L’exercice national de sécurité nucléaire, AIRNUC 2011, s’est déroulé les 13 et 14 septembre 2011, sur la base aérienne 113 de Saint-Dizier. Cet exercice visait à vérifier l’aptitude des pouvoirs publics et des exploitants, civils et militaires, à prévenir des risques éventuels pouvant peser sur les personnes et l’environnement, et à intervenir si nécessaire.
Les 13 et 14 septembre 2011, l’armée de l’air, le Délégué à la Sûreté Nucléaire et à la radioprotection pour les activités et installations intéressant la Défense (DSND) et le Préfet de la Haute-Marne, ont organisé conjointement un exercice national de sécurité nucléaire sur la base aérienne 113 de Saint-Dizier.
Cet exercice, baptisé AIRNUC 2011, a simulé un accident affectant une ou plusieurs armes de type ASMPA (Air-Sol Moyenne Portée Amélioré), mis en œuvre par la composante aéroportée de la force de dissuasion.
Le but principal de cet exercice est de tester le fonctionnement global de l’ensemble de la chaîne de décision des pouvoirs publics et de l’exploitant (ministère de la Défense), prévu en cas de crise à caractère radiologique sur une base aérienne à vocation nucléaire.
AIRNUC 2011s’inscrit ainsi dans la politique générale d’exercices nationaux visant à vérifier l’aptitude des services publics, civils et militaires à prévenir toutes les formes de risques pouvant peser sur les personnes et l’environnement, et à intervenir si nécessaire dans les meilleurs délais. Il est également l’occasion d’expliquer aux élus et à la population résidant à proximité du site, l’organisation de crise mise en place, notamment en matière d'information. Il permet de développer le retour d’expérience dans une démarche d’amélioration permanente de la sécurité nucléaire.
La Défense, au même titre que d’autres exploitants, est soumise aux textes de lois relatifs à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire. A ce titre, elle doit évaluer son niveau de réaction et d’organisation à l’aide d’exercices réguliers. La pratique régulière d’exercices garantit que les plans de secours sont tenus à jour et connus des intervenants et que les procédures d’alerte et de coordination sont efficaces. L'armée de l’air, en tant qu’exploitant nucléaire de la Défense, organise chaque année au moins un exercice de niveau national sur un de ses sites nucléaires comme Saint-Dizier.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/airnuc-2011-saint-dizier
Cet exercice, baptisé AIRNUC 2011, a simulé un accident affectant une ou plusieurs armes de type ASMPA (Air-Sol Moyenne Portée Amélioré), mis en œuvre par la composante aéroportée de la force de dissuasion.
Le but principal de cet exercice est de tester le fonctionnement global de l’ensemble de la chaîne de décision des pouvoirs publics et de l’exploitant (ministère de la Défense), prévu en cas de crise à caractère radiologique sur une base aérienne à vocation nucléaire.
La Défense, au même titre que d’autres exploitants, est soumise aux textes de lois relatifs à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire. A ce titre, elle doit évaluer son niveau de réaction et d’organisation à l’aide d’exercices réguliers. La pratique régulière d’exercices garantit que les plans de secours sont tenus à jour et connus des intervenants et que les procédures d’alerte et de coordination sont efficaces. L'armée de l’air, en tant qu’exploitant nucléaire de la Défense, organise chaque année au moins un exercice de niveau national sur un de ses sites nucléaires comme Saint-Dizier.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/airnuc-2011-saint-dizier
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire