Un corps a été retrouvé ce vendredi midi dans la clue du Riolan, sur la commune de Sigale.
Si seul un examen médico-légal pourra permettre de l'identifier avec certitude, il est vraisemblable qu'il s'agisse là de la dépouille de Cyril Aubert, victime d'un accident de canyoning dans cette clue le 28 avril dernier.
D'importants moyens ont été engagés afin de retrouver ce Niçois de 28 ans, policier national en poste à Cannes. Les efforts conjoints des gendarmes du PGHM et du GMG, des sapeurs-pompiers du GRIMP et des CRS qui l'ont retrouvé, ont abouti à cette découverte, plusieurs centaines de mètres en aval du lieu de l'accident.
http://www.nicematin.com/nice/disparu-du-riolan-un-corps-retrouve-dans-la-clue.1253175.html
Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
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samedi 11 mai 2013
jeudi 1 novembre 2012
Mort du jeune Saint-Cyrien. Une enquête ouverte pour homicide involontaire
«La cause de la mort est connue: une noyade, sans aucune trace de violence ou d'intervention d'un tiers. Mais les nombreuses interrogations sur les conditions de sécurité de cet exercice nous conduisent à ouvrir une information judiciaire pour homicide involontaire», a justifié, hier soir, le procureur de Vannes, Thierry Phelippeau, qui a confié l'enquête à la section de recherches de la gendarmerie de Rennes, spécialisée dans les affaires militaires. «La procédure sera transmise dans les prochains jours au parquet de Rennes, seul compétent en la matière».
C'est un «mouvement de panique» qui serait à l'origine de la noyade survenue sur le site de Saint-Cyr Coëtquidan, l'école qui forme les futurs officiers de l'armée de Terre. Un premier groupe d'élèves peinait à s'extraire de l'étang lorsque celui de Jallal Hami, un sous-lieutenant âgé de 24 ans, originaire de la région parisienne, arrivait au bout de ses 50 mètres de traversée à la nage, en treillis et chaussures, vers minuit, dans la nuit de lundi à mardi. «Il y a eu un embouteillage et c'est à ce moment-là que l'accident se serait produit».
«Pas d'intention d'humilier»
Les recherches auraient été lancées immédiatement, alors que la victime manquait à l'appel. Des informations qui vont à l'encontre de la thèse de l'avocat de la famille, qui avançait, hier, un délai d'une heure. «Par ailleurs, la coupure de courant est postérieure à la noyade et ne peut donc pas en être la cause». Le procureur écarte la thèse d'un bizutage qui aurait mal tourné:«Il n'y a pas, ici, d'intention d'humilier ou de soumettre les élèves à des actes dégradants. Mais il ne s'agissait pas non plus d'une activité organisée par l'école».
L'encadrement en question
L'exercice était encadré uniquement par une dizaine d'élèves de deuxième année, dans le cadre d'un «cursus de transmission des valeurs et des traditions» qui leur est délégué par l'école. Mais, pour le procureur, «les mesures de sécurité n'étaient pas à la hauteur du risque de l'exercice».
Exercice ou bizutage?
L'Adefdromil, une association de défense des droits des militaires, a dénoncé, hier, ce qui relèverait «ni plus, ni moins d'un bizutage», appelé «bahutage» à Saint-Cyr. «Le franchissement de l'étang a eu lieu après une séance d'apprentissage de traditions saint-cyriennes: chants, vocabulaire,etc. À l'issue de cette séance, deux groupes de 25 élèves officiers ont été conduits au bord de l'étang sous la responsabilité des anciens de deuxième année et sans qu'on leur demande s'ils étaient volontaires». Georges Guéhenneux, président de l'Amicale des anciens du 3eRIMa, passé par Saint-Cyr, explique, lui, que «le bahutage se limite aux dortoirs, alors que l'exercice de nage en tenue de combat fait partie intégrante de l'instruction dans l'armée de Terre». Interrogé hier matin, le commandant Stéphane Simon, directeur de la communication des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, se bornait à dire que «le bizutage est interdit en France», et que «l'armée de Terre respecte la loi».
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/mort-du-jeune-saint-cyrien-une-enquete-ouverte-pour-homicide-involontaire-01-11-2012-1892265.php
C'est un «mouvement de panique» qui serait à l'origine de la noyade survenue sur le site de Saint-Cyr Coëtquidan, l'école qui forme les futurs officiers de l'armée de Terre. Un premier groupe d'élèves peinait à s'extraire de l'étang lorsque celui de Jallal Hami, un sous-lieutenant âgé de 24 ans, originaire de la région parisienne, arrivait au bout de ses 50 mètres de traversée à la nage, en treillis et chaussures, vers minuit, dans la nuit de lundi à mardi. «Il y a eu un embouteillage et c'est à ce moment-là que l'accident se serait produit».
«Pas d'intention d'humilier»
Les recherches auraient été lancées immédiatement, alors que la victime manquait à l'appel. Des informations qui vont à l'encontre de la thèse de l'avocat de la famille, qui avançait, hier, un délai d'une heure. «Par ailleurs, la coupure de courant est postérieure à la noyade et ne peut donc pas en être la cause». Le procureur écarte la thèse d'un bizutage qui aurait mal tourné:«Il n'y a pas, ici, d'intention d'humilier ou de soumettre les élèves à des actes dégradants. Mais il ne s'agissait pas non plus d'une activité organisée par l'école».
L'encadrement en question
L'exercice était encadré uniquement par une dizaine d'élèves de deuxième année, dans le cadre d'un «cursus de transmission des valeurs et des traditions» qui leur est délégué par l'école. Mais, pour le procureur, «les mesures de sécurité n'étaient pas à la hauteur du risque de l'exercice».
Exercice ou bizutage?
L'Adefdromil, une association de défense des droits des militaires, a dénoncé, hier, ce qui relèverait «ni plus, ni moins d'un bizutage», appelé «bahutage» à Saint-Cyr. «Le franchissement de l'étang a eu lieu après une séance d'apprentissage de traditions saint-cyriennes: chants, vocabulaire,etc. À l'issue de cette séance, deux groupes de 25 élèves officiers ont été conduits au bord de l'étang sous la responsabilité des anciens de deuxième année et sans qu'on leur demande s'ils étaient volontaires». Georges Guéhenneux, président de l'Amicale des anciens du 3eRIMa, passé par Saint-Cyr, explique, lui, que «le bahutage se limite aux dortoirs, alors que l'exercice de nage en tenue de combat fait partie intégrante de l'instruction dans l'armée de Terre». Interrogé hier matin, le commandant Stéphane Simon, directeur de la communication des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, se bornait à dire que «le bizutage est interdit en France», et que «l'armée de Terre respecte la loi».
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/mort-du-jeune-saint-cyrien-une-enquete-ouverte-pour-homicide-involontaire-01-11-2012-1892265.php
mercredi 31 octobre 2012
Saint-Cyr: aucun cadre de l'école présent lors de la noyade
Aucun cadre de l'école militaire de Saint-Cyr Coëtquidan n'était présent lors de la traversée nocturne d'un étang qui a entraîné la noyade d'un élève officier, a indiqué mercredi le procureur de la République de Vannes, Thierry Phelippeau.
Lors d'une conférence de presse, le procureur a estimé que la traversée de l'étang d'une cinquantaine de mètres par de jeunes recrues dans la nuit de lundi à mardi présentait "un certain risque" et aurait dû "être encadrée". Il a dit que l'enquête pourrait être ouverte pour homicide involontaire, comme le réclame la famille de la victime.
M. Phelippeau a fait état de "nombreuses interrogations" sur les circonstances de l'accident en ce qui concerne l'encadrement et "les mesures de sécurité qui auraient dû accompagner" l'exercice. "Manifestement, elles n'étaient pas toutes présentes", a-t-il dit.
La traversée de l'étang était supervisée par une dizaine d'élèves de deuxième année dans le cadre d'une soirée d'intégration, a-t-il dit. La victime, le sous-lieutenant Jallal Hami, 24 ans, entré directement à Saint-Cyr en troisième année grâce à son brillant cursus universitaire, participait à cette soirée avec des étudiants de première année.
http://www.lepoint.fr/societe/saint-cyr-aucun-cadre-de-l-ecole-present-lors-de-la-noyade-31-10-2012-1523543_23.php
Lors d'une conférence de presse, le procureur a estimé que la traversée de l'étang d'une cinquantaine de mètres par de jeunes recrues dans la nuit de lundi à mardi présentait "un certain risque" et aurait dû "être encadrée". Il a dit que l'enquête pourrait être ouverte pour homicide involontaire, comme le réclame la famille de la victime.
M. Phelippeau a fait état de "nombreuses interrogations" sur les circonstances de l'accident en ce qui concerne l'encadrement et "les mesures de sécurité qui auraient dû accompagner" l'exercice. "Manifestement, elles n'étaient pas toutes présentes", a-t-il dit.
La traversée de l'étang était supervisée par une dizaine d'élèves de deuxième année dans le cadre d'une soirée d'intégration, a-t-il dit. La victime, le sous-lieutenant Jallal Hami, 24 ans, entré directement à Saint-Cyr en troisième année grâce à son brillant cursus universitaire, participait à cette soirée avec des étudiants de première année.
http://www.lepoint.fr/societe/saint-cyr-aucun-cadre-de-l-ecole-present-lors-de-la-noyade-31-10-2012-1523543_23.php
mardi 30 octobre 2012
Saint-Cyr : deux enquêtes ouvertes après la noyade d'un élève-officier
Son corps a été retrouvé sans vie dans l'étang de la prestigieuse institution militaire et le décès de ce futur officier de l'armée française n'est pas passé inaperçu. Deux enquêtes ont été ouvertes mardi après la mort de Jallal Hami, un jeune sous-lieutenant de 24 ans en formation à Saint-Cyr-Coëtquidan (Morbihan.) L'une par le ministre de la Défense pour déterminer les circonstances et les responsabilités éventuelles, l'autre par le parquet de Vannes qui privilégie la thèse accidentelle. Une autopsie est prévue dans l'après-midi.
Selon les premiers éléments de l'enquête menée par la section de recherche de la gendarmerie de Vannes, l'étudiant, originaire de la région parisienne, est décédé lors d'un exercice vers minuit. Intégré directement en 3ème année à l'école d'officiers «sur titre» en raison de son niveau d'études, l'élève-officier participait lundi soir à une soirée dans le cadre du cursus de transmission des traditions avec les 1ères années, avec un programme validé par les autorités militaires.
L'exercice physique nocturne finit mal
A l'issue de cette soirée, seulement 12 élèves ont participé à une épreuve physique«sur la base du volontariat», la traversée d'un étang sur environ 50 mètres, a expliqué le procureur de la République de Vannes, Thierry Phelippeau.
Lors de l'exercice, une coupure de courant - des projecteurs éclairaient l'étang - a eu lieu pendant «quelques minutes», après laquelle des recherches ont été lancées pour retrouver le jeune sous-lieutenant qui manquait à l'appel, pour finalement découvrir son corps sans vie.
Un communiqué du ministère de la Défense précise que le ministre «vient d'ordonner une enquête de commandement visant à déterminer dans les plus brefs délais les circonstances» de ce décès «et les responsabilités éventuelles». Interrogé par l'AFP, le ministère s'est refusé à donner toute information complémentaire sur ce décès.
Selon les premiers éléments de l'enquête menée par la section de recherche de la gendarmerie de Vannes, l'étudiant, originaire de la région parisienne, est décédé lors d'un exercice vers minuit. Intégré directement en 3ème année à l'école d'officiers «sur titre» en raison de son niveau d'études, l'élève-officier participait lundi soir à une soirée dans le cadre du cursus de transmission des traditions avec les 1ères années, avec un programme validé par les autorités militaires.
L'exercice physique nocturne finit mal
A l'issue de cette soirée, seulement 12 élèves ont participé à une épreuve physique«sur la base du volontariat», la traversée d'un étang sur environ 50 mètres, a expliqué le procureur de la République de Vannes, Thierry Phelippeau.
Lors de l'exercice, une coupure de courant - des projecteurs éclairaient l'étang - a eu lieu pendant «quelques minutes», après laquelle des recherches ont été lancées pour retrouver le jeune sous-lieutenant qui manquait à l'appel, pour finalement découvrir son corps sans vie.
Un communiqué du ministère de la Défense précise que le ministre «vient d'ordonner une enquête de commandement visant à déterminer dans les plus brefs délais les circonstances» de ce décès «et les responsabilités éventuelles». Interrogé par l'AFP, le ministère s'est refusé à donner toute information complémentaire sur ce décès.
vendredi 5 novembre 2010
Plus de femmes dans l'armée
L'armée française compte environ 50.000 femmes sur quelque 340.000 militaires, mais celles-ci sont "plus nombreuses, en proportion, au sein des catégories hiérarchiques les moins élevées", selon une enquête diffusée par le ministère de la Défense.
"Le taux de féminisation dans les armées continue de progresser, atteignant en 2009 15%", souligne cette étude intitulée "les militaires et leur famille". Les femmes ne constituaient que 9% des effectifs lors de la précédente enquête en 2001. Leur répartition au sein des différentes armées présente d'importantes disparités, avec 13.500 femmes dans l'armée de terre (10%), alors qu'un militaire sur deux du Service de santé des armées (SSA) est une femme.
L'armée de l'air se distingue également, avec 11.700 femmes, soit 21% des effectifs, contre 12% à 14% dans la marine et la gendarmerie. Avec un peu moins de 15% des effectifs globaux, les femmes représentent également "17% des militaires de rang et 16% des sous-officiers subalternes".
"Leur ancienneté moindre explique en partie ce résultat : plus récemment entrées dans les armées, elles n'ont pas encore atteint les grades les plus élevés de leur catégorie", notent les auteurs de l'enquête. Ainsi, "les officiers supérieurs féminins sont presque trois fois moins nombreux en proportion que les officiers subalternes, respectivement 5% et 14%".
Avec 59% des militaires français âgés de moins de 35 ans, l'enquête présente "une population jeune" dont les trois quarts des effectifs mènent "une vie de couple". Une proportion qui se stabilise "dès 35 ans autour de 85%". Les militaires masculins se distinguent par ailleurs des autres Français "par le fait de vivre un peu plus souvent en couple, quel que soit l'âge considéré".
"Au total, 55% des militaires sont parents (...) mais avec l'âge, la quasi-totalité d'entre eux le deviennent. En effet, à partir de 45 ans, plus de neuf militaires sur dix sont pères de famille et huit femmes militaires sur dix, mères", souligne les auteurs. Sur le marché du travail, "les femmes de militaires sont particulièrement représentées dans les postes à temps partiels : plus d'un quart d'entre elles - et même un tiers des mères - sont concernées par la réduction du temps de travail".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/03/97001-20101103FILWWW00403-plus-de-femmes-dans-l-armee.php
"Le taux de féminisation dans les armées continue de progresser, atteignant en 2009 15%", souligne cette étude intitulée "les militaires et leur famille". Les femmes ne constituaient que 9% des effectifs lors de la précédente enquête en 2001. Leur répartition au sein des différentes armées présente d'importantes disparités, avec 13.500 femmes dans l'armée de terre (10%), alors qu'un militaire sur deux du Service de santé des armées (SSA) est une femme.
L'armée de l'air se distingue également, avec 11.700 femmes, soit 21% des effectifs, contre 12% à 14% dans la marine et la gendarmerie. Avec un peu moins de 15% des effectifs globaux, les femmes représentent également "17% des militaires de rang et 16% des sous-officiers subalternes".
"Leur ancienneté moindre explique en partie ce résultat : plus récemment entrées dans les armées, elles n'ont pas encore atteint les grades les plus élevés de leur catégorie", notent les auteurs de l'enquête. Ainsi, "les officiers supérieurs féminins sont presque trois fois moins nombreux en proportion que les officiers subalternes, respectivement 5% et 14%".
Avec 59% des militaires français âgés de moins de 35 ans, l'enquête présente "une population jeune" dont les trois quarts des effectifs mènent "une vie de couple". Une proportion qui se stabilise "dès 35 ans autour de 85%". Les militaires masculins se distinguent par ailleurs des autres Français "par le fait de vivre un peu plus souvent en couple, quel que soit l'âge considéré".
"Au total, 55% des militaires sont parents (...) mais avec l'âge, la quasi-totalité d'entre eux le deviennent. En effet, à partir de 45 ans, plus de neuf militaires sur dix sont pères de famille et huit femmes militaires sur dix, mères", souligne les auteurs. Sur le marché du travail, "les femmes de militaires sont particulièrement représentées dans les postes à temps partiels : plus d'un quart d'entre elles - et même un tiers des mères - sont concernées par la réduction du temps de travail".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/03/97001-20101103FILWWW00403-plus-de-femmes-dans-l-armee.php
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