lundi 14 janvier 2013

EN DIRECT. Intervention au Mali : contre-attaque des islamistes ?

Alors que les opérations de l'armée française contre les islamistes se poursuivent, les responsables parlementaires seront reçus par Jean-Marc Ayrault en fin de journée pour être informés de la situation.
Pour la 4e journée consécutive, l'armée française mène ce lundi des offensives au Mali contre les groupes islamistes qui étaient sur le point de s'emparer de la totalité du pays. Débutée vendredi après-midi, son action a permis de faire reculer les terroristes vers le Nord, avec notamment la reprise de Konna et a priori de Gao par l'armée malienne. Sur le plan humain, les différents témoignages font état de plusieurs centaines d'islamistes tués tandis qu'un soldat français est mort vendredi.
Sur le plan politique, François Hollande poursuit ses réunions avant la consultation du Parlement en fin d'après-midi, sans vote.

12h02 : les ministres des Affaires étrangères et de la Défense, Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian, seront aditionnés mercredi par les commissions des Affaires étrangères et de la Défense de l'Assemblée nationale. Cette audition sera ouverte à la presse. La première question qui sera abordée sera "l'exactitude des
conditions dans lesquelles se sont exercées les interventions et vérifier la
légalité".

11h55 : Djbouti, Tchad... : de quelles forces la France disposent-elles en Afrique ? Nos explications.
11h49 : l'Allemagne annonce officiellement étudier une aide "logistique, médicale et humanitaire" à l'intervention française, qu'elle estime "justifiée".
11h45 : conforme à sa doctrine de non-ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays, tout en appelant généralement à une lutte ferme contre les mouvements islamistes, dont elle est elle-même victime, la Chine vient de soutenir, mais du bout des lèvres, l'intervention française. Elle insiste notamment pour le déploiement "aussi vite que possible" de la Force internationale de soutien au Mali (Misma) -uniquement composée de soldats africains- approuvée par le Conseil de sécurité de l'Onu.
11h30 : une seule figure de l'opposition est vraiment en désaccord avec l'intervention : c'est Dominique de Villepin, qui a dénoncé ce week-end le "déjà-vu" dans la guerre contre le terrorisme.
11h07 : selon Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, qui vient de s'exprimer après la réunion ministérielle à l'Elysée, "l'initiative des terroristes a été bloquée". Il parle notamment d'un "repli" des islamistes à l'est, tout en admet un "point difficile" à l'ouest, où les soldats français font face à des hommes "extrêmement armés". "L'évolution de la situation est conforme aux orientations" du président de la République, elle évolue favorablement", conclut-il.
Alors que les opérations de l'armée française contre les islamistes se poursuivent, les responsables parlementaires seront reçus par Jean-Marc Ayrault en fin de journée pour être informés de la situation.
Pour la 4e journée consécutive, l'armée française mène ce lundi des offensives au Mali contre les groupes islamistes qui étaient sur le point de s'emparer de la totalité du pays. Débutée vendredi après-midi, son action a permis de faire reculer les terroristes vers le Nord, avec notamment la reprise de Konna et a priori de Gao par l'armée malienne. Sur le plan humain, les différents témoignages font état de plusieurs centaines d'islamistes tués tandis qu'un soldat français est mort vendredi.
Sur le plan politique, François Hollande poursuit ses réunions avant la consultation du Parlement en fin d'après-midi, sans vote.

12h02 : les ministres des Affaires étrangères et de la Défense, Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian, seront aditionnés mercredi par les commissions des Affaires étrangères et de la Défense de l'Assemblée nationale. Cette audition sera ouverte à la presse. La première question qui sera abordée sera "l'exactitude des
conditions dans lesquelles se sont exercées les interventions et vérifier la
légalité".

11h55 :
Djbouti, Tchad... : de quelles forces la France disposent-elles en Afrique ? Nos explications.
11h49 : l'Allemagne annonce officiellement étudier une aide "logistique, médicale et humanitaire" à l'intervention française, qu'elle estime "justifiée".
11h45 : conforme à sa doctrine de non-ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays, tout en appelant généralement à une lutte ferme contre les mouvements islamistes, dont elle est elle-même victime, la Chine vient de soutenir, mais du bout des lèvres, l'intervention française. Elle insiste notamment pour le déploiement "aussi vite que possible" de la Force internationale de soutien au Mali (Misma) -uniquement composée de soldats africains- approuvée par le Conseil de sécurité de l'Onu.
11h30 : une seule figure de l'opposition est vraiment en désaccord avec l'intervention : c'est Dominique de Villepin, qui a dénoncé ce week-end le "déjà-vu" dans la guerre contre le terrorisme.
11h07 : selon Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, qui vient de s'exprimer après la réunion ministérielle à l'Elysée, "l'initiative des terroristes a été bloquée". Il parle notamment d'un "repli" des islamistes à l'est, tout en admet un "point difficile" à l'ouest, où les soldats français font face à des hommes "extrêmement armés". "L'évolution de la situation est conforme aux orientations" du président de la République, elle évolue favorablement", conclut-il.
11h01 : quelles sont les origines du conflit au Mali ? D'où viennent les armes dont sont équipées les terroristes ? C'est la même réponse pour ces questions géo-stratégiques : la guerre en Libye. Découvrez ci-dessous les explications de Pierre Grange, journaliste à TF1.



Alors que les opérations de l'armée française contre les islamistes se poursuivent, les responsables parlementaires seront reçus par Jean-Marc Ayrault en fin de journée pour être informés de la situation.
Pour la 4e journée consécutive, l'armée française mène ce lundi des offensives au Mali contre les groupes islamistes qui étaient sur le point de s'emparer de la totalité du pays. Débutée vendredi après-midi, son action a permis de faire reculer les terroristes vers le Nord, avec notamment la reprise de Konna et a priori de Gao par l'armée malienne. Sur le plan humain, les différents témoignages font état de plusieurs centaines d'islamistes tués tandis qu'un soldat français est mort vendredi.
Sur le plan politique, François Hollande poursuit ses réunions avant la consultation du Parlement en fin d'après-midi, sans vote.

12h02 : les ministres des Affaires étrangères et de la Défense, Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian, seront aditionnés mercredi par les commissions des Affaires étrangères et de la Défense de l'Assemblée nationale. Cette audition sera ouverte à la presse. La première question qui sera abordée sera "l'exactitude des
conditions dans lesquelles se sont exercées les interventions et vérifier la
légalité".

11h55 :
Djbouti, Tchad... : de quelles forces la France disposent-elles en Afrique ? Nos explications.
11h49 : l'Allemagne annonce officiellement étudier une aide "logistique, médicale et humanitaire" à l'intervention française, qu'elle estime "justifiée".
11h45 : conforme à sa doctrine de non-ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays, tout en appelant généralement à une lutte ferme contre les mouvements islamistes, dont elle est elle-même victime, la Chine vient de soutenir, mais du bout des lèvres, l'intervention française. Elle insiste notamment pour le déploiement "aussi vite que possible" de la Force internationale de soutien au Mali (Misma) -uniquement composée de soldats africains- approuvée par le Conseil de sécurité de l'Onu.
11h30 : une seule figure de l'opposition est vraiment en désaccord avec l'intervention : c'est Dominique de Villepin, qui a dénoncé ce week-end le "déjà-vu" dans la guerre contre le terrorisme.
11h07 : selon Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, qui vient de s'exprimer après la réunion ministérielle à l'Elysée, "l'initiative des terroristes a été bloquée". Il parle notamment d'un "repli" des islamistes à l'est, tout en admet un "point difficile" à l'ouest, où les soldats français font face à des hommes "extrêmement armés". "L'évolution de la situation est conforme aux orientations" du président de la République, elle évolue favorablement", conclut-il.
11h01 : quelles sont les origines du conflit au Mali ? D'où viennent les armes dont sont équipées les terroristes ? C'est la même réponse pour ces questions géo-stratégiques : la guerre en Libye. Découvrez ci-dessous les explications de Pierre Grange, journaliste à TF1.

10h30 : selon l'agenda du président de la République fourni par l'Elysée, une réunion ministérielle était prévue à 10h autour de François Hollande pour faire le point sur l'intervention. Il ne s'agit pas d'un conseil de défense comme c'est le cas depuis vendredi.

10h25 : les premiers vols d'avions de transport militaires britanniques pour appuyer l'opération française doivent débuter aujourd'hui à partir de la base d'Evreux, dans l'Eure, qui servira de plate-forme d'appui pour acheminer le fret". Deux avions C17 britanniques, pouvant notamment embarquer des véhicules blindés type VAB, doivent participer à cette mission. Le Royaume-Uni indique fournir cette aide logistique "à la demande de la France".
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