Au Mali, leur mission fut éprouvante. Engagés en février dernier dans le cadre de la mission Serval, les 140 militaires du 503e Régiment du Train ont connu des températures à plus de 40 degrés à l'ombre. "Pour ceux qui étaient dans les véhicules, c'était parfois plus de 60 degrés" commente leur chef, le lieutenant-colonel Renaut, de retour, avec ses hommes depuis hier à la base à Nîmes-Garons.
Aucun accident grave
Bilan : une mission réussie, aucun accident grave, ni victime de tirs ou d'engins explosifs. "C'est une satisfaction. Le facteur chance a sans doute joué commente le colonel Renaut. Mais c'est grâce aussi à une bonne préparation qui a pris autant de temps que notre mission sur place."
"Un travail admirable" selon le colonel Renaut
De la mi février 2014 à début juin, au Mali, les militaires du 503e régiment du train, qui composait en grande partie ce bataillon Camargue, ont assuré leur mission de soutien logistique aux troupes françaises engagées sur le terrain.
140 "Tringlots" de Garons
C'est le lieutenant-colonel Eric Renaut du 503e Régiment du Train qui commandait le bataillon logistique de la force Serval, fort de 400 militaires dont 140 hommes venus de la base de Nîmes-Garons.
Quinzaine de convois assurés
Dans cette région de rocailles, de désert, de pistes poussiéreuses, ces spécialistes de la logistique basés à Gao (dans le Nord-Est), prêts à faire face aux tirs de roquettes ou aux engins explosifs, ont assuré une quinzaine de convois et couvert des itinéraires à haut risque pour approvisionner en vivre, eau, carburant, matériel, munitions les troupes françaises isolées déployées sur le terrain jusqu'à la plateforme relais de Tessalit, celle de Kidal à l'Est ou encore pour rejoindre Tombouctou, à l'Ouest.
"Grosse épreuve physique"
"En raison de la température, du terrain très cassant, de tourbillons de la poussière soulevés par le passage des véhicules... ce fut une grosse épreuve physique... Les militaires ont fait un travail admirable pour assurer leur mission...", témoigne le colonel Renaut. Et les mécaniciens ont à l'évidence eu beaucoup de boulot.
Le 4e Régiment du matériel prend le relais
Depuis, le retour du bataillon Camargue en France, ce sont les hommes du 4e Régiment du matériel basé à Nîmes qui ont pris le relais au Mali.
Ce bataillon appelé Salamandre est composé d'hommes issus d'une quinzaine de régiments français ; le 4e Régiment du matériel y a une place prépondérante, avec 70 hommes sur les 262 projetés à Gao. C'est le colonel Olivier Vialade, chef de corps du 4e RMAT qui commande ce bataillon.
http://www.midilibre.fr/2014/06/10/une-mission-eprouvante-au-mali-pour-les-tringlots,1005367.php
Aucun accident grave
Bilan : une mission réussie, aucun accident grave, ni victime de tirs ou d'engins explosifs. "C'est une satisfaction. Le facteur chance a sans doute joué commente le colonel Renaut. Mais c'est grâce aussi à une bonne préparation qui a pris autant de temps que notre mission sur place."
"Un travail admirable" selon le colonel Renaut
De la mi février 2014 à début juin, au Mali, les militaires du 503e régiment du train, qui composait en grande partie ce bataillon Camargue, ont assuré leur mission de soutien logistique aux troupes françaises engagées sur le terrain.
140 "Tringlots" de Garons
C'est le lieutenant-colonel Eric Renaut du 503e Régiment du Train qui commandait le bataillon logistique de la force Serval, fort de 400 militaires dont 140 hommes venus de la base de Nîmes-Garons.
Quinzaine de convois assurés
Dans cette région de rocailles, de désert, de pistes poussiéreuses, ces spécialistes de la logistique basés à Gao (dans le Nord-Est), prêts à faire face aux tirs de roquettes ou aux engins explosifs, ont assuré une quinzaine de convois et couvert des itinéraires à haut risque pour approvisionner en vivre, eau, carburant, matériel, munitions les troupes françaises isolées déployées sur le terrain jusqu'à la plateforme relais de Tessalit, celle de Kidal à l'Est ou encore pour rejoindre Tombouctou, à l'Ouest.
"Grosse épreuve physique"
"En raison de la température, du terrain très cassant, de tourbillons de la poussière soulevés par le passage des véhicules... ce fut une grosse épreuve physique... Les militaires ont fait un travail admirable pour assurer leur mission...", témoigne le colonel Renaut. Et les mécaniciens ont à l'évidence eu beaucoup de boulot.
Le 4e Régiment du matériel prend le relais
Depuis, le retour du bataillon Camargue en France, ce sont les hommes du 4e Régiment du matériel basé à Nîmes qui ont pris le relais au Mali.
Ce bataillon appelé Salamandre est composé d'hommes issus d'une quinzaine de régiments français ; le 4e Régiment du matériel y a une place prépondérante, avec 70 hommes sur les 262 projetés à Gao. C'est le colonel Olivier Vialade, chef de corps du 4e RMAT qui commande ce bataillon.
http://www.midilibre.fr/2014/06/10/une-mission-eprouvante-au-mali-pour-les-tringlots,1005367.php
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