Comme c'est le cas tous les jours depuis le début de l'opération de surveillance et d'intervention dans le ciel Libyen, un Awacs de la base d'Avord était sur zone lundi.
Ce sont les précautions de sécurité qui surprennent de prime abord. Celles-ci sont expliquées lors de la dotation des vêtements de vol, puis en salle de réunion avec projection d'illustrations, et à nouveau dans l'appareil.
Durant les 5h qu'a duré la mission sur site, l'Awacs devait gérer dans la zone libyenne concernée la présence simultanée et les besoins de 8 tankers (ravitailleurs en vol) et de 10 avions de chasse.
Quant aux informations, qui étaient parfois des ordres, elles ont concerné, en réception ou en émission, le commandement de l'Otan, des ravitailleurs, des chasseurs, des drones, etc.
Dans l'appareil, le travail est intense. Les échanges - anglais exclusif - sont brefs, précis, rapides, mais étonnamment détendus. À l'évidence ceux qui sont là savent ce que gérer le stress veut dire.
Au retour, un vol de 11h20 est annoncé : il correspond au temps où les moteurs ont tourné. En fait, l'avion aura passé 10h50 en l'air, ce qui est presque la limite du carburant emporté.
http://www.lejdc.fr/editions_locales/nevers/embarque_en_mission_awacs_dans_le_ciel_libyen@CARGNjFdJSsBEBgABBs-.html
Ce sont les précautions de sécurité qui surprennent de prime abord. Celles-ci sont expliquées lors de la dotation des vêtements de vol, puis en salle de réunion avec projection d'illustrations, et à nouveau dans l'appareil.
Durant les 5h qu'a duré la mission sur site, l'Awacs devait gérer dans la zone libyenne concernée la présence simultanée et les besoins de 8 tankers (ravitailleurs en vol) et de 10 avions de chasse.
Quant aux informations, qui étaient parfois des ordres, elles ont concerné, en réception ou en émission, le commandement de l'Otan, des ravitailleurs, des chasseurs, des drones, etc.
Dans l'appareil, le travail est intense. Les échanges - anglais exclusif - sont brefs, précis, rapides, mais étonnamment détendus. À l'évidence ceux qui sont là savent ce que gérer le stress veut dire.
Au retour, un vol de 11h20 est annoncé : il correspond au temps où les moteurs ont tourné. En fait, l'avion aura passé 10h50 en l'air, ce qui est presque la limite du carburant emporté.
http://www.lejdc.fr/editions_locales/nevers/embarque_en_mission_awacs_dans_le_ciel_libyen@CARGNjFdJSsBEBgABBs-.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire