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lundi 24 octobre 2016

Verdun: Le Drian salue la "bravoure" des troupes

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a salué aujourd'hui la "bravoure" et le "sacrifice" des troupes d'outre-mer lors de la Première Guerre mondiale, à l'occasion du centenaire de la reprise du fort de Douaumont (Meuse).
"Le front de
Verdun a vu se succéder plus des deux tiers de l'armée française. Mais la reprise du fort de Douaumont témoigne plus spécialement de l'action héroïque des troupes venues d'outre-mer", a déclaré le ministre lors d'un discours sous une pluie battante, en présence de militaires représentant les pays d'où venaient ces combattants. Le fort de Douaumont fut repris aux Allemands, le 24 octobre 1916, par le Régiment d'infanterie coloniale du Maroc, le 4e régiment mixte de zouaves et tirailleurs, le 321e régiment d'infanterie, le 1er bataillon de tirailleurs somalis et le 43e bataillon de tirailleurs sénégalais.

Originaires des colonies françaises d'alors, situées au Maghreb, en Afrique noire et à Madagascar, ils furent au total près de 600.000 tirailleurs, goumiers et spahis à être envoyés au combat pour la France pendant le premier conflit mondial. C'est à ces troupes "que la France veut rendre hommage aujourd'hui, pour leur bravoure et leur sacrifice, ici à Douaumont", a dit M. Le Drian,
De février à décembre 1916, le déluge de feu qui s'abattit sur le front de Verdun tua plus de 300.000 soldats, passant dans la mémoire collective comme synonyme de "boucherie".

Plus tard, au fil de la réconciliation franco-allemande, le champ de bataille est devenu un symbole de paix, a aussi rappelé le ministre. Une paix "que nous avons le devoir de défendre", a-t-il dit.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 11 novembre 2015

mardi 10 novembre 2015

11 Novembre

hebergement d'image Beaucoup de militaires participeront aux cérémonies du 11 novembre. Vous pouvez vous aussi y assister, physiquement et/ou moralement, en publiant un message sur les réseaux sociaux accompagné de ‪#‎11Novembre‬.

vendredi 23 octobre 2015

1er RCP : l'émotion intacte au souvenir du «Drakkar»

C'était il y a 32 ans : le 23 octobre 1983, à Beyrouth un attentat détruisait un immeuble de plusieurs étages. À l'intérieur les militaires, dans leur mission de paix au Liban, dont les hommes du 1er RCP et du 9e RCP : 55 morts au 1er RCP, 3 au 9e RCP ! Tués à leur poste de combat. Hier au quartier Beaumont, des survivants, les parachutistes du régiment, les anciens combattants, les associations patriotiques, les familles, se sont retrouvés une fois de plus pour célébrer le souvenir de cet attentat, qui a succédé quelques minutes plus tard à une attaque du même genre frappant cette fois, les Américains.
Autour du sous-préfet M.Gilléry, des élus locaux et départementaux, des membres des associations patriotiques et de toute la famille du 1er RCP, le colonel Vidal, chef de corps a rappelé dans son ordre du jour la portée d'un tel drame et d'un tel sacrifice. Celui des hommes «de la 4e génération du feu», qui succèdent, dans leur douleur et leur témoignage, à ceux de 14-18, de 39-45, d'Indochine et d'Algérie. Victimes, comme d‘autres sous d'autres cieux, de ces missions extérieures qui constituent l'engagement contemporain des forces Françaises. Sans compter les engagements multiformes contre la menace terroriste.
«Il est normal - déclarait après la cérémonie le colonel Vidal - de commémorer cette date qui symbolise tous ces sacrifices consentis par nos soldats depuis la fin des grands conflits !»
Geste symbolique s'il en est, après les dépôts de gerbes, c'est au cœur du quartier Beaumont qu'un grand cèdre a été planté hier, rappelant l'engagement du régiment au Liban, régulièrement, et les liens du sang qui unissent finalement ce pays au nôtre à travers tous ceux qui sont morts là-bas, ou qui souffrent encore dans leur chair, en France, pour œuvrer au rétablissement de la paix.
La 3e compagnie du régiment prend part cette semaine à Paris aux célébrations nationales liées au souvenir de cet attentat meurtrier.
 

samedi 6 juin 2015

Pays chaunois : souvenir de la bataille de l'Ailette

A l’occasion de la commémoration de la bataille de l’Ailette, ce matin à la nécropole de Champs, rencontre avec le petit-fils d’un lieutenant français tué au front le 5 juin 1940.
Ce samedi matin a eu lieu la cérémonie du 75 e  anniversaire de la bataille de l’Ailette en juin 1940, avec des commémorations successives à la nécropole nationale de Champs, à Trosly, Besmé, Manicamp et Guny, organisées par l’association du 18 e  RTA 1940, qui fait partie du collectif France 40, l’association des Vieux du Neuf, pour représenter le 9 e  régiment de Zouaves, l’amicale des anciens combattants de Manicamp et l’association amitié franco-allemande.
À la nécropole de Champs, Denis Vole, président du 18 e  RTA 1940, expliquait : « Cette bataille de l’Ailette a eu lieu juste après le rembarquement de Dunkerque. Les Allemands avaient préparé une attaque sur la Somme et l’Ailette. Les Français avaient constitué un front sur la Somme, avec la ligne Weygand sur Somme, Crozat, c’est-à-dire le canal de Saint-Quentin, Ailette, Aisne. Après, c’était la ligne Maginot… L’attaque a eu lieu le 5 juin au matin sur Somme/Ailette. Sur le secteur Nord Ailette, nous avions la 87 e  division d’infanterie d’Afrique établie entre Manicamp et le pont de Leuilly, avec la 7 e  division d’infanterie à sa droite, dont le 93 e  RI, représenté aujourd’hui par le lieutenant-colonel Olivier Rajoelison, président de l’amicale de ses anciens. »
Les ordres étaient de résister, mais avec des munitions épuisées sur un front très étendu et une répartition d’effectifs problématique. L’ordre de décrochage est arrivé… une fois les deux-tiers des effectifs anéantis. Ainsi va la guerre.

Petite histoire dans la grande

Parmi les invités, on trouvait Laurent Viet, venu de Caen, petit-fils du lieutenant Maxime Viet, mort le 5 juin 1940 au premier jour de l’offensive allemande sur le canal de l’Ailette. Il y commandait une compagnie de tirailleurs africains du 18 e  RTA.
Laurent Viet racontait : « J’ai fait des recherches en 2009, comme un grand puzzle à reconstituer, sur l’histoire familiale. Mon grand-père avait disparu, oublié par la famille après avoir été oublié par la France, soucieuse d’oublier juin 1940… Je suis venu ici pour la première fois en 2011 et à partir de là, Denis Vole s’est emparé du sujet et il a fait installer une plaque à Manicamp après avoir rencontré mon père. »
Le père, c’est Jean-Claude, absent cette année, qui était né en Algérie le 22 juin 1940. Pupille de la nation, il était venu une première fois en 1947 avec sa mère à Manicamp, où avait été enterré son père. « Ils ont été accueillis dans une famille pendant plusieurs semaines. » C’était la famille Poiret, et ce samedi, Laurent Viet retrouvait Yvette, aujourd’hui Yvette Maroteaux, qui se souvenait : « J’avais 10 ans à l’époque, 3 ans de plus que Jean-Claude… »
Le défilé constitué se mettait en marche pour une série de dépôts de gerbes, dont un hommage au lieutenant Viet, devant sa croix, une croix parmi tant d’autres à la nécropole de Champs

http://www.lunion.com/node/480339

mardi 19 mai 2015

Les combats de mai 1940 commémorés

La cérémonie a cette année été marquée par la présence dans l’assemblée des trois petits-fils du général Henri La Fontaine, eux-mêmes tous les trois généraux à la retraite, qui commandait en mai 1940 la 55 e  Division à Bulson, Chémery-sur-Bar et Malmy, lors de la percée allemande de Sedan.

Moment émouvant

Ils ont ainsi accompagné les personnalités présentes et la population pour le dépôt des gerbes à la stèle du 12 e  Chasseurs à Malmy et au monument aux morts de Chémery-sur-Bar, où sont inscrits sur le marbre les quarante-trois noms des soldats du 213 e  R.I. et du 7 e  B.C.L. qui ont perdu la vie sur le territoire communal.
Participaient à cette cérémonie du 75 e  anniversaire un certain nombre d’officiels, d’anciens combattants
Un moment émouvant que l’on peut synthétiser par cet extrait du discours prononcé à Chémery même en 1979 par le Général Marcel La Fontaine, père de nos trois invités d’honneur, présent lors d’une cérémonie similaire un dimanche 13 mai, justement : « Les soldats de Chémery-sur-Bar se sont battus comme leurs frères de la Résistance et de la 2 e  DB. Les fantassins du 213 e  R.I. ont écrit une belle page d’histoire ».
Si elle a été quelque peu effacée par la débâcle, qui suivit ces jours glorieux, il est juste que chaque année tous la rouvrent et se souviennent au nom de ceux qui ont permis de l’écrire.
Pour conclure cet hommage, chacun fut invité à prendre le verre de l’amitié dans la Salle de la Mairie en défilant derrière les clairons de la clique de Chémery-sur-Bar.

http://www.lunion.com/node/467102

dimanche 9 novembre 2014

Messe commémorative de la mort du Chef de la France Libre

hebergement d'image Messe commémorative de la mort du Chef de la France Libre hier soir à Wiège Faty,petit village de l'Aisne.Une quarantaine de porte drapeau étaient là,des anciens combattants de la Division Rhin-Danube,des élus,la fanfare d'Etréaupont et des français qui ne veulent pas oublier le sacrifice de ces humbles héros qui suivant l'appel à la résistance de celui qui s'était mis hors la loi pour que la France relève la tête face à l'envahisseur ont rendu hommage à Charles de Gaulle et ...à toutes les victimes des guerres.Après une messe émouvante célébrée par l'Aumônier militaire ,président perpétuel de l'Association,le Père Servais,une plaque rappelant les faits d'armes de la Division Rhin Danube(dont 3 anciens combattants ayant fait le débarquement de Provence était présents)a été dévoilée prés de la plaque du Général .Une croix de Lorraine a ensuite été déposée par la Présidente de l'association In Memoriam GL DE Gaulle et le Président de l'association Rhin Danube,M Michel Delange (91 ans).Le verre de l'amitié à la salle de la mairie a permis d'entendre les discours du Père Servais(heureux d'être de retour après des problèmes de santé),de Mme Isabelle Ittelet conseillère générale du canton de Sains Richaumont et de M Mangot ,maire de Wiège Faty.M Pierre Sideski,91 ans,de Rhin Danube a même interprété à la perfection une chanson qu'il chantait avec ses camarades lors du long chemin qu'ils ont suivi pour libérer notre patrie
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