vendredi 27 juillet 2018

Décès accidentel d'un commando marine français à Djibouti

Un commando marine français est mort samedi dernier dans un accident de circulation à Djibouti, où il était en mission, a annoncé la Marine dans un communiqué.
Membre du commando de Penfentenyo, au sein duquel il était spécialisé dans le renseignement, le premier-maître Arnaud Peyrony-Rapatout était âgé de 37 ans et père d'une fille. Ce sous-officier des forces spéciales maintes fois décoré avait participé à des opérations en Afghanistan, en Côte d'Ivoire, en Guyane française, ou encore au Levant.
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Tour de France - opération témoins de sécurité 2018 avec la gendarmerie

mercredi 11 juillet 2018

L'armée de Terre déplore le décès en Côte d’Ivoire du lieutenant Alexandre ARNAUD du 3RHC - 3ème régiment d'hélicoptères de combat d'Étain.

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 L'armée de Terre déplore le décès en Côte d’Ivoire du lieutenant Alexandre ARNAUD du 3RHC - 3ème régiment d'hélicoptères de combat d'Étain.

Né le 21 février 1993 à Saint-Etienne, le lieutenant Alexandre ARNAUD a servi la France pendant plus de 6 ans. Le lieutenant ARNAUD s’engage le 16 avril 2012 comme officier sous-contrat pilote. Il est nommé aspirant le 1er mai 2012. Après avoir suivi son cursus de formation initiale aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, il effectue sa formation de pilote à l’école de l’aviation légère de l’armée de Terre de Dax pendant un an. Il se spécialise ensuite sur hélicoptère d’attaque à l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre du Luc en Provence.

Breveté pilote le 14 février 2014, il est affecté au 3e régiment d’hélicoptères de combat à Etain au sein de la 2e escadrille d’hélicoptères de reconnaissance et d’attaque comme pilote sur hélicoptère Gazelle. Sa droiture et ses qualités militaires y sont unanimement reconnues. Il obtient l’ensemble des qualifications exigées avec d’excellents résultats et démontre de réelles qualités de pilote de combat.

Promu sous-lieutenant le 1er mai 2016, puis lieutenant le 1er mai 2017, le lieutenant ARNAUD se distingue dans toutes les missions qui lui sont confiées par ses grandes qualités humaines et une très grande rigueur. Volontaire et passionné par le métier des armes, il prend part en 2018 à une première mission de courte durée à Djibouti où il acquiert une expérience de pilote en milieu désertique.

Le lieutenant Alexandre ARNAUD est engagé à la mi-juin 2018 en république de Côte d’Ivoire comme pilote sur hélicoptère de reconnaissance et d’attaque. Le 10 juillet 2018, vers 17 heures (heure locale), l'hélicoptère Gazelle du lieutenant Alexandre ARNAUD s’est écrasé à 20 km à l'est d’Abidjan. Il participait à un entraînement au profit des forces ivoiriennes. Les forces françaises sur place sont immédiatement intervenues pour porter assistance à l’équipage. Les deux blessés ont été évacués vers la structure médicale des forces françaises en Côte d’Ivoire. Le lieutenant ARNAUD est décédé des suites de ses blessures en fin de soirée.

Décoré en 2015 de la médaille de bronze de la défense nationale, le lieutenant Alexandre ARNAUD était apprécié unanimement de ses pairs comme de ses subordonnés. Il était un jeune officier pilote de combat de grande qualité.

Agé de 25 ans, célibataire sans enfant, le lieutenant Alexandre ARNAUD est mort en service aérien commandé durant une mission d’entraînement en république de Côte d’Ivoire.

Les coulisses du 14 juillet 2018 : FRANCE BELGIQUE

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dimanche 1 juillet 2018

Attentat terroriste au Mali ! Il y aurait deux soldats français tués et huit blessés.

Des soldats français de l'opération Barkhane ont été visés dimanche par une attaque «terroriste» dans la région de Gao, dans le centre-nord du Mali, ont indiqué des sources militaires occidentale et malienne. «Des militaires francais de l'opération Barkhane sont tombés ce dimanche dans une embuscade tendue par des terroristes à la sortie qui mène vers la localité de Bourem», a déclaré la source militaire occidentale. Une source militaire malienne a confirmé cette information
Les assaillants ont fait exploser une voiture piégée contre un ou deux véhicules blindés à bord desquels circulaient des éléments de Barkhane, a précisé l'une de ses sources. Une fusillade a suivi pendant plus de 15 minutes, a-t-elle dit à Reuters. «Il y a des morts et des blessés», a-t-elle affirmé.
Le Ministère malien de la Défense annonce deux soldats français tués et huit blessés.
«Des militaires français de l'opération Barkhane sont tombés ce dimanche dans une embuscade tendue par des terroristes à la sortie qui mène vers la localité de Bourem», a déclaré la source militaire occidentale. Une source militaire malienne a confirmé cette information.
Une habitante de Gao a déclaré, à l'AFP, de son côté que «c'est une patrouille de l'opération Barkhane qui a été visée par une voiture piégée conduite par un kamikaze (...) de Gao». «Très vigilant, un blindé lui a barré la voie et le véhicule kamikaze s'est fait exploser», a déclaré Fatouma Wangara, ajoutant que des hélicoptères de la force Barkhane survolaient le ciel au-dessus de Gao. «Le périmètre de l'attaque a été complètement bouclé par les militaires français», a indiqué un jeune habitant de Gao, ajoutant que des blessés ont été acheminés à l'hôpital de Gao.
Cette attaque survient alors que le sommet de l'Union africaine s'est ouvert à Nouakchott, deux jours après un attentat suicide perpétré vendredi au Mali contre le QG de la force conjointe du G5 Sahel lancée en 2017, qui a fait trois morts, dont deux militaires de cette force.
Le président français Emmanuel Macron doit rencontrer lundi à Nouakchott, en marge du sommet de l'UA, ses homologues du G5 Sahel, une organisation régionale regroupant la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad En fin de sommet, M. Macron discutera avec ses homologues du G5 Sahel de la lente montée en puissance de la force conjointe mise en place par cette organisation régionale siégeant à Nouakchott pour lutter contre les djihadistes. La France, qui conduit dans la région l'opération Barkhane, soutient ce projet, y voyant un possible 
Mais sa mise en oeuvre est pour l'instant marquée par les problèmes de financement et les accusations de violations des droits de l'homme par les troupes de la force conjointe, basée à Sévaré (Mali). Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à Al-Qaïda.
Ces groupes en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en janvier 2013 d'une intervention militaire française.Mais des zones entières échappent au contrôle des forces maliennes, françaises et internationales, régulièrement visées par des attaques meurtrières, malgré la signature en mai-juin 2015 d'un accord de paix, censé isoler définitivement les jihadistes, dont l'application accumule les retards.
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LA PIRE ÉPREUVE DE MA VIE ! LÉGION ÉTRANGÈRE

Général de Saint-Quentin : « Relever le défi opérationnel »