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lundi 23 novembre 2015

EN DIRECT. Attentats à Paris: Les Rafales du Charles de Gaulle ont décollé pour la Syrie

  • Bruxelles vit lundi sa troisième journée d’alerte antiterroriste maximale
  • Une opération policière dans la capitale belge a permis d’arrêter seize personnes
  • Dix-neuf perquisitions ont également été menées
  • Le terroriste Salah Abdeslam est toujours en fuite
  • François Hollande entame une semaine diplomatique « marathon »
 

15h58: Les obsèques de plusieurs victimes sont célébrées ce lundi dans plusieurs villes.
En France, les obsèques de plusieurs victimes tombées le 13 novembre sous les balles des dihadistes au Bataclan, à la Belle Équipe ou au Carillon, sont célébrées ce lundi dans plusieurs villes, comme à Blois, où plus d'un millier de personnes ont rendu hommage à Anna et Marion, deux soeurs tuées alors qu'elles dînaient au Petit Cambodge.
Au total, 29 villes françaises sont concernées. Vingt-cinq des 130 morts sont de nationalités étrangères ou binationaux, issus d'une vingtaine de pays. Un hommage national aura lieu vendredi aux Invalides.

15h25: Depuis vendredi, ils ont répondu à plus de 10 000 appels.

http://www.20minutes.fr/societe/1735875-20151123-attentats-paris-seize-interpellations-belgique-aucune-trace-salah-abdeslam

lundi 11 mai 2015

A bord du patrouilleur français, branle-bas de combat pour sauver les migrants

Un son de clairon résonne à travers les haut-parleurs pour réveiller les marins. Mais quelques minutes plus tard, un message d'information: "La mer est agitée. Le vent souffle à 30 noeuds. Au vu de cette météo, il est peu probable qu'aujourd'hui, nous soyons +taskés+".
"Taskés", dans le jargon militaire, c'est avoir une "mission spécifique". Et depuis le 27 avril, la mission spécifique des 90 hommes de l'équipage du patrouilleur français "Commandant Birot", c'est de porter secours aux migrants qui tentent de traverser la Méditerranée au départ des côtes nord-africaines.
Depuis le début de l'année, plus de 34.000 clandestins ont ainsi débarqué en Italie, mais quelque 1.770 hommes, femmes et enfants sont morts ou disparus, selon l'Organisation internationale des migrations (OIM).
Un défi sur lequel le conseil de sécurité de l'ONU doit se pencher ce lundi à New York.
Mais ces jours-ci, la mer entre la Libye et la Sicile formait des creux de deux à trois mètres.
"Pour contourner le coup de vent, on va remonter les côtes tunisiennes. Avec un peu de chance, on ira recueillir des naufragés partis depuis la Tunisie. Mais les chances sont très minimes, ce n'est pas une zone de grands départs, contrairement à la Libye", où le chaos laisse les mains libres aux passeurs, explique Romaric, le chef de quart.

Cinq heures d'efforts

Sa "chance", le "Commandant Birot" l'a eue le 2 mai. Ce jour-là, à 10H00 du matin, le patrouilleur en haute mer engagé dans l'opération européenne de surveillance et de secours Triton a reçu un appel du centre de commandement basé à Rome pour aller prêter main-forte à des bateaux italiens auprès de plusieurs embarcations.
"On est arrivés sur une première embarcation de type pneumatique avec 75 naufragés à bord", se souvient Benoît, chef des machines. Le canot prenait l'eau et les migrants écopaient avec des moyens de fortune. Il leur restait assez de nourriture pour tenir encore une journée, mais plus d'eau, et pas assez d'essence pour aller jusqu'à la terre ferme.
A 90 km des côtes libyennes, il a fallu cinq heures d'efforts et une vingtaine de rotations entre les embarcations et le patrouilleur pour embarquer 216 migrants, venus d'Afrique sub-saharienne pour la plupart, mais aussi du Proche-Orient et même du Népal et du Pakistan.
Heureusement, le temps était beau et la mer calme. "Un cas d'école, commente Pierre-Antoine, responsable des opérations à bord. Mais imaginez la même scène de nuit et avec une mer formée..."
Regroupés à l'arrière du patrouilleur, les migrants ont été débarqués 20 heures plus tard à Crotone (Calabre), dans le sud de l'Italie. Ce jour-là, près de 3.500 migrants au total ont été secourus dans la zone.
Depuis que la patrouilleur a été mandaté fin avril sur cette mission, "il a fallu expliquer aux hommes qu'on pouvait se retrouver face à des corps en mer, et qu'un corps, ça gonfle, ça se décompose, raconte le lieutenant de vaisseau Pierre-Antoine. On leur a donc conseillé de placer une taie d'oreiller sur la tête du mort".

"Un sentiment d'utilité"

Autre préoccupation: la santé des migrants. La procédure prévoit de prendre leur température pour repérer d'éventuels cas d'Ebola, même s'ils sont peu probables vu la durée des périples des migrants pour arriver en Libye.
C'est leur état général qui inquiète le plus. "Les gens se déshydratent beaucoup plus vite parce qu'ils vont avoir vomi à cause du mal de mer et beaucoup transpiré à cause de la chaleur, explique Morgan, médecin des armées. Rapidement, ça devient la catastrophe".
Le patrouilleur français a également dû reconfigurer un peu sa logistique, et embarquer lors d'une escale en Italie du matériel médical acheminé de France, ainsi qu'une infirmière capable de fouiller et d'examiner les femmes secourues par cet équipage uniquement masculin.
Sur le pont, les artilleurs sont également mobilisés. Depuis leurs postes de tirs, ils se tiennent prêts à intervenir pour détruire les embarcations une fois vides.
Même si les embarcations utilisées dans ce trafic sont toujours très décaties, par deux fois déjà cette année, des passeurs armés sont venus récupérer un bateau vide.
"Il y a des moteurs assez chers dessus, explique Jean-Pierre. On peut utiliser le canon de 20 mm qu'on a à bord, on peut les plastiquer ou bien les crever comme on a fait lors de notre dernière opération".
Pour les marins du "Commandant Birot", cette nouvelle mission, aux accents humanitaires, a de quoi séduire.
"L'équipage réagit très bien, résume Thomas Vuong, le commandant du navire. Parce qu'il s'agit de sauver des vies. Il y a un sentiment d'utilité et de solidarité humaine".
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/11/2102539-bord-patrouilleur-francais-branle-bas-combat-sauver-migrants.html

mardi 6 janvier 2015

Le Charles de Gaulle engagé contre l'EI?

Le porte-avions français Charles de Gaulle et son groupe naval se préparent à partir pour la région du Golfe, où ils devraient être engagés dans les combats contre le groupe Etat islamique, indique aujourd'hui le site internet spécialisé Mer et marine.

Aucune confirmation n'a pu être obtenue dans l'immédiat auprès de l'Elysée, de l'état-major des Armées ou du service de communication de la Marine (Sirpa-Marine). Selon le site Mer et marine, le départ du groupe aéronaval devrait être officiellement annoncé lors des voeux annuels aux armées le 14 janvier.

Selon des sources concordantes proches du dossier, la mission du bâtiment et des navires qui l'accompagnent, dont un sous-marin d'attaque, devrait durer jusqu'à la mi-mai. Selon le site "Mer et marine", le Charles de Gaulle et sa trentaine d'appareils, notamment des chasseurs-bombardiers Rafale et des Super Etendards, devraient se positionner dans le Golfe persique. Ils prendraient alors part à la campagne de bombardements aériens menée par une coalition internationale dirigée par les Etats-Unis contre les forces jihadistes du groupe Etat islamique.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/06/97001-20150106FILWWW00224-le-charles-de-gaulle-engage-contre-l-ei.php

samedi 23 août 2014

Marseille : le "Siroco" bientôt sous pavillon chilien ?

Longtemps tenue secrète avant de filtrer au début de l'été, l'information a fait l'effet d'une bombe : le transport de chalands de débarquement et navire-filleul de la Ville de Marseille, le TCD Siroco, ne fait pas partie de la nouvelle loi de programmation militaire ; laquelle lui préfère les bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral. Conséquence de ce choix stratégique : le navire sortira de la flotte dès l'an prochain pour une destination non encore spécifiée.
Mais sachant qu'il dispose encore d'un potentiel important et que la Marine nationale s'efforce de valoriser ses coques désarmées, il est probable que le Siroco soit mis en vente sur le marché international. Peut-être intéressera-t-il le Chili qui a déjà acquis en décembre 2011 son sistership, le Foudre, pour la somme de 43 millions d'euros...
Quoi qu'il en soit, la cité phocéenne va devoir rompre le lien privilégié qui l'unit depuis seize ans à ce bateau hors du commun, capable de se transformer selon les besoins en centre de commandement interarmées, navire de débarquement amphibie, navire-hôpital ou encore porte-hélicoptères d'assaut.
Depuis 1998, le Siroco a ainsi parcouru tous les océans, visité des centaines de pays et participé à la plupart des grandes opérations militaires ou humanitaires dans lesquelles la France s'est engagée en propre ou dans le cadre d'une coalition. Un navire dont les coursives portent des noms de rues de Marseille et qui a assuré la promotion de sa marraine à chacune de ses escales.

Trouver au plus vite un successeur au Siroco

Cette séparation forcée constitue donc un véritable déchirement pour son commandant, le capitaine de vaisseau Jean-Marc Le Quilliec, et son équipage mais aussi pour tous ceux qui dans la cité phocéenne, oeuvraient pour que vive ce parrainage, notamment l'école de Provence et la classe de CM2 de Madame Valère.
Informée des intentions du législateur et du ministère de la Défense, la Ville de Marseille a aussitôt fait savoir par la voix de son adjoint au maire en charge des Affaires militaires, André Malrait, que des discussions étaient engagées entre la municipalité et la Marine nationale afin de trouver au plus vite un digne successeur au Siroco ; discussions menées au plus haut niveau entre le sénateur-maire UMP Jean-Claude Gaudin et le chef d'état-major de la Marine.

Une nouvelle frégate au nom de Provence pour 2016

Sans surprise, les regards se sont très vite portés vers les toutes nouvelles frégates multimissions (Fremm) dont la France commence à s'équiper dans le cadre d'un programme très ambitieux qui devrait conforter le positionnement de sa marine parmi les six plus puissantes de la planète.
D'autant qu'une belle opportunité se présente et qu'il serait fâcheux de la rater. En effet, par un heureux hasard du calendrier, l'une de ces frégates - la 3e - portera le nom de Provence et entrera en service courant 2016. Un dossier de candidature que la Ville entend porter devant la souveraine Association des villes marraines avec le soutien du capitaine de vaisseau Frédéric Paillat, commandant la Marine à Marseille.
Il reste à espérer qu'aucun obstacle de nature politique, militaire ou administratif ne viendra contrarier ce rapprochement annoncé - le projet doit notamment être validé par un vote unanime du conseil municipal - afin que Marseille et l'un des fleurons de la Royale puissent à nouveau naviguer de conserve.

http://www.laprovence.com/article/actualites/3009245/marseille-le-siroco-bientot-sous-pavillon-chilien.html

lundi 4 août 2014

Le Charles-de-Gaulle se prépare pour sa revue du 15 août

Pendant plus de trois mois, le navire amiral de la Marine française est resté à quai, à Toulon, pour une escale technique et des opérations de maintenance.Il sera à l’honneur le 15 août
Le porte-avions Charles-de-Gaulle a effectué un long « passage au stand », entre le 5 mai et jusqu'à ces derniers jours, afin de réaliser des opérations de maintenance périodiques.
Un entretien qui a permis de contrôler ses installations et systèmes après un cycle d'activités opérationnelles intenses. Il s'agissait également « de garantir, dans la durée, les performances militaires optimales du porte-avions », selon les explications fournies par la Marine nationale.
Mais la prochaine participation du Charles-de-Gaulle à la gigantesque revue navale programmée pour la journée du vendredi 15 août  était dans tous les esprits durant cette escale.
Car si l'aspect technique était primordial pendant ces longues semaines de travaux, la perspective de recevoir le président de la République et la fine fleur de la Marine nationale et des flottes amies a amené marins et entreprises partenaires à donner un immense coup de pinceau au navire amiral de la flotte française.
Petits et gros travaux
Durant cette escale à son quai Vauban de la base de Toulon, nous avons été autorisés à visiter l'intégralité du porte-avions, avec ses neuf ponts, sa passerelle de commandement, sa passerelle Aviation… Guidés par l'aspirant commissaire Leslie, nous avons pu parcourir les interminables coursives, toutes semblables à nos yeux !
Le nom de la plus longue d'entre elles est significatif : « Le 110 mètres haies ». L'escalade et la descente des échappées (les escaliers pratiquement verticaux) furent une découverte, tout comme les innombrables portes étanches.
Pas d'avion à bord lors de notre visite : quand le navire est à son port d'attache, les aéronefs retournent dans leurs Flottilles d'origine.
Ce qui accentue encore l'impression d'immensité générée par le hangar Aviation situé sous le pont d'envol, qui totalise une surface de 4.600 m².
Plus gros navire militaire européen, le Charles-de-Gaulle, qui est en service depuis le 18 mai 2001, devrait être en capacité de poursuivre son activité jusqu'à son retrait de service actif, programmé en 2041.
En attendant, donc, le sol du pont d'envol a été entièrement refait et repeint, les catapultes parées, les ascenseurs débarrassés de leurs échafaudages…
Il reste quelques travaux de peinture à effectuer à l'intérieur du bâtiment, surtout au niveau des échappées et sur les extérieurs au niveau de la ligne de flottaison.
Le hangar a été débarrassé de son matériel et désormais paré à recevoir les délégations de la revue navale.
Le plus gros des travaux est donc réalisé et il ne reste plus qu'un travail constant et minutieux à effectuer sur les derniers détails.
Au niveau des personnels, de nombreux officiers - supérieurs et subalternes - sont actuellement en pleine passation de leur suite avant leur débarquement qui a lieu sur la période mi-juillet/mi-août.
Et l'on peut voir de nombreuses nouvelles têtes chez les matelots qui commencent leur Marine à bord du fleuron de la Royale !
À l'issue de la revue navale, le Charles-de-Gaulle changera de quai, direction Milhaud 6, avant de se préparer à de nouvelles missions, à partir du mois d'octobre.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/le-charles-de-gaulle-se-prepare-pour-sa-revue-du-15-aout.1850012.html

dimanche 6 juillet 2014

Marine Nationale sur TR ce soir

Un reportage sur les nageurs de combat sera diffusé ce soir au journal de 20h00 sur TF1.

mardi 6 mai 2014

Le XV du Pacifique montera à bord du porte-avions Charles de Gaulle à Toulon

Quand ce n'est pas lui qui rejoint le Pacifique, c'est le Pacifique qui vient à lui. Le porte-avions Charles de Gaulle accueillera mercredi 14 mai le XV du Pacifique, la sélection de rugby composée des meilleurs joueurs des îles au sein des forces armées.
Natifs de Polynésie, de Nouvelle-Calédonie et de Wallis-et-Futuna, ils appartiennent tous à l'Armée de Terre, à la Marine nationale ou à l'Armée de l'Air.
Une visite symbolique
Cette venue fait référence à l'histoire du Bataillon du Pacifique, une compagnie qui avait répondu à l'appel du Général de Gaulle pendant la Seconde guerre mondiale.
Les rugbymen entonneront le chant Tamarii Volontaire avec les marins originaires du Pacifique qui servent aujourd'hui sur le porte-avions.
Une démonstration de haka aura lieu sur un sol moins verdoyant que celui des terrains: le pont d'envol du navire Charles de Gaulle.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/le-xv-du-pacifique-montera-a-bord-du-porte-avions-charles-de-gaulle-a-toulon.1725775.html

mardi 1 avril 2014

Défense à Brest. La décision sur le transfert des Barracuda retardée

Transfert ou pas des sous-marins d'attaque de Toulon à Brest ? Le ministre de la défense devrait trancher dans l'année.

Jean-Yves Le Drian pensait d'abord prendre une décision avant fin 2013. Puis en mars 2014. Ce serait maintenant avant la fin de l'année, selon une réponse qui a été faite par le ministère aux syndicats.
L'annonce est très attendue. Il s'agit du transfert ou non, de Toulon à Brest, de tout ou partie de l'activité liée à l'accueil et à l'entretien des futurs sous-marins nucléaires d'attaque de type Barracuda.

Remaniement ?

Les six sous-marins de la génération précédente sont aujourd'hui basés et entretenus à Toulon. Cette flottille emploie 1 000 marins auxquels s'ajoutent 1 200 salariés de DCNS dédiés à leur entretien. Sans compter les sous-traitants. Ils génèrent, selon les syndicats toulonnais, 120 millions d'euros par an, injectés dans l'économie.Les élections municipales, puis un éventuel remaniement ministériel peuvent sans doute expliquer ces reports de décisions...

http://www.ouest-france.fr/defense-brest-la-decision-sur-le-transfert-des-barracuda-retardee-2069961

vendredi 29 novembre 2013

Le porte-avions CDG bientôt dans le Golfe

Le porte-avions Charles-de-Gaulle, accompagné d'un groupe aéronaval, s'apprête à se diriger vers l'océan Indien et le Golfe pour une "mission de présence opérationnelle" de trois mois environ dans la région.

"Le groupe aéronaval est en passe de mettre le cap à l'est pour réaliser une mission de présence opérationnelle dans l'océan Indien et dans le Golfe arabo-persique. Ce déploiement, planifié de longue date, durera un peu moins de trois mois", a indiqué l'amiral, lors d'une visio-conférence au ministère de la Défense, donnée depuis le Charles-de-Gaulle.

"Ce déploiement vise à affirmer la présence de la France dans une région d'intérêt stratégique, développer notre connaissance de la zone et enfin à renforcer notre coopération avec les pays riverains", a ajouté l'amiral.

L'officier supérieur a indiqué notamment que des exercices "Wild Shark" auraient lieu avec "les forces armées saoudiennes", puis d'autres exercices "avec le Qatar dans le Golfe arabo-persique" et enfin des exercices avec les Emirats arabes unis en mer d'Oman.
Le groupe aéronaval accompagnant le Charles-de-Gaulle sera composé entre autres de la frégate de défense aérienne Forbin, de la frégate anti-sous-marine Jean-de-Vienne et du pétrolier ravitailleur Meuse, a précisé l'amiral.

Mais "ce déploiement permettra également de conduire des inter-actions avec les forces aéronavales américaines présentes sur zone", a expliqué l'amiral Chaperon.

Ces exercices avec les forces aéro-navales américaines "s'échelonneront sur plusieurs semaines sous la forme d'activités communes et d'exercices axés sur le renforcement de l'inter-opérabilité commune, c'est-à-dire notre capacité à travailler ensemble", a-t-il précisé.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/29/97001-20131129FILWWW00431-le-porte-avions-cdg-bientot-dans-le-golfe.php