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mardi 24 juin 2014
lundi 14 janvier 2013
Somalie : mort de soldats français, Le Drian redoute une "mise en scène macabre"
Les shebab ont annoncé la
mort d'un second membre du commando de la DGSE blessé en Somalie pendant la
tentative de libération de l'otage français Denis Allex. Détenu dans le pays
depuis trois ans, les islamistes réaffirment qu'il est toujours vivant.
Source sur TF1 News : Somalie : mort de soldats français, Le Drian redoute une "mise en scène macabre"
Le soldat français présenté par les insurgés islamistes
somaliens comme blessé et capturé lors du raid de commandos français samedi en
Somalie
est décédé de suites de ses blessures, a affirmé lundi un porte-parole militaire
des shebab. "Le soldat français qui faisait partie de l'invasion française de la
Somalie est mort de ses blessures," a déclaré par téléphone à l'AFP Abdulaziz
Abu Musab.
"Notre équipe médicale a tenté de l'aider, mais il n'a pas eu
de chance. Sa blessure était grave", a-t-il ajouté, précisant que "le
Haut-Commandement des shebab décidera lors d'une prochaine étape" de restituer
ou non le corps de ce soldat. "Le deuxième commando a succombé à ses blessures
par balles. Nous allons montrer les corps des deux Français", a aussi
déclaré au téléphone à Reuters le porte-parole des opérations militaires shebab,
Abdulaziz Abu Musab.
"Une mise en scène macabre"
Lundi, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian a dit
redouter "une mise en scène macabre" de la part des Shabab des corps des soldats
et de l'otage.
Samedi, à l'issue de l'opération, ce militaire avait été compté
comme tué au côté d'un de ses camarades, par Jean-Yves Le Drian, avant d'être
présenté plus tard comme "porté disparu". Cette opération de commandos français
de la DGSE (service français de renseignement extérieur), lancée dans la nuit de
vendredi à samedi et destinée à libérer un des leurs, otage des shebab depuis
juillet 2009, s'est soldée par un échec: un autre soldat français a été tué et
le sort de l'otage, qui n'a pas été libéré, reste incertain.
Denis Allex serait toujours vivant, selon les
islamistes
Selon des témoins, huit civils somaliens ont aussi péri durant
l'opération à Bulomarer, localité sous contrôle des islamistes au sud de
Mogadiscio. Les soldats français ont fait face à une résistance "plus forte que
prévu" de la part des islamistes, selon le ministre français de la Défense.
Selon Paris, 17 Somaliens ont été tués.
L'otage français, présenté comme Denis Allex - sans doute un
pseudonyme -, avait été enlevé le 14 juillet 2009 dans la capitale somalienne.
M. Le Drian avait estimé samedi que "tout donnait à penser qu'il avait été
abattu par ses geôliers" lors du raid pour le libérer. Les shebab affirment eux
que leur otage est toujours vivant et entre leurs mains mais n'en ont pas
apporté la preuve. La captivité de Denis Allex est la plus longue d'un otage
français à l'étranger, derrière celle de la Franco-colombienne Ingrid
Betancourt, détenue plus de six ans par les guérilleros colombiens dans la
jungle de ce pays.
Dans une lettre adressée au Congrès américain, Barack
Obama reconnaît que les Français ont bénéficié de l'appui aérien
américain. Le président américain a précisé que ce soutien avait été "limité".
"Les forces américaines n'ont pas pris part directement à l'assaut dans le camp
où le citoyen français était détenu", indique cette missive.
Source sur TF1 News : Somalie : mort de soldats français, Le Drian redoute une "mise en scène macabre"
lundi 7 janvier 2013
Centrafrique: Le «boss» est un Castrais
Pour rappel : la 1re compagnie et une partie de l'État-major du 8e RPIMa sont stationnées en Centrafrique depuis le 7 novembre. Les 180 Castrais constituent l'essentiel d'un détachement de 240 hommes, placés sous le commandement du lieutenant-colonel Benoît Fine, actuel second du Huit. En cas de crise, l'envoi d'un renfort est automatiquement programmé. Ce qui est le cas depuis le 25 décembre. Ce renfort est assuré par le 6e Bataillon d'infanterie de marine (BIMa) basé à Libreville au Gabon. Ce Bataillon est actuellement commandé par… un Castrais, le colonel Bruno Paravisini ! Cet ancien second du quartier Fayolle et sa famille résident en effet dans le quartier du Travet. Le détachement français de Centrafrique, et en particulier son état-major, s'est donc intégré à celui du colonel Paravisini. Benoît Fine devenant ainsi son adjoint le commandant Nicolet l'adjoint du chef opérations de l'état-major du 6e BIMa, qui, outre une partie de son état-major, est arrivé avec deux compagnies (l'une issue du 2e REI de Nîmes et l'autre du 2e REP de Calvi).
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/05/1529228-castres-centrafrique-un-castrais-est-le-boss.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/05/1529228-castres-centrafrique-un-castrais-est-le-boss.html
jeudi 3 janvier 2013
Centrafrique : le dilemme de la France
Protéger ses
ressortissants, et encourager le dialogue entre le président Bozizé et les
rebelles du Séléka : telle est la tâche difficile de la France en République
centrafricaine. Mais les insurgés accentuent la pression sur la capitale,
Bangui.
Le commentaire fait, à la veille du Nouvel An, par Jean-Yves Le
Drian sur la situation centrafricaine, illustre l'inconfort de la position
française. "Nous avons deux missions. D'une part, faire en sorte que les
protagonistes puissent se rencontrer, échanger, trouver les conciliations
nécessaires", a déclaré le ministre de la Défense en marge de son déplacement à
Kaboul auprès des troupes françaises. Et d'autre part, "assurer la sécurité de
nos ressortissants". La menace que font peser les rebelles sur Bangui, la
capitale, se fait de plus en plus précise. Mais l'avancée des insurgés du Séléka
est aussi allée de pair, ces dernières semaines, avec le développement de
tensions anti-françaises, savamment encouragées par un pouvoir aux abois et qui
espérait trouver là un moyen de pousser Paris à intervenir.
En quelques semaines, la coalition rebelle du Séléka a pris le
contrôle d'une large partie de la Centrafrique,
en progressant à une vitesse fulgurante. Désormais aux portes de Bangui, ce
mouvement composite réclame le départ du président François Bozizé. La rébellion
a accru sa pression en dépit des appels au dialogue lancés lundi par la France,
ancienne puissance coloniale, et des promesses de partage du pouvoir faites la
veille par le président Bozizé. Les Etats-Unis, qui ont fermé leur ambassade
dans la capitale, se sont dits mardi "très inquiets de la détérioration de la
sécurité en Centrafrique" et ont appelé les rebelles à cesser leur avancée.
Les rebelles dénoncent des exactions contre leurs
partisans
La situation est d'autant plus instable que la rébellion
centrafricaine affirme vouloir prendre la ville de Damara, à 75 km au nord de
Bangui, où les forces des Etats d'Afrique centrale présentes pour jouer un rôle
stabilisateur ont établi un dernier verrou sur la route de la capitale. Le
porte-parole de la coalition rebelle, Eric Massi, accuse le gouvernement de
poursuivre ses "exactions" contre les sympathisants des rebelles à Bangui et de
préparer une contre-offensive dans le nord pour justifier sa ligne dure. "Il ne
fait plus aucun doute que la sincérité des promesses de François Bozizé (...)
n'est pas réelle", a-t-il affirmé lundi tout en disant souhaiter l'intervention
du président Hollande pour organiser un entretien téléphonique entre lui-même et
François Bozizé.
La France a envoyé des renforts à Bangui et dispose de près de
600 hommes à l'aéroport pour une éventuelle évacuation des Européens. Paris a
souligné à plusieurs reprises ne pas vouloir intervenir pour sauver le régime.
Le Congo a annoncé pour sa part avoir envoyé 120 militaires à Bangui, qui
agiront dans le cadre du mandat de la Communauté économique des Etats de
l'Afrique centrale.
Face à la pression des rebelles, la marge de manoeuvre de
François Bozizé, à la tête depuis 2003 de ce pays de 5 millions d'habitants,
paraît très réduite. A Bangui, de nombreux Centrafricains se sont massés lundi
devant les banques pour la paie de fin de mois, se disant inquiets pour l'avenir
et soucieux de la flambée des prix. L'opposition centrafricaine s'est quant à
elle déclarée sceptique sur les concessions du président Bozizé. "Il fait des
promesses et ne les tient pas", a déclaré le principal opposant, l'ancien
Premier ministre Martin Ziguélé, plaidant pour un dialogue
politique.
dimanche 30 décembre 2012
Centrafrique : 180 militaires français supplémentaires arrivés à Bangui
Le ministère de la Défense a indiqué aujourd'hui que 180 militaires français supplémentaires étaient arrivés à Bangui en Centrafrique. Ces hommes sont dépêchés depuis le Gabon.
Il s'agit "d'avoir sur place un dispositif permettant de faire face à toute évolution de la situation et le cas échéant d'assurer la sécurité des nos ressortissants", a déclaré à l'AFP le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major des Armées.
Hier déjà, il avait été annoncé que 150 militaires étaient venus renforcer la présence française sur place. Désormais, 580 soldats français sont présents à Bangui.
Sur le terrain, la ville a été placée hier soir sous couvre-feu. Les rebelles du Séléka pourraient entrer dans la capitale dès "ce soir ou demain matin", et n'ont pas encore convenu de participer aux négociations que les pays voisins tentent d'organiser entre les insurgés et le président Bozizé.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/30/97001-20121230FILWWW00053-centrafrique-180-militaires-francais-supplementaires-arrives-a-bangui.php
Il s'agit "d'avoir sur place un dispositif permettant de faire face à toute évolution de la situation et le cas échéant d'assurer la sécurité des nos ressortissants", a déclaré à l'AFP le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major des Armées.
Hier déjà, il avait été annoncé que 150 militaires étaient venus renforcer la présence française sur place. Désormais, 580 soldats français sont présents à Bangui.
Sur le terrain, la ville a été placée hier soir sous couvre-feu. Les rebelles du Séléka pourraient entrer dans la capitale dès "ce soir ou demain matin", et n'ont pas encore convenu de participer aux négociations que les pays voisins tentent d'organiser entre les insurgés et le président Bozizé.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/30/97001-20121230FILWWW00053-centrafrique-180-militaires-francais-supplementaires-arrives-a-bangui.php
samedi 29 décembre 2012
Centrafrique: Des militaires français envoyés en renfort à Bangui
Cent cinquante militaires français ont été envoyés en renfort à Bangui, en Centrafrique, dépêchés depuis une base de Libreville, et ils sont arrivés sur place vendredi matin, a-t-on appris dans la nuit auprès du ministère français de la Défense, confirmant une information de RFI.
Dans ce pays africain en proie à des troubles, il s'agit d'une «mesure de précaution» pour «la protection des ressortissants français et européens», a-t-on précisé de même source. Une compagnie d'infanterie de parachutistes, soit 150 hommes, est venue renforcer les quelque 250 soldats français déjà présents sur la base M'Poko de l'aéroport de Bangui, a-t-on ajouté.
Vendredi dans la journée, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait réaffirmé la position de l'exécutif français à propos des troubles en Centrafrique, à savoir que la France n'a aucune intention de s'ingérer dans les affaires intérieures de ce pays, et n'interviendra que pour protéger ses ressortissants.
Quelque 1.200 Français vivent en Centrafrique, parmi lesquels un tiers de binationaux, selon le ministère de la Défense.
Un détachement de militaires français basés à l'aéroport de Bangui avait dû venir renforcer les gendarmes assurant la protection de l'ambassade de France dans la capitale centrafricaine.
Vendredi les forces armées centrafricaines ont déclenché une contre-offensive pour reprendre aux rebelles la ville stratégique de Bambari (centre), tandis qu'ont été annoncées des négociations «sans délai» et «sans conditions» sous l'égide de la CEEAC.
http://www.20minutes.fr/monde/1071245-centrafrique-militaires-francais-envoyes-renfort-a-bangui
Dans ce pays africain en proie à des troubles, il s'agit d'une «mesure de précaution» pour «la protection des ressortissants français et européens», a-t-on précisé de même source. Une compagnie d'infanterie de parachutistes, soit 150 hommes, est venue renforcer les quelque 250 soldats français déjà présents sur la base M'Poko de l'aéroport de Bangui, a-t-on ajouté.
Vendredi dans la journée, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait réaffirmé la position de l'exécutif français à propos des troubles en Centrafrique, à savoir que la France n'a aucune intention de s'ingérer dans les affaires intérieures de ce pays, et n'interviendra que pour protéger ses ressortissants.
Quelque 1.200 Français vivent en Centrafrique, parmi lesquels un tiers de binationaux, selon le ministère de la Défense.
Paris ne veut pas faire d'ingérence
Mercredi à Bangui, plusieurs centaines de manifestants, proches du pouvoir, s'en étaient pris aux locaux diplomatiques français, reprochant à Paris son inaction face à la progression de la rébellion de la coalition Séléka.Un détachement de militaires français basés à l'aéroport de Bangui avait dû venir renforcer les gendarmes assurant la protection de l'ambassade de France dans la capitale centrafricaine.
Contre-offensive de l'armée
Les 250 militaires français déjà déployés en Centrafrique y sont dans le cadre de la mission Boali de soutien à une force multinationale sous mandat de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale (CEEAC). Elles contribuent à la «sécurité générale du pays» et offrent un «soutien à la reconstruction des forces armées» centrafricaines, avait précisé mercredi la Défense.Vendredi les forces armées centrafricaines ont déclenché une contre-offensive pour reprendre aux rebelles la ville stratégique de Bambari (centre), tandis qu'ont été annoncées des négociations «sans délai» et «sans conditions» sous l'égide de la CEEAC.
http://www.20minutes.fr/monde/1071245-centrafrique-militaires-francais-envoyes-renfort-a-bangui
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