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samedi 21 janvier 2017
lundi 11 mai 2015
mercredi 9 avril 2014
mardi 18 mars 2014
jeudi 15 novembre 2012
[Vu dans la presse] Le caporal-chef Kévin Emeneya, son nouveau combat
Dans sa chambre de l’hôpital militaire des Invalides, à Paris, paralysé par une double hémiplégie, Kévin dégage une force et une douceur incroyables. « Mon crâne a été touché mais ma colonne vertébrale est intacte. Si je stimule mon cerveau, je peux remarcher. Je demande chaque jour à Dieu de m’aider à redevenir normal. ». Le caporal-chef Kévin Emeneya a été grièvement blessé le 2 juillet 2010, au cœur de la Kapisa, en Afghanistan. Ce jour-là, une balle a sectionné l’artère irriguant son cerveau. À son arrivée à l’hôpital militaire Percy, à Clamart (Hauts-de-Seine), les médecins le donnent pour mort. Sa mère refuse qu’on le débranche. « Kévin est resté dix- sept jours dans le coma mais je m’accrochais obstinément au seul pic qui restait sur son électroencéphalogramme. Je ne lui avais pas donné la vie pour la reprendre. J’ai supplié Kévin de revenir parmi nous et j’ai prié sans relâche. » Et Kévin ouvre les yeux. Le lendemain, il suit sa maman du regard. Un jour, il lui sourit. Pourtant, chaque fois que sa mère appelle les infirmières, Kévin se renferme dans sa coquille et n’émet plus aucun signal. « Les médecins me croyaient folle. En désespoir de cause, j’ai appelé son chef de corps. Je lui ai demandé de se cacher et de témoigner. » Le gradé observe puis se montre à Kévin. « Quand j’ai vu mon colonel, je me suis mis au garde-à-vous. Enfin… j’ai fait un bond dans mon lit. Il a compris et m’a dit : “Repos, soldat”. »…
Extrait du Pèlerin Magazine
Retrouvez l’article complet dans le Pèlerin magazine aujourd’hui en kiosque
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/le-caporal-chef-kevin-emeneya-son-nouveau-combat
Extrait du Pèlerin Magazine
Retrouvez l’article complet dans le Pèlerin magazine aujourd’hui en kiosque
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/le-caporal-chef-kevin-emeneya-son-nouveau-combat
jeudi 11 octobre 2012
Le numéro d'octobre d’Armées d’aujourd’hui en ligne !
La parution d’octobre s’ouvre sur un entretien exclusif avec Jean-Yves Le Drian qui s’exprime sur ses premières actions en tant que le ministre de la Défense : Louvois, le Livre blanc et le désengagement progressif en Afghanistan.
Forces en action vous emmène en Jordanie, où la rédaction a suivi la mise en place du groupement médico-chirurgical installé avec vingt tonnes de matériel dans le désert, au cœur du camp de réfugiés de Za’atari. En France, à Saint-Dizier, découvrez le métier d’avitailleur.
La Corée du Nord prête au changement ? La réponse dans la rubrique « Enjeux ».
Les Universités d’été de la Défense à Brest, les forces françaises au Gabon (FFG), le point sur la KFOR ou la réponse à l’état de stress post-traumatique, tels sont les sujets de Focus Défense.
Le dossier de ce mois : plus qu’un outil d’entraînement, les simulateurs sont devenus incontournables grâce à leur capacité à rendre plus efficientes et moins coûteuses les activités des forces armées. Propos à l’appui.
Bonne lecture à tous !>>> Lire le magazine
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/le-numero-d-octobre-d-armees-d-aujourd-hui-en-ligne
dimanche 24 juillet 2011
« Forces terrestres », un nouveau magazine dédié à l'armée de terre Un numéro spécial sur le 3e génie
Voici deux bonnes raisons de parler de ce nouveau mensuel : son prochain numéro traite du 3e génie et il a été conçu par un ancien correspondant de notre journal.
NOUS les avions croisés au début du mois de juillet, alors que le colonel Meriau, chef de corps du 3e génie présentait les opérations extérieures à venir pour ses sapeurs (notre édition du 7 juillet) : Francis Cany, carnet de note en main et Jonathan Cany, appareil photo vissé à l'œil.
Encore un journal concurrent dans les Ardennes ? Pas du tout. Tous deux étaient là pour une toute nouvelle revue créée durant l'hiver 2010 et consacrée à l'armée de terre : Forces terrestres. À la tête de « ce magazine des hommes et du matériel de l'armée française », le sparnassien Francis Cany lui-même.
Ce tout nouveau rédacteur en chef a décidé de fonder « par passion » ce très beau mensuel d'une soixantaine de pages. Couverture sur papier glacé, mise en page et photos soignées, articles documentées et techniques, cette revue est idéale « pour les collectionneurs ».
Au Valdahon
L'armée de terre l'a toujours botté ; il aurait même voulu en faire son métier. Mais la vie en a décidé autrement et c'est finalement au volant d'un camion d'une société de champagne que ce chauffeur routier a passé la plupart de son temps. Jusqu'à ce qu'il soit licencié à 50 ans.
Pas facile de retrouver du travail alors. Mais battant de nature et audacieux, il décide d'assouvir sa passion d'une façon très originale. Déjà familiarisé au journalisme, puisqu'il a été correspondant pour l'édition sparnassienne du journal l'Union il y a quelques années, il décide de créer son propre magazine consacrée à l'armée et n'oublie pas d'embarquer dans l'aventure, ses fils, Jonathan et David. Les débuts sont difficiles : la revue est vendue sur commande par internet. Mais les lecteurs mordent à l'hameçon ; quelques centaines d'exemplaires se vendent chaque mois. De quoi laisser le temps à Forces terrestres de se faire ses lettres de noblesse. Car petit à petit, de caserne en régiment, de reportage en édito, le magazine s'est fait un nom au sein de l'armée française et auprès de ses lecteurs. Depuis le mois de juin, il est vendu en kiosque.
Et les voilà quelques mois plus tard au sein de la caserne Dumerbion en plein préparatif du n° 9 dont le dossier central sera consacré au 3e génie. « Un régiment très intéressant », car polyvalent et présent sur de nombreux terrains. Francis et Jonathan Cany les ont suivis pendant plusieurs jours notamment au Valdahon où les soldats préparaient leur départ en Afghanistan ou dans la Marne en plein exercice sur les ponts flottants.
En plus du 3e génie, les amateurs trouveront de nombreux autres articles sur le musée des blindés de Saumur, le camp militaire de Sissone, l'école de la magistrature de Paris, etc. Les premières pages sont aussi consacrées à la mémoire des soldats décédés.
Forces terrestres n°9 « Le 3e Régiment du Génie s'approprie le pont flottant motorisé », disponible en kiosque, tarif : 5,90 euros ; (65 euros les 12 numéros). www.forcesterrestres.fr
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/forces-terrestres-un-nouveau-magazine-dedie-a-larmee-de-terre-un-numero-special
NOUS les avions croisés au début du mois de juillet, alors que le colonel Meriau, chef de corps du 3e génie présentait les opérations extérieures à venir pour ses sapeurs (notre édition du 7 juillet) : Francis Cany, carnet de note en main et Jonathan Cany, appareil photo vissé à l'œil.
Encore un journal concurrent dans les Ardennes ? Pas du tout. Tous deux étaient là pour une toute nouvelle revue créée durant l'hiver 2010 et consacrée à l'armée de terre : Forces terrestres. À la tête de « ce magazine des hommes et du matériel de l'armée française », le sparnassien Francis Cany lui-même.
Ce tout nouveau rédacteur en chef a décidé de fonder « par passion » ce très beau mensuel d'une soixantaine de pages. Couverture sur papier glacé, mise en page et photos soignées, articles documentées et techniques, cette revue est idéale « pour les collectionneurs ».
Au Valdahon
L'armée de terre l'a toujours botté ; il aurait même voulu en faire son métier. Mais la vie en a décidé autrement et c'est finalement au volant d'un camion d'une société de champagne que ce chauffeur routier a passé la plupart de son temps. Jusqu'à ce qu'il soit licencié à 50 ans.
Pas facile de retrouver du travail alors. Mais battant de nature et audacieux, il décide d'assouvir sa passion d'une façon très originale. Déjà familiarisé au journalisme, puisqu'il a été correspondant pour l'édition sparnassienne du journal l'Union il y a quelques années, il décide de créer son propre magazine consacrée à l'armée et n'oublie pas d'embarquer dans l'aventure, ses fils, Jonathan et David. Les débuts sont difficiles : la revue est vendue sur commande par internet. Mais les lecteurs mordent à l'hameçon ; quelques centaines d'exemplaires se vendent chaque mois. De quoi laisser le temps à Forces terrestres de se faire ses lettres de noblesse. Car petit à petit, de caserne en régiment, de reportage en édito, le magazine s'est fait un nom au sein de l'armée française et auprès de ses lecteurs. Depuis le mois de juin, il est vendu en kiosque.
Et les voilà quelques mois plus tard au sein de la caserne Dumerbion en plein préparatif du n° 9 dont le dossier central sera consacré au 3e génie. « Un régiment très intéressant », car polyvalent et présent sur de nombreux terrains. Francis et Jonathan Cany les ont suivis pendant plusieurs jours notamment au Valdahon où les soldats préparaient leur départ en Afghanistan ou dans la Marne en plein exercice sur les ponts flottants.
En plus du 3e génie, les amateurs trouveront de nombreux autres articles sur le musée des blindés de Saumur, le camp militaire de Sissone, l'école de la magistrature de Paris, etc. Les premières pages sont aussi consacrées à la mémoire des soldats décédés.
Forces terrestres n°9 « Le 3e Régiment du Génie s'approprie le pont flottant motorisé », disponible en kiosque, tarif : 5,90 euros ; (65 euros les 12 numéros). www.forcesterrestres.fr
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/forces-terrestres-un-nouveau-magazine-dedie-a-larmee-de-terre-un-numero-special
jeudi 29 juillet 2010
Notre ligne de front
En donnant son feu vert à l’opération franco-mauritanienne du 22 juillet contre une base islamiste au Mali, Nicolas Sarkozy a signifié, publiquement, l’engagement de la France contre le terrorisme islamiste sur la ligne du front qui court de la Mauritanie à la Somalie.
Confronté au chantage terroriste, le chef de l’État s’est trouvé aussi devant sa terrible responsabilité : soit négocier, au risque d’encourager de nouvelles actions, soit frapper, au risque de pertes humaines.
Ce raid du 22 juillet a permis d’anéantir un groupe d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) – six terroristes tués –, mais il a échoué à libérer Michel Germaneau. Trois jours après, AQMI annonçait que ce dernier avait été exécuté le 24. Enlevé le 22 avril dans le nord du Niger, cet ingénieur à la retraite de 78ans venait en aide aux populations locales. Déjà malade du coeur, il ris quait sa vie au nom d’un humanisme généreux mais totalement étranger aux islamistes. Dès sa capture, sa vie ne tenait plus qu’à un fil : «Un assassinat pro - grammé», « un acte barbare et odieux », disait Nicolas Sarkozy en confirmant sa mort à l’issue du conseil de défense du 26 juillet. AQMI n’a vu en lui qu’un « croisé », un fils de cette France cou - pable de soutenir des « gouvernements impies » (Algérie, Mauritanie, Mali, Niger) et d’intervenir en « terres d’islam » (Afghanistan, Liban).
Germaneau a-t-il été assassiné au lendemain du 22 juillet ? Était-il déjà mort, faute de médicaments? Le doute persiste, alors que le dialogue avec ses ravisseurs était rompu depuis mai : plus aucune preuve de vie n’avait été donnée. Le chef de l’État a pris le risque de l’intervention armée parce qu’il fallait lever le doute sur sa localisation et surtout conforter les pays africains dans leur volonté de résistance au cancer islamiste.
C’est un enseignement majeur de cette affaire : de nombreux États africains ont décidé – c’est nouveau – d’unir leurs forces contre le terrorisme islamiste et de s’appuyer sur la France ou les États-Unis (notre numéro du 22juillet) pour ce combat. Des spécialistes français ont formé et accompagné dans le désert les com mandos de chasse mauritaniens. Cette facette militaire vient en complément du travail effectué par la DGSE (renseignement extérieur) et la DCRI (renseignement intérieur) dans cette guerre. Discrets mais efficaces, ces services déjouent une moyenne de deux attentats par an. Grâce à eux, la France n’a subi aucune action terroriste sur son sol depuis 1996.
Les pays africains placés sur cette ligne de front nous répètent que toute concession faite aux islamistes ne fera que les encourager dans leur djihad. Ils demandent aux Occidentaux de s’associer à leur résistance, quitte à en payer le prix. Le raid du 22 juillet est une réponse. Les uns et les autres observent notre détermination. Comme en Afghanistan ou au Liban. Frédéric Pons
http://www.valeursactuelles.com/notre-opinion/notre-opinion/notre-ligne-de-front20100729.html
mercredi 12 mai 2010
Drapeau français profané : indignation d'un général de l'armée française
Il n’est pas fréquent de voir un général en activité quasi sommer le chef de l’État et le ministre de la Défense de prendre clairement position sur un sujet polémique. Général quatre étoiles, commandant des forces terrestre, Antoine Lecerf a ce courage. Ancien chef de corps du 2e régiment étranger d’infanterie puis patron de l’opération Licorne en Côte d’Ivoire, cet opérationnel est connu pour sa force de caractère. Dans un message adressé au chef d’état-major de l’armée de terre et titré De l’honneur à l’infamie, il parle au nom de la communauté militaire, indignée par une photo exposée début mars à la Fnac de Nice : un homme s’essuyant les fesses avec le drapeau français !
Seule une poignée d’hommes politiques (dont les députés UMP des Alpes-Maritimes Éric Ciotti et Lionnel Luca) a condamné ce cliché. Rien n’est venu du sommet de l’État, comme le regrettent de nombreux militaires en contact avec notre rédaction.
Cette indignation était restée muette, mais le message du général Lecerf change la donne : « Je ne peux, comme Français, comme officier et comme commandant des forces terrestres, accepter que la Fnac prime une photo abjecte. »
L’hypothèse d’une action personnelle
Le général poursuit : « D’un côté, je vois l’image du président s’inclinant devant des soldats français tombés au champ d’honneur en Afghanistan, ramenés en France dans les plis du drapeau français, de l’autre une photo primée, montrant un Français “se torchant” dans les plis du même drapeau. Je considère que cette photo est une insulte à la France, au président de la République, chef des armées, et à la mémoire de nos soldats et de leur sacrifice… » Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice et ancien ministre de la Défense, avait déjà réagi, prête à engager des poursuites, mais l’article 433-5-1 du Code pénal stipule que l’outrage au drapeau ne peut être réprimé que s’il s’inscrit « dans une manifestation organisée par les autorités publiques ». Le général Lecerf conclut : « J’ose espérer qu’une réaction aux plus hauts niveaux de notre institution (président, ministre, chef d’état-major des armées) a été initiée, tant sur un plan judiciaire que par le biais d’une déclaration formelle aux médias. Si tel n’était pas le cas, je n’exclus pas l’hypothèse d’une action personnelle. »
Au nom de ceux qui servent
Même si le droit actuel semble lacunaire, rien n’empêche ces plus hautes autorités d’exprimer clairement leur indignation. Elles doivent rappeler à tous la force symbolique de l’emblème national pour lequel s’engagent des milliers d’hommes et de femmes, civils et militaires, ces trois couleurs qui recouvrent le cercueil de ceux qui paient de leur vie leur engagement.
Frédéric Pons
Nouvelles du Chaos Mondial Organisé
Seule une poignée d’hommes politiques (dont les députés UMP des Alpes-Maritimes Éric Ciotti et Lionnel Luca) a condamné ce cliché. Rien n’est venu du sommet de l’État, comme le regrettent de nombreux militaires en contact avec notre rédaction.
Cette indignation était restée muette, mais le message du général Lecerf change la donne : « Je ne peux, comme Français, comme officier et comme commandant des forces terrestres, accepter que la Fnac prime une photo abjecte. »
L’hypothèse d’une action personnelle
Le général poursuit : « D’un côté, je vois l’image du président s’inclinant devant des soldats français tombés au champ d’honneur en Afghanistan, ramenés en France dans les plis du drapeau français, de l’autre une photo primée, montrant un Français “se torchant” dans les plis du même drapeau. Je considère que cette photo est une insulte à la France, au président de la République, chef des armées, et à la mémoire de nos soldats et de leur sacrifice… » Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice et ancien ministre de la Défense, avait déjà réagi, prête à engager des poursuites, mais l’article 433-5-1 du Code pénal stipule que l’outrage au drapeau ne peut être réprimé que s’il s’inscrit « dans une manifestation organisée par les autorités publiques ». Le général Lecerf conclut : « J’ose espérer qu’une réaction aux plus hauts niveaux de notre institution (président, ministre, chef d’état-major des armées) a été initiée, tant sur un plan judiciaire que par le biais d’une déclaration formelle aux médias. Si tel n’était pas le cas, je n’exclus pas l’hypothèse d’une action personnelle. »
Au nom de ceux qui servent
Même si le droit actuel semble lacunaire, rien n’empêche ces plus hautes autorités d’exprimer clairement leur indignation. Elles doivent rappeler à tous la force symbolique de l’emblème national pour lequel s’engagent des milliers d’hommes et de femmes, civils et militaires, ces trois couleurs qui recouvrent le cercueil de ceux qui paient de leur vie leur engagement.
Frédéric Pons
Nouvelles du Chaos Mondial Organisé
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