire Adeline Hazan a tenu à saluer hier les représentants de l'armée de l'air qui vont officiellement dissoudre la BA 112 le 30 juin prochain et quitter Reims. Si comme Josette Bafoil, dont le mari, un ancien de la base, récemment décédée avait une petite larme à l'œil, personne n'avait trop envie d'évoquer ce départ.
Transmettre
Auparavant, chacun avec ses mots, les intervenants ont tous insisté sur la nécessité de rendre hommage à tous ceux qui ont combattu les nazis et leur abjecte idéologie, à se souvenir et à demeurer toujours vigilant parce que la paix est fragile. Jean Marchandeau, président de l'UFAC a salué la mémoire des 55 millions de morts de la Seconde Guerre mondiale, les 3 millions de disparus et les 35 millions de blessés. Il a appelé à « être toujours vigilant pour défendre les Droits et l'homme. » Au nom du ministre de la Défense, le sous-préfet Jean-Jacques Caron a rappelé le combat de la Résistance, de De Gaulle à Jean Moulin avant, en mairie, de rappeler que « la France, patrie des Droits de l'homme prenait une part importante pour soutenir les peuples opprimés. » La maire, a insisté sur « la nécessité de transmettre la mémoire entre les générations », seule condition pour tirer les enseignements du passé. « Transmettre, c'est notre devoir à tous, transmettre inlassablement car la paix est un bien précieux et très fragile qui n'est jamais acquis. Un engagement quotidien, permanent. »http://www.lunion.presse.fr/article/marne/8-mai-nostalgique-avec-la-derniere-sortie-de-la-base-aerienne-112
«AU nom des Rémois, je peux vous le dire, colonel Meyer, la présence de la base aérienne 112 va nous manquer. » Au terme d'une journée patriotique organisée à l'occasion du 66e anniversaire de la capitulation nazie, une journée marathon commencée à 9 h 45 devant le monument des déportés de la communauté juive pour s'achever à 12 heures devant le monument aux morts de la Résistance, la maire Adeline Hazan a tenu à saluer hier les représentants de l'armée de l'air qui vont officiellement dissoudre la BA 112 le 30 juin prochain et quitter Reims. Si comme Josette Bafoil, dont le mari, un ancien de la base, récemment décédée avait une petite larme à l'œil, personne n'avait trop envie d'évoquer ce départ.
Transmettre
Auparavant, chacun avec ses mots, les intervenants ont tous insisté sur la nécessité de rendre hommage à tous ceux qui ont combattu les nazis et leur abjecte idéologie, à se souvenir et à demeurer toujours vigilant parce que la paix est fragile. Jean Marchandeau, président de l'UFAC a salué la mémoire des 55 millions de morts de la Seconde Guerre mondiale, les 3 millions de disparus et les 35 millions de blessés. Il a appelé à « être toujours vigilant pour défendre les Droits et l'homme. » Au nom du ministre de la Défense, le sous-préfet Jean-Jacques Caron a rappelé le combat de la Résistance, de De Gaulle à Jean Moulin avant, en mairie, de rappeler que « la France, patrie des Droits de l'homme prenait une part importante pour soutenir les peuples opprimés. » La maire, a insisté sur « la nécessité de transmettre la mémoire entre les générations », seule condition pour tirer les enseignements du passé. « Transmettre, c'est notre devoir à tous, transmettre inlassablement car la paix est un bien précieux et très fragile qui n'est jamais acquis. Un engagement quotidien, permanent. »http://www.lunion.presse.fr/article/marne/8-mai-nostalgique-avec-la-derniere-sortie-de-la-base-aerienne-112
152e régiment d'infanterie: dernier défilé avant l'Afghanistan
Lors des cérémonies commémoratives du 8-Mai qui se sont déroulées ce matin place Rapp à Colmar, quelque 500 soldats du 152e régiment d'infanterie, en partance pour l'Afghanistan, ont défilé le long de l'avenue de la République devant un public peu nombreux. Les Diables rouges, qui quittent Colmar à la fin du mois pour une mission de six mois, se sont préparés près de six mois pour cette opération extérieure périlleuse. Ce matin, neuf d'entre eux, qui avaient déjà été projetés sur ce théâtre en 2009/10, ont été décorés de la croix de la Valeur militaire.
http://www.dna.fr/fr/fil-info/info/5054436-Ceremonies-du-8-Mai-152e-regiment-d-infanterie-dernier-defile-avant-l-Afghanistan-(video)
Cérémonies du 8 Mai à Colmar par dna_web
Interview du colonel Jeand'Heur, chef de corps... par dna_web
http://www.dna.fr/fr/fil-info/info/5054436-Ceremonies-du-8-Mai-152e-regiment-d-infanterie-dernier-defile-avant-l-Afghanistan-(video)
Cérémonies du 8 Mai à Colmar par dna_web
Interview du colonel Jeand'Heur, chef de corps... par dna_web
dimanche 8 mai 2011
Nouvel hommage de Sarkozy à la Résistance à l'occasion du 8-Mai
Nicolas Sarkozy a rendu dimanche un nouvel hommage à la Résistance lors d'un déplacement à la citadelle de Port-Louis (Morbihan) à l'occasion du 66e anniversaire de la Victoire sur les nazis.
Le président, après un salut au canon par la Marine nationale, s'est notamment recueilli devant le Mémorial des morts de la Résistance. Soixante-dix corps de résistants fusillés avaient notamment été découverts peu après la libération de la ville en mai 1945.
Dans un discours où il a cité abondamment le général de Gaulle, M. Sarkozy a rendu hommage à ceux qui se sont battus jusqu'au bout. "Quand tout paraissait perdu, des hommes ont tenu, des hommes n'ont rien laché, n'ont rien cédé, ni de leurs convictions, ni de leur amour de la France et ils ont finalement emporté la victoire".
Depuis le début de son mandat en 2007, le chef de l'Etat commémore en province la fin de la Seconde guerre mondiale en Europe: il s'est ainsi rendu à Ouistreham (Calvados) en 2008, à Sainte-Maxime (Var) en 2009 et à Colmar (Haut-Rhin) en 2010.
Avant de quitter Paris, M. Sarkozy avait déposé dans la matinée une gerbe au pied de la statue du général de Gaulle sur les Champs-Elysées, serrant également quelques mains dans le public. AP
http://us.lrd.yahoo.com/_ylt=AhZNxuQvIypubrkodkijQOUdfsl_;_ylu=X3oDMTBxZjUyYzltBHBvcwMxBHNlYwNNZWRpYUFydGljbGVIZWFk;_ylg=X3oDMTJoYWZlZnFpBGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDZDFiZDYyZTYtMjc1ZS0zZWVhLWJlNzktYThhOTRhNjBhNzhhBHB0A3N0b3J5cGFnZQR0ZXN0Aw--;_ylv=0/SIG=116fbj0iv/EXP=1306065548/**http%3A//www.ap.org/
Le président, après un salut au canon par la Marine nationale, s'est notamment recueilli devant le Mémorial des morts de la Résistance. Soixante-dix corps de résistants fusillés avaient notamment été découverts peu après la libération de la ville en mai 1945.
Dans un discours où il a cité abondamment le général de Gaulle, M. Sarkozy a rendu hommage à ceux qui se sont battus jusqu'au bout. "Quand tout paraissait perdu, des hommes ont tenu, des hommes n'ont rien laché, n'ont rien cédé, ni de leurs convictions, ni de leur amour de la France et ils ont finalement emporté la victoire".
Depuis le début de son mandat en 2007, le chef de l'Etat commémore en province la fin de la Seconde guerre mondiale en Europe: il s'est ainsi rendu à Ouistreham (Calvados) en 2008, à Sainte-Maxime (Var) en 2009 et à Colmar (Haut-Rhin) en 2010.
Avant de quitter Paris, M. Sarkozy avait déposé dans la matinée une gerbe au pied de la statue du général de Gaulle sur les Champs-Elysées, serrant également quelques mains dans le public. AP
http://us.lrd.yahoo.com/_ylt=AhZNxuQvIypubrkodkijQOUdfsl_;_ylu=X3oDMTBxZjUyYzltBHBvcwMxBHNlYwNNZWRpYUFydGljbGVIZWFk;_ylg=X3oDMTJoYWZlZnFpBGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDZDFiZDYyZTYtMjc1ZS0zZWVhLWJlNzktYThhOTRhNjBhNzhhBHB0A3N0b3J5cGFnZQR0ZXN0Aw--;_ylv=0/SIG=116fbj0iv/EXP=1306065548/**http%3A//www.ap.org/
Bernard Alexis : « Porte-drapeau, c'est une race en voie de disparition »
Six mois après la cérémonie de l'Armistice de 1918, l'anecdote fait encore sourire aujourd'hui Bernard Alexis. Le président des porte-drapeaux se souvient que la tâche de ces bénévoles qui rendent hommage, au nom de la nation, aux combattants et aux disparus, n'avait pas été de tout repos : « Les drapeaux volaient au vent et qu'est-ce qu'il pleuvait ! ». Mais il fallait davantage qu'une bourrasque pour décourager ces hommes qui portent haut le drapeau tricolore lors de chaque cérémonie officielle. Le drapeau, Bernard Alexis l'a chevillé au corps depuis le plus jeune âge. Engagé dans la Marine en 1966 (en devançant l'appel), le Malouin avait rejoint, deux ans plus tard, la gendarmerie nationale. Qu'il n'a quittée que trente-deux ans plus tard, après un long séjour au peloton de surveillance et d'intervention (PSIG), alors basé à Rosendaël.
Enfin, quitté sous la forme active puisque sitôt retraité, Bernard Alexis rempilait : réserviste, membre, puis porte-drapeau des retraités de la gendarmerie avant de devenir celui des médaillés militaires voilà huit ans. Puis président en 2003 : « Mon prédécesseur était Marcel Ghewy, porte-drapeau des médaillés militaires. J'ai l'honneur de le remplacer à ces deux postes. Ma fonction ? M'assurer que tout se passe bien lors des défilés et des cérémonies, surtout en ce qui concerne le premier rang. » Mais quel plaisir trouve-t-il, à bientôt 64 ans, à consacrer une trentaine de dates à cette fonction bénévole et méconnue, même si l'imposant carré d'étoffe de 90 cm de côté qu'il porte fièrement passe difficilement inaperçu ? « Simplement, comme lorsque j'étais gendarme, celui de parler avec les gens, les autres membres des associations. » Qui se font de plus en plus rares : les anciens combattants vieillissent et les associations peinent à recruter des « jeunes ». La disparition du service militaire a porté aux associations patriotiques et militaires un coup qui pourrait s'avérer fatal. « Il n'y a plus beaucoup de monde pour la relève : le porte-drapeau est une race en voie de disparition. On se demande si, demain, il restera des drapeaux pour défiler... » Ce qui pose la question du devoir de mémoire. Celui que Bernard Alexis assurera ce matin, comme ses compagnons porte-drapeaux, quelle que soit la météo...
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Dunkerque/actualite/Secteur_Dunkerque/2011/05/08/article_bernard-alexis-porte-drapeau-c-est-une.shtml
Enfin, quitté sous la forme active puisque sitôt retraité, Bernard Alexis rempilait : réserviste, membre, puis porte-drapeau des retraités de la gendarmerie avant de devenir celui des médaillés militaires voilà huit ans. Puis président en 2003 : « Mon prédécesseur était Marcel Ghewy, porte-drapeau des médaillés militaires. J'ai l'honneur de le remplacer à ces deux postes. Ma fonction ? M'assurer que tout se passe bien lors des défilés et des cérémonies, surtout en ce qui concerne le premier rang. » Mais quel plaisir trouve-t-il, à bientôt 64 ans, à consacrer une trentaine de dates à cette fonction bénévole et méconnue, même si l'imposant carré d'étoffe de 90 cm de côté qu'il porte fièrement passe difficilement inaperçu ? « Simplement, comme lorsque j'étais gendarme, celui de parler avec les gens, les autres membres des associations. » Qui se font de plus en plus rares : les anciens combattants vieillissent et les associations peinent à recruter des « jeunes ». La disparition du service militaire a porté aux associations patriotiques et militaires un coup qui pourrait s'avérer fatal. « Il n'y a plus beaucoup de monde pour la relève : le porte-drapeau est une race en voie de disparition. On se demande si, demain, il restera des drapeaux pour défiler... » Ce qui pose la question du devoir de mémoire. Celui que Bernard Alexis assurera ce matin, comme ses compagnons porte-drapeaux, quelle que soit la météo...
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Dunkerque/actualite/Secteur_Dunkerque/2011/05/08/article_bernard-alexis-porte-drapeau-c-est-une.shtml
Des femmes combattantes
A 19 ou 20 ans, elles ont choisi de combattre. Résistantes, infirmières, ambulancières ou chargées de transmissions... elles ont servi la France. Avec courage et détermination. Un engagement qu'elles ont mis en veilleuse une fois la guerre passée. Pour éviter les humiliations et les moqueries.
« Après 1945, les femmes combattantes avaient mauvaise réputation », souligne Monique. Alors, elles ont tourné la page. Mis en sourdine ces mois, ces années où elles ont risqué leur vie, comme les hommes. Josette, Monique et tant d'autres femmes admirables n'ont pas forcément eu droit à la reconnaissance.
« S'entendre dire : " vous portez les décorations de votre mari ", à force, c'est pénible. » L'ambulancière, engagée volontaire pendant la Deuxième Guerre mondiale, en est venue à ne plus porter sa croix de guerre et sa médaille militaire. Tout comme Jeanine. De son côté, Josette Anelli, résistante niçoise torturée par la Gestapo, a tu pendant longtemps son passé héroïque. Absorbée par le quotidien de sa vie de famille.
Au fil des ans, elles sont devenues invisibles.
C'était avant. Avant l'an 2000. Quand Josie Tarquiny, une ancienne de l'Indochine, a décidé de mobiliser « les filles » sous la bannière de l'Association féminine des Combattantes de l'Armée Française. « Mon but, c'était qu'on nous voit et qu'on nous respecte. A la création, nous étions une centaine. Beaucoup ont aujourd'hui disparu ».
Sortir de l'ombre
Demain, au nom de ces combattantes, elle sera présente au monument aux Morts, pour commémorer le 8-Mai 1945, fin de la Seconde Guerre mondiale. « Comme d'habitude, je serai obligé de jouer des coudes pour avoir une place au 1er rang. Mais j'y arriverai ».
Elle a appris à se frayer un chemin au milieu des hommes. Monique et Jeanine aussi. Les combattantes sourient.
La bataille contre le machisme n'est pas gagnée, mais elles n'entendent pas pour autant baisser les armes.
Rencontre avec quatre femmes au caractère bien trempé.
scasals@nicematin.fr
Association féminine des combattantes de l'Armée française, affiliée à l'UNC.
Maison du combattant, 36 bis bd Risso à Nice. Tél : 04.93.86.96.68.
samedi 7 mai 2011
8 mai 1945, une commémoration en Bretagne, berceau de la Résistance
C’est à la citadelle de Port Louis dans le Morbihan, en Bretagne, que le président de la République, Nicolas Sarkozy a décidé de commémorer la victoire du camp Allié sur l’Allemagne nazie du 8 mai 1945 .
Le Président de la République, Nicolas Sarkozy se rend en fin de matinée ce dimanche en Bretagne, à la Citadelle de Port Louis, pour la traditionnelle cérémonie commémorative du 8 mai 1945.
C’est notamment dans cette région de France, que bon nombre d’hommes et de femmes sont entrés en Résistance. Les pêcheurs de l’île de Sein furent parmi les premiers à répondre à l’appel du Général de Gaulle, et c’est également en partie en Bretagne, qu’ont pris fin les derniers combats de la Seconde guerre mondiale en Europe, avec la libération des poches de l’Atlantique. A Port Louis, 69 résistants furent massacrés par l’occupant.
Le 8 mai 1945, la capitulation de l’Allemagne est ratifiée et marque la chute du Troisième Reich, la victoire des pays alliés et la fin de la Seconde guerre mondiale en Europe. Entérinant la reddition de toutes les forces terrestres, navales et aériennes qui sont à cette date sous le contrôle allemand, l’acte est ratifié à Berlin par les différentes délégations allemandes et alliées alors qu’il fut signé la veille, le 7 mai 1945, à Reims, en présence des chefs de l’armée allemande et des chefs des armées alliées.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/8-mai-1945-une-commemoration-en-bretagne-berceau-de-la-resistance
C’est notamment dans cette région de France, que bon nombre d’hommes et de femmes sont entrés en Résistance. Les pêcheurs de l’île de Sein furent parmi les premiers à répondre à l’appel du Général de Gaulle, et c’est également en partie en Bretagne, qu’ont pris fin les derniers combats de la Seconde guerre mondiale en Europe, avec la libération des poches de l’Atlantique. A Port Louis, 69 résistants furent massacrés par l’occupant.
Le 8 mai 1945, la capitulation de l’Allemagne est ratifiée et marque la chute du Troisième Reich, la victoire des pays alliés et la fin de la Seconde guerre mondiale en Europe. Entérinant la reddition de toutes les forces terrestres, navales et aériennes qui sont à cette date sous le contrôle allemand, l’acte est ratifié à Berlin par les différentes délégations allemandes et alliées alors qu’il fut signé la veille, le 7 mai 1945, à Reims, en présence des chefs de l’armée allemande et des chefs des armées alliées.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/8-mai-1945-une-commemoration-en-bretagne-berceau-de-la-resistance
dimanche 1 mai 2011
Légion étrangère : 148ème anniversaire de Camerone en présence de Gérard Longuet
Le samedi 30 avril, Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, a présidé au commandement de la Légion étrangère à Aubagne les cérémonies du 148ème anniversaire du combat de Camerone, en présence du général d'armée Elrick Irastorza, chef d'état-major de l'armée de Terre, et de M. Guy Tessier, président de la commission de la Défense nationale et des forces armées de l'assemblée nationale.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/legion-etrangere-148eme-anniversaire-de-camerone-en-presence-de-gerard-longuet
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/legion-etrangere-148eme-anniversaire-de-camerone-en-presence-de-gerard-longuet
samedi 30 avril 2011
L'esprit "Camerone" souffle, pour la 148ème fois, sur la cité.
Chaque 30 avril, et depuis 1967, année d'arrivée du 1e r Régiment Étranger de Cavalerie, le Quartier Labouche se pare de ses plus baux atouts, de ses couleurs les plus fidèles, le rouge et le vert. Pour tout Légionnaire, gradé ou homme du rang, cette date est synonyme, certes de fêtes, au sens propre du terme, mais également de souvenirs et de respect. Déférence à l'égard d'une poignée de soldats qui, un 30 avril 1863, face aux assauts répétés d'une armée mexicaine, n'a pas "lâché" l'hacienda dans laquelle ils avaient trouvé refuge. Il s'agissait d'une petite maison située dans le hameau de Cameron de Tejedo à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Veracruz. Leur héroïsme fut tel qu'en octobre de la même année, le ministre de la guerre de l'époque ordonna d'inscrire le nom de cette bataille sur tous les drapeaux des Régiments Étrangers.
Deux Orangeois à AubagneCette année encore, Orange et "sa" Légion seront côte à côte, pour commémorer la 148e fête de Camerone. Une célébration aux goûts particuliers, pour bon nombre d'Orangeois. Tout d'abord, le Général Lhoro, grande personnalité orangeoise, a l'énorme privilège d'avoir été retenu par ses pairs pour porter la Main du Capitaine d'Anjou (c'est lui qui commandait la soixantaine de légionnaires à Camerone en 1863) lors de la cérémonie à Aubagne, siège national de la Légion Étrangère. Enfin, l'un des plus anciens du régiment, l'Adjudant-Chef Anton Nahm, sera à ses côtés. Rappelons qu'il fut l'un des plus dynamiques responsables de l'association des Anciens de la Légion. Anton Nahm est Chevalier de la Légion d'Honneur, titulaire de plusieurs Croix de Guerre ainsi que de la médaille militaire.
L'esprit de Camerone se retrouvera ce samedi sur chaque gradin du Théâtre Antique d'Orange pour une prise d'arme toujours impressionnante par sa rigueur et sa dimension. S'il y a quelques années, c'est l'ensemble du régiment du quartier Labouche qui avait assisté à la cérémonie, il n'en sera pas de même cette année. En effet, plusieurs éléments du 1 e r Régiment Étranger de Cavalerie sont présents en opérations. Si l'esprit de Camerone se veut avant tout être un fervent hommage à un épisode fort qui a marqué toute la Légion Étrangère, il est aussi et surtout l'occasion, pour toute une ville, de faire la fête.
http://www.laprovence.com/article/orange/lesprit-camerone-souffle-pour-la-148eme-fois-sur-la-cite
Deux Orangeois à AubagneCette année encore, Orange et "sa" Légion seront côte à côte, pour commémorer la 148e fête de Camerone. Une célébration aux goûts particuliers, pour bon nombre d'Orangeois. Tout d'abord, le Général Lhoro, grande personnalité orangeoise, a l'énorme privilège d'avoir été retenu par ses pairs pour porter la Main du Capitaine d'Anjou (c'est lui qui commandait la soixantaine de légionnaires à Camerone en 1863) lors de la cérémonie à Aubagne, siège national de la Légion Étrangère. Enfin, l'un des plus anciens du régiment, l'Adjudant-Chef Anton Nahm, sera à ses côtés. Rappelons qu'il fut l'un des plus dynamiques responsables de l'association des Anciens de la Légion. Anton Nahm est Chevalier de la Légion d'Honneur, titulaire de plusieurs Croix de Guerre ainsi que de la médaille militaire.
L'esprit de Camerone se retrouvera ce samedi sur chaque gradin du Théâtre Antique d'Orange pour une prise d'arme toujours impressionnante par sa rigueur et sa dimension. S'il y a quelques années, c'est l'ensemble du régiment du quartier Labouche qui avait assisté à la cérémonie, il n'en sera pas de même cette année. En effet, plusieurs éléments du 1 e r Régiment Étranger de Cavalerie sont présents en opérations. Si l'esprit de Camerone se veut avant tout être un fervent hommage à un épisode fort qui a marqué toute la Légion Étrangère, il est aussi et surtout l'occasion, pour toute une ville, de faire la fête.
http://www.laprovence.com/article/orange/lesprit-camerone-souffle-pour-la-148eme-fois-sur-la-cite
jeudi 11 novembre 2010
samedi 18 septembre 2010
Sidi-Brahim, fête des chasseurs
Les chasseurs commémoreront les combats de Sidi-Brahim le 18 septembre 2010 au château de Vincennes.
Comme chaque année, les chasseurs se retrouvent pour une traditionnelle journée de commémoration et de fête, le 18 septembre 2010.
La cérémonie nationale du 165e anniversaire des combats de Sidi-Brahim se tiendra dans la cour d’honneur du château de Vincennes à 17h. Le drapeau des chasseurs sera alors transféré de la garde du 16e bataillon de chasseurs (16e BC) de Bitche à celle du 27e bataillon de chasseurs alpins (27e BCA) d’Annecy.
Tous les chasseurs de toutes unités sont conviés à cette cérémonie militaire.
Et n'oubliez pas "Chasseur un jour, Chasseur toujours"
N'oubliez pas non plus le refrain du jour
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/sidi-brahim-fete-des-chasseurs
vendredi 10 septembre 2010
Les journalistes de la guerre de 1870
Il y a 140 ans , la guerre faisait rage dans les Ardennes. Et particulièrement à Sedan et dans le Pays sedanais. Deux hommes ont enquêté pour retracer jour par jour le conflit.
Dans les Ardennes, beaucoup d'histoires commencent avec Rimbaud. Il en va de même pour la conception du livre de Guy Rey et Jacques Bonfils "1870, l'Empire s'écroule à Sedan".
«Durant mes études, j'ai étudié le poème du Dormeur du Val. C'est un texte qui m'a frappé. Et au moment de ma retraite, j'ai voulu approfondir le sujet de la guerre de 1870», raconte Jacques Bonfils. Cet ancien journaliste a mené une véritable enquête pour retracer jour par jour et heure par heure le destin de ces civils et militaires avant et pendant la fameuse bataille de Sedan.
Pour en savoir plus, lisez l'article dans le n°52, actuellement dans tous les kiosques. Gagnez le livre avec notre Club lecteur, dans les pages du journal.
« 1870, l'Empire s'écroule à Sedan», de Guy Rey et Jacques Bonfils, éditions Euromédia, collection patrimoine ardennais, préface de Jacques Rousseau., 29 euros.
Les commémorations
À Sedan
n Le vendredi 10 septembre : 21h30 : concert de la Musique Principale de l'Armée de Terre, salle Marcillet.
23h30 : rafraîchissement offert par la municipalité à l'hôtel de ville.
À Bazeilles
n Le samedi 11 septembre : 20h30 : concert de Musique Principale de l'Armée de terre, salle Montvillers. 22h15 : cérémonie à l'ossuaire.
Le dimanche 12 septembre, avec la présence du Chef d'État-major de l'Armée de terre 9h30 : office religieux en l'église Saint-Martin.
10h30 : prise d'armes avec remise de décorations et dépôts de gerbes.
11h30 : évocation des combats à la «maison de la dernière cartouche»
12h : aubade de la Musique Principale de l'Armée de terre devant la salle Montvillers.
12h30 : Repas de la Fédération au lycée hôtelier de Bazeilles.
Dans les Ardennes Belges
n Samedi 11 septembre : à Neufchâteau, «hameau de Malome» : 9h30, dépôt de gerbes au monument aux morts.
À Tintigny «hameau de Rossignol», 10h15 : dépôt de gerbes au monument des coloniaux, «monument à la baïonnette» et recueillement au cimetière militaire de «l'orée de la Forêt».
10h45 : dépôt de gerbes au cimetière communal puis au «Caveau des fusillés».
http://www.lasemainedesardennes.fr/Les-journalistes-de-la-guerre-de-1870,5772.media?a=1691
Dans les Ardennes, beaucoup d'histoires commencent avec Rimbaud. Il en va de même pour la conception du livre de Guy Rey et Jacques Bonfils "1870, l'Empire s'écroule à Sedan".
«Durant mes études, j'ai étudié le poème du Dormeur du Val. C'est un texte qui m'a frappé. Et au moment de ma retraite, j'ai voulu approfondir le sujet de la guerre de 1870», raconte Jacques Bonfils. Cet ancien journaliste a mené une véritable enquête pour retracer jour par jour et heure par heure le destin de ces civils et militaires avant et pendant la fameuse bataille de Sedan.
Pour en savoir plus, lisez l'article dans le n°52, actuellement dans tous les kiosques. Gagnez le livre avec notre Club lecteur, dans les pages du journal.
« 1870, l'Empire s'écroule à Sedan», de Guy Rey et Jacques Bonfils, éditions Euromédia, collection patrimoine ardennais, préface de Jacques Rousseau., 29 euros.
Les commémorations
À Sedan
n Le vendredi 10 septembre : 21h30 : concert de la Musique Principale de l'Armée de Terre, salle Marcillet.
23h30 : rafraîchissement offert par la municipalité à l'hôtel de ville.
À Bazeilles
n Le samedi 11 septembre : 20h30 : concert de Musique Principale de l'Armée de terre, salle Montvillers. 22h15 : cérémonie à l'ossuaire.
Le dimanche 12 septembre, avec la présence du Chef d'État-major de l'Armée de terre 9h30 : office religieux en l'église Saint-Martin.
10h30 : prise d'armes avec remise de décorations et dépôts de gerbes.
11h30 : évocation des combats à la «maison de la dernière cartouche»
12h : aubade de la Musique Principale de l'Armée de terre devant la salle Montvillers.
12h30 : Repas de la Fédération au lycée hôtelier de Bazeilles.
Dans les Ardennes Belges
n Samedi 11 septembre : à Neufchâteau, «hameau de Malome» : 9h30, dépôt de gerbes au monument aux morts.
À Tintigny «hameau de Rossignol», 10h15 : dépôt de gerbes au monument des coloniaux, «monument à la baïonnette» et recueillement au cimetière militaire de «l'orée de la Forêt».
10h45 : dépôt de gerbes au cimetière communal puis au «Caveau des fusillés».
http://www.lasemainedesardennes.fr/Les-journalistes-de-la-guerre-de-1870,5772.media?a=1691
samedi 14 août 2010
Des militaires français défileront lors des fêtes d'indépendance au Congo et au Gabon
Des soldats des Forces française au Gabon (FFG) participeront aux défilés militaires des cinquantenaires des indépendances du Congo, le 15 août, et du Gabon, le 17 août, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.
"La France participera pour la première fois au défilé militaire" à Brazzaville dimanche "avec une section de 30 hommes de la 2ème Compagnie du 6ème Bataillon d'Infanterie de Marine (BiMa)", partie intégrante des FFG au Gabon, selon un communiqué de l'ambassade de France au Congo.
Outre la France, l'Angola, le Bénin, le Cameroun, le Gabon, la Libye et le Maroc ont également envoyé des détachements pour le cinquantenaire du Congo, a affirmé le porte-parole des Forces armées congolaises (FAC), le colonel Jean-Robert Obargui.
Au Gabon, mardi, 104 militaires des FFG, qui sont basés à Libreville, participeront également au défilé sur le bord de mer de la capitale gabonaise, a-t-on appris auprès des FFG. Des contingents des pays voisins dont le Bénin et le Congo participeront également au défilé.
Les troupes de treize anciennes colonies françaises de l'Afrique sub-saharienne dont le Gabon et le Congo ont défilé cette année lors du 14 juillet à Paris.
http://www.lepoint.fr/politique/des-militaires-francais-defileront-lors-des-fetes-d-independance-au-congo-et-au-gabon-13-08-2010-1225088_20.php
"La France participera pour la première fois au défilé militaire" à Brazzaville dimanche "avec une section de 30 hommes de la 2ème Compagnie du 6ème Bataillon d'Infanterie de Marine (BiMa)", partie intégrante des FFG au Gabon, selon un communiqué de l'ambassade de France au Congo.
Outre la France, l'Angola, le Bénin, le Cameroun, le Gabon, la Libye et le Maroc ont également envoyé des détachements pour le cinquantenaire du Congo, a affirmé le porte-parole des Forces armées congolaises (FAC), le colonel Jean-Robert Obargui.
Au Gabon, mardi, 104 militaires des FFG, qui sont basés à Libreville, participeront également au défilé sur le bord de mer de la capitale gabonaise, a-t-on appris auprès des FFG. Des contingents des pays voisins dont le Bénin et le Congo participeront également au défilé.
Les troupes de treize anciennes colonies françaises de l'Afrique sub-saharienne dont le Gabon et le Congo ont défilé cette année lors du 14 juillet à Paris.
http://www.lepoint.fr/politique/des-militaires-francais-defileront-lors-des-fetes-d-independance-au-congo-et-au-gabon-13-08-2010-1225088_20.php
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