vendredi 23 février 2018

Animaux, emblèmes des armées

Mise au point !

Un mouvement d'humeur bien compréhensible devant l'acharnement de certains médias à dénigrer une Noble institution. Lieutenant-Colonel (ER) Serge DELAHAYE.
LIBRE OPINION du Général (2s) Gilbert ROBINET : Le porte-drapeau
Posté le lundi 19 février 2018
Depuis plusieurs mois, la chronique judiciaire s’invite régulièrement à la une de nos journaux ou sur nos différents écrans, à propos de sordides affaires criminelles. Dans le cadre de l’une d’entre elles, particulièrement odieuse, est cité pratiquement quotidiennement un individu qui a avoué avoir provoqué la mort d’une fillette de 9 ans. Mais, sans doute parce que cela est plus vendeur, son nom est systématiquement affublé du qualificatif de militaire ou, plus rarement, d’ancien militaire.
Or, il se trouve que si celui dont on parle s’est effectivement engagé pour cinq ans dans l’armée de Terre, en 2002, à 19 ans, au titre du 132e bataillon cynophile de Suippes, il a été réformé (façon polie pour dire renvoyé ou « viré ») en avril 2005 alors que son contrat courait jusqu’à 2007, pour troubles psychologiques et consommation de stupéfiants.
Plutôt que de parler d’ancien militaire, il serait donc plus juste et plus significatif de dire « celui dont l’armée n’a pas voulu ».
Mais il y a un autre personnage, tout à fait remarquable celui-là, qui fait également la une de nos média. Celui-ci est un vrai militaire, mais là, on ne le dit jamais. Il s’agit du lieutenant Martin Fourcade, porte-drapeau de l’équipe de France aux jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang. Il vient d’ailleurs de préfacer un ouvrage consacré aux troupes de montagne. Voici ce qu’il a écrit :
La montagne, je la pratique, la vis, m’y entraîne et la parcours de mille façons différentes et en toutes saisons : en tant que sportif de haut niveau et soldat de montagne. Ce sont des expériences complémentaires qui s’enrichissent l’une de l’autre. Car elles ont le même ADN, les mêmes racines, les mêmes valeurs.
La première d’entre elles : l’humilité. Elle est nécessaire face à un environnement naturel puissant, magnifique, imprévisible et parfois dangereux. Les sportifs le savent bien et les soldats de montagne, dont j’ai la fierté de faire partie, encore plus.
La montagne impose une faculté d’adaptation aux conditions et une capacité à se dépasser. Il faut aussi de la rigueur, du courage pour faire face…que ce soit seul face à mes adversaires sur un parcours de biathlon ou avec une unité de soldats solidaires lors d’un entraînement.
Ce qui est certain, c’est que nous cultivons un état d’esprit unique face à un environnement qui ne pardonne pas les erreurs. Les centièmes se perdent vite avec une mauvaise glisse, une cible est facilement ratée par manque de concentration, et un manque de préparation peut avoir des conséquences importantes en opération. J’appartiens à deux familles et cette double ascendance me rend plus fort, dans les défaites comme dans les victoires.
Vive les troupes de montagne !

Missions du CPOIA | Développer

mercredi 21 février 2018

Barkhane : décès du sergent-chef Emilien Mougin et du brigadier-chef Timothé Dernoncourt

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Ce 21 février matin, un véhicule blindé léger du groupement tactique désert blindé engagé dans l’opération Barkhane a été frappé par un engin explosif improvisé dans la région de Ménaka au Mali. L’explosion a provoqué la mort de deux soldats du 1er régiment de spahis, et blessé un autre.

Les sergent-chef Mougin et brigadier-chef Dernoncourt sont tombés dans l’accomplissement de leur mission.

Mali: Deux soldats français de l'opération Barkhane tués et un autre blessé

Deux soldats français ont été tués et un autre blessé, ce mercredi matin près de Gao au Mali, a indiqué une source militaire.

Un véhicule blindé de l'opération Barkhane a heurté un engin explosif dans la région d’Indelimane, tuant deux soldats français et en blessant un autre, a confirmé l'armée.

Mots-clés :

La Musique de la Légion étrangère au Vélodrome.

Coopération franco-américaine entre terre et mer

vendredi 2 février 2018

Accident de Gazelle dans le Var : l’Armée de Terre déplore le décès de cinq officiers

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Armée de Terre

Accident de Gazelle dans le Var : l’Armée de Terre déplore le décès de cinq officiers, pilotes de l’aviation légère de l’armée de Terre.
Le vendredi 2 février 2018, deux hélicoptères de l’école de l’aviation légère de l’armée de Terre (EALAT) basés à Cannet-des-Maures se sont écrasés sur la commune de Carcès. L’accident s’est produit lors d’un vol d’instruction.

Crash d'hélicoptère: Macron et Philippe saluent «l'engagement» des pilotes

Emmanuel Macron et Edouard Philippe ont salué "l'engagement" des cinq pilotes d'hélicoptères de l'armée de Terre morts dans le crash de deux appareils ce matin dans le Var, et adressé leurs condoléances à leurs familles, leurs proches et leurs "frères d'armes".
Le président de la République et le Premier ministre ont appris "avec une grande émotion" ces morts accidentelles, selon les communiqués de l'Elysée et de Matignon. Le président de la République "exprime son profond respect pour l'engagement de ces officiers qui s'entraînaient afin de se préparer à leurs futures missions" et "rappelle que les militaires de l'armée de Terre, comme ceux des autres armées françaises, sont engagés chaque jour dans de multiples opérations qu'ils remplissent, avec courage et efficacité, pour notre sécurité". Il "adresse ses très sincères condoléances aux familles et aux proches de ces militaires ainsi qu'à leurs camarades. Il les assure de la pleine solidarité de la nation en ces douloureuses circonstances".
  1. Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/


Opération amphibie : projection à partir de la mer

Le 519e GTM en action.....