Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
mardi 31 mars 2015
Journée nationale du réserviste au 68e RAA
Dans le cadre de la journée nationale du réserviste (JNR) 2015, 30 jeunes des grandes écoles de commerce de Lyon et du lycée Charles de Foucauld ont rencontré des réservistes au 68e régiment d’artillerie d’Afrique (68e RAA) de La Valbonne.
Dès 08h00, les étudiants ont participé à la cérémonie des couleurs aux côtés des militaires et des réservistes du 68e RAA. En point d’orgue de la journée, les jeunes ont assisté à des démonstrations dynamiques et statiques des savoir-faire et des capacités du régiment, comme la coopération drone-artillerie et la défense sol-air. Des militaires récemment engagés en opération extérieure leur ont ensuite fait part de leurs retours d’expériences. Après la présentation de certains équipements militaires récents par des industriels de la Défense, M. Pierre Paget, le président de l’association des réservistes citoyens de la défense et de la gendarmerie du Rhône (ARCDG) les a sensibilisés sur la réserve citoyenne.
L’enjeu de la JNR est de mettre à l'honneur les citoyens qui ont choisi de consacrer une partie de leur temps à la défense de notre pays en souscrivant un engagement dans la réserve opérationnelle ou en étant réserviste citoyen. Mais aussi de susciter des vocations, car les réservistes sont un complément indispensable aux forces militaires d'active grâce auxquels celles-ci peuvent remplir pleinement leur contrat opérationnel.
lundi 30 mars 2015
dimanche 29 mars 2015
samedi 28 mars 2015
vendredi 27 mars 2015
Carcassonne : le 3e RPIMa devrait accueillir une compagnie supplémentaire
Cent-vingt parachutistes pourraient intégrer la caserne Laperrine. L'information devrait être confirmée début avril. La menace de dissolution est bien loin.Très bonne nouvelle pour le 3e RPIMa. Le régiment carcassonnais, dont l'existence était menacée en 2013, puis 2014, dans le cadre de la loi de programmation militaire 2014-2019, pourrait accueillir une compagnie supplémentaire dans les prochains mois.
En tout, près de 120 parachutistes pourraient gonfler les effectifs de la caserne Laperrine, qui en compte déjà un millier, a-t-on appris, hier, d'une source proche. Contacté à ce sujet, le responsable de la communication au sein du 3e RPIMa, ne nous a, ni confirmé, ni infirmé cette information, indiquant seulement que l'État-Major de l'armée de terre doit, "début avril, soumettre au ministre de la Défense de nouvelles maquettes", dans laquelle sont précisés, entres autres, les effectifs de chaque régimeUne bonne nouvelle", que le maire Gérard Larrat, a annoncée "pour les prochains jours", en marge d'une conférence de presse, hier, sans toutefois dévoiler la teneur de l'information. Une délégation d'élus avait rencontré dans la matinée le lieutenant-colonel Jean-Côme Journé, chef du corps du 3e RPIMa. 2015 serait donc l'année de la reconnaissance pour le 3e RPIMa, régulièrement engagé dans de nombreuses opérations (Tchad, Centrafrique, dernièrement) de maintien de la paix. Le régiment carcassonnais a aussi appris, il y a un mois, qu'une partie de ses troupes défilera sur les Champs-Élysées pour le 14-Juillet. La menace d'une dissolution ne serait donc plus qu'un mauvais souvenir. 2015 : l'année de la reconnaissance pour les marsouins parachutistes.nt.
http://www.lindependant.fr/2015/03/27/le-3e-rpima-devrait-accueillir-une-compagnie-supplementaire,2009443.php
En tout, près de 120 parachutistes pourraient gonfler les effectifs de la caserne Laperrine, qui en compte déjà un millier, a-t-on appris, hier, d'une source proche. Contacté à ce sujet, le responsable de la communication au sein du 3e RPIMa, ne nous a, ni confirmé, ni infirmé cette information, indiquant seulement que l'État-Major de l'armée de terre doit, "début avril, soumettre au ministre de la Défense de nouvelles maquettes", dans laquelle sont précisés, entres autres, les effectifs de chaque régimeUne bonne nouvelle", que le maire Gérard Larrat, a annoncée "pour les prochains jours", en marge d'une conférence de presse, hier, sans toutefois dévoiler la teneur de l'information. Une délégation d'élus avait rencontré dans la matinée le lieutenant-colonel Jean-Côme Journé, chef du corps du 3e RPIMa. 2015 serait donc l'année de la reconnaissance pour le 3e RPIMa, régulièrement engagé dans de nombreuses opérations (Tchad, Centrafrique, dernièrement) de maintien de la paix. Le régiment carcassonnais a aussi appris, il y a un mois, qu'une partie de ses troupes défilera sur les Champs-Élysées pour le 14-Juillet. La menace d'une dissolution ne serait donc plus qu'un mauvais souvenir. 2015 : l'année de la reconnaissance pour les marsouins parachutistes.nt.
http://www.lindependant.fr/2015/03/27/le-3e-rpima-devrait-accueillir-une-compagnie-supplementaire,2009443.php
jeudi 26 mars 2015
Info Le Figaro: l'armée va recruter 11.000 hommes sur trois ans
Le nouveau modèle de l'armée de terre, qui sera présenté le 1er avril à Jean-Yves Le Drian, prévoit le recrutement de 11.000 militaires sur trois ans. En 2017, les forces opérationnelles terrestres devraient ainsi atteindre 77 000 hommes, soit 10 000 de plus que le niveau fixé par le dernier livre blanc.
Ce tournant est rendu nécessaire par la mobilisation de 7 000 militaires «dans la durée» annoncée le 11 mars par François Hollande pour assurer la protection du territoire national dans le cadre de l'opération «Sentinelle», face à la menace terroriste.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/25/97001-20150325FILWWW00472-info-le-figaro-l-armee-va-recruter-11000-hommes-sur-trois-ans.php
Ce tournant est rendu nécessaire par la mobilisation de 7 000 militaires «dans la durée» annoncée le 11 mars par François Hollande pour assurer la protection du territoire national dans le cadre de l'opération «Sentinelle», face à la menace terroriste.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/25/97001-20150325FILWWW00472-info-le-figaro-l-armee-va-recruter-11000-hommes-sur-trois-ans.php
mercredi 25 mars 2015
Décès du caporal-chef Ivica Drnic du 2° REG
Le colonel Jean-Christophe Reussner, commandant le 2ème Régiment étranger de génie, a le regret d'annoncer le décès du caporal-chef Ivica Drnic, survenu accidentellement lundi 23 mars 2015. Il s'entraînait en vue d'être projeté en opération.Le régiment exprime sa douleur suite à la perte d’un de ses légionnaires, présente ses condoléances à sa famille ainsi qu’à ses proches et s’efforce de les accompagner dans ce moment particulièrement douloureux. Nous communiquerons bientôt les date et heure de la cérémonie d'hommage funèbre qui se tiendra prochainement au quartier Maréchal kœnig, à Saint-Christol. N°VERT: 0800 005 948
Agé de 30 ans, le caporal-chef Ivica DRNIC a rejoint les rangs de la Légion étrangère il y a 9 ans.
Souscrivant un premier contrat de 5 ans le 25 juillet 2005, il effectue sa formation initiale au 4e Régiment étranger de Castelnaudary où il se fait remarquer d’emblée par sa forte motivation. Il choisit alors d’intégrer le 1er Régiment étranger de génie de Laudun le 8 décembre 2005.
Dès son arrivé au régiment, il montre de réelles qualités de soldat et confirme sa volonté de progresser en réussissant brillamment les stages de formation initiale à la fonction de sapeur de combat et de démineur. Toujours volontaire et discipliné, il donne entièrement satisfaction et est élevé à la distinction de 1ère classe le 1er août 2006. Parfaitement intégré dans sa compagnie et maîtrisant tous les savoir-faire du légionnaire sapeur d’assaut, il montre de réelles capacités dans la conduite des engins blindés. Il poursuit sa formation et élargit ses compétences en passant tous les permis de conduire et les formations sur les engins de génie, disperseurs de mines et les moyens de forage rapide et de destruction. Mature et totalement digne de confiance, il est naturellement désigné pour suivre la formation générale élémentaire, il est nommé caporal le 1er juin 2008.
Désigné pour effectuer un séjour en Guyane, il rejoint le 3e Régiment étranger d’infanterie le 1er août 2009. Excellent chef d’équipe, il s’adapte rapidement au milieu équatorial et obtient avec brio le certificat élémentaire de chef d’équipe infanterie, le 28 octobre 2009.
A son retour en métropole, il est affecté au 2e Régiment étranger de génie. Infatigable de nature, il poursuit ses formations de conduite d’engins blindés et réussit ses qualifications sur véhicule de l’avant blindé : tourelleau téléopéré sur véhicule blindé hautement protégé le 1er décembre 2011, et mise en œuvre de véhicule blindé hautement protégé au mois d’avril 2012. Doué d’un sens aigu de l’organisation et rigoureux dans l’exécution des missions qui lui sont confiées, il n’en montre pas moins un attachement certain aux valeurs humaines. Toujours en quête de dépassement de soi, il complète son parcours de légionnaire de montagne et réussit son brevet d’alpiniste et de skieur militaire le 5 avril 2012.
Il effectue deux opérations extérieures, en 2009 au Tchad, dans le cadre de l’opération Epervier, et en 2014 au Mali, dans le cadre de l’opération Serval. Il effectue également deux missions de courte durée en Guyane en 2006 et à Mayotte en 2007.
Désigné pour armer l’équipe EOD (neutralisation d’engins explosifs improvisés) du détachement de liaison d’appui opérationnel 4 Barkhane au Mali à compter du mois de mai 2015, il est mortellement blessé lors d’une séance de tir effectuée dans le cadre d’une mise en condition opérationnelle avant projection.
Marié et père d’une petite fille, le caporal-chef Ivica DRNIC est titulaire de la médaille d’argent de la Défense nationale avec agrafe Légion étrangère, et de la médaille d’Outre-mer avec agrafes Tchad et Sahel.
http://2reg.legion-etrangere.com/mdl/actualite_seule.php?id=570&block=1&titre=le-regiment-perd-l-un-des-siens#.VRKTUQxef2U.twitter
Agé de 30 ans, le caporal-chef Ivica DRNIC a rejoint les rangs de la Légion étrangère il y a 9 ans.
Souscrivant un premier contrat de 5 ans le 25 juillet 2005, il effectue sa formation initiale au 4e Régiment étranger de Castelnaudary où il se fait remarquer d’emblée par sa forte motivation. Il choisit alors d’intégrer le 1er Régiment étranger de génie de Laudun le 8 décembre 2005.
Dès son arrivé au régiment, il montre de réelles qualités de soldat et confirme sa volonté de progresser en réussissant brillamment les stages de formation initiale à la fonction de sapeur de combat et de démineur. Toujours volontaire et discipliné, il donne entièrement satisfaction et est élevé à la distinction de 1ère classe le 1er août 2006. Parfaitement intégré dans sa compagnie et maîtrisant tous les savoir-faire du légionnaire sapeur d’assaut, il montre de réelles capacités dans la conduite des engins blindés. Il poursuit sa formation et élargit ses compétences en passant tous les permis de conduire et les formations sur les engins de génie, disperseurs de mines et les moyens de forage rapide et de destruction. Mature et totalement digne de confiance, il est naturellement désigné pour suivre la formation générale élémentaire, il est nommé caporal le 1er juin 2008.
Désigné pour effectuer un séjour en Guyane, il rejoint le 3e Régiment étranger d’infanterie le 1er août 2009. Excellent chef d’équipe, il s’adapte rapidement au milieu équatorial et obtient avec brio le certificat élémentaire de chef d’équipe infanterie, le 28 octobre 2009.
A son retour en métropole, il est affecté au 2e Régiment étranger de génie. Infatigable de nature, il poursuit ses formations de conduite d’engins blindés et réussit ses qualifications sur véhicule de l’avant blindé : tourelleau téléopéré sur véhicule blindé hautement protégé le 1er décembre 2011, et mise en œuvre de véhicule blindé hautement protégé au mois d’avril 2012. Doué d’un sens aigu de l’organisation et rigoureux dans l’exécution des missions qui lui sont confiées, il n’en montre pas moins un attachement certain aux valeurs humaines. Toujours en quête de dépassement de soi, il complète son parcours de légionnaire de montagne et réussit son brevet d’alpiniste et de skieur militaire le 5 avril 2012.
Il effectue deux opérations extérieures, en 2009 au Tchad, dans le cadre de l’opération Epervier, et en 2014 au Mali, dans le cadre de l’opération Serval. Il effectue également deux missions de courte durée en Guyane en 2006 et à Mayotte en 2007.
Désigné pour armer l’équipe EOD (neutralisation d’engins explosifs improvisés) du détachement de liaison d’appui opérationnel 4 Barkhane au Mali à compter du mois de mai 2015, il est mortellement blessé lors d’une séance de tir effectuée dans le cadre d’une mise en condition opérationnelle avant projection.
Marié et père d’une petite fille, le caporal-chef Ivica DRNIC est titulaire de la médaille d’argent de la Défense nationale avec agrafe Légion étrangère, et de la médaille d’Outre-mer avec agrafes Tchad et Sahel.
http://2reg.legion-etrangere.com/mdl/actualite_seule.php?id=570&block=1&titre=le-regiment-perd-l-un-des-siens#.VRKTUQxef2U.twitter
Musée de la Cavalerie
Du 10 avril au 15 septembre 2015, le musée de la Cavalerie accueille une reconstitution impressionnante de la bataille de Waterloo. Cette maquette de plus de 100 m², entièrement conçue par M. Jean-Pierre Leclercq, permet au visiteur de rejoindre les rangs des cavaliers du maréchal Ney et des grognards de la Garde de Cambronne, pour assister 200 ans après, à l’une des plus célèbres batailles de l’Histoire.
Musée de la Cavalerie
Musée de la Cavalerie
mardi 24 mars 2015
Un Rémois, le général Denis Mercier numéro deux de l'Otan
Le général d’armée aérienne Denis Mercier, 55 ans, chef d’état-major de l’armée de l’air et ancien commandant de la BA 112, « commandant Marin-la-Meslée » de Reims a été nommé par l’Organisation du traité de l’Atlantique nord, (OTAN), Supremed allied Commander Transformation, poste qui correspond à numéro deux de l’OTAN. Il s’agit d’une fonction très importante et prestigieuse qui, pour la troisième fois échoit à un aviateur français. En effet, après le général d’armée aérienne Stéphane Abrial, c’est le général d’armée aérienne Jean-Paul Paloméros, ancien commandant de la 30e escadre de chasse à Reims et actuellement toujours en poste qui est à la tête de cet important commandement. L’information a été tweeté par le porte-parole de l’Alliance.
Le général Mercier qui a dirigé les Ecoles de l’air, le cabinet militaire du ministre de la Défense et a beaucoup travaillé sur les nouveaux formats des armées avant de succéder au général Paloméros comme chef d’état-major de l’armée de l’air est un Rémois d’adoption, très attaché à la ville des sacres. Cet humaniste proche des aviateurs, passionné d’histoire et de dessin et de peinture est apprécié pour sa force tranquille. Le 5 octobre 2014, il a présidé à Jonchery-sur-Vesle (Marne), le centenaire de la première victoire aérienne au monde, remportée par Frantz et Quesnault
http://www.lunion.com/node/425303
Le général Mercier qui a dirigé les Ecoles de l’air, le cabinet militaire du ministre de la Défense et a beaucoup travaillé sur les nouveaux formats des armées avant de succéder au général Paloméros comme chef d’état-major de l’armée de l’air est un Rémois d’adoption, très attaché à la ville des sacres. Cet humaniste proche des aviateurs, passionné d’histoire et de dessin et de peinture est apprécié pour sa force tranquille. Le 5 octobre 2014, il a présidé à Jonchery-sur-Vesle (Marne), le centenaire de la première victoire aérienne au monde, remportée par Frantz et Quesnault
http://www.lunion.com/node/425303
lundi 23 mars 2015
L'Armée de terre au départ du Tour de Normandie
Les 1.030 km du Tour de Normandie et ses sept manches à travers les cinq départements normands seront l'occasion d'un duel cette année entre les cuissards kakis de L'Armée de terre et les équipes réserves de plusieurs grandes formations du World Tour.
Au départ lundi de Saint-Lô, dans la Manche, cette 35e édition du Tour de Normandie, épreuve inscrite au calendrier UCI Europe Tour, verra s'élancer 24 équipes, dont 18 classées en Continentale, soit 144 coureurs venant de 14 pays.
Du côté des formations françaises, elles ne sont que trois cette année dans le peloton du "TDN". L'équipe de l'Armée de Terre, seule formation tricolore à évoluer en Continentale, comptera notamment sur son jeune sprinter Bryan Alaphilippe (19 ans), récent vainqueur de la Classique Bordeaux - Saintes.
Quant aux réserves des formations WorldTour (BMC Development, Rabobank Development, Lotto-Soudal, Itera-Katusha...), elles utiliseront cette épreuve comme banc d'essai pour tester leurs nouveaux jeunes talents, comme Stefan Küng, vainqueur du Tour de Normandie 2014 et passé depuis dans les rangs professionnels sous les couleurs des Américains de BMC.
Les deux autres équipes françaises présentes, le VC Rouen et Vendée U, évoluent, elles, en Division Nationale 1 et auront sans doute bien du mal à montrer leur maillot.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/2015/03/23/l-armee-de-terre-au-depart-du-tour-de-normandie-684443.html
Au départ lundi de Saint-Lô, dans la Manche, cette 35e édition du Tour de Normandie, épreuve inscrite au calendrier UCI Europe Tour, verra s'élancer 24 équipes, dont 18 classées en Continentale, soit 144 coureurs venant de 14 pays.
Du côté des formations françaises, elles ne sont que trois cette année dans le peloton du "TDN". L'équipe de l'Armée de Terre, seule formation tricolore à évoluer en Continentale, comptera notamment sur son jeune sprinter Bryan Alaphilippe (19 ans), récent vainqueur de la Classique Bordeaux - Saintes.
Quant aux réserves des formations WorldTour (BMC Development, Rabobank Development, Lotto-Soudal, Itera-Katusha...), elles utiliseront cette épreuve comme banc d'essai pour tester leurs nouveaux jeunes talents, comme Stefan Küng, vainqueur du Tour de Normandie 2014 et passé depuis dans les rangs professionnels sous les couleurs des Américains de BMC.
Les deux autres équipes françaises présentes, le VC Rouen et Vendée U, évoluent, elles, en Division Nationale 1 et auront sans doute bien du mal à montrer leur maillot.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/2015/03/23/l-armee-de-terre-au-depart-du-tour-de-normandie-684443.html
dimanche 22 mars 2015
Collégiens et militaires commémorent la Grande Guerre
Le 11 mars 2015, un détachement du 122ème régiment d’infanterie - centre d’entraînement de l’infanterie au tir opérationnel (CEITO) et une quarantaine de professeurs et élèves du Lycée Jean Vigo de Millau (12) se sont rendus au cimetière militaire de Minaucourt-le-Mesnil-les-Hurlus (Marne) afin de rendre hommage aux héros de la Grande Guerre
Créé en 1915, ce cimetière regroupe 21 319 morts français, tchèques et serbes dont plus de la moitié sont des inconnus inhumés dans les ossuaires. Tous ont péri lors de la bataille de Champagne, offensive des armées françaises contre les armées allemandes lors de la première guerre mondiale. Militaires et collégiens ont donc rendu hommage à ces héros morts au combat, lors d’une cérémonie émouvante que la sonnerie aux morts a clôturée.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/collegiens-et-militaires-commemorent-la-grande-guerre
Créé en 1915, ce cimetière regroupe 21 319 morts français, tchèques et serbes dont plus de la moitié sont des inconnus inhumés dans les ossuaires. Tous ont péri lors de la bataille de Champagne, offensive des armées françaises contre les armées allemandes lors de la première guerre mondiale. Militaires et collégiens ont donc rendu hommage à ces héros morts au combat, lors d’une cérémonie émouvante que la sonnerie aux morts a clôturée.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/collegiens-et-militaires-commemorent-la-grande-guerre
L'adieu des pompiers à Aurélie
Une cérémonie organisée à la caserne des sapeurs-pompiers de Sigean en l'honneur du pompier le caporal-chef Aurélie Salel qui a perdu la vie dernièrement à l'âge de 26 ans alors qu'elle était en intervention lors d'un incendie avec les Pompiers de Paris. Deux grandes photos d'Aurélie, souriante, ornaient le balcon de la cour de la caserne. Cette même caserne où elle fit son apprentissage de pompier à l'âge de 13 ans. Tandis que prenaient place les musiciens de l'Harmonie sigeanaise, remplissant l'esplanade, les nombreux pompiers venus des quatre coins de France prenaient place.
Pompiers de Paris et de partout
Dans les rangs les 132 Pompiers de Paris, mais aussi les délégations des pompiers des P.-O., du Gard, des Bouches-du-Rhône, des Alpes-de-Haute-Provence et des Alpes-Maritimes. Et bien sûr les pompiers de Sigean en activité, les anciens de l'Amicale, les jeunes sapeurs-pompiers, les pompiers du secours nautique de l'Aude et les secouristes. À 11 heures le chef de la caserne, le lieutenant Jean-Pierre Cires et le colonel M. Belondrade, avec la grande famille des pompiers de Sigean, accueillaient les parents et proches d'Aurélie en présence des représentants du SDIS, le commissariat de Narbonne, la gendarmerie et des colonels, M.Gouze et M. Beneditini, mais aussi les officiels, M. le préfet Louis Le Franc, Mme la sous-préfète Béatrice Obara, Mme la députée Marie-Hélène Fabre, M. André Viola, président du conseil général de l'Aude ; C'est un silence total qui accompagna le cercueil d'Aurélie enveloppé du drapeau français porté par six pompiers de Sigean jusqu'au centre de la caserne. Là, les médailles et décorations de bravoure lui furent remises à titre posthume, tandis que M. le préfet Louis Le Franc dans une ambiance solennelle empreinte d'émotion lui rendait un hommage émouvant.Il salua sa profonde motivation et son dévouement au service des autres ainsi que son altruisme pour ce travail de pompier qu'elle aimait tant, jusqu'à donner sa vie au service des autres. Marcel Salel et son épouse ont accidentellement perdu leur fils il y a quelques années, par noyade après avoir chuté d'un bateau. Comment décrire leurs pensées lorsque, au milieu de centaines de pompiers, d'abord à Paris, et ensuite à la caserne de Sigean, ils doivent maintenant faire face au cercueil de leur fille, victime du devoir lors d'une intervention sur un incendie. Entendent-ils vraiment les paroles de M. le préfet lorsque ce dernier retrace le parcours exemplaire d'Aurélie en qualité de sapeur-pompier ? Décider que les dons seront versés au sapeur-pompier binôme d'Aurélie qui, très gravement brûlé, lutte contre la mort, démontre que les Salel sont un grand monsieur et une grande dame. Compassion peut-être, respect sûrement.
Siegfried Cires, tandis que les six pompiers repartaient avec le cercueil d'Aurélie, nous disait, retenant sa peine : «aujourd'hui pour son ultime voyage, au moins Aurélie n'est pas partie toute seule».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/22/2071814-l-adieu-des-pompiers-a-aurelie.html
samedi 21 mars 2015
vendredi 20 mars 2015
jeudi 19 mars 2015
35e édition du salon du livre
L’espace dédié à l’armée de Terre, situé sur le stand du ministère de la
Défense, présentera plus de 60 ouvrages et permettra la rencontre de plusieurs
auteurs avec le grand public lors des séances de dédicaces, tels madame de
Sairigné, le capitaine Reyt, le colonel de Cacqueray-Valmenier, le chef de
bataillon Scarpa, le colonel Haberey et bien d’autres encore.
Tous types d’ouvrages seront présentés durant ces 3 jours : romans, récits historiques, témoignages, réflexion militaire, aide au management, BD.
Des lauréats du Prix Erwan Bergot (PEB) seront également exposés de manière à mettre en avant ses 20 ans : Andreï Makine - Le pays du lieutenant Schreiber, Pierre Mari - Les grands jours, Michel Bernard - Corps de la France, Guillemette De Sairigné - La circassienne.
Les écrivains présents en séance de dédicaces :
- Attention : cyber ! – Colonel Aymeric Bonnemaison, le 22 mars de 14h à 18h.
- Capitaine Longuet – Major Michel Delannoy, le 21 mars de 10h00 à 19h30.
- Cinq à table, Le manuel de survie à l'usage des parents, Bernard et les troupes de montagnes – Capitaine Philippe Reyt, le 20, 21 et 22 mars de 10h à 19h30.
- Combats asymétriques en Afghanistan – Colonel Gilles Haberey, le 22 mars de 14h à 18h30.
- Décider en stratège – Lieutenant-colonel Guy Sallat, le 20 mars de 14h à 19h30.
- Joffre – Lieutenant-colonel Rémy Porte, le 22 mars de 14h à 18h30.
- La Circassienne – Mme Guillemette de Sairigné, le 20 mars de 14h à 16h.
- La crèche de Poupa – Colonel Arnaud de Cacqueray-Valmenier, le 20 mars de 14h à 18h.
- Le chef face au stress – Capitaine Nicolas Folio, le 20 mars de 10h à 19h30.
- Le front d'Orient, Les combats héroïques du capitaine Manhès – Max Schiavon, le 21 mars de 10h à 19h30 et le 22 mars de 10h à 18h30.
- L'éthique du soldat français – Général Benoît Royal, le 21 mars de 10h à 19h30 et le 22 mars de 10h à 14h.
- Offensive éclair au Mali – Chef de bataillon Rémy Scarpa, le 21 mars de 10h à 18h00.
- Paroles de soldats – Lieutenant-colonel Hubert Le Roux, le 21 mars de 14h à 18h.
- Patchwork paranoid – Capitaine Frédéric Lardoux, le 20 mars de 14h à 19h30.
- Itinéraire d'un Français libre : Jacques-Henri Schloesing – Colonel Patrick Collet, le 22 mars de 10h à 19h30.
L’armée de Terre vous attend nombreux sur cet événement littéraire !
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/35e-edition-du-salon-du-livre
Tous types d’ouvrages seront présentés durant ces 3 jours : romans, récits historiques, témoignages, réflexion militaire, aide au management, BD.
Des lauréats du Prix Erwan Bergot (PEB) seront également exposés de manière à mettre en avant ses 20 ans : Andreï Makine - Le pays du lieutenant Schreiber, Pierre Mari - Les grands jours, Michel Bernard - Corps de la France, Guillemette De Sairigné - La circassienne.
Les écrivains présents en séance de dédicaces :
- Attention : cyber ! – Colonel Aymeric Bonnemaison, le 22 mars de 14h à 18h.
- Capitaine Longuet – Major Michel Delannoy, le 21 mars de 10h00 à 19h30.
- Cinq à table, Le manuel de survie à l'usage des parents, Bernard et les troupes de montagnes – Capitaine Philippe Reyt, le 20, 21 et 22 mars de 10h à 19h30.
- Combats asymétriques en Afghanistan – Colonel Gilles Haberey, le 22 mars de 14h à 18h30.
- Décider en stratège – Lieutenant-colonel Guy Sallat, le 20 mars de 14h à 19h30.
- Joffre – Lieutenant-colonel Rémy Porte, le 22 mars de 14h à 18h30.
- La Circassienne – Mme Guillemette de Sairigné, le 20 mars de 14h à 16h.
- La crèche de Poupa – Colonel Arnaud de Cacqueray-Valmenier, le 20 mars de 14h à 18h.
- Le chef face au stress – Capitaine Nicolas Folio, le 20 mars de 10h à 19h30.
- Le front d'Orient, Les combats héroïques du capitaine Manhès – Max Schiavon, le 21 mars de 10h à 19h30 et le 22 mars de 10h à 18h30.
- L'éthique du soldat français – Général Benoît Royal, le 21 mars de 10h à 19h30 et le 22 mars de 10h à 14h.
- Offensive éclair au Mali – Chef de bataillon Rémy Scarpa, le 21 mars de 10h à 18h00.
- Paroles de soldats – Lieutenant-colonel Hubert Le Roux, le 21 mars de 14h à 18h.
- Patchwork paranoid – Capitaine Frédéric Lardoux, le 20 mars de 14h à 19h30.
- Itinéraire d'un Français libre : Jacques-Henri Schloesing – Colonel Patrick Collet, le 22 mars de 10h à 19h30.
L’armée de Terre vous attend nombreux sur cet événement littéraire !
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Une jeune pompier décorée à titre posthume
Un hommage a été rendu ce jour à Paris à la jeune sapeur-pompier décédée samedi des suites de ses blessures au cours d'une intervention en Seine-Saint-Denis. Elle a été décorée de la Légion d'honneur par le ministre de la Défense.
Devant les proches et un millier de pompiers émus, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a salué le "courage admirable" du caporal-chef Aurélie Salel, 25 ans, élevée à titre posthume au grade de sergent. "Jamais elle ne recula devant le danger. Jamais elle n'hésita à risquer sa vie pour sauver celles des autres", insiste le discours. Bernard Cazeneuve a rendu hommage à cette "vie passée au service de la République et au service des Français".
Aurélie Salel est la première femme sapeur-pompier de Paris décédée en intervention, ont précisé les pompiers. Deux pompiers, dont Aurélie Salel, avaient été grièvement brûlés vendredi au cours d'une intervention dans un pavillon à Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis. Le second blessé "se trouve dans une situation stable mais fragilisée", ont précisé les pompiers, sans plus de détails.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/19/97001-20150319FILWWW00205-une-jeune-pompier-decoree-a-titre-posthume.php
Devant les proches et un millier de pompiers émus, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a salué le "courage admirable" du caporal-chef Aurélie Salel, 25 ans, élevée à titre posthume au grade de sergent. "Jamais elle ne recula devant le danger. Jamais elle n'hésita à risquer sa vie pour sauver celles des autres", insiste le discours. Bernard Cazeneuve a rendu hommage à cette "vie passée au service de la République et au service des Français".
Aurélie Salel est la première femme sapeur-pompier de Paris décédée en intervention, ont précisé les pompiers. Deux pompiers, dont Aurélie Salel, avaient été grièvement brûlés vendredi au cours d'une intervention dans un pavillon à Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis. Le second blessé "se trouve dans une situation stable mais fragilisée", ont précisé les pompiers, sans plus de détails.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/19/97001-20150319FILWWW00205-une-jeune-pompier-decoree-a-titre-posthume.php
mercredi 18 mars 2015
Un train militaire déraille à Mourmelon-le-Grand
L’accident s’est produit vers 9h30. Un train militaire composé d’une trentaine de wagons vides qui reliait le 8 RMAT (Régiment du matériel) au 501 RCC (Régiment de chars de combat) a déraillé. Il était en provenance de Mourmelon-le-Petit et allait sur un quai de chargement pour récupérer des voitures.
La locomotive avait bien traversé la RD21, mais l’arrière du convoi s’est alors dévié sur une autre voie. L’avant du convoi a pu rapidement dégager la route, l’arrière a dû être remis sur les bons rails.
L’accident n’a pas fait de blessé, mais la RD 21 est coupée à la circulation à l’entrée de Mourmelon-le-Grand.
Une déviation a été mise en place le temps d’effectuer la maneouvre.
À 11h15, l’arrière du convoi avait retrouvé la bonne voie de chemin de fer. La circulation a été rétablie à 11h30.
http://www.lunion.com/node/420429
La locomotive avait bien traversé la RD21, mais l’arrière du convoi s’est alors dévié sur une autre voie. L’avant du convoi a pu rapidement dégager la route, l’arrière a dû être remis sur les bons rails.
L’accident n’a pas fait de blessé, mais la RD 21 est coupée à la circulation à l’entrée de Mourmelon-le-Grand.
Une déviation a été mise en place le temps d’effectuer la maneouvre.
À 11h15, l’arrière du convoi avait retrouvé la bonne voie de chemin de fer. La circulation a été rétablie à 11h30.
http://www.lunion.com/node/420429
mardi 17 mars 2015
Bangui : un soldat français blessé par balles
Un soldat français a été "légèrement blessé" lors d'échanges de tirs entre la force Sangaris et des hommes armés dans un quartier nord de Bangui, a annoncé aujourd'hui l'Etat-major des armées françaises dans un communiqué.
"Le (lundi) 16 mars vers 16h une section de la force Sangaris en patrouille dans le 4è arrondissement de Bangui a été prise à partie par un petit nombre d'individus dotés d'armes légères et de grenades", rapporte l'état-major.
"Les soldats français ont riposté avant d'être rejoints par des éléments de la (force onusienne) Minusca et des forces de sécurité intérieures centrafricaines", indique le communiqué.
Les forces internationales ont alors effectué des patrouilles mixtes "pour sécuriser la zone", au cours desquelles ils ont "essuyé de manière intermittente des coups de feu ainsi que des jets de grenades auxquels ils ont riposté jusqu'à ce que la zone soit complètement sécurisée, vers 20H30".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/17/97001-20150317FILWWW00393-bangui-un-soldat-francais-blesse-par-balles.php
"Le (lundi) 16 mars vers 16h une section de la force Sangaris en patrouille dans le 4è arrondissement de Bangui a été prise à partie par un petit nombre d'individus dotés d'armes légères et de grenades", rapporte l'état-major.
"Les soldats français ont riposté avant d'être rejoints par des éléments de la (force onusienne) Minusca et des forces de sécurité intérieures centrafricaines", indique le communiqué.
Les forces internationales ont alors effectué des patrouilles mixtes "pour sécuriser la zone", au cours desquelles ils ont "essuyé de manière intermittente des coups de feu ainsi que des jets de grenades auxquels ils ont riposté jusqu'à ce que la zone soit complètement sécurisée, vers 20H30".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/17/97001-20150317FILWWW00393-bangui-un-soldat-francais-blesse-par-balles.php
Un militaire décède lors d'un entraînement sur la base de Canjuers
Un drame s’est produit, lundi, en tout début d’après-midi, sur la base militaire de Canjuers, à Montferrat. Le sergent Benjamin Martin a perdu la vie, au cours d’une manœuvre sur le camp.
Âgé de 32 ans, le Sergent Benjamin Martin, qui appartenait au Groupement de soutien de la base de défense (GSBdD) de Draguignan avait pris ses fonctions, dans la capitale de l’artillerie, en 2008.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte afin de déterminer avec exactitude les circonstances de l’accident.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-militaire-decede-lors-dun-entrainement-sur-la-base-de-canjuers.2142490.html
Âgé de 32 ans, le Sergent Benjamin Martin, qui appartenait au Groupement de soutien de la base de défense (GSBdD) de Draguignan avait pris ses fonctions, dans la capitale de l’artillerie, en 2008.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte afin de déterminer avec exactitude les circonstances de l’accident.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-militaire-decede-lors-dun-entrainement-sur-la-base-de-canjuers.2142490.html
Défense : un trou budgétaire de 3 milliards d'euros pour 2015
Jean-Pierre Raffarin, actuel président de la commission des Affaires étrangères du Sénat, estime que l'armée française pourrait se retrouver en cessation de paiement dès l'été.
Jean-Pierre Raffarin tire la sonnette d'alarme: les armées françaises risquent de se retrouver en cessation de paiement dès l'été prochain si les solutions ne sont pas mises en œuvre pour trouver 3 milliards d'euros toujours manquants au budget de la Défense.
«La situation est assez grave, nous avons un manque de 3 milliards pour boucler le budget 2015», a déclaré sur RTL l'ancien premier ministre, actuellement président de la commission des Affaires étrangères du Sénat. Il a détaillé ce déficit qui comprend «2,2 milliards d'équipements et 800 millions liés aux opérations extérieures».
En effet, l'essentiel des sommes prévues au titre de «recettes exceptionnelles» devait provenir de la vente aux enchères de fréquences très haut débit (700 mégahertz) aux opérateurs de téléphonie mobile. Mais cette vente n'est pas prévue avant le mois de décembre 2015. Quant au budget des Opex, systématiquement sous-évalué, il excédera de beaucoup les 450 millions d'euros prévus dans le budget de l'État voté en décembre. Ces surcoûts font normalement l'objet d'un financement interministériel.
Au cœur du litige figurent les «sociétés de projet» (SPV), l'expédient proposé dans par Jean-Yves Le Drian et validé par le chef de l'État pour tenter de garantir dans l'urgence des liquidités à la Défense. Inscrite dans la loi Macron, cette formule s'apparente à une sorte de leasing consistant à vendre aux industriels des équipements puis à leur louer. Le ministre de la Défense a indiqué la semaine dernière que deux «sociétés de projet» seront créées avant l'été et concerneront trois frégates multimissions (FREMM) et quatre avions A400M. Ces sociétés de projets doivent être abondées à hauteur de 2,2 milliards d'euros par le biais du portefeuille géré par l'Agence des participations de l'État (APE).
Ces perspectives suscitent toutefois «les plus grandes réserves de Bercy», a relevé Jean-Pierre Raffarin. Un euphémisme qui ne se limite d'ailleurs pas au ministre des Finances, Michel Sapin, notoirement hostile, et à ses services mais que partagent nombre de militaires, qu'inquiètent le principe mais aussi le fonctionnement et les coûts induits de ces SPV. Pour l'ex-premier ministre, le temps presse: «Nous sommes à la veille d'une crise si le président de la République n'arbitre pas entre ces deux ministères pour financer la Défense nationale», a-t-il déclaré mardi.
http://www.lefigaro.fr/international/2015/03/17/01003-20150317ARTFIG00195-defense-raffarin-s-alarme-d-un-trou-budgetaire-de-3-milliards-pour-2015.php
Jean-Pierre Raffarin tire la sonnette d'alarme: les armées françaises risquent de se retrouver en cessation de paiement dès l'été prochain si les solutions ne sont pas mises en œuvre pour trouver 3 milliards d'euros toujours manquants au budget de la Défense.
«La situation est assez grave, nous avons un manque de 3 milliards pour boucler le budget 2015», a déclaré sur RTL l'ancien premier ministre, actuellement président de la commission des Affaires étrangères du Sénat. Il a détaillé ce déficit qui comprend «2,2 milliards d'équipements et 800 millions liés aux opérations extérieures».
En effet, l'essentiel des sommes prévues au titre de «recettes exceptionnelles» devait provenir de la vente aux enchères de fréquences très haut débit (700 mégahertz) aux opérateurs de téléphonie mobile. Mais cette vente n'est pas prévue avant le mois de décembre 2015. Quant au budget des Opex, systématiquement sous-évalué, il excédera de beaucoup les 450 millions d'euros prévus dans le budget de l'État voté en décembre. Ces surcoûts font normalement l'objet d'un financement interministériel.
«Les plus grandes réserves de Bercy»
Des données connues mais qui, formulées par M. Raffarin, prennent une résonance certaine. D'autant que son message a aussi consisté à s'adresser à François Hollande pour lui demander «d'arbitrer» entre le ministère de la Défense et Bercy dont les relations, traditionnellement mauvaises, connaissent un nouveau pic de tension. «Je demande aujourd'hui solennellement au président de la République d'arbitrer entre ces deux ministères pour nous indiquer quels sont les outils financiers de nature à boucler le budget 2015 de la Défense», a dit M. Raffarin.Au cœur du litige figurent les «sociétés de projet» (SPV), l'expédient proposé dans par Jean-Yves Le Drian et validé par le chef de l'État pour tenter de garantir dans l'urgence des liquidités à la Défense. Inscrite dans la loi Macron, cette formule s'apparente à une sorte de leasing consistant à vendre aux industriels des équipements puis à leur louer. Le ministre de la Défense a indiqué la semaine dernière que deux «sociétés de projet» seront créées avant l'été et concerneront trois frégates multimissions (FREMM) et quatre avions A400M. Ces sociétés de projets doivent être abondées à hauteur de 2,2 milliards d'euros par le biais du portefeuille géré par l'Agence des participations de l'État (APE).
Ces perspectives suscitent toutefois «les plus grandes réserves de Bercy», a relevé Jean-Pierre Raffarin. Un euphémisme qui ne se limite d'ailleurs pas au ministre des Finances, Michel Sapin, notoirement hostile, et à ses services mais que partagent nombre de militaires, qu'inquiètent le principe mais aussi le fonctionnement et les coûts induits de ces SPV. Pour l'ex-premier ministre, le temps presse: «Nous sommes à la veille d'une crise si le président de la République n'arbitre pas entre ces deux ministères pour financer la Défense nationale», a-t-il déclaré mardi.
http://www.lefigaro.fr/international/2015/03/17/01003-20150317ARTFIG00195-defense-raffarin-s-alarme-d-un-trou-budgetaire-de-3-milliards-pour-2015.php
lundi 16 mars 2015
Belfort : le commando marine Marius dédicace à la Fnac
Marius est passé par Belfort, samedi à la Fnac. Un passage qui n’est pas passé inaperçu au vu de la file d’attente de ses admirateurs, impatients d’échanger quelques mots, avant d’obtenir un autographe du plus célèbre des commandos marine de notre époque sur son ouvrage, « Parcours commando ».
« C’est la deuxième fois que je viens à Belfort », sourit Marius (Alain en vérité, mais le pseudo militaire rappelle qu’il vient de Marseille), « et je ressens toujours cette chaleur humaine, cet accueil ». Quant au public, « il est toujours aussi éclectique, de jeunes soldats, des aspirants mais aussi des étudiants, des professions libérales ».
- Vous vous attendiez à un tel succès littéraire avec « Parcours commando » ?
- Pas du tout. D’autant plus qu’au départ, je l’avais écrit pour ma famille, pour leur laisser mes souvenirs. Et puis, mon épouse, en lisant le manuscrit, m’a suggéré de le faire éditer parce que les gens avaient besoin de rêver, d’avoir des repères. Alors, aujourd’hui, je suis content, j’ai atteint mon but.
- Lorsque vous vous remémorez votre jeunesse à Marseille, les braquages, les copains voyous, quel chemin parcouru…
- J’en ai été sauvé, en garde à vue, par un inspecteur qui m’a parlé comme à un adulte, calmement. Il m’a dit : ‘’ Si tu continues, ton avenir c’est soit la prison, soit la mort’’. Ça m’a secoué. J’ai aussitôt décidé de m’engager dans la marine. Mon père était marin. Quand il est mort, j’avais 18 ans.
- Aussi, que souhaiteriez-vous dire aux jeunes d’aujourd’hui attirés par la délinquance ?
- Je pense que certains sont définitivement perdus et que d’autres n’ont pas d’objectifs. On a trop laissé faire toutes ces années. Dans certains quartiers, ils n’ont plus de repères, ce sera difficile de remonter la pente. J’ai des amis policiers et gendarmes, beaucoup ont baissé les bras…
- En ce qui concerne vos « opérations extérieures » au Liban, à Djibouti ou en Côte d’Ivoire, vous restez très discret…
- Le groupe, dans les commandos, c’est une respiration collective. On est discret, on ne parle pas de ça. Ce serait exposer les camarades.
- Alors, lorsque vous voyez ces jeunes militaires partir au Mali ou au Moyen-Orient, que pensez-vous ?
- Ce qui me fait peur actuellement, c’est la méconnaissance des autres. Que des gens terrorisent au nom de l’islam. Ce ne sont pas des musulmans. Mais je fais confiance aux militaires rompus aux opérations à l’étranger. Ils connaissent le terrain. C’est leur métier.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/03/16/belfort-le-commando-marine-marius-en-dedicace-a-la-fnac
« C’est la deuxième fois que je viens à Belfort », sourit Marius (Alain en vérité, mais le pseudo militaire rappelle qu’il vient de Marseille), « et je ressens toujours cette chaleur humaine, cet accueil ». Quant au public, « il est toujours aussi éclectique, de jeunes soldats, des aspirants mais aussi des étudiants, des professions libérales ».
- Vous vous attendiez à un tel succès littéraire avec « Parcours commando » ?
- Pas du tout. D’autant plus qu’au départ, je l’avais écrit pour ma famille, pour leur laisser mes souvenirs. Et puis, mon épouse, en lisant le manuscrit, m’a suggéré de le faire éditer parce que les gens avaient besoin de rêver, d’avoir des repères. Alors, aujourd’hui, je suis content, j’ai atteint mon but.
- Lorsque vous vous remémorez votre jeunesse à Marseille, les braquages, les copains voyous, quel chemin parcouru…
- J’en ai été sauvé, en garde à vue, par un inspecteur qui m’a parlé comme à un adulte, calmement. Il m’a dit : ‘’ Si tu continues, ton avenir c’est soit la prison, soit la mort’’. Ça m’a secoué. J’ai aussitôt décidé de m’engager dans la marine. Mon père était marin. Quand il est mort, j’avais 18 ans.
- Aussi, que souhaiteriez-vous dire aux jeunes d’aujourd’hui attirés par la délinquance ?
- Je pense que certains sont définitivement perdus et que d’autres n’ont pas d’objectifs. On a trop laissé faire toutes ces années. Dans certains quartiers, ils n’ont plus de repères, ce sera difficile de remonter la pente. J’ai des amis policiers et gendarmes, beaucoup ont baissé les bras…
- En ce qui concerne vos « opérations extérieures » au Liban, à Djibouti ou en Côte d’Ivoire, vous restez très discret…
- Le groupe, dans les commandos, c’est une respiration collective. On est discret, on ne parle pas de ça. Ce serait exposer les camarades.
- Alors, lorsque vous voyez ces jeunes militaires partir au Mali ou au Moyen-Orient, que pensez-vous ?
- Ce qui me fait peur actuellement, c’est la méconnaissance des autres. Que des gens terrorisent au nom de l’islam. Ce ne sont pas des musulmans. Mais je fais confiance aux militaires rompus aux opérations à l’étranger. Ils connaissent le terrain. C’est leur métier.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/03/16/belfort-le-commando-marine-marius-en-dedicace-a-la-fnac
dimanche 15 mars 2015
samedi 14 mars 2015
vendredi 13 mars 2015
Le char Leclerc de l’armée de terre va être lifté
Tout nouveau tout beau. Le célèbre char Leclerc utilisé dans l’armée française va être bientôt modernisé. La Direction générale de l'armement a notifié le contrat de modernisation de 200 chars d'assaut et 18 dépanneurs de char au fabricant Nexter, pour un contrat de 330 millions d'euros. Les premières livraisons sont prévues à partir de 2018, rapporte jeudi Le Figaro.
Il sera également mieux protégé des bombes artisanales (IED) grâce à de nouveaux blindages.
Comme le rappelle le quotidien, ce char d’assaut est un gouffre financier: Il a coûté près de six milliards d'euros, selon un rapport de l'Assemblée nationale en 2001, et a failli mener à la ruine Nexter (alors Giat Industries).
http://www.20minutes.fr/economie/1561483-20150313-char-leclerc-armee-terre-va-etre-lifte
Protection contre les bombes artisanales
Grâce à ses nouveaux systèmes de télécommunications, d'information et de commandement, le char pourra mieux communiquer avec les différentes forces sur le terrain.Il sera également mieux protégé des bombes artisanales (IED) grâce à de nouveaux blindages.
Comme le rappelle le quotidien, ce char d’assaut est un gouffre financier: Il a coûté près de six milliards d'euros, selon un rapport de l'Assemblée nationale en 2001, et a failli mener à la ruine Nexter (alors Giat Industries).
http://www.20minutes.fr/economie/1561483-20150313-char-leclerc-armee-terre-va-etre-lifte
jeudi 12 mars 2015
Vigipirate : l'armée va adapter ses effectifs à la «menace terroriste»
Les mesures exceptionnelles prises dans le cadre du plan Vigipirate deployé après les attentats de janvier vont êtres conservées. François Hollande a décidé de «maintenir l'engagement des armées sur le territoire national à hauteur de 10.000 militaires» en «soutien» des forces du ministère de l'Intérieur, a déclaré mercredi l'Élysée, à l'issue d'un Conseil de défense. Lors d'une conférence de presse, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a précisé que le dispositif Sentinelle sera maintenu «au minimum jusqu'au début de l'été, date à laquelle il sera réévalué».
«7000 d'entre eux sont déployés dans la durée, principalement pour la surveillance et la protection de sites à caractère confessionnel particulièrement menacés», a précisé la présidence, deux mois après les attaques djihadistes de début janvier qui ont fait 17 morts à Paris et dans la région parisienne. Près de la moitié des 682 sites protégés par l'armée se trouvent en Ile-de-France (330), a relevé M. Le Drian, le niveau «alerte attentats» étant décrété dans la région parisienne et les Alpes-Maritimes, le reste de l'Hexagone relevant de la «vigilance renforcée».
Le maintien du dispositif, dont le coût est estimé à un million d'euros par jour, s'accompagnera d'une diminution supplémentaire des suppressions de postes dans l'armée. Le chef de l'Etat a demandé «d'en tirer toutes les conséquences en termes d'adaptation des effectifs du ministère de la Défense, au-delà des 7500 postes dont il avait déjà décidé le maintien le 21 janvier dernier». Un «travail (qui) sera réalisé dans le cadre de l'actualisation de la loi de programmation militaire».
Le 21 janvier, à l'issue d'un précédent Conseil de défense réuni à l'Elysée, le chef de l'État avait annoncé que 7500 emplois de moins que prévu seraient supprimés sur la période 2015-2019 au sein des armées, leur donnant un peu de répit après une série de restructurations massives.
Les réductions d'effectifs devaient être ainsi inférieures de 30% au projet initial, qui prévoyait un total de 26.000 suppressions de postes, dont 7500 par an en 2015, 2016 et 2017 et 3500 en 2018. Dès cette année, le nombre de suppressions de postes doit être ramené à environ 6000
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/03/11/01016-20150311ARTFIG00257-vigipirate-l-armee-va-adapter-ses-effectifs-a-la-menace-terroriste.php
«7000 d'entre eux sont déployés dans la durée, principalement pour la surveillance et la protection de sites à caractère confessionnel particulièrement menacés», a précisé la présidence, deux mois après les attaques djihadistes de début janvier qui ont fait 17 morts à Paris et dans la région parisienne. Près de la moitié des 682 sites protégés par l'armée se trouvent en Ile-de-France (330), a relevé M. Le Drian, le niveau «alerte attentats» étant décrété dans la région parisienne et les Alpes-Maritimes, le reste de l'Hexagone relevant de la «vigilance renforcée».
Le maintien du dispositif, dont le coût est estimé à un million d'euros par jour, s'accompagnera d'une diminution supplémentaire des suppressions de postes dans l'armée. Le chef de l'Etat a demandé «d'en tirer toutes les conséquences en termes d'adaptation des effectifs du ministère de la Défense, au-delà des 7500 postes dont il avait déjà décidé le maintien le 21 janvier dernier». Un «travail (qui) sera réalisé dans le cadre de l'actualisation de la loi de programmation militaire».
Moins d'emplois supprimés dans l'armée
François Hollande souhaite, poursuit le communiqué de l'Élysée, que «les mesures nécessaires» soient prises «pour adapter l'organisation des armées à cette évolution de leur mission et leur permettre d'apporter une protection adaptée à l'évolution des menaces et aux besoins de protection des Français».Le 21 janvier, à l'issue d'un précédent Conseil de défense réuni à l'Elysée, le chef de l'État avait annoncé que 7500 emplois de moins que prévu seraient supprimés sur la période 2015-2019 au sein des armées, leur donnant un peu de répit après une série de restructurations massives.
Les réductions d'effectifs devaient être ainsi inférieures de 30% au projet initial, qui prévoyait un total de 26.000 suppressions de postes, dont 7500 par an en 2015, 2016 et 2017 et 3500 en 2018. Dès cette année, le nombre de suppressions de postes doit être ramené à environ 6000
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/03/11/01016-20150311ARTFIG00257-vigipirate-l-armee-va-adapter-ses-effectifs-a-la-menace-terroriste.php
mercredi 11 mars 2015
François Hollande maintient la mobilisation de 10.000 militaires "en soutien"
François Hollande a décidé de "maintenir l'engagement des armées sur le territoire national à hauteur de 10.000 militaires" en "soutien" des forces du ministère de l'Intérieur, "la menace d'attaque terroriste contre notre pays demeurant élevée", a annoncé aujourd'hui l'Elysée.
Le chef de l'Etat a demandé aussi "d'en tirer toutes les conséquences en termes d'adaptation des effectifs du ministère de la Défense, au-delà des 7.500 postes dont il avait déjà décidé le maintien le 21 janvier dernier", a précisé le palais présidentiel dans un communiqué, à l'issue d'un Conseil de Défense.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/11/97001-20150311FILWWW00140-hollande-maintient-la-mobilisation-de-10000-militaires-en-soutien.php
Le chef de l'Etat a demandé aussi "d'en tirer toutes les conséquences en termes d'adaptation des effectifs du ministère de la Défense, au-delà des 7.500 postes dont il avait déjà décidé le maintien le 21 janvier dernier", a précisé le palais présidentiel dans un communiqué, à l'issue d'un Conseil de Défense.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/11/97001-20150311FILWWW00140-hollande-maintient-la-mobilisation-de-10000-militaires-en-soutien.php
mardi 10 mars 2015
InMemoriam Décès du brigadier-chef Alexis Vastine
Le ministre de la Défense déplore la disparition du brigadier-chef Alexis Vastine, décédé cette nuit dans un accident d'hélicoptère en Argentine, alors qu'il participait pendant ses permissions à une émission télévisée. Neuf autres personnes y ont péri.
Âgé de 28 ans, ce sportif de haut niveau du ministère de la Défense depuis 2007 était affecté au @centre national des sports de la Défense de Fontainebleau (Seine-et-Marne)....
Âgé de 28 ans, ce sportif de haut niveau du ministère de la Défense depuis 2007 était affecté au @centre national des sports de la Défense de Fontainebleau (Seine-et-Marne)....
Son palmarès est l'un des plus prestigieux de la boxe française de ces dernières années. Il faisait partie de la délégation française pour les Jeux mondiaux militaires #JMM d'octobre prochain, en Corée du Sud.
Pilier de l' #ArméeDeChampions, il était un ambassadeur remarquable du ministère de la Défense. L'ensemble de la communauté militaire est endeuillée par ce drame.
Lire le communiqué de presse >>> bit.ly/cpbchAlexisVastine100315
Pilier de l' #ArméeDeChampions, il était un ambassadeur remarquable du ministère de la Défense. L'ensemble de la communauté militaire est endeuillée par ce drame.
Lire le communiqué de presse >>> bit.ly/cpbchAlexisVastine100315
Ebola : les militaires du régiment médical prêts à partir en Guinée
Réunis ce lundi par leur commandant (photo), une vingtaine de soldats du régiment médical de La Valbonne s’apprêtent à s’envoler pour la Guinée. Ils rejoindront le centre de traitement des soignants, créé par l’armée française au mois de janvier.
L’objectif est de venir en aide aux soignants guinéens qui auraient contracté la maladie. Le chef de corps Henri-Pierre Boutin partira avec ses hommes. Il s’est vu confier le commandement de l’hôpital pour une mission de quatre mois.
Les militaires du régiment médical sont mobilisés depuis le début de l’opération. Dès le mois de décembre, ils ont participé à la mise en place de l’hôpital.
http://www.leprogres.fr/ain/2015/03/09/ebola-les-militaires-du-regiment-medical-prets-a-partir-en-guinee
L’objectif est de venir en aide aux soignants guinéens qui auraient contracté la maladie. Le chef de corps Henri-Pierre Boutin partira avec ses hommes. Il s’est vu confier le commandement de l’hôpital pour une mission de quatre mois.
Les militaires du régiment médical sont mobilisés depuis le début de l’opération. Dès le mois de décembre, ils ont participé à la mise en place de l’hôpital.
http://www.leprogres.fr/ain/2015/03/09/ebola-les-militaires-du-regiment-medical-prets-a-partir-en-guinee
lundi 9 mars 2015
Villers Cotterêts : Premiers secours
Le dimanche 8 mars 2015, en fin de matinée, une patrouille de la brigade de VILLERS-COTTERETS, composée de l'Adjudant-Chef HENAUX et du Briga...dier-Chef TRANAIN est amenée à intervenir sur ce qui semble être un différend de voisinage. Des voisins apeurés signalent qu'une personne se trouve dans la cage d'escalier, hurlante et frappant aux portes.
Arrivés sur place, les militaires se trouvent rapidement en présence d'une femme paniquée qui signale que son père vient de faire un malaise cardiaque. A l'intérieur du domicile, son conjoint tente de le réanimer. Spontanément, les secours s'organisent. Le Brigadier-Chef TRANAIN se porte sur la victime et prodigue un massage cardiaque tandis que l'Adjudant-Chef HENAUX alerte les pompiers. Le beau-fils quant à lui pratique le bouche à bouche. Ils parviennent ainsi à le maintenir en vie.
Quelques minutes plus tard, les sapeurs-pompiers arrivent et le prennent en charge. Il est transporté d'urgence au centre hospitalier de SOISSONS.
Le sang-froid dont ont fait preuve les deux militaires ont permis de gagner des minutes précieuses pour la sauvegarde de la vie de cette personne.
Quelques minutes plus tard, les sapeurs-pompiers arrivent et le prennent en charge. Il est transporté d'urgence au centre hospitalier de SOISSONS.
Le sang-froid dont ont fait preuve les deux militaires ont permis de gagner des minutes précieuses pour la sauvegarde de la vie de cette personne.
dimanche 8 mars 2015
Toul : Femmes de l’Air
Toul. Sur la BA 133 de Nancy-Ochey, l’armée de l’Air porte bien son genre féminin. Une féminisation qui se retrouve tout naturellement dans les stats du colonel Lapray, commandant de base : « Elles représentent 16 % de mes effectifs (1.600 militaires). C’est certes en deçà de la moyenne nationale de l’armée de l’Air (23 %), mais dans une unité combattante et technique comme la base de Nancy-Ochey, cela reflète surtout le manque d’appétence général des jeunes filles pour les filières scientifiques ».
Il reste que l’ouverture de certaines carrières militaires d’excellence aux jeunes filles a rapidement porté ses fruits en France : « Plusieurs femmes accédant désormais au grade de général (médecin, commissaire). En 1996, l’école de l’Air de Salon-de-Provence fait également sa révolution en ouvrant ses formations de pilote à la gent féminine ».
En charge de la gestion et des ressources humaines (et notamment du recrutement des militaires du rang), l’adjudant Martine, s’est engagée en 1995 à l’âge de 22 ans. À l’époque, elle quitte son Alsace natale pour faire « ses classes à Nîmes avant de rejoindre Rochefort, puis Villacoublay, Colmar et enfin Nancy-Ochey. » Le service RH-chancellerie nancéien se conjugue majoritairement au féminin : « Sept femmes pour deux hommes… » Une prédominance perceptible également à l’infirmerie ou encore dans les unités de logistique.
Ce qui n’est absolument pas le cas dans le rang des mécaniciens : tout juste une trentaine de femmes au milieu de 600 hommes ! Spécialisée dans l’avionique, le sergent Priscilla s’est engagée en avril 2009 après un DUT de génie chimique. Célibataire et sans enfant, cette Messine de 25 ans ne demande pour l’heure « qu’à repartir sur les théâtres d’opérations extérieures ». Elle avait d’ailleurs été envoyée pour des missions de deux mois à Kandahar (Afghanistan) en 2012 et Niamey (Niger), il y a quelques semaines seulement.
Autant de femmes engagées à servir la France en toute connaissance des risques encourus. Une fierté pour toute la nation.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/03/08/femmes-de-l-air
Il reste que l’ouverture de certaines carrières militaires d’excellence aux jeunes filles a rapidement porté ses fruits en France : « Plusieurs femmes accédant désormais au grade de général (médecin, commissaire). En 1996, l’école de l’Air de Salon-de-Provence fait également sa révolution en ouvrant ses formations de pilote à la gent féminine ».
Pilote de Mirage 2000D
C’est le cas du capitaine « Oliv’» qui voit son rêve de jeune adolescente se réaliser en 2006 après de brillantes études scientifiques : « Devenir pilote de chasse ». Après diverses formations spécifiques sur différents aéronefs (Epsilon ou Alphajet) à Cognac, Tours ou encore Cazeaux, elle décroche le Graal : piloter un Mirage 2000D. La Marseillaise d’origine se pose donc à Nancy-Ochey en octobre 2013 : « D’ici deux mois, je passerai ma première qualification qui me permettra d’intégrer une unité opérationnelle afin d’effectuer diverses missions ». À 29 ans, cette jeune femme avoue sans détour : « La vie de couple est parfois difficile. Mais j’ai fait tellement de sacrifices pour en arriver là, que je me suis dit d’emblée que je ne voudrais pas d’enfant avant 35 ans. Dès le début de la grossesse, nous, pilote de chasse, sommes interdits de vol. En clair, nous ne pouvons plus voler durant près d’une année ! Nous perdons ainsi nos qualifications. Bref, il faut quasiment tout recommencer à zéro… » En pratique, les femmes pilote de chasse attendent souvent un passage dans un État-major pour agrandir leur famille. Ces contraintes multiples se ressentent tout naturellement sur les effectifs de ces unités d’élite. Sur les 150 pilotes et navigateurs, la BA133 compte seulement quatre pilotes et trois navigatrices…Missions extérieures
Fusilier commando maître-chien, Céline, 31ans, s’est engagée dans l’armée dès 17,5 ans « avec l’autorisation de mes parents, par passion notamment pour l’animal ». Son fidèle berger berge Malinois l’accompagne aujourd’hui dans toutes ses missions. Avec deux enfants en bas âge et un mari militaire, également sur la base nancéienne, cette Messine d’origine a dû mettre en place toute une organisation pour faire face aux exigences de son métier au quotidien : « Permanence de 24 heures, travail le week-end et les jours fériés… » Avant d’avoir ses enfants, Celine a été envoyée en mission de quatre mois à trois reprises à Djibouti, mais aussi en Guyane ou au Tchad durant sa carrière, mais elle sait pertinemment qu’elle reste « projetable » malgré sa situation de famille complexe.En charge de la gestion et des ressources humaines (et notamment du recrutement des militaires du rang), l’adjudant Martine, s’est engagée en 1995 à l’âge de 22 ans. À l’époque, elle quitte son Alsace natale pour faire « ses classes à Nîmes avant de rejoindre Rochefort, puis Villacoublay, Colmar et enfin Nancy-Ochey. » Le service RH-chancellerie nancéien se conjugue majoritairement au féminin : « Sept femmes pour deux hommes… » Une prédominance perceptible également à l’infirmerie ou encore dans les unités de logistique.
Ce qui n’est absolument pas le cas dans le rang des mécaniciens : tout juste une trentaine de femmes au milieu de 600 hommes ! Spécialisée dans l’avionique, le sergent Priscilla s’est engagée en avril 2009 après un DUT de génie chimique. Célibataire et sans enfant, cette Messine de 25 ans ne demande pour l’heure « qu’à repartir sur les théâtres d’opérations extérieures ». Elle avait d’ailleurs été envoyée pour des missions de deux mois à Kandahar (Afghanistan) en 2012 et Niamey (Niger), il y a quelques semaines seulement.
Autant de femmes engagées à servir la France en toute connaissance des risques encourus. Une fierté pour toute la nation.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/03/08/femmes-de-l-air
Un enfant retrouvé grâce au 35e RI
Alors qu’elle était de retour de sa mission de surveillance à Villeurbanne, le 3 mars 2015, la patrouille du 35e RI a croisé un enfant d'une dizaine d'années marchant seul sur la bande d'arrêt d'urgence du périphérique, à hauteur de la "porte de Parilly" à Lyon.
Aux ordres du sergent Olivier, elle a immédiatement arrêté son véhicule sur la bande d’arrêt d’urgence pour récupérer l’enfant qui était apparemment en train de fuguer et qui a été remis aux agents du poste de police de Villeurbanne.
Une centaine de militaires du 35e RI est actuellement engagée dans la région lyonnaise dans le cadre de l’opération Sentinelle. Le régiment d'Aquitaine est aussi fortement déployé en région parisienne.
Depuis le début de l'opération Sentinelle, les militaires déployés en patrouilles sur le territoire national ont réalisé de nombreuses actions de secours et d’assistance auprès de la population, démontrant leurs qualités militaires et professionnelles.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/un-enfant-retrouve-grace-au-35e-ri
Aux ordres du sergent Olivier, elle a immédiatement arrêté son véhicule sur la bande d’arrêt d’urgence pour récupérer l’enfant qui était apparemment en train de fuguer et qui a été remis aux agents du poste de police de Villeurbanne.
Une centaine de militaires du 35e RI est actuellement engagée dans la région lyonnaise dans le cadre de l’opération Sentinelle. Le régiment d'Aquitaine est aussi fortement déployé en région parisienne.
Depuis le début de l'opération Sentinelle, les militaires déployés en patrouilles sur le territoire national ont réalisé de nombreuses actions de secours et d’assistance auprès de la population, démontrant leurs qualités militaires et professionnelles.
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/un-enfant-retrouve-grace-au-35e-ri
samedi 7 mars 2015
vendredi 6 mars 2015
Un sous-marin français coule un porte-avions américain... C'était pour de faux
Lors d'un exercice grandeur nature, le sous-marin nucléaire français Saphir est parvenu à déjouer la vigilance américaine et être en position de faire sombrer le porte-avions Théodore Roosevelt. Le compte-rendu a été retiré du site de la Marine.
Voilà une performance qui flatte nos armées, surtout la Marine nationale. Le Parisien relate ce vendredi le déroulement d'un exercice grandeur nature de 10 jours mené conjointement par la France et les Etats-Unis, mi-février dans l'Atlantique Nord. Et celui-ci est très concluant : le sous-marin nucléaire d'attaque français parvient à être en position de faire couler le porte-avions américain, le Théodore Roosevelt.
Le scénario de la mission est celui d'une attaque d'Etats fictifs contre les intérêts économiques des Etats-Unis. En premier lieu, le Saphir joue le rôle d'escorte pour l'armée américaine. Il surveille les activités ennemies pour et fait remonter les informations aux alliés. En deuxième partie, le sous-marin français prend un rôle offensif. Il rejoint les rangs ennemis et teste la défense de l'armée américaine.
Avions et navires incapables de repérer le sous-marin
"Le Saphir s'est glissé discrètement au cœur de l'écran formé par les frégates américaines protégeant le porte-avions, tout en évitant la contre-détection des moyens aériens omniprésents", décrit la Marine nationale, citée par le Parisien. Au dernier jour de l'exercice, le Saphir est en "position idéale", déjouant avions et navires. L'ordre de feu est donné. Le porte-avions américain coule "fictivement".
Le compte-rendu de cet exercice a été publié sur le site de la Marine nationale avant d'être retiré pour des raisons inconnues. Interrogée par le quotidien, celle-ci tempère : "La performance du Saphir eu un fort retentissement mais cela peut arriver dans l'autre sens."
jeudi 5 mars 2015
Vigipirate prolongé : gare à la fatigue des militaires
Au lendemain de l'annonce par le ministre de l'Intérieur de la prolongation "de plusieurs mois" du plan Vigipirate tel qu'il est depuis les attentats de janvier, l'association des gendarmes d'active GendXXI met en garde contre les risques de fatigue des militaires déployés depuis deux mois et insiste sur la nécessité de recruter des forces supplémentaires.
Cela fait maintenant deux mois que le plan Vigipirate a été renforcé. Depuis les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher, ce sont ainsi quelque 10.500 militaires qui sont mobilisés pour protéger 830 "sites sensibles" en France dont 310, principalement juifs, en Ile-de-France. Des effectifs de l'armée de Terre qui viennent s'ajouter aux 4.700 policiers et gendarmes déjà mobilisés au quotidien dans le cadre de ce dispositif. Pb : la situation de France fait que cela va durer "encore plusieurs mois" a annoncé mercredi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.
Une mobilisation sans précédent qui menace toutefois d'épuiser les effectifs soumis à rude épreuve, met en garde Jean-Hugues Matelly, président de l'association des gendarmes d'active GendXXI. "Pour l'instant tout va bien mais dans la mesure où le plan Vigipirate va durer, il est nécessaire de recruter tant dans la gendarmerie que dans l'armée de terre pour permettre aux effectifs engagés de tourner (...) sinon nous aurons des personnels trop fatigués et qui ne seront donc plus efficace sur le plan de la qualité", explique ce gendarme sur LCI. En clair, le risque, c'est la bavure. "Nous avons des militaires qui sont postés au milieu de citoyens avec des armes de guerre, explique le président de GendXXI. Ils doivent pouvoir réagir de manière instantanée et pertinente, ce qui est difficile quand on est fatigué moralement et nerveusement". Jean-Hugues Matelly insiste sur le fait qu'il faut lancer le recrutement dès maintenant pour avoir le temps de former de nouvelles recrues capables d'assurer la relève à compter de cet été.
Un début de réponse est arrivé dès hier, une source gouvernementale ayant annoncé que l'Etat envisageait de préserver plusieurs milliers de postes de militaires qui devaient disparaître, en plus des 7.500 suppressions de postes déjà annulées par François Hollande, afin de faire face aux besoins du plan Vigipirate. "Le calcul n'est pas fait", mais le nombre total de postes finalement maintenu pourrait se rapprocher de "14.000 ou 15.000", a précisé cette source à l'afp. Autant dire que le casse-tête budgétaire du ministère de la Défense risque de se corser encore un peu plus au cours des prochains mois.
Manif d'interprètes de l'Armée française
Une vingtaine d'anciens interprètes de l'armée française ont manifesté aujourd'hui à Kaboul pour demander des visas et la "protection" de la France face à une situation en Afghanistan qui, selon eux, se détériore de jour en jour.
"On reçoit toujours des menaces. On ne peut pas sortir de la maison, on ne peut même pas aller acheter quelque chose au bazar", a expliqué Abdul Raziq, l'un d'entre eux. "Nous voulons que l'Etat français nous protège" car la situation pour les interprètes "s'aggrave de jour en jour" dans un pays confronté à l'insurrection talibane, a-t-il ajouté.
Depuis le centre de Kaboul, le petit groupe s'est dirigé à pied vers l'ambassade de France, avant d'être rapidement bloqué à un poste de contrôle gardé par des policiers afghans. Trois d'entre eux ont toutefois pu accéder aux portes de l'ambassade et ont échangé quelques mots avec un attaché militaire. Interrogée, l'ambassade affirme que la communication sur cette question revient à Paris.
Selon les manifestants, une centaine de personnes ayant travaillé pour l'armée française entre 2002 et 2014 en Afghanistan n'ont pas obtenu de visa pour la France, alors que quelques-uns seulement ont obtenu le sésame.
En Afghanistan, les forces françaises ont fait appel à près de 800 personnels civils de recrutement local (PCRL). En 2013, après le retrait des troupes de combat françaises, "76 Afghans, dont 60 interprètes" étaient toujours employés par les forces françaises, selon un rapport de la Commission de la défense de l'Assemblée nationale.
Les interprètes affirment avoir reçu, il y a quelques mois, un document leur signifiant la fin du processus de distribution de visas. Et ils demandent la réouverture de ce processus. Par ailleurs, les anciens interprètes dénoncent, selon eux, une discrimination à l'emploi dans leur propre pays. "On ne peut pas trouver de travail car on est tous discriminés", a affirmé Abdul Raziq en affirmant que la mention de leur expérience avec l'armée française sur leurs CV les pénalise.
Selon Momand Daryouch, un autre ancien employé de l'armée française, "l'interprète doit avoir la même valeur que l'arme du soldat parce que nous étions le seul moyen de contact avec la population. On ne peut pas nous laisser comme ça". "On est quelques dizaines seulement à être restés face aux dangers et aux menaces alors que des milliers de personnes viennent en clandestins en France", a-t-il ajouté.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/05/97001-20150305FILWWW00174-manif-d-interpretes-de-l-armee-francaise.php
"On reçoit toujours des menaces. On ne peut pas sortir de la maison, on ne peut même pas aller acheter quelque chose au bazar", a expliqué Abdul Raziq, l'un d'entre eux. "Nous voulons que l'Etat français nous protège" car la situation pour les interprètes "s'aggrave de jour en jour" dans un pays confronté à l'insurrection talibane, a-t-il ajouté.
Depuis le centre de Kaboul, le petit groupe s'est dirigé à pied vers l'ambassade de France, avant d'être rapidement bloqué à un poste de contrôle gardé par des policiers afghans. Trois d'entre eux ont toutefois pu accéder aux portes de l'ambassade et ont échangé quelques mots avec un attaché militaire. Interrogée, l'ambassade affirme que la communication sur cette question revient à Paris.
Selon les manifestants, une centaine de personnes ayant travaillé pour l'armée française entre 2002 et 2014 en Afghanistan n'ont pas obtenu de visa pour la France, alors que quelques-uns seulement ont obtenu le sésame.
En Afghanistan, les forces françaises ont fait appel à près de 800 personnels civils de recrutement local (PCRL). En 2013, après le retrait des troupes de combat françaises, "76 Afghans, dont 60 interprètes" étaient toujours employés par les forces françaises, selon un rapport de la Commission de la défense de l'Assemblée nationale.
Les interprètes affirment avoir reçu, il y a quelques mois, un document leur signifiant la fin du processus de distribution de visas. Et ils demandent la réouverture de ce processus. Par ailleurs, les anciens interprètes dénoncent, selon eux, une discrimination à l'emploi dans leur propre pays. "On ne peut pas trouver de travail car on est tous discriminés", a affirmé Abdul Raziq en affirmant que la mention de leur expérience avec l'armée française sur leurs CV les pénalise.
Selon Momand Daryouch, un autre ancien employé de l'armée française, "l'interprète doit avoir la même valeur que l'arme du soldat parce que nous étions le seul moyen de contact avec la population. On ne peut pas nous laisser comme ça". "On est quelques dizaines seulement à être restés face aux dangers et aux menaces alors que des milliers de personnes viennent en clandestins en France", a-t-il ajouté.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/05/97001-20150305FILWWW00174-manif-d-interpretes-de-l-armee-francaise.php
mercredi 4 mars 2015
Plan Vigipirate étendu: La mobilisation continue pour le 3e RG et le 1er RAMa
Les niveaux actuels du plan Vigipirate, « alerte attentats » pour l’Ile-de-France et les Alpes-Maritimes et « vigilance renforcée » pour le reste de la France, sont prolongés jusqu’au 10 avril au moins et le seront pour « plusieurs mois », a-t-on appris mercredi de source gouvernent
Depuis les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher, 10.500 militaires protègent 830 « sites sensibles » en France dont 310, principalement juifs, en Ile-de-France. Les niveaux d’alerte, qui sont en théorie prolongés chaque semaine, ont d’ores et déjà été prolongés jusqu’au 10 avril et vont l’être pendant « très longtemps », c’est-à-dire « plusieurs mois ».
Sollicité sur cette information, Matignon, qui a la main sur le dispositif Vigipirate, a simplement confirmé que « le dispositif est prolongé » et que « le niveau des effectifs est prolongé aussi longtemps que nécessaire ». Le 3e Régiment du Génie de Charleville-Mézières et le 1er Régiment d’artillerie Marine de Châlons-en-Champagne participent activement à cette « opération sentinelle » sur l’ensemble du territoire. L’Armée reste plutôt évasive sur le sujet et volontairement imprécise « pour des raisons de sécurité », invoque-t-elle.
Une compagnie du 3e Régiment du Génie – soit une centaine d’hommes – est mobilisée dans le Nord de la France, hors département des Ardennes. Pour le 1er RAMa de Châlons-en-Champagne, il s’agit au total « d’une cinquantaine de personnels, dont les réservistes de la 5e batterie ». Ils sont eux aussi en mission dans le Nord du pays, hors département de la Marne.
Cette mobilisation sans précédent, qui entraîne aussi d’importants surcoûts budgétaires, menace toutefois d’épuiser les effectifs soumis à rude épreuve. Même si les niveaux d’alerte sont prolongés, l’exécutif pourrait, par « logique d’adaptation », adapter le dispositif, selon une source gouvernementale.
Le gouvernement a, à plusieurs reprises, affiché sa détermination à poursuivre l’opération Sentinelle autant que nécessaire face à la menace d’attentats toujours très élevée visant la France. Manuel Valls avait assuré mi-février que le plan Vigipirate serait prolongé « autant que nécessaire, tant que la menace (terroriste) reste élevée ». « Il faut dire la vérité aux Français (…) Il faut s’habituer à vivre avec cette menace terroriste qui est le fruit d’organisations internationales particulièrement barbares », avait prévenu le Premier ministre.
C’est l’agression le 3 février de trois militaires en faction devant un centre communautaire juif à Nice qui avait entraîné le relèvement par Manuel Valls au niveau « alerte attentat » du plan Vigipirate dans les Alpes-Maritimes.
http://www.lunion.com/node/409901
Depuis les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher, 10.500 militaires protègent 830 « sites sensibles » en France dont 310, principalement juifs, en Ile-de-France. Les niveaux d’alerte, qui sont en théorie prolongés chaque semaine, ont d’ores et déjà été prolongés jusqu’au 10 avril et vont l’être pendant « très longtemps », c’est-à-dire « plusieurs mois ».
Sollicité sur cette information, Matignon, qui a la main sur le dispositif Vigipirate, a simplement confirmé que « le dispositif est prolongé » et que « le niveau des effectifs est prolongé aussi longtemps que nécessaire ». Le 3e Régiment du Génie de Charleville-Mézières et le 1er Régiment d’artillerie Marine de Châlons-en-Champagne participent activement à cette « opération sentinelle » sur l’ensemble du territoire. L’Armée reste plutôt évasive sur le sujet et volontairement imprécise « pour des raisons de sécurité », invoque-t-elle.
Une compagnie du 3e Régiment du Génie – soit une centaine d’hommes – est mobilisée dans le Nord de la France, hors département des Ardennes. Pour le 1er RAMa de Châlons-en-Champagne, il s’agit au total « d’une cinquantaine de personnels, dont les réservistes de la 5e batterie ». Ils sont eux aussi en mission dans le Nord du pays, hors département de la Marne.
Cette mobilisation sans précédent, qui entraîne aussi d’importants surcoûts budgétaires, menace toutefois d’épuiser les effectifs soumis à rude épreuve. Même si les niveaux d’alerte sont prolongés, l’exécutif pourrait, par « logique d’adaptation », adapter le dispositif, selon une source gouvernementale.
Le gouvernement a, à plusieurs reprises, affiché sa détermination à poursuivre l’opération Sentinelle autant que nécessaire face à la menace d’attentats toujours très élevée visant la France. Manuel Valls avait assuré mi-février que le plan Vigipirate serait prolongé « autant que nécessaire, tant que la menace (terroriste) reste élevée ». « Il faut dire la vérité aux Français (…) Il faut s’habituer à vivre avec cette menace terroriste qui est le fruit d’organisations internationales particulièrement barbares », avait prévenu le Premier ministre.
C’est l’agression le 3 février de trois militaires en faction devant un centre communautaire juif à Nice qui avait entraîné le relèvement par Manuel Valls au niveau « alerte attentat » du plan Vigipirate dans les Alpes-Maritimes.
http://www.lunion.com/node/409901
mardi 3 mars 2015
lundi 2 mars 2015
Toul : s’engager pour servir »
Nancy. Malgré une réduction drastique de ses effectifs, l’armée de l’air continue à recruter pour faire face aux départs naturels annuels de quelque 3.500 militaires. La BA 133 de Nancy-Ochey participe à cette opération de recrutement pilotée par le colonel Olivier Lapray.
Quels sont les profils recherchés par l’armée de l’air dans cette opération ?
Il faut être français et être âgé de 18 et 25 ans. Notre recrutement va du niveau 3e à bac + 5. Nous proposons une cinquantaine de métiers à destination d’officiers, sous-officiers et militaires du rang. Pour les deux premières catégories, le recrutement et national et s’effectue au niveau du Cirfa. Pour les militaires du rang, le recrutement s’effectue au niveau local, et donc directement sur les sites militaires comme la BA 133.
Quels sont vos besoins spécifiques ?
Une vingtaine de postes sont à pourvoir jusqu’à octobre. Nous ne réclamons ni compétence ni expérience aux candidats, c’est l’armée qui les formera. Ils s’engagent juste à servir pour un premier contrat de 4 ans. Il s’agit d’un recrutement social au sens noble du terme. Dès leur engagement, les recrues partent en formation militaire de 8 semaines à Saintes et perçoivent leur solde de 1.316 € net. Ils suivent ensuite une formation spécifique de 4 semaines à plusieurs mois selon les métiers. Ils sont en outre habillés et peuvent bénéficier gratuitement d’une chambre sur la base.
Comment se déroule le recrutement ?
C’est la cellule recrutement de la base qui reçoit les candidatures. Les candidats qui devront montrer leur motivation et leur savoir-être passeront devant le commandant de l’unité qui les accueillera. C’est lui qui mènera l’entretien. Il sera accompagné d’un sous-officier et d’un militaire du rang affecté au même type de poste. Des tests médicaux et sportifs seront également réalisés. Dès son recrutement, le candidat sait donc quel métier il exercera et sur quelle base il sera affecté. À noter enfin que tous les postes à pourvoir sans exception sont mixtes. C’est vraiment une belle opportunité pour la jeunesse, avec une possibilité d’obtenir une première expérience professionnelle ou de faire carrière ensuite dans l’armée de l’air.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/03/02/s-engager-pour-servir
Quels sont les profils recherchés par l’armée de l’air dans cette opération ?
Il faut être français et être âgé de 18 et 25 ans. Notre recrutement va du niveau 3e à bac + 5. Nous proposons une cinquantaine de métiers à destination d’officiers, sous-officiers et militaires du rang. Pour les deux premières catégories, le recrutement et national et s’effectue au niveau du Cirfa. Pour les militaires du rang, le recrutement s’effectue au niveau local, et donc directement sur les sites militaires comme la BA 133.
Quels sont vos besoins spécifiques ?
Une vingtaine de postes sont à pourvoir jusqu’à octobre. Nous ne réclamons ni compétence ni expérience aux candidats, c’est l’armée qui les formera. Ils s’engagent juste à servir pour un premier contrat de 4 ans. Il s’agit d’un recrutement social au sens noble du terme. Dès leur engagement, les recrues partent en formation militaire de 8 semaines à Saintes et perçoivent leur solde de 1.316 € net. Ils suivent ensuite une formation spécifique de 4 semaines à plusieurs mois selon les métiers. Ils sont en outre habillés et peuvent bénéficier gratuitement d’une chambre sur la base.
Comment se déroule le recrutement ?
C’est la cellule recrutement de la base qui reçoit les candidatures. Les candidats qui devront montrer leur motivation et leur savoir-être passeront devant le commandant de l’unité qui les accueillera. C’est lui qui mènera l’entretien. Il sera accompagné d’un sous-officier et d’un militaire du rang affecté au même type de poste. Des tests médicaux et sportifs seront également réalisés. Dès son recrutement, le candidat sait donc quel métier il exercera et sur quelle base il sera affecté. À noter enfin que tous les postes à pourvoir sans exception sont mixtes. C’est vraiment une belle opportunité pour la jeunesse, avec une possibilité d’obtenir une première expérience professionnelle ou de faire carrière ensuite dans l’armée de l’air.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/03/02/s-engager-pour-servir
dimanche 1 mars 2015
Suivez les soldats ardennais du 3e RG en Guyane
Ces militaires vont rester quatre mois sur place. Leur mission : lutter contre l’orpaillage illégal. « Nous sommes présents sur trois emprises, explique leur commandant, le capitaine M. : une section à Grand Santi, deux sections à Saint-Jean-du-Maroni et une section à Cayenne. Une relève est organisée tous les mois. »
« C’est la mission la plus opérationnelle que je connaisse, indique le capitaine, mais aussi la plus contraignante en termes de préparation ». Cette dernière s’est faite en deux temps : sur la garnison et hors garnison. Elle a duré d’octobre à décembre 2014, incluant une période de six semaines consécutives de terrain passées à Modane et Valdahon.
Une préparation plus que solide, permettant de supporter des conditions de travail éprouvantes : « l’enfer vert guyanais » (la forêt équatoriale) et le climat aussi chaud qu’humide (29 degrés et 100 % d’humidité).
« À partir de Saint-Jean, reprend le capitaine M., nous participons au contrôle d’une zone de 15 000 kilomètres carrés. Soit trois fois les Ardennes. Depuis le 29 janvier, nous avons patrouillé 14 fois en forêt. Autrement dit, à un rythme assez soutenu. »
Suivez le reportage des reporters de l'Union sur ce lien ... http://www.lardennais.fr/406556/article/2015-02-28/en-images-six-heures-de-pirogue-pour-rejoindre-le-3e-rg-de-charleville-en-guyane
« C’est la mission la plus opérationnelle que je connaisse, indique le capitaine, mais aussi la plus contraignante en termes de préparation ». Cette dernière s’est faite en deux temps : sur la garnison et hors garnison. Elle a duré d’octobre à décembre 2014, incluant une période de six semaines consécutives de terrain passées à Modane et Valdahon.
Une préparation plus que solide, permettant de supporter des conditions de travail éprouvantes : « l’enfer vert guyanais » (la forêt équatoriale) et le climat aussi chaud qu’humide (29 degrés et 100 % d’humidité).
« À partir de Saint-Jean, reprend le capitaine M., nous participons au contrôle d’une zone de 15 000 kilomètres carrés. Soit trois fois les Ardennes. Depuis le 29 janvier, nous avons patrouillé 14 fois en forêt. Autrement dit, à un rythme assez soutenu. »
Suivez le reportage des reporters de l'Union sur ce lien ... http://www.lardennais.fr/406556/article/2015-02-28/en-images-six-heures-de-pirogue-pour-rejoindre-le-3e-rg-de-charleville-en-guyane
Exclusif : 24 heures dans la vie d'une espionne de la DGSE
Elles luttent contre le terrorisme, infiltrent des pays hostiles, participent au maintien de la paix, jonglent entre enfants, amis et double vie. À Paris, pour la première fois, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure a accepté qu’une journaliste rencontre ses femmes de l’ombre, classées top secrètes
Anne affiche la moue de la mère qui culpabilise. « Cette semaine, j’ai oublié trois fois le goûter de ma fille », soupire-t-elle. Ces derniers jours, cette grande brune, regard métallique et corps athlétique moulé dans une veste de cuir noir, dort quasiment au bureau tant la tension grimpe d’heure en heure. Mais cette quadra au look de businesswoman n’a pas les yeux rivés sur des colonnes de chiffres. Non, ingénieur passée par l’ENA, elle est l’adjointe d’un service de renseignement technique à la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) - l’équivalent de la CIA. Soit une équipe de 370 personnes chargées, au moment des attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher début janvier, d’intercepter les communications, les e-mails et les SMS des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly. « On a neutralisé les tueurs, explique-t-elle. Mais il reste de nombreux terroristes dans la nature. Mon travail a un impact sur la sécurité du pays. Alors, quand je suis au bureau, j’oublie tout. Et ma vie de famille passe souvent au second plan. » Dans l’univers opaque du renseignement, Anne occupe un poste hautement stratégique : celui d’experte en cyber-espionnage.
Espionne ! Le mot affole l’imagination… Mais oubliez les scènes de ménage au fusil-mitrailleur entre Angelina Jolie et Brad Pitt dans Mr. & Mrs. Smith. Exceptionnellement, Madame Figaro a pu pénétrer dans l’enceinte ultra-sécurisée de la DGSE, hérissée de herses et de barbelés, située boulevard Mortier, à Paris. Quelques jours après les attentats du 7 janvier, le plus puissant service du renseignement français - 6 000 personnes, 600 millions d’euros de budget annuel - nous a ouvert ses portes pour rencontrer des agents secrets au féminin. D’emblée, déminons tout fantasme. Avec leurs silhouettes classiques chics, elles évoquent plus Carrie Mathison, l’héroïne de la série Homeland qui poursuit des terroristes au Pakistan, que des James Bond girls avec un revolver caché dans le porte-jarretelles. « Aux antipodes des “Hirondelles”, ces espionnes qui couchaient avec l’ennemi pour obtenir des informations sur l’oreiller, les professionnelles des services secrets se sont imposées pendant la Seconde Guerre mondiale pour leur expertise et leur détermination », rappelle l’historien Bruno Fuligni. Depuis les années 1990, avec la démilitarisation de la DGSE, leur nombre a triplé, pour atteindre 26 % en 2013. « Elles occupent désormais les mêmes postes que les hommes », souligne Philippe Hayez, enseignant à Sciences Po Paris.................... LA SUITE DE CET ARTICLE SUR CE LIEN .......... http://madame.lefigaro.fr/societe/dgseparis-nid-despionnes-230215-94803
Anne affiche la moue de la mère qui culpabilise. « Cette semaine, j’ai oublié trois fois le goûter de ma fille », soupire-t-elle. Ces derniers jours, cette grande brune, regard métallique et corps athlétique moulé dans une veste de cuir noir, dort quasiment au bureau tant la tension grimpe d’heure en heure. Mais cette quadra au look de businesswoman n’a pas les yeux rivés sur des colonnes de chiffres. Non, ingénieur passée par l’ENA, elle est l’adjointe d’un service de renseignement technique à la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) - l’équivalent de la CIA. Soit une équipe de 370 personnes chargées, au moment des attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher début janvier, d’intercepter les communications, les e-mails et les SMS des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly. « On a neutralisé les tueurs, explique-t-elle. Mais il reste de nombreux terroristes dans la nature. Mon travail a un impact sur la sécurité du pays. Alors, quand je suis au bureau, j’oublie tout. Et ma vie de famille passe souvent au second plan. » Dans l’univers opaque du renseignement, Anne occupe un poste hautement stratégique : celui d’experte en cyber-espionnage.
Espionne ! Le mot affole l’imagination… Mais oubliez les scènes de ménage au fusil-mitrailleur entre Angelina Jolie et Brad Pitt dans Mr. & Mrs. Smith. Exceptionnellement, Madame Figaro a pu pénétrer dans l’enceinte ultra-sécurisée de la DGSE, hérissée de herses et de barbelés, située boulevard Mortier, à Paris. Quelques jours après les attentats du 7 janvier, le plus puissant service du renseignement français - 6 000 personnes, 600 millions d’euros de budget annuel - nous a ouvert ses portes pour rencontrer des agents secrets au féminin. D’emblée, déminons tout fantasme. Avec leurs silhouettes classiques chics, elles évoquent plus Carrie Mathison, l’héroïne de la série Homeland qui poursuit des terroristes au Pakistan, que des James Bond girls avec un revolver caché dans le porte-jarretelles. « Aux antipodes des “Hirondelles”, ces espionnes qui couchaient avec l’ennemi pour obtenir des informations sur l’oreiller, les professionnelles des services secrets se sont imposées pendant la Seconde Guerre mondiale pour leur expertise et leur détermination », rappelle l’historien Bruno Fuligni. Depuis les années 1990, avec la démilitarisation de la DGSE, leur nombre a triplé, pour atteindre 26 % en 2013. « Elles occupent désormais les mêmes postes que les hommes », souligne Philippe Hayez, enseignant à Sciences Po Paris.................... LA SUITE DE CET ARTICLE SUR CE LIEN .......... http://madame.lefigaro.fr/societe/dgseparis-nid-despionnes-230215-94803
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