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vendredi 23 septembre 2016

Présentation du futur centre d'entraînement au combat de rue de Charleville-Mézières

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Les militaires du « 3 », mais aussi les pompiers, les forces du Raid ou du GIGN, bénéficieront de cet équipement dont le chantier doit commencer dans les prochaines semaines.
Les marchés sont lancés. Le chantier est imminent. La livraison est attendue pour le printemps 2017. Le coût, 1,5 million d’euros, est financé par le conseil départemental, sur les crédits non utilisés par l’aire de franchissement de la Meuse, qui n’a pas vu le jour.
Les sapeurs du « 3 » comme du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours), sont sur les dents. Tout comme les équipes du RAID et du GIGN. Tous bénéficieront, au cœur des Ardennes, de cet équipement hypermoderne, installé sur les terrains militaires carolosmacériens du Bois-Fortant. Nom de code de l’opération : ACIER, pour Ardennes complexe interservices d’EntRaînement
http://www.lunion.fr/node/808358

samedi 2 juillet 2016

Départ du chef d'état-major du Président de la République

Le général Benoît Puga, chef de l'état-major particulier (CEMP) du président de la République François Hollande, quittera ses fonctions à compter du 6 juillet, selon un arrêté paru aujourd'hui au Journal officiel. "Il est mis fin aux fonctions de Monsieur le général d'armée Benoît Puga, chef de l'état-major particulier du président de la République, à compter du 6 juillet 2016", mentionne l'arrêté paru au Journal Officiel.
Selon des informations publiées récemment dans la presse, le général Puga, 63 ans, devrait succéder au général Jean-Louis Georgelin à la tête de la Grande chancellerie de la Légion d'honneur. Ancien de la Légion étrangère, Benoît Puga occupait depuis le 5 mars 2010 la fonction de CEMP, l'une des deux plus importantes de l'institution militaire avec celle de chef d'état-major des armées (CEMA).
Nommé par Nicolas Sarkozy, il avait été maintenu à son poste par François Hollande à son arrivée à l'Elysée en mai 2012. A ce titre, le général Puga a participé au plus près aux décisions d'intervention en Libye sous Nicolas Sarkozy puis au Mali sous François Hollande.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 8 février 2016

ABBEVILLE (80) Des anciens militaires apportent leur soutien au général Piquemal

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Des Abbevillois, anciens militaires d’active, s’étaient rendus ce lundi à Boulogne-sur-Mer pour soutenir le général Christian Piquemal, 75 ans, ancien patron de la Légion étrangère. Il devait être jugé en comparution immédiate pour «  participation à un attroupement qui ne s’est pas dissous après sommation  ». Le prévenu ayant subi un malaise, l’audience a été finalement reportée au 12 mai. Le général, président du cercle « Citoyens-Patriotes » et proche de l’extrême-droite, avait été interpellé samedi, à Calais. Il est soupçonné d’avoir organisé une manifestation hostile aux migrants, à l’appel du mouvement allemand Pegida, et interdite par la préfecture. Quatre autre personnes étaient poursuivies pour port d’arme illégal.
Parmi les soutiens du général, l’Abbevillois François Pellegrin, ancien parachutiste et président du collectif national des anciens Opex, mais qui intervienait en son nom propre. Selon lui, le général aurait été arrêté en marge du rassemblement, au moment de la dispersion des manifestants, et aucune violence n’aurait été commise. François Pellegrin affirme aussi que le prévenu ne fait pas partie de Pegida et, ayant commandé la Légion étrangère, ne peut être «  traité de raciste  ». Le général Piquemal serait «  l’homme à abattre  », alors que les anciens militaires ont le droit de s’exprimer «  comme tout citoyen  ». François Pellegrin, qui dit être intervenu dans la jungle de Calais, en tant qu’infirmier réserviste de l’armée, pour aider les migrants, assure que la situation y est effectivement «  invivable, pour les migrants et pour les Calaisiens  ».
http://www.courrier-picard.fr/region/abbeville-80-des-anciens-militaires-apportent-leur-ia201b0n720887

Report du procès du général Piquemal en raison de son état de santé

Le procès du général Christian Piquemal a été reporté en raison de son état de santé, a annoncé aujourd'hui le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi.

"Le général Christian Piquemal ne comparaîtra pas aujourd'hui, son état de santé est incompatible avec une comparution immédiate", a affirmé le procureur de Boulogne-sur-Mer qui précise que les quatre autres personnes qui devaient être jugées avec lui, après avoir participé samedi à un rassemblement hostile aux migrants et interdit par les autorités, passeront comme prévu en comparution immédiate lundi.


   http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

jeudi 30 juillet 2015

Vol d'explosifs de Miramas: Plan d'urgence de l'armée pour protéger des sites de munitions

Après l'enquête, la décision est tombée: il faut renforcer la sécurité des sites militaires, après le vol d'une arsenal sur la base de Miramas (Bouches-du-Rhône), début juillet. L'armée a annoncé ce jeudi  qu'elle engageait uun plan durgence pour sécuriser les sites où sont stochées les munitions.
Après une enquête interne à Miramas et un audit de sécurité des sites de munitions, « un plan d'urgence a été élaboré et validé par le ministre », a-t-il annoncé. Ce plan comprend des mesures immédiates (déploiement d'une centaine de militaires supplémentaires, videosurveillance..) et des mesures pérennes de reconstruction de magazine de stockage, a précisé l'entourage de Jean-Yves Le Drian.
http://www.20minutes.fr/societe/1659891-20150730-vol-explosifs-miramas-plan-urgence-armee-proteger-sites-munitions

mardi 7 juillet 2015

Des explosifs et des détonateurs volés sur un site de l’armée dans les Bouches-du-Rhône

Un arsenal militaire a été volé dans une caserne de Miramas (Bouches-du-Rhône), dans la nuit de dimanche à lundi, indique ce mardi matin l'AFP, confirmant l'information corroborée par diverses sources, dont le maire de Miramas.
Lundi matin, des militaires auraient découvert plusieurs grillages de protection du site découpés, selon RTL. La radio, comme l'AFP, évoque le chiffre de 150 détonateurs volés -La Provence avance celui de 200- ainsi qu’une dizaine de pains de plastic et une cinquantaine de grenades. Mais « il ne s’agit là que de premières estimations qui restent à confirmer », un inventaire étant en cours, ajoute Europe 1.

« Très inquiétant »

La caserne est un lieu de stockage de matériel pour les opérations extérieures (les Opex menées en Afrique), mais aussi de munitions, indique la station. Le site, qui s’étend sur 250 hectares, est composé d’une dizaine de bâtiments isolés les uns des autres par des dispositifs de sécurité mais sans caméras de surveillance. Or s’il est fréquenté par 200 militaires et civils durant la journée, dit Europe 1, seuls quelques gardiens et les militaires qui dorment sur place y sont présents.
Interrogé par France Bleu Provence, Frédéric Vigouroux, le maire de Miramas a indiqué n’avoir eu « que très peu d’informations », mais évoqué une affaire « très inquiétante ». « Tous les services de l’Etat sont focalisés sur le dossier », a-t-il précisé. Contactée par 20 Minutes, l’armée de terre n’a pas voulu confirmer l’information dans un premier temps. Questionné sur le sujet dans la matinale de RTL, Manuel Valls n'a pas non plus souhaité commenter le sujet.

http://www.20minutes.fr/societe/1647131-20150707-explosifs-detonateurs-voles-site-armee-bouches-rhone

mercredi 22 avril 2015

Armée: un nouveau système de paiement de solde

L'armée a choisi son nouveau système de paiement de soldes, qui sera mis en place graduellement à partir de 2017 pour remplacer le système Louvois, fiasco informatique et financier, a annoncé aujourd'hui le ministère de la Défense.

Le nouveau logiciel de paie des militaires, Source Solde, sera d'abord mis en service par la Marine nationale en 2017 puis, s'il s'avère "parfaitement" fonctionnel, s'étendra à "l'ensemble des armées et services" et "gèrera la solde de 250000 militaires

"Le marché notifié, d'un montant global de 128 millions d'euros, couvre la réalisation, la mise en service ainsi que la maintenance corrective et évolutive du nouveau système pendant dix ans", précise le ministère.

Source Solde remplacera Louvois (Logiciel unique à vocation interarmées de la solde), installé en 2011 dans l'armée de terre et la marine et dont les dysfonctionnements ont causé de nombreux retards de paiements et trop-perçus.

A cause de ces retards, des familles de soldats se sont retrouvées en difficulté financière quand eux-mêmes étaient engagés sur des théâtres d'opérations en Afghanistan ou au Mali.

Le système de paie dans l'armée compte pas moins de 174 primes et indemnités selon les spécialités et missions des soldats en France ou à l'étranger


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/22/97001-20150422FILWWW00387-armee-un-nouveau-systeme-de-paiement-de-solde.php

vendredi 17 avril 2015

Belfort : deux militaires participeront à la finale du concours culinaire interarmées

Ils s’activent en cuisine, concentrés, imperturbables ! Les deux chefs cuisiniers ont un menu à préparer, en trois heures trente. Et pas une minute de plus. Pas le temps de s’éparpiller ! C’est la septième fois qu’ils répètent leurs recettes, y apportent des améliorations. Tout doit être parfait pour la finale du Trident d’Or, le 7 mai prochain, à l’institut Paul-Bocuse, à Lyon.
Le brigadier-chef Yann et le chef Dominique ont passé les qualifications le 16 octobre dernier, à l’école des fourriers à Querqueville. Et se classent parmi les huit finalistes. Ils ont impressionné le jury avec leur menu sur le thème imposé « Plume d’automne » et « Délice de pomme ». Ils ont dû réaliser le plat et le dessert sans dépasser un budget de 3,10 € par personne. Et le menu devait être « réalisable » pour 100 convives, même s’ils n’ont cuisiné « que » pour six personnes.
Le duo, qui s’était porté volontaire dès l’annonce du concours organisé par le centre d’expertise de la restauration et de l’hébergement interarmées et le service du commissariat des armées, a vu sa créativité récompensée. Leur ballotin de volaille, champignons et moutarde à l’ancienne accompagné d’un croquant de pommes de terre et tombée de poireaux et granny-smith ont fait la différence, par rapport aux 30 équipes concurrentes. Aux dires des chanceux qui ont pu goûter, « c’était divin ». Le dessert était tout aussi alléchant : une charlotte de pomme gingembre à la confiture de vin.
« Ce concours casse les idées préconçues selon lesquelles à l’armée, on ne fait qu’ouvrir des boîtes »
Le brigadier-chef Yann a participé à ce concours pour représenter Belfort, d’une part, et d’autre part, « à titre personnel, pour voir ce que j’étais capable de produire après dix-huit ans d’armée ». Ce militaire, un passionné de cuisine, met autant de cœur à préparer ce concours qu’à concocter le repas quotidien pour plus de 500 bouches. Seulement, la façon de travailler est différente. Tout comme elle diffère quand le chef part en opérations extérieures et se retrouve à cuisiner dans des conditions très compliquées et peut être amené à nourrir 3.000 hommes.
Le chef Dominique, civil qui travaille pour l’armée depuis 1982, a tout de suite accepté de faire partie du duo. « C’est un beau challenge. Ce concours casse les idées préconçues selon lesquelles à l’armée, on ne fait qu’ouvrir des boîtes. Et bien non, on travaille des produits. Ma récompense, je l’ai déjà : c’est la reconnaissance de mes supérieurs, et surtout participer à la finale à l’institut Paul-Bocuse, un haut lieu de la gastronomie française. »
Pour la finale, le cahier des charges a été modifié concernant le budget qui prévoit 8 € par personne. Le thème : « Vivanda et purées folles » pour le plat et « Déclinaison de fruits et chocolat » pour le dessert.
Les deux chefs peaufinent leurs recettes. Répètent leurs gestes, améliorent le dressage… écoutent les critiques constructives des goûteurs et entendent bien présenter des assiettes parfaites. Ils tiennent bien sûr à garder leurs mets secrets. Mais on vous l’assure : c’est top ! Les saveurs, les textures en bouche, la présentation… On est dans le haut de gamme !
Même le commissaire en chef Xavier, chef du groupement de soutien de la base de défense de Belfort, gourmand, gourmet et admiratif, est bluffé. « Ce sont des gens qui ont la passion de leur métier. Et c’est un plaisir de commander des gens comme ça. »
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/04/16/belfort-deux-militaires-participeront-a-la-finale-du-concours-culinaire-interarmees

jeudi 5 mars 2015

Manif d'interprètes de l'Armée française

Une vingtaine d'anciens interprètes de l'armée française ont manifesté aujourd'hui à Kaboul pour demander des visas et la "protection" de la France face à une situation en Afghanistan qui, selon eux, se détériore de jour en jour.

"On reçoit toujours des menaces. On ne peut pas sortir de la maison, on ne peut même pas aller acheter quelque chose au bazar", a expliqué Abdul Raziq, l'un d'entre eux. "Nous voulons que l'Etat français nous protège" car la situation pour les interprètes "s'aggrave de jour en jour" dans un pays confronté à l'insurrection talibane, a-t-il ajouté.

Depuis le centre de Kaboul, le petit groupe s'est dirigé à pied vers l'ambassade de France, avant d'être rapidement bloqué à un poste de contrôle gardé par des policiers afghans. Trois d'entre eux ont toutefois pu accéder aux portes de l'ambassade et ont échangé quelques mots avec un attaché militaire. Interrogée, l'ambassade affirme que la communication sur cette question revient à Paris.

Selon les manifestants, une centaine de personnes ayant travaillé pour l'armée française entre 2002 et 2014 en Afghanistan n'ont pas obtenu de visa pour la France, alors que quelques-uns seulement ont obtenu le sésame.

En Afghanistan, les forces françaises ont fait appel à près de 800 personnels civils de recrutement local (PCRL). En 2013, après le retrait des troupes de combat françaises, "76 Afghans, dont 60 interprètes" étaient toujours employés par les forces françaises, selon un rapport de la Commission de la défense de l'Assemblée nationale.

Les interprètes affirment avoir reçu, il y a quelques mois, un document leur signifiant la fin du processus de distribution de visas. Et ils demandent la réouverture de ce processus. Par ailleurs, les anciens interprètes dénoncent, selon eux, une discrimination à l'emploi dans leur propre pays. "On ne peut pas trouver de travail car on est tous discriminés", a affirmé Abdul Raziq en affirmant que la mention de leur expérience avec l'armée française sur leurs CV les pénalise.

Selon Momand Daryouch, un autre ancien employé de l'armée française, "l'interprète doit avoir la même valeur que l'arme du soldat parce que nous étions le seul moyen de contact avec la population. On ne peut pas nous laisser comme ça". "On est quelques dizaines seulement à être restés face aux dangers et aux menaces alors que des milliers de personnes viennent en clandestins en France", a-t-il ajouté.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/05/97001-20150305FILWWW00174-manif-d-interpretes-de-l-armee-francaise.php

mercredi 11 février 2015

Quand l'armée française se préoccupe d'un rapace en danger

Le gypaète barbu, une espèce emblématique des milieux montagnards est menacée d’extinction. L’armée française va s’engager jeudi à ne plus survoler, sauf cas de force majeure, ses zones de nidification.
L’armée française va s’engager jeudi à ne plus survoler, sauf cas de force majeure, les zones de nidification du gypaète barbu, un rapace en danger dont il ne reste que 53 couples en France.
Cette espèce emblématique des milieux montagnards et menacée d’extinction «souffre notamment de l’activité des avions et des hélicoptères à proximité des sites de nidification», indique mercredi un communiqué conjoint des ministères de la Défense et de l’Ecologie, et de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO).
Dans un protocole qui sera signé jeudi, «le ministère de la Défense s’engage à adapter ses activités d’entraînement, de liaison, d’exercice et d’essai dans les Pyrénées, les Alpes et la Corse», pendant la période de reproduction de l’espèce du 1er novembre au 15 août, est-il précisé.
Le gypaète barbu est le plus grand rapace d’Europe: il mesure de 110 à 115 cm de longueur et a une envergure pouvant aller jusqu’à trois mètres.
En 2014, la France comptait 53 couples, dont 39 dans les Pyrénées, 9 dans les Alpes et 5 en Corse.

Les survols des zones de reproduction, situées dans les falaises montagneuses, «sont un facteur important de dérangement et augmentent sensiblement le risque d’échec de la reproduction et d’abandon de la couvée», indique le communiqué.
Des sessions d’information des pilotes et des responsables des vols sont prévues avec la LPO.

http://www.leprogres.fr/france-monde/2015/02/11/l-armee-francaise-ne-va-plus-survoler-les-zones-de-nidification-du-gypaete

jeudi 29 janvier 2015

Des drones détectés près du site militaire nucléaire de l’Ile Longue dans le Finistère

Des drones ont été détectés au cours des derniers jours à proximité du site militaire nucléaire de l’Ile Longue, dans la rade de Brest, a annoncé ce mercredi la préfecture maritime de l’Atlantique, précisant que ces vols n’ont pas présenté de menace à la sûreté de la base.
«Ces vols de drones n’ont pas présenté de menace caractérisée sur la sûreté des installations», assure la préfecture dans un communiqué, à propos de la base qui abrite les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de la force de dissuasion française.

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/01/28/des-drones-detectes-pres-du-site-militaire-nucleaire-de-l-ile-longue

vendredi 19 décembre 2014

Vers une loi sur le droit d'association professionnelle des militaires ?

François Hollande a chargé les ministres de la Défense et de l'Intérieur de proposer un projet de loi relatif au droit d'association professionnelle des militaires, a annoncé vendredi l'Elysée.

Cette décision a été prise sur la base d'un rapport remis au président après deux décisions de la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) début octobre, qui avaient ouvert une brèche dans l'interdiction faite aux militaires français de se syndiquer.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/19/97001-20141219FILWWW00105-vers-une-loi-sur-le-droit-d-association-professionnelle-des-militaires.php

ça demande un débat... exprimez vous ... d'accord pas d'accord?
allez on attend !!!

vendredi 5 décembre 2014

Défense: De nouveaux blindés pour l'armée grâce au programme «Scorpion»

L'armée française va être blindée. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, lance vendredi un programme, baptisé Scorpion, visant à l'équiper d'une nouvelle génération de véhicules blindés avec des investissements estimés à cinq milliards d'euros.
Comme il s'y était engagé en juin, M. Le Drian va officiellement notifier ce marché aux industries Nexter, Renault Trucks Défense et Thales à l'occasion d'un déplacement à Varces (Isère), selon un communiqué de son ministère.

Deux nouveaux véhicules

La première tranche du contrat vise le développement de deux véhicules, le VBMR (Véhicule blindé multi-rôles) et l'EBRC (Engin blindé de reconnaissance et de combat), pour un montant de 752 millions d'euros, selon la Direction générale de l'Armement (DGA).
Le VBMR, un engin de 24,5 tonnes dont les premiers exemplaires seront livrés à la fin 2018, est appelé à remplacer les légendaires VAB (Véhicule de l'avant blindé) qui sillonnent les théâtres d'opérations de l'armée française depuis plus de 40 ans et transportent les unités au plus près du combat.
L'EBRC, de classe 25 tonnes, remplacera progressivement à compter de 2020 les engins de reconnaissance et de feu AMX-10 RC, qui auront alors 40 ans, et les blindés légers à six roues motrices Sagaie.

Des engins connectés

"L'enjeu principal, c'est de doter l'armée de Terre d'engins connectés, disposant d'un système d'information unique" qui permette aux différentes plateformes de combat de partager des données, souligne-t-on à la DGA.Au total, 780 VBMR et 110 EBRC doivent être commandés sur la première étape du programme d'acquisitions Scorpion jusqu'en 2025.D'autres véhicules suivront ensuite, dont une version légère du VBMR et une rénovation du char Leclerc destinée à prolonger sa durée de vie jusqu'en 2040.
A terme, le ministère envisage d'acquérir 2.080 VBMR, dans ses versions lourdes ou légères, qui remplaceront quelque 3.000 VAB ainsi que 248 EBMR

http://www.20minutes.fr/economie/1495031-20141204-defense-nouveaux-blindes-armee-grace-programme-scorpion

vendredi 24 octobre 2014

Une classe de l'école des cadets de la Défense sur la base militaire de la Clape

Hier soir, le Conseil municipal a approuvé la création d'une classe de l'école des cadets de la Défense sur le site de l'Elément Air Rattaché de la Clape situé sur les hauteurs de Narbonne-Plage et a décidé d'octroyer une subvention de 11000 euros. 
Ce dispositif s'adresse à des adolescents de 14 à 16 ans en situation d'échec scolaire qui suivent, tous les quinze jours, une formation encadrée par des militaires et réservistes. Le but est de renouer le lien entre Armée et Education nationale en redonnant le goût de l'effort, de l'engagement et de la citoyenneté.

Le Commandant de l'EAR a sollicité la Ville pour participer au financement de cette action, le budget prévisionnel s'élève à 33000 euros.

http://www.lindependant.fr/2014/10/24/une-classe-de-l-ecole-des-cadets-de-la-defense-sur-la-base-militaire-de-la-clape,1946538.php

samedi 11 octobre 2014

L'armée française détruit un convoi d'Aqmi au Niger

Les forces militaires françaises de l'opération Barkhane, déployées dans la région du Sahel pour soutenir les opérations de la mission de l’ONU au Mali, ont "détruit" dans la nuit de jeudi à vendredi un convoi d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui "transportait des armes de la Libye vers le Mali", a annoncé l'Élysée vendredi dans un communiqué.
"En coopération avec les autorités nigériennes, les forces armées françaises ont de nouveau intercepté et détruit la nuit dernière au nord du Niger un convoi de véhicules armés d'Aqmi qui transportait des armes de la Libye vers le Mali. L'intervention a permis de saisir une importante quantité d'armes et de neutraliser les convoyeurs dont une partie a été capturée", a indiqué la présidence de la République, qui ne fait pas état de morts ou de blessés.

"Le convoi était suivi depuis plusieurs jours"

Le volume des armements détruits est "très supérieur" à celui de précédentes opérations du même genre, a-t-on relevé dans l'entourage du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sans plus de précisions. "Le convoi, qui venait du sud libyen à destination du nord du Mali, était suivi depuis plusieurs jours", grâce à des actions de renseignement conjointes des forces françaises et nigériennes, a-t-on indiqué. Il transportait essentiellement des armements et a été visé par une opération aéromobile, mêlant hélicoptères et forces au sol, a ajouté la même source.
Fin septembre, ces mêmes forces françaises, déployées pour lutter contre les groupes armés djihadistes de la région, avaient déjà mené deux opérations au Niger et dans le nord du Mali, lors desquelles un proche et des partisans présumés du chef djihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar avaient été arrêtés.
Jeudi, le porte-parole de l'état-major des armées, Gilles Jaron, avait souligné lors d'un point de presse qu'au nord du Mali, "les groupes armés terroristes poursuivent leurs actions de harcèlement", tentant de "réinvestir une zone dont ils ont été chassés". "Il n'y a jamais eu interruption de notre mission. Nous avons affaire à un adversaire "vivant", qui s'adapte à des situations et qui nécessite que nous nous adaptions également pour pouvoir le chasser de sa zone", a-t-il indiqué, précisant : "Nous allons agir, nous agissons dès à présent (...) Nous sommes à la manoeuvre pour lui porter les coups nécessaires pour mettre fin à ses ambitions".
 

jeudi 9 octobre 2014

Paris: Le gouvernement envisagerait de fermer l’hôpital militaire du Val-de-Grâce

L'hôpital serait jugé trop coûteux et trop inutile...
Le gouvernement envisagerait de fermer l’hôpital militaire du Val-de-Grâce, selon des informations du Monde. Si l’Elysée explique que le projet n’est pas à l’ordre du jour, il serait en réalité dans les tiroirs du gouvernement depuis déjà plusieurs mois. Des décisions sont attendues avant la fin du mois, quand les arbitrages présidentiels seront rendus.
Le site parisien devrait être transformé et changer de fonction. De quoi susciter l’inquiétude du personnel. «Nous aimerions en savoir plus», explique au quotidien Arnaud de Cooman, délégué FO, le syndicat majoritaire. L’hôpital, fondé en 1796, serait jugé trop cher et trop peu utile, ne soignant plus depuis quelques années que des personnalités et chefs d’Etats.

1.500 agents en danger?

Avec la réduction des effectifs engagée au ministère de la Défense, les 1.500 postes d'agents (militaires, fonctionnaires civils, médecins, etc.) travaillant au Val-de-Grâce pourraient être menacés.
Trois hypothèses seraient envisagées: une fermeture complète, une fermeture partielle ou une cession à l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). Les deuxième et troisième solutions nécessiteraient un investissement de l’ordre de 250 millions d’euros afin de lancer des rénovations.
Le secteur public hospitalier, déjà très endetté, n’est pas preneur. «Aucune capacité de soins ne sera supprimée», promet la Défense, au Monde. Mais des activités pourraient être réparties vers d’autres établissements. Les services de neurochirurgie et de chirurgie viscérale du Val-de-Grâce ont d’ores et déjà commencé à rejoindre l’hôpital d’instruction des armées Percy-Clamart. 

http://www.20minutes.fr/societe/1456959-20141008-paris-gouvernement-envisagerait-fermer-hopital-militaire-val-grace

jeudi 16 janvier 2014

Laurent rénove un char d’assaut de 1917

Laurent Vermot-Desroches a un nouveau trésor. Le Fismois, qui possédait déjà avec son association quelques chars de la Seconde guerre mondiale pour les rénover, vient d’acquérir une pièce très rare. Une carcasse de 7,5 tonnes à la forme incertaine, surtout sans sa tourelle, en plein décapage.
Le char Renault FT qui trône dans son atelier a été sorti d’un bloc de béton avec un marteau-piqueur. «  Dans les années 30, ces véhicules étaient devenus obsolètes. Ils étaient difficiles à déplacer, ne roulaient qu’à 7 km/h  », explique le chef d’entreprise passionné d’histoire. «  Comme on avait créé la ligne Maginot, on les a transformés en blockhaus et ils servaient de postes d’observation. »
C’est donc ainsi que finissaient les véhicules de combat blindés et chenillés les plus efficaces de l’époque, les premiers fabriqués en série. «  Il n’y a plus que quatre exemplaires qui roulent, et six érigés en monuments, dont un aux Invalides  » poursuit Laurent Vermot-Desroches. «  Renault en avait construit 3 000. » Ceux qui ont terminé leur carrière dans le béton sont très difficiles à sortir de leur position, souvent située en haut de collines. Il faut des grues de 50 tonnes pour y parvenir.

Un joli char... qui ne roulera pas

Le chef d’entreprise est en contact avec des collectionneurs du monde entier pour refaire les pièces disparues de ces véhicules. Il a acquis une « notoriété artisanale » dans ce domaine bien qu’il ne s’en vante pas. Il arrive même que Renault Trucks Defense fasse appel à lui car ils n’ont plus d’archives.
Il voudrait présenter le char aux Belles Champenoises. Il a calculé qu’il faudrait un millier d’heures de travail pour lui redonner forme, avec des pièces refaites et des pièces d’origine. Beaucoup ont été préparées à l’avance mais il ne reste que deux mois avant l’événement. Le char devrait être prêt sur le plan esthétique mais il ne roulera pas.
La partie mécanique, ce sera pour plus tard, sans doute pour les commémorations de 1917 sur le Chemin des Dames. «  C’est là, à Berry-au-Bac, dans l’Aisne, qu’a eu lieu la première attaque de chars au monde », rappelle Laurent Vermot-Desroches, heureux de pouvoir sauver une partie du patrimoine. « Dans cent ans, j’en suis sûr, un char comme celui-ci sera classé Monument historique  ».

http://www.lunion.presse.fr/accueil/laurent-renove-un-char-d-assaut-de-1917-ia0b0n283348

dimanche 29 décembre 2013

3e RPIMa de Carcassonne : une année sur tous les fronts

Au Mali, en Guyane, en Centrafrique... 2013 aura été une année riche en missions pour le régiment carcassonnais.
Rythme soutenu pour les soldats du '3' en 2013. Au Mali, en Guyane... en Centrafrique aujourd'hui : le régiment carcassonnais a multiplié les missions au service de la France et de la paix dans le monde, loin des menaces de fermeture aujourd'hui dissipées. "Toutes les compagnies du régiment auront effectué deux missions de quatre mois, entre 2013 et 2014", note le colonel François-Xavier Mabin, chef de corps. Avant de poursuivre : "Ce n'est pas exceptionnel, mais c'est soutenu."

En début et fin d'année 2013, les marsouins auront été sous le feu en intervenant dans deux pays d'Afrique en proie à des déchirements : le Mali en début d'année, où des unités du '3' ont participé à la libération de Tombouctou et de Gao ; puis, en cette fin d'année, en Centrafrique. La 4e compagnie a, quant à elle, pris part à l'opération Harpie en Guyane contre l'orpaillage illégal.
Dans des conditions éprouvantes au cœur de la forêt équatoriale, ces 150 hommes ont œuvré au démantèlement de plusieurs campements, de mai à septembre. "Cette opération nécessite un savoir-faire qui correspond bien à nos missions. C'est de la tactique dans un milieu rustique", confie le colonel Mabin.
Début 2014, la 1e compagnie partira au Gabon, dans le cadre du prépositionnement d'unité de l'armée française. Le régiment devra, par ailleurs, assurer le tour d'alerte à la demande de l'état-major des armées. Il sera ainsi prêt à intervenir immédiatement sur n'importe quel conflit. Dans le courant du second semestre, des unités seront déployées au Tchad et au Gabon... 2014 sera aussi marquée par le départ du colonel Mabin. Tous les deux ans, le régiment carcassonnais change, en effet, de chef de corps.

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