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dimanche 28 mars 2021
lundi 22 février 2021
samedi 20 février 2021
samedi 7 novembre 2020
vendredi 19 juillet 2019
mercredi 17 juillet 2019
mardi 16 juillet 2019
jeudi 2 août 2018
mardi 5 juin 2018
mercredi 30 mai 2018
mercredi 16 mai 2018
lundi 2 octobre 2017
Qui est le réserviste qui a abattu le tueur au couteau de la gare Saint-Charles à Marseille ?
Qui est le jeune militaire qui a abattu l'assaillant de la gare Saint-Charles après qu'il a attaqué au couteau deux jeunes femmes dimanche en début d'après-midi à Marseille ?
Selon les premières informations dont nous disposons, le jeune militaire qui a abattu l'assaillant de la gare Saint-Charles dimanche après-midi est un réserviste de 24 ans.
Le jeune homme est cadre dans le civil. Il est caporal au 1er Régiment Etranger de Génie de Laudun dans le Gard. Membre de l'opération Sentinelle, il était affecté à la surveillance de la gare Saint-Charles.
Il était en patrouille de cinq militaires sur le parvis de la gare quand l'agresseur, qui venait d'assèner plusieurs coups de couteau aux deux jeunes filles, s'est dirigé vers eux en courant.
Les militaires ont fait les sommations d'usage mais l'individu ne s'est pas arrêté. Le jeune réserviste a alors épaulé son Famas et tiré à deux reprises avec son fusil d'assaut pour l'abattre.
La réserve opérationnelle de l'armée compte 28 000 réservistes en France, mobilisés pour sécuriser les sites sensibles comme les gares.
Marseillehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille
Selon les premières informations dont nous disposons, le jeune militaire qui a abattu l'assaillant de la gare Saint-Charles dimanche après-midi est un réserviste de 24 ans.
Le jeune homme est cadre dans le civil. Il est caporal au 1er Régiment Etranger de Génie de Laudun dans le Gard. Membre de l'opération Sentinelle, il était affecté à la surveillance de la gare Saint-Charles.
Il était en patrouille de cinq militaires sur le parvis de la gare quand l'agresseur, qui venait d'assèner plusieurs coups de couteau aux deux jeunes filles, s'est dirigé vers eux en courant.
Les militaires ont fait les sommations d'usage mais l'individu ne s'est pas arrêté. Le jeune réserviste a alors épaulé son Famas et tiré à deux reprises avec son fusil d'assaut pour l'abattre.
La réserve opérationnelle de l'armée compte 28 000 réservistes en France, mobilisés pour sécuriser les sites sensibles comme les gares.
Marseillehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille
lundi 28 août 2017
lundi 14 août 2017
samedi 12 août 2017
Les militaires du 35e RI « vont bien mais sont assez choqués »
Cédric Perrin, sénateur du Territoire de Belfort et vice-président de la commission de la défense et des forces armées au Sénat, a accompagné hier matin le colonel Charles Palu, commandant la 7e brigade blindée de Besançon, et le chef de corps du 35e régiment d’artillerie (RI) de Belfort, le lieutenant-colonel Christophe Richard, à l’hôpital militaire de Percy à Clamart (Hauts-de-Seine). Il s’est rendu au chevet des trois militaires du 35e RI encore hospitalisés à la suite de l’attentat perpétré mercredi à 8 h à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Les trois autres ont pu quitter l’hôpital mercredi.
Le sénateur a toutefois senti les trois hommes, « même s’ils ne le montrent pas, assez choqués. Ils ont en tous les cas hâte de pouvoir rentrer chez eux auprès de leur famille et leurs proches et de pouvoir retrouver leurs collègues ».
Les trois hommes ont profité de la visite pour louer l’efficacité et la qualité d’intervention des sapeurs-pompiers arrivés en moins de cinq minutes sur place.
« Au vu des circonstances, ils ne s’en sortent pas trop mal. Cela aurait pu être beaucoup plus grave », conclut Cédric Perrin
« Cela aurait pu être beaucoup plus grave »
« Ils vont bien », a résumé le sénateur qui précisait que l’un d’entre eux qui « souffre d’une fracture de la clavicule pourra sortir cet après-midi [vendredi après-midi : NDLR]. » Les deux autres plus gravement touchés, « ils souffrent notamment de problèmes aux vertèbres et au dos » devront encore patienter.Le sénateur a toutefois senti les trois hommes, « même s’ils ne le montrent pas, assez choqués. Ils ont en tous les cas hâte de pouvoir rentrer chez eux auprès de leur famille et leurs proches et de pouvoir retrouver leurs collègues ».
Les trois hommes ont profité de la visite pour louer l’efficacité et la qualité d’intervention des sapeurs-pompiers arrivés en moins de cinq minutes sur place.
« Au vu des circonstances, ils ne s’en sortent pas trop mal. Cela aurait pu être beaucoup plus grave », conclut Cédric Perrin
- Edition Belfort-Héricourt-Montbéliardhttp://www.estrepublicain.fr/defense
vendredi 11 août 2017
jeudi 10 août 2017
Le 35e RI frappé en plein cœur
Pas de déclarations et portes hermétiquement closes. C’est silence radio au quartier Maud’Huy qui abrite le 35e régiment d’infanterie de Belfort. Même le standard est aux abonnés absents.
Aucun des militaires qui franchissent les grilles ne se risque à émettre le moindre commentaire sur l’attentat perpétré à 8 h à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) contre six de leurs collègues en mission pour l’opération Sentinelle. « L’As de Trèfle », surnom du régiment, a été touché en plein cœur.
Dès que la barrière s’ouvre pour laisser passer une fournée de militaires ayant achevé leur service, c’est d’un pas pressé que ceux-ci s’éloignent. Main tendue, le refus est poli envers les journalistes : « on n’a pas envie de parler ! »
Et puis, le mot d’ordre est clair, finit par révéler l’un d’eux. C’est l’état-major qui a la parole. Et en cette fin d’après-midi, des nouvelles plus rassurantes sur les blessés sont parvenues au quartier Maud’Huy. « C’est moins grave qu’on ne le craignait de prime abord » soupire un des « Gaillards » du 35.
« Ce sont aussi les risques du métier. Cet événement vient nous rappeler qu’il faut être encore plus vigilant. » Et les familles ? « Elles sont prévenues et certaines sont déjà parties à Paris. »
Quant à la colère supposée des soldats envers l’agresseur, il relativise : « à qui voulez-vous qu’on en veuille, on ne sait même pas qui c’est ni ce qu’il voulait, ce type. Il a été arrêté. Il est blessé. » Un autre consent à sourire : « J’espère pour lui qu’ils ne l’ont pas amené à Percy ou Clamart où sont hospitalisés nos camarades… ».
Même si certains habitants ignorent la nouvelle, c’est généralement la consternation dans le quartier.
« C’est triste. Aujourd’hui, le risque est partout, mais on est encore plus sensibilisé quand un tel événement atteint un régiment de notre ville » indique Dominique Siess, qui vit depuis 2002 dans le quartier des Glacis où se trouve la caserne.
Depuis la mise en œuvre de l’opération Sentinelle en janvier 2015, le 35e a largement contribué à cette mission de surveillance du territoire national, à Paris comme en province.
En 2016, deux cents Gaillards de l’active et de la réserve y ont participé. Principe majeur : faire intervenir en un lieu donné des troupes venues d’autres régions afin d’éviter d’éventuelles représailles contre les familles.
Il suffit de parcourir les rues avoisinantes pour se rendre compte combien le 35e est apprécié dans le quartier. Alain Dechoz, 70 ans se souvient y avoir fait son service militaire, d’abord au fort Hatry, puis à la caserne Friederichs.
À la pharmacie toute proche de la caserne, Corinne Laforge accueille souvent des militaires : « ils représentent une bonne proportion de la clientèle ».
Fille et cousine de militaire, Séverine Kiblaire, 31 ans, domiciliée à Froidefontaine, voit remonter ses souvenirs d’une enfance vécue dans le quartier : « Quand j’étais petite, j’allais chaque année aux portes ouvertes du régiment. On pouvait même monter dans des chars. Je me souviens aussi quand on est allés à l’inauguration du nouveau bâtiment en 1989. Je ne connais pas personnellement les soldats blessés, mais quand j’ai appris la nouvelle, ça m’a fait de la peine. Malheureusement, on ne pourra jamais l’empêcher. On peut aussi se demander si en patrouillant ainsi, ils ne sont pas trop exposés, trop visibles. »
Le 35e RI frappé en plein cœurhttp://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2017/08/10/le-35e-ri-frappe-en-plein-coeur
Aucun des militaires qui franchissent les grilles ne se risque à émettre le moindre commentaire sur l’attentat perpétré à 8 h à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) contre six de leurs collègues en mission pour l’opération Sentinelle. « L’As de Trèfle », surnom du régiment, a été touché en plein cœur.
Dès que la barrière s’ouvre pour laisser passer une fournée de militaires ayant achevé leur service, c’est d’un pas pressé que ceux-ci s’éloignent. Main tendue, le refus est poli envers les journalistes : « on n’a pas envie de parler ! »
Et puis, le mot d’ordre est clair, finit par révéler l’un d’eux. C’est l’état-major qui a la parole. Et en cette fin d’après-midi, des nouvelles plus rassurantes sur les blessés sont parvenues au quartier Maud’Huy. « C’est moins grave qu’on ne le craignait de prime abord » soupire un des « Gaillards » du 35.
« Ce sont aussi les risques du métier. Cet événement vient nous rappeler qu’il faut être encore plus vigilant. » Et les familles ? « Elles sont prévenues et certaines sont déjà parties à Paris. »
Quant à la colère supposée des soldats envers l’agresseur, il relativise : « à qui voulez-vous qu’on en veuille, on ne sait même pas qui c’est ni ce qu’il voulait, ce type. Il a été arrêté. Il est blessé. » Un autre consent à sourire : « J’espère pour lui qu’ils ne l’ont pas amené à Percy ou Clamart où sont hospitalisés nos camarades… ».
Même si certains habitants ignorent la nouvelle, c’est généralement la consternation dans le quartier.
« C’est triste. Aujourd’hui, le risque est partout, mais on est encore plus sensibilisé quand un tel événement atteint un régiment de notre ville » indique Dominique Siess, qui vit depuis 2002 dans le quartier des Glacis où se trouve la caserne.
Depuis la mise en œuvre de l’opération Sentinelle en janvier 2015, le 35e a largement contribué à cette mission de surveillance du territoire national, à Paris comme en province.
En 2016, deux cents Gaillards de l’active et de la réserve y ont participé. Principe majeur : faire intervenir en un lieu donné des troupes venues d’autres régions afin d’éviter d’éventuelles représailles contre les familles.
Il suffit de parcourir les rues avoisinantes pour se rendre compte combien le 35e est apprécié dans le quartier. Alain Dechoz, 70 ans se souvient y avoir fait son service militaire, d’abord au fort Hatry, puis à la caserne Friederichs.
À la pharmacie toute proche de la caserne, Corinne Laforge accueille souvent des militaires : « ils représentent une bonne proportion de la clientèle ».
Fille et cousine de militaire, Séverine Kiblaire, 31 ans, domiciliée à Froidefontaine, voit remonter ses souvenirs d’une enfance vécue dans le quartier : « Quand j’étais petite, j’allais chaque année aux portes ouvertes du régiment. On pouvait même monter dans des chars. Je me souviens aussi quand on est allés à l’inauguration du nouveau bâtiment en 1989. Je ne connais pas personnellement les soldats blessés, mais quand j’ai appris la nouvelle, ça m’a fait de la peine. Malheureusement, on ne pourra jamais l’empêcher. On peut aussi se demander si en patrouillant ainsi, ils ne sont pas trop exposés, trop visibles. »
Le 35e RI frappé en plein cœurhttp://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2017/08/10/le-35e-ri-frappe-en-plein-coeur
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