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Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
lundi 30 août 2010
dimanche 29 août 2010
Fréjus : honneurs militaires aux soldats morts en Afghanistan
La cérémonie d’honneurs militaires en mémoire du capitaine Mezzasalma et du caporal-chef Panezyck s’est déroulée le 27 août 2010 à 14h30 à Fréjus.
Le 21e régiment d’infanterie de marine (21e RIMa) de Fréjus, endeuillé, a rendu hommage à ses deux soldats morts au combat en Afghanistan le 23 août 2010. Monsieur Nicolas Sarkozy, président de la République, a présidé la cérémonie du 27 août, en présence de Monsieur Hervé Morin , ministre de la Défense et de Monsieur Hubert Falco , secrétaire d’État à la Défense et aux anciens combattants (SEDAC). Le général d’armée Elrick Irastorza , chef d’État-major de l’armée de Terre (CEMAT) était aussi présent, aux côtés de nombreuses autorités.
Au cours de cette prise d’armes, le chef de l’État a remis au capitaine Lorenzo Mezzasalma et au caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck la croix de chevalier de la Légion d’honneur .
Ils avaient été promus la veille au grade supérieur à titre posthume. Le CEMAT avait alors remis à chacun la croix de la Valeur militaire avec palme, ainsi que la médaille militaire au caporal-chef
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/frejus-honneurs-militaires-aux-soldats-morts-en-afghanistan
Soldats tués en Afghanistan : cérémonie d'hommage
envoyé par BFMTV. - L'actualité du moment en vidéo.
samedi 28 août 2010
Afghanistan: 2 bases de l'Otan attaquées
Deux attaques ce matin contre deux bases de l'OTAN dans l'est de l'Afghanistan ont été rapidement repoussées, ont annoncé des responsables de la coalition et de la police afghane.
On ne faisait pas état de victimes parmi les forces étrangères ou gouvernementales, mais la police afghane a affirmé qu'au moins 14 assaillants avaient été tués et au moins cinq autres capturés.
Les attaques ont visé la base opérationnelle Salerno et le Camp Chapman dans la prvonce de Khost, à l'heure de la première prière de la journée.
Le secteur, à une centaine de kilomètres au sud-est de la capitale Kaboul, est un foyer taliban. Le Camp Chapman avait déjà été la cible d'un attentat-suicide majeur, un kamikaze entrant dans la base et tuant sept employés de la CIA.
Les assaillants étaient une cinquantaine, selon la police. Après avoir été repoussés des bases, ils ont tenté de s'en prendre aux bureaux du gouvernorat et au siège provincial de la police, mais ont également été repoussés, a précisé le chef de la police Abdul Hakim Ishaqzai.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/28/97001-20100828FILWWW00341-afghanistan-2-bases-de-l-otan-attaquees.php
On ne faisait pas état de victimes parmi les forces étrangères ou gouvernementales, mais la police afghane a affirmé qu'au moins 14 assaillants avaient été tués et au moins cinq autres capturés.
Les attaques ont visé la base opérationnelle Salerno et le Camp Chapman dans la prvonce de Khost, à l'heure de la première prière de la journée.
Le secteur, à une centaine de kilomètres au sud-est de la capitale Kaboul, est un foyer taliban. Le Camp Chapman avait déjà été la cible d'un attentat-suicide majeur, un kamikaze entrant dans la base et tuant sept employés de la CIA.
Les assaillants étaient une cinquantaine, selon la police. Après avoir été repoussés des bases, ils ont tenté de s'en prendre aux bureaux du gouvernorat et au siège provincial de la police, mais ont également été repoussés, a précisé le chef de la police Abdul Hakim Ishaqzai.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/28/97001-20100828FILWWW00341-afghanistan-2-bases-de-l-otan-attaquees.php
Tchad : premier desserrement des Mirage 2000 à Garoua
Le 19 août, deux Mirage 2000C et un C160 Transall de la base aérienne 172 de N’Djamena ont effectué un desserrement à Garoua au Cameroun, à 450 km au sud de la capitale tchadienne. Cette mission était une première pour les Mirage 2000 qui ont relevé les Mirage F1 en juin dernier. Elle rentre dans le cadre du contrat opérationnel de chaque détachement, notamment l’escadron de chasse, qui doit découvrir les installations des différentes plates-formes aéroportuaires (PFA) de desserrement de la région. Garoua, avec sa piste de 3400 mètres, est la PFA idéale.
Les objectifs de cet exercice sont multiples :
- effectuer un entraînement de redéploiement,
- familiariser les pilotes à la procédure de dégagement,
- valider la possibilité d’avitaillement de tous les aéronefs.
Cette dernière partie est très importante. Réalisée par le service des essences des armées (SEA), l'opération consiste à ajouter un additif anti-glace au kérosène des Mirage 2000, livré sur la plate-forme camerounaise. Cet additif permet d'éviter que l'eau présente dans le carburant ne puisse geler pendant des vols à haute altitude. Le SEA a pu tester son mélangeur, qui permet d' ajouter automatiquement au kérosène la quantité d’anti-glace nécessaire pour avitailler les chasseurs.
Le détachement a été accueilli par le LCL Barthélemy Tsilla, directeur de l’école de pilotage de Garoua, et par le LCL François-Régis Delobal, chef du projet Pôle Aéronautique National à Vocation Régionale (PANVR) et responsable de l’équipe de coopérants français au sein de l’école de pilotage de Garoua. Cette école existe depuis 10 ans, produit d’une coopération entre la France et 16 pays africains (Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, République Centrafricaine, Congo Brazzaville, Côte d’Ivoire, Gabon, Ile Maurice, Madagascar, Mali, Niger, R.D Congo, Sénégal, Tchad, Togo).
Elle forme :
- les pilotes d’ULM sur TETRAS, de fabrication française (Hubert aviation),
- les observateurs pilotes,
- les moniteurs ULM,
- les techniciens ULM.
L’école organise chaque année la sélection des stagiaires pour intégrer le cours spécial de l’école de l’air de Salon-de-Provence.
http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites2/tchad-premier-desserrement-des-mirage-2000-a-garoua
Nicolas Sarkozy «assume» les pertes en Afghanistan
«Je porte en moi la tragédie de chacune de ces vies interrompues dans la fleur de l'âge», a déclaré Nicolas Sarkozy au cours d'une cérémonie d'hommage organisée au 21e Régiment d'infanterie de marine de Fréjus, auquel appartenaient les deux militaires.
Le souvenir des soldats disparus «renforce la détermination à poursuivre l'engagement» en Afghanistan, a répété le chef de l'Etat, vendredi, lors d'une cérémonie d'hommage aux deux militaires tués lundi.
«Je mesure et j'assume mes responsabilités lorsque nos soldats sont engagés au péril de leur vie». Nicolas Sarkozy a présidé, vendredi, à Fréjus la cérémonie d'hommage aux deux militaires français tués lundi en Afghanistan. «Je porte en moi la tragédie de chacune de ces vies interrompues dans la fleur de l'âge», a confié le président. Entouré des deux petits garçons d'une des victimes, le chef de l'Etat a remis la Légion d'honneur à titre posthume au capitaine Lorenzo Mezzasalma et au caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck, abattus par les talibans.
Le souvenir des disparus en Afghanistan «renforce en nous la détermination à poursuivre notre engagement» dans ce pays, a souligné Nicolas Sarkozy. «La France restera en Afghanistan aussi longtemps que nécessaire», a-t-il réaffirmé. «Je sais combien cette mission est difficile mais la France ne doit pas se dérober aux impératifs de sa sécurité». «Nous ne pouvons laisser le champ libre aux fanatiques, aux barbares et aux terroristes qui bafouent les valeurs universelles de l'humanité», a martelé Nicolas Sarkozy. «Notre sécurité ici en France repose aussi sur notre engagement là-bas».
47 militaires français tués depuis le début du conflit
Plus d'un millier de personnes ont assisté à l'hommage, sur la place d'armes du camp Lecocq à Fréjus, parmi lesquelles le ministre de la Défense Hervé Morin, le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants Hubert Falco, de nombreuses personnalités civiles et militaires mais aussi nombre de Fréjusiens venus entourer les familles. Après la cérémonie, le président de la Républqiue s'est entretenu avec elles pendant environ une demi-heure.
Environ 3.750 militaires français sont engagés sur le théâtre afghan, 47 ont trouvé la mort depuis le début du conflit en 2001. Alors que l'insurrection des talibans gagne en puissance, les pertes des forces internationales sont de plus en plus lourdes.
http://www.lefigaro.fr/international/2010/08/27/01003-20100827ARTFIG00464-sarkozy-assume-les-pertes-en-afghanistan.php
vendredi 27 août 2010
Fréjus : l'hommage aux deux soldats français tués en Afghanistan
Des milliers de personnes se sont rassemblées sur la place d'armes du camp Lecocq à Fréjus pour assister vendredi à la cérémonie d'hommage aux deux soldats tués en Afghanistan. Le capitaine Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, qui appartenaient au 21ème Régiment d'infanterie de marine de Fréjus (Var), ont été tués lundi lors d'une opération au sud de Tagab (nord-est de Kaboul).
Sur la place d'armes, devant le drapeau en berne, deux compagnies du 21e RIMa, dont l'une en instance de départ pour Djibouti, avaient pris position, de même qu'une quarantaine de porte-drapeaux d'anciens combattants.
Nicolas Sarkozy : «La France ne peut laisser le champ libre aux fanatiques»
La cérémonie était présidée par le président de la République Nicolas Sarkozy en présence du ministre de la Défense Hervé Morin, du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants Hubert Falco, de nombreuses personnalités civiles et militaires mais aussi nombre de Fréjusiens venus entourer les familles.
La France ne peut «laisser le champ libre aux fanatiques, aux barbares et aux terroristes qui menacent nos sociétés», a déclaré Nicolas Sarkozy, en ajoutant une nouvelle fois, que la France «restera en Afghanistan aussi longtemps que nécessaire».
«Notre sécurité, ici, en France, repose aussi sur notre engagement là-bas. La barbarie ne doit pas l'emporter contre la démocratie».
«Je sais combien cette mission est difficile, j'en mesure les risques, mais la France ne doit pas se dérober aux impératifs de sa sécurité, ni à ses responsabilités dans la lutte contre le terrorisme mondial. La France ne doit pas se désengager dans la lutte contre le terrorisme mondial».
Lorenzo Mezzasalma et Jean-Nicolas Panezyck n'étaient en Afghanistan que depuis 2 mois.
http://www.leparisien.fr/international/frejus-l-hommage-aux-deux-soldats-francais-tues-en-afghanistan-27-08-2010-1045124.php
Sur la place d'armes, devant le drapeau en berne, deux compagnies du 21e RIMa, dont l'une en instance de départ pour Djibouti, avaient pris position, de même qu'une quarantaine de porte-drapeaux d'anciens combattants.
Nicolas Sarkozy : «La France ne peut laisser le champ libre aux fanatiques»
La cérémonie était présidée par le président de la République Nicolas Sarkozy en présence du ministre de la Défense Hervé Morin, du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants Hubert Falco, de nombreuses personnalités civiles et militaires mais aussi nombre de Fréjusiens venus entourer les familles.
La France ne peut «laisser le champ libre aux fanatiques, aux barbares et aux terroristes qui menacent nos sociétés», a déclaré Nicolas Sarkozy, en ajoutant une nouvelle fois, que la France «restera en Afghanistan aussi longtemps que nécessaire».
«Notre sécurité, ici, en France, repose aussi sur notre engagement là-bas. La barbarie ne doit pas l'emporter contre la démocratie».
«Je sais combien cette mission est difficile, j'en mesure les risques, mais la France ne doit pas se dérober aux impératifs de sa sécurité, ni à ses responsabilités dans la lutte contre le terrorisme mondial. La France ne doit pas se désengager dans la lutte contre le terrorisme mondial».
Lorenzo Mezzasalma et Jean-Nicolas Panezyck n'étaient en Afghanistan que depuis 2 mois.
http://www.leparisien.fr/international/frejus-l-hommage-aux-deux-soldats-francais-tues-en-afghanistan-27-08-2010-1045124.php
Le "3" va rendre hommage au soldat tué
Au rang des deux victimes du 21 e Rima de Fréjus tombés en Afghanistan, le lieutenant Mezzasalma avait servi de 1996 à 2008 au "3", dans une ville où il s'était également marié
Le lundi 23 août, le lieutenant Lorenzo Mezzalsama et le caporal Jean Nicolas Panezyck, tous deux engagés avec le 21 e Rima de Préjus, sont tombés au combat en Afghanistan, lors d'un accrochage avec les insurgés dans la vallée de Tagab. Une cérémonie d'hommage national en leur honneur aura lieu ce vendredi 27 août à Fréjus. Mais c'est aussi à Carcassonne que sera saluée la mémoire de Lorenzo Mezzasalma, 43 ans. Ce militaire était en effet un ancien du 3 e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (3 e RPIMa) de Carcassonne. Marié et père de deux enfants, il avait servi au "3" en tant que sous-officier de carrière, de 1996 à 2008, pour des missions le menant notamment en Nouvelle-Calédonie et en Côte d'Ivoire. C'est dans ce pays qu'il avait rencontré son épouse, originaire du Carcassonnais,
avec qui il allait devenir le père de deux garçons, aujourd'hui âgés de 8 et 11 ans.
En 2008, le natif de Paris avait rallié le 21 e Rima en tant que lieutenant. A l'issue de la cérémonie programmée à Fréjus, le corps du lieutenant Lorenzo Mezzasalma sera rapatrié sur Carcassonne pour y être inhumé. Demain, de 10 h 30 à 14 h 30, une chapelle ardente sera ouverte au quartier Laperrine du 3 e RPIMa pour permettre à tous ceux qui le souhaitent de venir se recueillir auprès de lui. Ce recueillement sera suivi d'une bénédiction à la cathédrale Saint-Michel à 15 h. L'inhumation se fera dans la plus stricte intimité.
http://www.midilibre.com/articles/2010/08/27/CARCASSONNE-Le-3-va-rendre-hommage-au-soldat-tue-1359906.php5
Le lundi 23 août, le lieutenant Lorenzo Mezzalsama et le caporal Jean Nicolas Panezyck, tous deux engagés avec le 21 e Rima de Préjus, sont tombés au combat en Afghanistan, lors d'un accrochage avec les insurgés dans la vallée de Tagab. Une cérémonie d'hommage national en leur honneur aura lieu ce vendredi 27 août à Fréjus. Mais c'est aussi à Carcassonne que sera saluée la mémoire de Lorenzo Mezzasalma, 43 ans. Ce militaire était en effet un ancien du 3 e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (3 e RPIMa) de Carcassonne. Marié et père de deux enfants, il avait servi au "3" en tant que sous-officier de carrière, de 1996 à 2008, pour des missions le menant notamment en Nouvelle-Calédonie et en Côte d'Ivoire. C'est dans ce pays qu'il avait rencontré son épouse, originaire du Carcassonnais,
avec qui il allait devenir le père de deux garçons, aujourd'hui âgés de 8 et 11 ans.
En 2008, le natif de Paris avait rallié le 21 e Rima en tant que lieutenant. A l'issue de la cérémonie programmée à Fréjus, le corps du lieutenant Lorenzo Mezzasalma sera rapatrié sur Carcassonne pour y être inhumé. Demain, de 10 h 30 à 14 h 30, une chapelle ardente sera ouverte au quartier Laperrine du 3 e RPIMa pour permettre à tous ceux qui le souhaitent de venir se recueillir auprès de lui. Ce recueillement sera suivi d'une bénédiction à la cathédrale Saint-Michel à 15 h. L'inhumation se fera dans la plus stricte intimité.
http://www.midilibre.com/articles/2010/08/27/CARCASSONNE-Le-3-va-rendre-hommage-au-soldat-tue-1359906.php5
Nicolas Sarkozy rend hommage aux soldats tués en Afghanistan
Une cérémonie d'hommage aux deux soldats français tués lundi en Afghanistan a commencé, vendredi, présidée par Nicolas Sarkozy, au 21e régiment d'infanterie de marine de Fréjus (Var), auquel appartenaient les deux militaires. Plus d'un millier de personnes étaient présentes sur la place d'armes du camp Lecocq, parmi lesquelles le ministre de la Défense Hervé Morin, le secrétaire d'État aux Anciens Combattants Hubert Falco, de nombreuses personnalités civiles et militaires, mais aussi nombre de Fréjusiens venus entourer les familles.
"Je suis venu témoigner la gratitude et la solidarité de tous les Français. Je suis aussi venu vous dire qu'en tant que chef de l'État et chef des armées, je mesure et j'assume les responsabilités qui sont les miennes lorsque nos soldats sont engagés au péril de leur vie", a déclaré le président Nicolas Sarkozy. "Je porte en moi la tragédie de chacune de ces vies interrompues dans la fleur de l'âge. Nous ne les oublierons pas. Leur souvenir renforce en chacun de nous la détermination à poursuivre notre engagement au service de la France", a-t-il ajouté.
Sur la place d'armes, devant le drapeau en berne, deux compagnies du 21e RIMa, dont l'une en instance de départ pour Djibouti, avaient pris position, de même qu'une quarantaine de porte-drapeaux d'anciens combattants. Le capitaine Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, ont été tués lundi lors d'une opération au sud de Tagab, dans la province de Kapisa (à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Kaboul). Ils étaient arrivés en Afghanistan le 7 juin.
http://www.lepoint.fr/societe/nicolas-sarkozy-rend-hommage-aux-soldats-tues-en-afghanistan-27-08-2010-1229451_23.php
"Je suis venu témoigner la gratitude et la solidarité de tous les Français. Je suis aussi venu vous dire qu'en tant que chef de l'État et chef des armées, je mesure et j'assume les responsabilités qui sont les miennes lorsque nos soldats sont engagés au péril de leur vie", a déclaré le président Nicolas Sarkozy. "Je porte en moi la tragédie de chacune de ces vies interrompues dans la fleur de l'âge. Nous ne les oublierons pas. Leur souvenir renforce en chacun de nous la détermination à poursuivre notre engagement au service de la France", a-t-il ajouté.
Sur la place d'armes, devant le drapeau en berne, deux compagnies du 21e RIMa, dont l'une en instance de départ pour Djibouti, avaient pris position, de même qu'une quarantaine de porte-drapeaux d'anciens combattants. Le capitaine Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, ont été tués lundi lors d'une opération au sud de Tagab, dans la province de Kapisa (à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Kaboul). Ils étaient arrivés en Afghanistan le 7 juin.
http://www.lepoint.fr/societe/nicolas-sarkozy-rend-hommage-aux-soldats-tues-en-afghanistan-27-08-2010-1229451_23.php
Cérémonie d'hommage aux soldats tués
Une cérémonie d'hommage aux deux soldats français tués lundi en Afghanistan a commencé vendredi, présidée par Nicolas Sarkozy, au 21e Régiment d'infanterie de marine de Fréjus (Var), auquel appartenaient les deux militaires, a constaté un journaliste de l'AFP.
Plus d'un millier de personnes étaient présentes sur la place d'armes du camp Lecocq, parmi lesquelles le ministre de la Défense Hervé Morin, le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants Hubert Falco, de nombreuses personnalités civiles et militaires mais aussi nombre de Fréjusiens venus entourer les familles.
Sur la place d'armes, devant le drapeau en berne, deux compagnies du 21e RIMa, dont l'une en instance de départ pour Djibouti, avaient pris position, de même qu'une quarantaine de porte-drapeaux d'anciens combattants.
Le capitaine Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, ont été tués lundi lors d'une opération au sud de Tagab, dans la province de Kapisa (à une soixantaine de km au nord-est de Kaboul). Ils étaient arrivés en Afghanistan le 7 juin.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/27/97001-20100827FILWWW00410-ceremonie-d-hommage-aux-soldats-tues.php
Plus d'un millier de personnes étaient présentes sur la place d'armes du camp Lecocq, parmi lesquelles le ministre de la Défense Hervé Morin, le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants Hubert Falco, de nombreuses personnalités civiles et militaires mais aussi nombre de Fréjusiens venus entourer les familles.
Sur la place d'armes, devant le drapeau en berne, deux compagnies du 21e RIMa, dont l'une en instance de départ pour Djibouti, avaient pris position, de même qu'une quarantaine de porte-drapeaux d'anciens combattants.
Le capitaine Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal-chef Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, ont été tués lundi lors d'une opération au sud de Tagab, dans la province de Kapisa (à une soixantaine de km au nord-est de Kaboul). Ils étaient arrivés en Afghanistan le 7 juin.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/27/97001-20100827FILWWW00410-ceremonie-d-hommage-aux-soldats-tues.php
2 militaires tués en Afghanistan décorés
Deux militaires français, tués le 22 mai et le 7 juin en Afghanistan, ont été nommés chevaliers de la Légion d'honneur, selon un décret paru aujourd'hui au Journal officiel. Selon un décret du président de la République du 25 août, Christophe Barek-Deligny, chef de bataillon du Génie, qui a accompli 12 ans de services et a été "tué dans l’accomplissement de son devoir le 22 mai 2010", a été nommé au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur avec effet au 27 mai.
Le décret présidentiel précise d'autre part que la nomination de Konrad Rygiel, "sergent-chef, Légion étrangère, huit ans de services, tué dans l’accomplissement de son devoir le 7 juin 2010", est effective au 10 juin. Le capitaine Barek-Deligny, du troisième régiment du Génie, avait été tué par l'explosion d'une bombe artisanale. Le sergent-chef Konrad Rygiel, un légionnaire d'origine polonaise issu du deuxième REP de Calvi (Haute-Corse), avait été tué par une roquette anti-char tirée par des talibans.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/27/97001-20100827FILWWW00360-2-militaires-tues-en-afghanistan-decores.php
Le décret présidentiel précise d'autre part que la nomination de Konrad Rygiel, "sergent-chef, Légion étrangère, huit ans de services, tué dans l’accomplissement de son devoir le 7 juin 2010", est effective au 10 juin. Le capitaine Barek-Deligny, du troisième régiment du Génie, avait été tué par l'explosion d'une bombe artisanale. Le sergent-chef Konrad Rygiel, un légionnaire d'origine polonaise issu du deuxième REP de Calvi (Haute-Corse), avait été tué par une roquette anti-char tirée par des talibans.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/27/97001-20100827FILWWW00360-2-militaires-tues-en-afghanistan-decores.php
Liban : mort de l’adjudant-chef Guilloteau dans un accident
Mardi 24 août 2010, l’adjudant-chef Richard Guilloteau du 40e régiment d’artillerie (40e RA) de Suippes est décédé au Liban dans un accident de véhicule de l’avant blindé (VAB).
Le VAB de trois militaires du 40e RA a quitté la route et s’est retourné alors qu’ils partaient en mission de patrouille. Le chef de bord du véhicule, l’adjudant-chef Guilloteau est décédé . Ses camarades blessés ont été pris en charge dans un hôpital civil.
Les honneurs militaires auront lieu le samedi 28 août 2010 à 11h à Suippes, au quartier Maunoury.
L’adjudant-chef Richard Guilloteau , 46 ans, était marié et père de 3 enfants. Entré en service en 1983, il rejoint le 40e RA l’année suivante. Affecté au 2e régiment d’artillerie en 1993, il retournera au 40e RA 5 ans plus tard et accèdera au grade d’adjudant-chef en 2006. Il servait au Liban dans le cadre de l’opération DAMAN XII depuis le 15 mai 2010 en tant que sous-officier détachement appui feu (DAF).
L’ensemble de l’armée de Terre adresse ses sincères condoléances à la famille et aux proches de ce sous-officier. Nous pensons également à nos camarades blessés , et leur souhaitons un prompt rétablissement
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/liban-mort-de-l-adjudant-chef-guilloteau-dans-un-accident
jeudi 26 août 2010
Sarkozy rendra hommage aux 2 soldats
Le président Nicolas Sarkozy se rendra vendredi à Fréjus (Var) pour présider la cérémonie d'hommage aux deux soldats français tués lundi en Afghanistan, a indiqué l'Elysée jeudi dans un communiqué.
"Le président de la République se rendra, vendredi 27 août 2010 à Fréjus (Var) pour présider la cérémonie d'hommage au capitaine Lorenzo Mezzasalma et au caporal-chef Jean-Nicolas Paneszyck du 21e Régiment d'infanterie de marine, tombés dans l'accomplissement de leur devoir en Afghanistan le 23 août dernier", selon le communiqué.
"La cérémonie débutera à 14h30" au 21e RIMa, le régiment d'infanterie de marine de Fréjus, auquel appartenaient les deux militaires, qui trouvé la mort lors de combats au nord-est de Kaboul.
Le chef de l'Etat sera accompagné du ministre de la Défense, Hervé Morin, et du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants, Hubert Falco, a précisé l'Elysée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/26/97001-20100826FILWWW00388-sarkozy-rendra-hommage-aux-2-soldats.php
"Le président de la République se rendra, vendredi 27 août 2010 à Fréjus (Var) pour présider la cérémonie d'hommage au capitaine Lorenzo Mezzasalma et au caporal-chef Jean-Nicolas Paneszyck du 21e Régiment d'infanterie de marine, tombés dans l'accomplissement de leur devoir en Afghanistan le 23 août dernier", selon le communiqué.
"La cérémonie débutera à 14h30" au 21e RIMa, le régiment d'infanterie de marine de Fréjus, auquel appartenaient les deux militaires, qui trouvé la mort lors de combats au nord-est de Kaboul.
Le chef de l'Etat sera accompagné du ministre de la Défense, Hervé Morin, et du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants, Hubert Falco, a précisé l'Elysée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/26/97001-20100826FILWWW00388-sarkozy-rendra-hommage-aux-2-soldats.php
Défense: projets entre Paris et Londres
La France est "prête à s'engager" dans des "projets concrets" de coopération en matière de défense avec la Grande-Bretagne face aux "défis nouveaux", a indiqué aujourd'hui devant les ambassadeurs le président français Nicolas Sarkozy.
"Face aux menaces contre les intérêts vitaux, nous avons la dissuasion nucléaire. Mais face aux défis nouveaux, les Européens prennent du retard alors qu'il leur faut aussi participer à la sécurité des mers, essentielle pour notre commerce, à celle de l'espace, et désormais, du cyberspace", a déclaré le président devant les ambassadeurs de France, réunis à l'Elysée.
"La France est prête à s'engager dans des projets concrets. J'ai entendu les déclarations de nos alliés britanniques sur la coopération bilatérale avec la France. Nous en discuterons avec eux sans tabou et nous prendrons des décisions importantes en novembre lors du prochain sommet franco-britannique", a-t-il annoncé sans plus de précisions sur la nature de ces initiatives.
A la mi-mars, le premier ministre britannique d'alors, Gordon Brown, avait annoncé que la France et le Royaume-Uni étaient convenus d'accroître leur coopération dans le nucléaire militaire tout en conservant leur indépendance en matière de dissuasion.
Gordon Brown n'avait pas donné plus de précisions sur la coopération entre les deux pays, soulignant simplement qu'elle se situait "à son plus haut niveau".
La France et la Grande-Bretagne ont les deux plus grosses armées dans l'Union européenne, mais toutes deux sont confrontées à des contraintes budgétaires et à des déficits élevés qui peuvent limiter leurs capacités à financer de nouveaux projets.
Selon des informations de presse, Londres pourrait essayer de limiter ses dépenses en partageant avec la France les missions de leurs porte-avions.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/25/97001-20100825FILWWW00614-defense-projets-entre-paris-et-londres.php
"Face aux menaces contre les intérêts vitaux, nous avons la dissuasion nucléaire. Mais face aux défis nouveaux, les Européens prennent du retard alors qu'il leur faut aussi participer à la sécurité des mers, essentielle pour notre commerce, à celle de l'espace, et désormais, du cyberspace", a déclaré le président devant les ambassadeurs de France, réunis à l'Elysée.
"La France est prête à s'engager dans des projets concrets. J'ai entendu les déclarations de nos alliés britanniques sur la coopération bilatérale avec la France. Nous en discuterons avec eux sans tabou et nous prendrons des décisions importantes en novembre lors du prochain sommet franco-britannique", a-t-il annoncé sans plus de précisions sur la nature de ces initiatives.
A la mi-mars, le premier ministre britannique d'alors, Gordon Brown, avait annoncé que la France et le Royaume-Uni étaient convenus d'accroître leur coopération dans le nucléaire militaire tout en conservant leur indépendance en matière de dissuasion.
Gordon Brown n'avait pas donné plus de précisions sur la coopération entre les deux pays, soulignant simplement qu'elle se situait "à son plus haut niveau".
La France et la Grande-Bretagne ont les deux plus grosses armées dans l'Union européenne, mais toutes deux sont confrontées à des contraintes budgétaires et à des déficits élevés qui peuvent limiter leurs capacités à financer de nouveaux projets.
Selon des informations de presse, Londres pourrait essayer de limiter ses dépenses en partageant avec la France les missions de leurs porte-avions.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/25/97001-20100825FILWWW00614-defense-projets-entre-paris-et-londres.php
La France restera tant qu'il faudra en Afghanistan, dit Sarkozy
Nicolas Sarkozy a répété mercredi que le contingent français resterait en Afghanistan "aussi longtemps que nécessaire".
La gauche mais désormais également certains dirigeants de la majorité, dont l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, réclament un calendrier de retrait des quelque 3.500 soldats français déployés en Afghanistan, dénonçant une impasse militaire et diplomatique.
"La France restera engagée en Afghanistan, avec ses alliés, aussi longtemps que nécessaire et aussi longtemps que le souhaitera le peuple afghan", leur a indirectement répondu Nicolas Sarkozy lors de son discours devant la Conférence annuelle des ambassadeurs réunie à Paris.
"La mode du moment chez les commentateurs est au catastrophisme", a-t-il relevé. "Chaque jour, on nous annonce le retour des taliban, comme si les jeux étaient faits, comme si nous allions abandonner le peuple afghan".
"Nous avons des objectifs politiques réalistes (...), c'est une transition progressive et ordonnée, a souligné le chef de l'Etat. L'action de la France "au service de la paix ne doit pas, me semble-t-il, être soumise à des calendriers artificiels ou aux humeurs médiatiques", a-t-il insisté.
Lundi, deux soldats français sont morts dans la province de Kapisa, portant à 47 le nombre de Français tués en Afghanistan depuis le début de l'intervention alliée en 2001.
"Le prix humain est lourd", a reconnu Nicolas Sarkozy devant les ambassadeurs de France réunis à l'Elysée. "Mais imaginons ce qu'il en serait si nous n'étions pas là? Souvenons-nous de ce que les taliban ont fait dans le passé et des milliers de victimes afghanes qu'ils continuent de faire", a-t-il ajouté.
L'annonce de ces deux nouveaux décès de militaires a relancé le débat sur l'engagement de la France.
Pour Jean-Pierre Raffarin, "une forme d'impasse se dessine" en Afghanistan où la guerre est "terriblement meurtrière".
La France devrait se retirer "à l'horizon 2012", a plaidé l'ancien Premier ministre de Jacques Chirac mardi sur RMC.
Après avoir voté contre l'envoi de renforts en Afghanistan, le Parti socialiste a réclamé un retrait progressif du contingent français ainsi qu'une conférence internationale associant tous les pays de la région.
Mardi, l'ancien premier secrétaire du PS François Hollande a demandé une évaluation de la présence française avant fin 2010, une redéfinition de la mission des alliés en Afghanistan et un calendrier de retrait précis.
"Les Etats-Unis sont bien partis d'Irak", a pour sa part fait valoir l'ancienne candidate à l'Elysée Ségolène Royal. "Je pense qu'il est temps aujourd'hui de négocier un calendrier de retrait, bien sûr, en partenariat avec les puissances de cette partie du monde", a-t-elle dit.
http://fr.news.yahoo.com/4/20100825/tts-france-afghanistan-sarkozy-ca02f96.html
La gauche mais désormais également certains dirigeants de la majorité, dont l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, réclament un calendrier de retrait des quelque 3.500 soldats français déployés en Afghanistan, dénonçant une impasse militaire et diplomatique.
"La France restera engagée en Afghanistan, avec ses alliés, aussi longtemps que nécessaire et aussi longtemps que le souhaitera le peuple afghan", leur a indirectement répondu Nicolas Sarkozy lors de son discours devant la Conférence annuelle des ambassadeurs réunie à Paris.
"La mode du moment chez les commentateurs est au catastrophisme", a-t-il relevé. "Chaque jour, on nous annonce le retour des taliban, comme si les jeux étaient faits, comme si nous allions abandonner le peuple afghan".
"Nous avons des objectifs politiques réalistes (...), c'est une transition progressive et ordonnée, a souligné le chef de l'Etat. L'action de la France "au service de la paix ne doit pas, me semble-t-il, être soumise à des calendriers artificiels ou aux humeurs médiatiques", a-t-il insisté.
Lundi, deux soldats français sont morts dans la province de Kapisa, portant à 47 le nombre de Français tués en Afghanistan depuis le début de l'intervention alliée en 2001.
"Le prix humain est lourd", a reconnu Nicolas Sarkozy devant les ambassadeurs de France réunis à l'Elysée. "Mais imaginons ce qu'il en serait si nous n'étions pas là? Souvenons-nous de ce que les taliban ont fait dans le passé et des milliers de victimes afghanes qu'ils continuent de faire", a-t-il ajouté.
L'annonce de ces deux nouveaux décès de militaires a relancé le débat sur l'engagement de la France.
Pour Jean-Pierre Raffarin, "une forme d'impasse se dessine" en Afghanistan où la guerre est "terriblement meurtrière".
La France devrait se retirer "à l'horizon 2012", a plaidé l'ancien Premier ministre de Jacques Chirac mardi sur RMC.
Après avoir voté contre l'envoi de renforts en Afghanistan, le Parti socialiste a réclamé un retrait progressif du contingent français ainsi qu'une conférence internationale associant tous les pays de la région.
Mardi, l'ancien premier secrétaire du PS François Hollande a demandé une évaluation de la présence française avant fin 2010, une redéfinition de la mission des alliés en Afghanistan et un calendrier de retrait précis.
"Les Etats-Unis sont bien partis d'Irak", a pour sa part fait valoir l'ancienne candidate à l'Elysée Ségolène Royal. "Je pense qu'il est temps aujourd'hui de négocier un calendrier de retrait, bien sûr, en partenariat avec les puissances de cette partie du monde", a-t-elle dit.
http://fr.news.yahoo.com/4/20100825/tts-france-afghanistan-sarkozy-ca02f96.html
Se battre pour l’Afghanistan, de Patrick de Gmeline
Durant sept mois, de novembre 2008 à juin 2009, des Français engagés dans la task force Tiger ont affronté les insurgés dans l’une des régions les plus dangereuses d’Afghanistan, les montagnes de la Kapisa.
Fondé sur leurs témoignages directs , recueillis depuis le début par l’auteur, réserviste au 27e BCA, ce livre raconte la vie quotidienne d’hommes passionnés par leur métier et engagés au service de la paix.
Il retrace, avec force et simplicité , les faits et les hommes dans leur vie quotidienne de soldats mais aussi leurs pensées, leurs peines et leurs joies, leurs impatiences parfois, tout en restant des militaires parfaitement disciplinés .
Composée principalement des soldats du 27e bataillon de chasseurs alpins (27e BCA), mais aussi du 93e régiment d’artillerie de montagne (93e RAM), du 2e régiment étranger de génie (2e REG), du 4e régiment de chasseurs (4e RCh), la task force Tiger a été le fer de lance de cette opération qui, de concert avec l’armée américaine, concourt à la lutte contre le terrorisme international.
Au-delà de l’intervention armée, les chasseurs alpins ont joué un rôle humain déterminant de ravitaillement et de soin aux habitants. Ils y ont laissé un des leurs, le caporal Belda, mort au combat durant la bataille d’Alasaï.
> Se battre pour l'Afghanistan : Soldats de montagne contre les talibans, de Patrick de Gmeline (Presses de la Cité)
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/livre-se-battre-pour-l-afghanistan-de-patrick-de-gmeline
Fondé sur leurs témoignages directs , recueillis depuis le début par l’auteur, réserviste au 27e BCA, ce livre raconte la vie quotidienne d’hommes passionnés par leur métier et engagés au service de la paix.
Il retrace, avec force et simplicité , les faits et les hommes dans leur vie quotidienne de soldats mais aussi leurs pensées, leurs peines et leurs joies, leurs impatiences parfois, tout en restant des militaires parfaitement disciplinés .
Composée principalement des soldats du 27e bataillon de chasseurs alpins (27e BCA), mais aussi du 93e régiment d’artillerie de montagne (93e RAM), du 2e régiment étranger de génie (2e REG), du 4e régiment de chasseurs (4e RCh), la task force Tiger a été le fer de lance de cette opération qui, de concert avec l’armée américaine, concourt à la lutte contre le terrorisme international.
Au-delà de l’intervention armée, les chasseurs alpins ont joué un rôle humain déterminant de ravitaillement et de soin aux habitants. Ils y ont laissé un des leurs, le caporal Belda, mort au combat durant la bataille d’Alasaï.
> Se battre pour l'Afghanistan : Soldats de montagne contre les talibans, de Patrick de Gmeline (Presses de la Cité)
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/livre-se-battre-pour-l-afghanistan-de-patrick-de-gmeline
mercredi 25 août 2010
Les obsèques du lieutenant Mezzasalma et du caporal Panezyck auront lieu vendredi à Fréjus
Les obsèques des deux soldats français tués lundi en Afghanistan, le lieutenant Lorenzo Mezzasalma et le caporal Jean-Nicolas Panezyck, se dérouleront vendredi 27 août, à Fréjus (Var), en présence des autorités militaires, du ministre de la Défense Hervé Morin et du secrétaire d'État Hubert Falco, maire de Toulon et secrétaire d'État à la Défense et aux Anciens Combattants. L'officier et le sous-officier morts au combat étaient affectés au 21e régiment d'infanterie de marine de Fréjus, qui fournit l'essentiel des effectifs du bataillon de Kapisa de la Task Force Hermès. Avant leur décès, dans la même journée et au cours de la même opération, trois soldats de la même unité ont été blessés, peut-être par un tir fratricide venant des forces françaises.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/les-obseques-du-lieutenant-mezzasalma-et-du-caporal-panezyck-auront-lieu-vendredi-a-frejus-25-08-2010-1228413_53.php
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/les-obseques-du-lieutenant-mezzasalma-et-du-caporal-panezyck-auront-lieu-vendredi-a-frejus-25-08-2010-1228413_53.php
Mort du capitaine Marcel Albert, 92 ans, héros du Normandie-Niémen
Marcel Albert, as du régiment de chasse Normandie-Niémen et compagnon de la Libération, est mort à 92 ans à Harlingen (Texas). Né le 25 novembre 1917 à Paris, Marcel Albert avait d'abord été métallo chez Renault, avant d'obtenir son brevet de pilote militaire en 1938 et de s'engager pour trois ans au titre du bataillon de l'air n° 105.
Le 14 mai 1940, il abat un appareil allemand lors de la campagne de France. Affecté en Afrique du Nord après la défaite, il profite d'un exercice de vol le 14 octobre 1941, jour de sa promotion au grade de sergent-chef, pour rejoindre Gibraltar avec son Dewoitine 520 en compagnie de deux autres pilotes du groupe de chasse 1/3, Marcel Lefèvre et Albert Durand, pour s'engager dans les Forces aériennes françaises libres (FAFL). Après un passage dans la Royal Air Force, il se porte volontaire, en octobre 1942, pour le front soviétique dans le groupe de chasse Normandie alors en formation. Le 16 juin 1943, il remporte sa première victoire aux commandes d'un Yak. Il en comptera sept pour le seul mois d'octobre 1944. Il obtient au total 24 victoires aériennes homologuées aux commandes de son Yak, devenant le deuxième as français de la Seconde Guerre mondiale derrière Pierre-Henri Clostermann (33 victoires). Il termine la guerre à 28 ans avec la cravate de commandeur de la Légion d'honneur, la croix de la Libération et la décoration de Héros de l'Union soviétique. Avec d'autres pilotes survivants du Normandie-Niémen (42 tués sur 97), il rejoint la France le 20 juin 1945 aux commandes de son Yak 3 en se posant au Bourget au milieu d'une foule immense. Le maréchal Staline avait fait don aux pilotes du Normandie-Niémen de leur Yak pour regagner la France.
Marcel Albert avait quitté l'armée en 1948 avec le grade de capitaine et s'était installé aux États-Unis où il avait créé une chaîne hôtelière dans les années 50. Élevé le 12 avril 2010 à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur (pourquoi si tard ?), il était titulaire de la croix de guerre 39-45 avec 15 palmes et 3 étoiles de vermeil et de la médaille de la Résistance avec rosette. Il était également décoré de trois distinctions soviétiques : ordre de Lénine, ordre du Drapeau rouge et ordre de la Guerre pour le salut de la patrie.
Après son décès, il ne reste plus que 39 survivants dans l'ordre de la Libération, dont un seul pilote du Normandie-Niémen, Roland de La Poype, 90 ans.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/mort-du-capitaine-marcel-albert-92-ans-heros-du-normandie-niemen-24-08-2010-1228082_53.php
Le 14 mai 1940, il abat un appareil allemand lors de la campagne de France. Affecté en Afrique du Nord après la défaite, il profite d'un exercice de vol le 14 octobre 1941, jour de sa promotion au grade de sergent-chef, pour rejoindre Gibraltar avec son Dewoitine 520 en compagnie de deux autres pilotes du groupe de chasse 1/3, Marcel Lefèvre et Albert Durand, pour s'engager dans les Forces aériennes françaises libres (FAFL). Après un passage dans la Royal Air Force, il se porte volontaire, en octobre 1942, pour le front soviétique dans le groupe de chasse Normandie alors en formation. Le 16 juin 1943, il remporte sa première victoire aux commandes d'un Yak. Il en comptera sept pour le seul mois d'octobre 1944. Il obtient au total 24 victoires aériennes homologuées aux commandes de son Yak, devenant le deuxième as français de la Seconde Guerre mondiale derrière Pierre-Henri Clostermann (33 victoires). Il termine la guerre à 28 ans avec la cravate de commandeur de la Légion d'honneur, la croix de la Libération et la décoration de Héros de l'Union soviétique. Avec d'autres pilotes survivants du Normandie-Niémen (42 tués sur 97), il rejoint la France le 20 juin 1945 aux commandes de son Yak 3 en se posant au Bourget au milieu d'une foule immense. Le maréchal Staline avait fait don aux pilotes du Normandie-Niémen de leur Yak pour regagner la France.
Marcel Albert avait quitté l'armée en 1948 avec le grade de capitaine et s'était installé aux États-Unis où il avait créé une chaîne hôtelière dans les années 50. Élevé le 12 avril 2010 à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur (pourquoi si tard ?), il était titulaire de la croix de guerre 39-45 avec 15 palmes et 3 étoiles de vermeil et de la médaille de la Résistance avec rosette. Il était également décoré de trois distinctions soviétiques : ordre de Lénine, ordre du Drapeau rouge et ordre de la Guerre pour le salut de la patrie.
Après son décès, il ne reste plus que 39 survivants dans l'ordre de la Libération, dont un seul pilote du Normandie-Niémen, Roland de La Poype, 90 ans.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/mort-du-capitaine-marcel-albert-92-ans-heros-du-normandie-niemen-24-08-2010-1228082_53.php
Afghanistan : être soldat français en Kapisa
Depuis le début du jour, les hommes du « battle group »HERMES ont mené des patrouilles de présence dans les villages de Tatarkhel et les proches environs à distance visible de l’axe Hurricane, nom donné à la route, qui entre dans la vallée d’Alasay par le sud
Fouille d’une maison d’un trafiquant d’armes, discussion avec le père qui nous déclare que son fils est en déplacement sur Kaboul. Discussion avec le Malek de Tatarkhel. Croisement inopiné d’un mariage où quatre jeunes portent des baskets, signe distinctif des insurgés. Dans le labyrinthe du village les soldats enjambent les petits karez à ciel ouvert qui courent le long des ruelles, longent les hauts murs des kalas (maisons locales) construites en carré sans autre ouverture que la porte souvent simplement sculptée, passent le long des murets géographiés de ronds de bouse séchée sous le soleil déjà brûlant qui transperce le feuillage des grenadiers. Lourdement chargés, les soldats progressent, attentifs et prêts dans le même temps à échanger une parole ou un sourire avec la population peu nombreuse croisée au détour d’une ruelle.
23H45 Après quelques instants de sommeil, dans le silence de la nuit, les deux compagnies du « battle group » se mettent en colonne pour pénétrer dans le village et le dépasser vers le nord. Dans ce dédale, la progression, compliquée de jour, devient éreintante la nuit. Les hommes s’entraident pour franchir murs, murets et karez. Surtout ne pas se tordre une cheville. Pendant ce temps, les points d’appui se mettent en place, de nuit aussi, sur les hauteurs des montagnes qui surgissent brutalement des vallées et offrent leurs pentes arides et abruptes au pas des hommes en progression discrète.
La première compagnie est en place au bout de deux bonnes heures, la seconde la dépasse pour franchir le ouadi central. L’attente est presque fraîche après l’approche en sueur. Plus de trois cents soldats sont sur le terrain, infiltrés en silence malgré les chiens afghans qui clabaudent au loin.
06h05 : depuis deux heures les éléments spécialisés sont entrés dans les compounds objets de cette opération. Le jour s’est levé, les hommes restent vigilants prêts à faire face à toute éventualité. Puis le déchaînement : sur toute la longueur du dispositif les insurgés lancent une attaque de l’ouest, du nord et de l’est. Les soldats ripostent, scrutent cette zone verte si compartimentée où le regard est toujours arrêté par un mur, un bois ou un verger, pour déterminer la provenance des tirs. Pendant plus de six heures, les attaques insurgées se multiplient, comme le ressac. Ils cherchent la faille, mais se heurtent à chaque fois au dispositif cohérent des sections ; le « battle group » HERMES continue à remplir sa mission, il garde la situation en main. La pression est forte et le chef de corps fait tirer les mortiers à moins de cent mètres des positions amies. Signe d’une étroite coordination avec les forces de la coalition, Les KIOWA, hélicoptère américains, prennent le relais entre les compounds, ils règlent leurs tirs précis. Marsouins, bigors et légionnaires postés au coude à coude ripostent sans faiblesse, fidèles à la belle devise « croche et tient ». Dans la matinée deux soldats sont blessés, l’un assez sérieusement doit être brancardé. Sur plus d’un kilomètre d’un vrai parcours du combattant, refaisant le chemin dans l’autre sens, transportant leur camarade blessé qui fait bonne figure dans son brancard souple, les soldats grimacent dans l’effort en sautant fossés et murets, se relayent, se postent quand des rafales claquent puis repartent au milieu des vergers ne cessant jamais leur effort. Dans l’extrême chaleur de midi, les fronts ruissellent, les chemises ne sont plus que sueur sous les gilets pare-balle qui semblent un peu moins lourds depuis qu’ils ont sauvé la vie de deux camarades. Enfin, le blessé est amené au VAB qui attend sur l’axe Hurricane. Un bond de deux kilomètres et un hélicoptère français, appuyé par deux Tigres, emporte les deux blessés vers l’hôpital militaire international français de KAIA toujours en alerte.
Ereintées après cette séquence, les sections l’une après l’autre rompent le contact et rejoignent l’école de Tatarkhel. Cette opération HERMES SQUARE II, la vingt et unième depuis le 1er juillet, restera elle aussi gravée dans les mémoires. De la Hire, compagnon d’armes de Jeanne d’Arc, aimait à répondre quand on admirait sa vaillance : « j’ai fait ce que les soldats ont l’habitude faire, et pour le reste j’ai fait ce que j’ai pu ». Nos soldats sont vaillants à leur tour, faisant preuve de ce même courage, cet héroïsme et cette détermination méritent respect et reconnaissance.
Le Battle group HERMES est constitué du 21e régiment d’infanterie de marine de FREJUS, de trois pelotons du 1er régiment étranger de cavalerie d’ORANGE, de deux sections de génie combat du 1er régiment étranger du génie de LAUDUN, de deux sections d’appui mortier/CAESAR et trois équipes d’observation et de coordination de la 1ère batterie du 3ème régiment d’artillerie de marine de CANJUERS. Une section du 35e régiment d’infanterie de BELFORT compose également le GTIA KAPISA.
http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites2/afghanistan-etre-soldat-francais-en-kapisa
Soldats français blessés en Afghanistan : un possible tir fratricide
Une enquête a été ouverte à la demande de l'état-major des armées, les trois soldats français blessés lundi en Afghanistan ayant pu être victimes de tirs fratricides, a indiqué mardi soir l'état-major. "Il est possible que les trois blessés aient été victimes de tirs fratricides", a déclaré le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major. Selon lui, une section d'appui équipée de trois véhicules blindés de combat d'infanterie (VBCI) et de deux blindés de reconnaissance AMX-10 RC a ouvert le feu quelques minutes avant que l'une des compagnies signale des blessés dans ses rangs. Les trois blessés, dont l'un est "grièvement atteint", ont été rapatriés dans la nuit de lundi à mardi à Paris.
Si l'incident était confirmé, il s'agirait du premier du genre impliquant des troupes françaises depuis leur déploiement en Afghanistan en décembre 2001, du moins du premier à avoir eu des conséquences aussi graves. Les forces américaines et de l'Otan en Afghanistan sont régulièrement blâmées pour avoir provoqué des pertes civiles, mais aussi pour des tirs dits fratricides ou "amis" dont sont victimes leurs propres soldats ou des militaires et des policiers afghans. L'enquête a été confiée au représentant militaire de la France en Afghanistan (REPFRANCE), le colonel Emmanuel Didier, et ses conclusions sont attendues d'ici à une quinzaine de jours, a précisé le porte-parole de l'état-major. "Il y a suspicion qu'il y ait pu y avoir un tir fratricide mais il n'y a pas de certitude", a-t-il cependant dit.
L'incident, a-t-il dit, est distinct de celui qui s'est produit quelques heures plus tard dans le même secteur, au nord-est de Kaboul, au cours duquel deux autres soldats du 21e régiment d'infanterie de marine (21e RIMa) ont été tués. "Il n'y a aucun doute sur le fait que les tirs provenaient des insurgés lors de cet autre accrochage", a affirmé le porte-parole de l'état-major.
http://lci.tf1.fr/monde/asie/2010-08/soldats-francais-blesses-en-afghanistan-un-possible-tir-fratricide-6045693.html
Si l'incident était confirmé, il s'agirait du premier du genre impliquant des troupes françaises depuis leur déploiement en Afghanistan en décembre 2001, du moins du premier à avoir eu des conséquences aussi graves. Les forces américaines et de l'Otan en Afghanistan sont régulièrement blâmées pour avoir provoqué des pertes civiles, mais aussi pour des tirs dits fratricides ou "amis" dont sont victimes leurs propres soldats ou des militaires et des policiers afghans. L'enquête a été confiée au représentant militaire de la France en Afghanistan (REPFRANCE), le colonel Emmanuel Didier, et ses conclusions sont attendues d'ici à une quinzaine de jours, a précisé le porte-parole de l'état-major. "Il y a suspicion qu'il y ait pu y avoir un tir fratricide mais il n'y a pas de certitude", a-t-il cependant dit.
L'incident, a-t-il dit, est distinct de celui qui s'est produit quelques heures plus tard dans le même secteur, au nord-est de Kaboul, au cours duquel deux autres soldats du 21e régiment d'infanterie de marine (21e RIMa) ont été tués. "Il n'y a aucun doute sur le fait que les tirs provenaient des insurgés lors de cet autre accrochage", a affirmé le porte-parole de l'état-major.
http://lci.tf1.fr/monde/asie/2010-08/soldats-francais-blesses-en-afghanistan-un-possible-tir-fratricide-6045693.html
mardi 24 août 2010
Fréjus est sous le choc
Le colonel Michel de Mesmay, chef de corps du 21° Régiment d’infanterie de marine de Fréjus évoquait avant son départ en Afghanistan « une mission à haut risque ». Elle a coûté la vie, hier matin, au lieutenant Lorenzo Mezzasalma et au caporal Jean-Nicolas Panezyck. « Grièvement blessés par balle, ils n’ont pas survécu à leurs blessures » indiquait hier la présidence de la République, alors que trois autres militaires étaient blessés.
Hier, c’était la consternation à Fréjus où les marsouins du 21e RIMa, installés depuis 1980 font partie intégrante de la cité. L’armée y représente 10 % de sa population dans le premier département militaire de France
Dans la matinée, le lieutenant-colonel Dazat, commandant en second de la base, chef de la base arrière, de retour d’Afghanistan, est allé présenter ses condoléances à la veuve du lieutenant avant de s’adresser au régiment et de faire mettre le drapeau en berne. Mme Mezzasalma, jointe hier soir au téléphone, s’est dite « en état de choc » à l’annonce de la terrible nouvelle.
Une mission de six mois
Dans l’après-midi, le lieutenant-colonel Dazat a salué le courage des hommes, en proie à cette mission difficile et expliqué les circonstances du drame dans la région de Kapisa où sont implantés environ 500 hommes, soit trois compagnies de combat et une compagnie de commandement et de logistique au côté de l’état-major. Le 21e RIMa, est parti le 21 mai pour une mission de six mois, dans le cadre d’une résolution de l’Onu, destinée à sécuriser la zone et former l’armée afghane. « Il s’agissait d’une opération, baptisée “ Hermes Burrow ”, au sud de Tagab, dans la vallée de Bedraou. Elle durait depuis un mois, en collaboration avec l’armée et la police afghane, afin de désorganiser les insurgés ». Dans la nuit les soldats sont sévèrement accrochés et trois d’entre eux sont blessés. C’est lors des tirs de riposte que les deux hommes sont tués.
Les blessés ont été dirigés en urgence vers l’hôpital de Kaboul et seront rapatriés dès aujourd’hui à Paris. Les corps des deux marsouins seront ensuite ramenés à Fréjus où se déroulera une cérémonie. Les obsèques pourraient avoir lieu le vendredi, en présence du ministre de la Défense Hervé Morin.
« Ils ont servi la France »
Le lieutenant Lorenzo Mezzasalma, 43 ans était marié et père de deux enfants. Il est entré en service en avril 1988 en tant qu’engagé volontaire. Il aura servi, après un séjour en outre-mer, au 3e RIMa de Vannes puis au 3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine de Carcassonne en tant que sous-officier de carrière. Il était affecté au 21e RIMa de Fréjus en 2008 en tant que lieutenant. Le caporal Jean-Nicolas Panezyck 25 ans, était célibataire. Il est entré pour 5 ans au 21e RIMa en 2005. Il a été promu caporal en 2008. Il venait de souscrire un nouveau contrat de 6 ans.
« Certains de ces hommes, parmi les victimes, étaient déjà partis en Afghanistan. Cette opération était menée par des pros et je peux vous assurer qu’il n’y a aucun relâchement dans notre engagement… C’est notre métier mais il est vrai que dans ces conditions, c’est difficile », avoue le lieutenant-colonel Dazat. Hubert Falco, secrétaire d’Etat à la Défense et aux Anciens combattants, a tenu à exprimer hier sa « profonde émotion » suite à la mort au combat des deux militaires français. « Je m’incline avec respect devant leur sacrifice au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan. J’ai une pensée toute particulière pour la communauté militaire de Fréjus et les familles des soldats tués ou blessés aujourd’hui près de Tagab. Je leur dis toute ma solidarité et tout mon soutien dans ces moments douloureux. »
Aujourd’hui le 21e RIMa pleure les siens. Mais loin, si loin, la mission continue.
http://www.varmatin.com/article/var/un-lieutenant-et-un-caporal-du-21e-rima-de-frejus-tues-en-afghanistan
Finul/accident: un soldat français tué
Un soldat français de la Force des Nations Unies au Liban (Finul) a été tué et deux autres on été blessés dans un accident de la route aujourd'hui dans le sud du pays, selon la force onusienne et des services de sécurité.
"Un soldat de la Finul a été tué et deux autres ont été blessés dans un accident de la route impliquant un véhicule de transport de troupes (VTT) lors d'une patrouille de routine ce matin dans les environs de Borj Qalaouay", à 15 km à l'est de la ville côtière de Tyr, a affirmé à l'AFP le porte-parole militaire de la Finul, le lieutenant-colonel Naresh Bhatt. "Aucun autre véhicule n'était impliqué dans l'accident", a-t-il précisé, ajoutant que la Finul enquêtait sur les circonstances de l'accident.
Le porte-parole a refusé de préciser la nationalité des soldats, mais un responsable des services de sécurité libanais a indiqué qu'il sont français.
La Finul, qui compte 13.000 militaires de plusieurs nationalités, a été formée en 1978 pour surveiller la frontière avec Israël. Elle a vu ses effectifs renforcés par la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU qui a mis fin à la guerre de l'été 2006 entre Israël et le Hezbollah libanais. Avec 1.500 hommes, la France est le second contingent en terme d'effectifs après l'Italie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/24/97001-20100824FILWWW00379-finulaccident-1-soldat-francais-tue.php
"Un soldat de la Finul a été tué et deux autres ont été blessés dans un accident de la route impliquant un véhicule de transport de troupes (VTT) lors d'une patrouille de routine ce matin dans les environs de Borj Qalaouay", à 15 km à l'est de la ville côtière de Tyr, a affirmé à l'AFP le porte-parole militaire de la Finul, le lieutenant-colonel Naresh Bhatt. "Aucun autre véhicule n'était impliqué dans l'accident", a-t-il précisé, ajoutant que la Finul enquêtait sur les circonstances de l'accident.
Le porte-parole a refusé de préciser la nationalité des soldats, mais un responsable des services de sécurité libanais a indiqué qu'il sont français.
La Finul, qui compte 13.000 militaires de plusieurs nationalités, a été formée en 1978 pour surveiller la frontière avec Israël. Elle a vu ses effectifs renforcés par la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU qui a mis fin à la guerre de l'été 2006 entre Israël et le Hezbollah libanais. Avec 1.500 hommes, la France est le second contingent en terme d'effectifs après l'Italie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/24/97001-20100824FILWWW00379-finulaccident-1-soldat-francais-tue.php
Fréjus pleure ses marsouins
L’émotion était palpable, hier, au 21e régiment d’infanterie des troupes de marine de Fréjus (Var) dont deux militaires qui avaient rejoint les montagnes afghanes en juin dernier pour six mois sont morts en mission : le lieutenant Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans. Trois autres ont été blessés dans l’attaque survenue dans la nuit de dimanche à lundi.
« Ils étaient de grands professionnels et la garnison tout entière est en deuil, explique le lieutenant-colonel Dazat, commandant en second du 21e RIMa, en rendant hommage à ses camarades disparus. Sur un effectif de 800 hommes, 484 soldats de chez nous étaient engagés en Afghanistan et répartis en trois compagnies de combat et une compagnie de commandement et de logistique. »
Le lieutenant Mezzasalma avait débuté sa carrière militaire au 3e régiment d’infanterie de marine de Vannes (Morbihan) avant d’être engagé comme sergent en Côte d’Ivoire. Puis il s’est retrouvé en mission dans de nombreuses régions du monde : Gabon, Guyane, Yougoslavie, Nouvelle-Calédonie puis Afghanistan pour la seconde fois après un premier séjour en 2003. Il était marié et père de deux enfants.
Le caporal Panezyck avait, quant à lui, souscrit un contrat d’engagement de cinq ans au 21e RIMa en 2005. Promu caporal en 2008, il avait souscrit un nouveau contrat de six ans. Célibataire et sans enfant, ce militaire avait déjà servi en Nouvelle-Calédonie, au Kosovo et en Guyane.
Hier, dans la cour du camp Colonel-Lecocq, l’esprit de corps prédominait. Le drapeau tricolore a été mis en berne dès la nouvelle annoncée. « J’ai rassemblé mon régiment, confie le commandant en second, et je leur ai tout dit. Nous sommes unis dans cette douleur et plus que jamais solidaires. A leur départ, le chef de corps leur avait annoncé que, là-bas, ils allaient devoir faire leur métier difficilement. Tous savaient que leur mission comportait un danger permanent. Malgré l’adversité, ils ont fait un travail remarquable. Nous nous devons de leur rendre hommage publiquement. Les corps de nos deux camarades devraient être ramenés dans la semaine, peut-être jeudi. » Un hommage national leur sera rendu ensuite, mais dès hier à Fréjus les soldats se sont rassemblés par groupes pour prier ou pour se souvenir ensemble. « Ici, conclut le lieutenant-colonel Dauzat, nous sommes aux côtés des familles pour les soutenir et leur redire notre attachement. »
http://www.leparisien.fr/international/deux-soldats-francais-tues-en-afghanistan-23-08-2010-1040424.php
« Ils étaient de grands professionnels et la garnison tout entière est en deuil, explique le lieutenant-colonel Dazat, commandant en second du 21e RIMa, en rendant hommage à ses camarades disparus. Sur un effectif de 800 hommes, 484 soldats de chez nous étaient engagés en Afghanistan et répartis en trois compagnies de combat et une compagnie de commandement et de logistique. »
Le lieutenant Mezzasalma avait débuté sa carrière militaire au 3e régiment d’infanterie de marine de Vannes (Morbihan) avant d’être engagé comme sergent en Côte d’Ivoire. Puis il s’est retrouvé en mission dans de nombreuses régions du monde : Gabon, Guyane, Yougoslavie, Nouvelle-Calédonie puis Afghanistan pour la seconde fois après un premier séjour en 2003. Il était marié et père de deux enfants.
Le caporal Panezyck avait, quant à lui, souscrit un contrat d’engagement de cinq ans au 21e RIMa en 2005. Promu caporal en 2008, il avait souscrit un nouveau contrat de six ans. Célibataire et sans enfant, ce militaire avait déjà servi en Nouvelle-Calédonie, au Kosovo et en Guyane.
Hier, dans la cour du camp Colonel-Lecocq, l’esprit de corps prédominait. Le drapeau tricolore a été mis en berne dès la nouvelle annoncée. « J’ai rassemblé mon régiment, confie le commandant en second, et je leur ai tout dit. Nous sommes unis dans cette douleur et plus que jamais solidaires. A leur départ, le chef de corps leur avait annoncé que, là-bas, ils allaient devoir faire leur métier difficilement. Tous savaient que leur mission comportait un danger permanent. Malgré l’adversité, ils ont fait un travail remarquable. Nous nous devons de leur rendre hommage publiquement. Les corps de nos deux camarades devraient être ramenés dans la semaine, peut-être jeudi. » Un hommage national leur sera rendu ensuite, mais dès hier à Fréjus les soldats se sont rassemblés par groupes pour prier ou pour se souvenir ensemble. « Ici, conclut le lieutenant-colonel Dauzat, nous sommes aux côtés des familles pour les soutenir et leur redire notre attachement. »
http://www.leparisien.fr/international/deux-soldats-francais-tues-en-afghanistan-23-08-2010-1040424.php
Les trois soldats français blessés en Afghanistan rapatriés par avion sanitaire
Les trois soldats français blessés en Afghanistan dans la nuit de dimanche à lundi ont été rapatriés par un avion sanitaire attendu mardi vers 02H00 sur la base aérienne de Villacoublay, a-t-on appris auprès de l'état-major des armées à Paris
Un Falcon 900 a embarqué les trois blessés, dont l'un est grièvement touché, lundi soir à Kaboul", a indiqué à l'AFP le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major.
"Dès leur arrivée, prévue mardi aux alentours de 02HOO à Villacoublay, ils seront transportés vers des hôpitaux militaires parisiens", a-t-il précisé. Les trois soldats du 21e régiment d'infanterie de marine (21e RIMa) de Fréjus (Var) ont été blessés lors d'un accrochage avec des insurgés survenu dans la vallée de Tagab, à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Kaboul.
Quelques heures plus tard, au cours de la même opération, deux autres soldats français, le lieutenant Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, ont été tués par balles non loin de là. Déployés depuis le début du mois de juin en Afghanistan, ils appartenaient également au 21e RIMa.
http://www.lepoint.fr/societe/les-trois-soldats-francais-blesses-en-afghanistan-rapatries-par-avion-sanitaire-24-08-2010-1227944_23.php
Un Falcon 900 a embarqué les trois blessés, dont l'un est grièvement touché, lundi soir à Kaboul", a indiqué à l'AFP le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major.
"Dès leur arrivée, prévue mardi aux alentours de 02HOO à Villacoublay, ils seront transportés vers des hôpitaux militaires parisiens", a-t-il précisé. Les trois soldats du 21e régiment d'infanterie de marine (21e RIMa) de Fréjus (Var) ont été blessés lors d'un accrochage avec des insurgés survenu dans la vallée de Tagab, à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Kaboul.
Quelques heures plus tard, au cours de la même opération, deux autres soldats français, le lieutenant Lorenzo Mezzasalma, 43 ans, et le caporal Jean-Nicolas Panezyck, 25 ans, ont été tués par balles non loin de là. Déployés depuis le début du mois de juin en Afghanistan, ils appartenaient également au 21e RIMa.
http://www.lepoint.fr/societe/les-trois-soldats-francais-blesses-en-afghanistan-rapatries-par-avion-sanitaire-24-08-2010-1227944_23.php
Corse : l’armée de Terre en appui de la lutte contre les feux
Près de 500 militaires sont mobilisés pour lutter contre les incendies durant les trois mois d’été en Corse. Chaque année, l’armée de Terre participe au plan de secours Héphaïstos dans la zone méditerranéenne.
En état d’alerte constante , les formations militaires de la Sécurité civile (FORMISC) doivent faire face à l’aggravation des risques de feux de forêts . Elles sont assistées des sections militaires intégrées (SMI) armées par des soldats de l’armée de Terre.
Au mois de juillet 2010, des sections du 4e régiment de dragons (4e RD) d’Aubagne, du 54e régiment d’artillerie (54e RA) d’Hyères et du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa) de Vannes sont intervenues en Corse.
L’île est divisée en 3 secteurs, défendus chacun par une unité d’instruction et d’intervention de la Sécurité civile (UIISC). Un maillage de surveillance, basé sur les détachements d’intervention prépositionnés (DIP), permet d’être au plus près des départs de feu .
Les SMI assurent deux missions principales : la surveillance (participation au maillage) et le traitement des lisières. Une fois l’incendie maîtrisé par les sapeurs, il s’agit d’éteindre toutes les flammèches et d’empêcher la reprise du feu .
Dans une région où 90% des incendies sont d’origine intentionnelle, concentration, vigilance et réactivité sont indispensables. Chaque vallée, chaque massif est scruté. La moindre fumerolle est immédiatement signalée par radio aux sapeurs-pompiers et le véhicule le plus proche se rend sur place.
La répartition des forces sur le terrain est parfaitement étudiée : les feux se déclarent souvent dans les mêmes secteurs. Chaque feu est différent, mais le risque est toujours présent . Lors d’un feu, les trois priorités sont de protéger les personnes , de protéger les biens et ensuite de limiter le sinistre .
L’efficacité du dispositif repose sur une étroite collaboration entre les sapeurs-pompiers (civils), les sapeurs sauveteurs (militaires de la Sécurité civile) et les SMI. Le brigadier-chef Christophe Combes du 4e RD assure : « Nous sommes fiers d’avoir aidé les FORMISC. Je leur tire mon chapeau ! »
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/corse-l-armee-de-terre-en-appui-de-la-lutte-contre-les-feux
En état d’alerte constante , les formations militaires de la Sécurité civile (FORMISC) doivent faire face à l’aggravation des risques de feux de forêts . Elles sont assistées des sections militaires intégrées (SMI) armées par des soldats de l’armée de Terre.
Au mois de juillet 2010, des sections du 4e régiment de dragons (4e RD) d’Aubagne, du 54e régiment d’artillerie (54e RA) d’Hyères et du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa) de Vannes sont intervenues en Corse.
L’île est divisée en 3 secteurs, défendus chacun par une unité d’instruction et d’intervention de la Sécurité civile (UIISC). Un maillage de surveillance, basé sur les détachements d’intervention prépositionnés (DIP), permet d’être au plus près des départs de feu .
Les SMI assurent deux missions principales : la surveillance (participation au maillage) et le traitement des lisières. Une fois l’incendie maîtrisé par les sapeurs, il s’agit d’éteindre toutes les flammèches et d’empêcher la reprise du feu .
Dans une région où 90% des incendies sont d’origine intentionnelle, concentration, vigilance et réactivité sont indispensables. Chaque vallée, chaque massif est scruté. La moindre fumerolle est immédiatement signalée par radio aux sapeurs-pompiers et le véhicule le plus proche se rend sur place.
La répartition des forces sur le terrain est parfaitement étudiée : les feux se déclarent souvent dans les mêmes secteurs. Chaque feu est différent, mais le risque est toujours présent . Lors d’un feu, les trois priorités sont de protéger les personnes , de protéger les biens et ensuite de limiter le sinistre .
L’efficacité du dispositif repose sur une étroite collaboration entre les sapeurs-pompiers (civils), les sapeurs sauveteurs (militaires de la Sécurité civile) et les SMI. Le brigadier-chef Christophe Combes du 4e RD assure : « Nous sommes fiers d’avoir aidé les FORMISC. Je leur tire mon chapeau ! »
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/corse-l-armee-de-terre-en-appui-de-la-lutte-contre-les-feux
lundi 23 août 2010
Deux nouveaux morts français en Afghanistan
Les deux Français morts lundi matin en Afghanistan sont les 46e et 47e décès de militaires français dans ce pays depuis le début de l'intervention, en 2001. Il s'agit du lieutenant Lorenzo Mezzasalma et du caporal Jean-Nicolas Panezyck.
Le décès des deux militaires s'est produit après un premier accrochage. Celui-ci a concerné un élément de la Task Force Hermes, bataillon de Kapisa commandé par le colonel Michel de Mesmay et composé pour l'essentiel de soldats du 21e régiment d'infanterie de marine de Fréjus. Les soldats prenaient place en fin de nuit au sud de la base de Tagab, à l'entrée de la vallée de Bedraou. L'opération concernait trois compagnies de combat françaises, soit environ 400 hommes, associés à une centaine de soldats de l'armée nationale afghane et à des policiers. Lors de ce premier engagement, trois soldats ont été blessés, dont l'un très grièvement, sans doute par des tirs directs de RPG-7 et de Kalachnikov. Les blessés ont été immédiatement transférés vers l'hôpital militaire français de Kaboul. Ils devraient être rapatriés en France dans les prochaines heures. Une compagnie a été prise sous le feu alors qu'elle changeait de position. Le lieutenant officier adjoint et un caporal ont été tués par balle. Des hélicoptères Tigre ont dû intervenir pour assurer la protection du reste de l'unité.
Il s'agissait de la quinzième opération conduite par la TF Hermes dans cette zone depuis le début du mois d'août. Depuis plusieurs jours, les militaires français ont constaté une augmentation du nombre de contacts avec les insurgés. Les obsèques des deux victimes pourraient avoir lieu le 27 août à Fréjus, en présence du ministre de la Défense Hervé Morin.
BIOGRAPHIES :
Le lieutenant Lorenzo MEZZASALMA est né le 21 avril 1967, à Paris.
Engagé volontaire au titre de l'École nationale des sous-officiers d'active à compter du 1er avril 1988, il passe ensuite une année à l'École d'application de l'infanterie avant d'être affecté au 3e régiment d'infanterie de marine (Vannes). Promu au grade de sergent le 1er juillet 1993, il est admis dans le corps des sous-officiers de carrière le 1er décembre 1993.
De 1994 à 1996, il effectue un séjour outre-mer de deux ans en République de Côte d'Ivoire. À son retour, il est affecté au 3e régiment parachutiste d'infanterie de marine (Carcassonne) à compter du 26 août 1996.
Promu adjudant le 1er décembre 1998, puis adjudant-chef le 1er janvier 2005, il occupe les fonctions de chef de section d'infanterie blindée.
Admis au concours des majors en 2005, il est nommé à ce même grade le 1er avril. Admis au recrutement des officiers rang le 1er août 2008, il est ensuite affecté au 21e régiment d'infanterie de marine, à Fréjus, en tant que lieutenant. Il occupe alors les fonctions d'officier traitant au bureau opérations-instruction avant de devenir officier adjoint à la 4e compagnie de combat.
Le lieutenant Mezzasalma a effectué tout au long de sa carrière différentes missions : Gabon (1989), Guyane (1992), Yougoslavie (1994), Gabon (1998), Nouvelle-Calédonie (1999), Yougoslavie (2001), Nouvelle-Calédonie (2002), Afghanistan (2003), RCI (2004 et 2006), Guyane (2009), Afghanistan (depuis début juin 2010).
Le Lieutenant Mezzalma est décoré :
- De la médaille de la Commémoration française ex-Yougoslavie
- De la médaille d'Outre-mer Congo
- De la médaille de la Défense nationale échelon or
- Du titre de Reconnaissance de la nation
- De la médaille de la Commémoration française Afghanistan
- De la médaille d'Outre-mer RCI
- De la médaille d'Outre-mer RCA
Le lieutenant Mezzalma était marié et père de deux enfants.
Jean-Nicolas PANEZYCK a souscrit un contrat d'engagement de 5 ans au titre du 21e régiment d'infanterie de marine en novembre 2005.
Élevé à la distinction de 1re classe à compter du 1er septembre 2006, il était chef d'équipe d'infanterie depuis fin 2008. Il a été promu caporal le 1er août 2008. Il a souscrit un nouveau contrat de 6 ans à compter de novembre 2010. Au cours de sa carrière, le caporal Panezyck a effectué des missions en Nouvelle-Calédonie (2006), au Kosovo (2008), en Guyane (2009), en Afghanistan (depuis début juin 2010).
Il est décoré de la médaille de la Défense nationale échelon bronze.
Le caporal Panezyck était célibataire, sans enfant ; il avait 25 ans.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/deux-nouveaux-morts-francais-en-afghanistan-23-08-2010-1227866_53.php
Le décès des deux militaires s'est produit après un premier accrochage. Celui-ci a concerné un élément de la Task Force Hermes, bataillon de Kapisa commandé par le colonel Michel de Mesmay et composé pour l'essentiel de soldats du 21e régiment d'infanterie de marine de Fréjus. Les soldats prenaient place en fin de nuit au sud de la base de Tagab, à l'entrée de la vallée de Bedraou. L'opération concernait trois compagnies de combat françaises, soit environ 400 hommes, associés à une centaine de soldats de l'armée nationale afghane et à des policiers. Lors de ce premier engagement, trois soldats ont été blessés, dont l'un très grièvement, sans doute par des tirs directs de RPG-7 et de Kalachnikov. Les blessés ont été immédiatement transférés vers l'hôpital militaire français de Kaboul. Ils devraient être rapatriés en France dans les prochaines heures. Une compagnie a été prise sous le feu alors qu'elle changeait de position. Le lieutenant officier adjoint et un caporal ont été tués par balle. Des hélicoptères Tigre ont dû intervenir pour assurer la protection du reste de l'unité.
Il s'agissait de la quinzième opération conduite par la TF Hermes dans cette zone depuis le début du mois d'août. Depuis plusieurs jours, les militaires français ont constaté une augmentation du nombre de contacts avec les insurgés. Les obsèques des deux victimes pourraient avoir lieu le 27 août à Fréjus, en présence du ministre de la Défense Hervé Morin.
BIOGRAPHIES :
Le lieutenant Lorenzo MEZZASALMA est né le 21 avril 1967, à Paris.
Engagé volontaire au titre de l'École nationale des sous-officiers d'active à compter du 1er avril 1988, il passe ensuite une année à l'École d'application de l'infanterie avant d'être affecté au 3e régiment d'infanterie de marine (Vannes). Promu au grade de sergent le 1er juillet 1993, il est admis dans le corps des sous-officiers de carrière le 1er décembre 1993.
De 1994 à 1996, il effectue un séjour outre-mer de deux ans en République de Côte d'Ivoire. À son retour, il est affecté au 3e régiment parachutiste d'infanterie de marine (Carcassonne) à compter du 26 août 1996.
Promu adjudant le 1er décembre 1998, puis adjudant-chef le 1er janvier 2005, il occupe les fonctions de chef de section d'infanterie blindée.
Admis au concours des majors en 2005, il est nommé à ce même grade le 1er avril. Admis au recrutement des officiers rang le 1er août 2008, il est ensuite affecté au 21e régiment d'infanterie de marine, à Fréjus, en tant que lieutenant. Il occupe alors les fonctions d'officier traitant au bureau opérations-instruction avant de devenir officier adjoint à la 4e compagnie de combat.
Le lieutenant Mezzasalma a effectué tout au long de sa carrière différentes missions : Gabon (1989), Guyane (1992), Yougoslavie (1994), Gabon (1998), Nouvelle-Calédonie (1999), Yougoslavie (2001), Nouvelle-Calédonie (2002), Afghanistan (2003), RCI (2004 et 2006), Guyane (2009), Afghanistan (depuis début juin 2010).
Le Lieutenant Mezzalma est décoré :
- De la médaille de la Commémoration française ex-Yougoslavie
- De la médaille d'Outre-mer Congo
- De la médaille de la Défense nationale échelon or
- Du titre de Reconnaissance de la nation
- De la médaille de la Commémoration française Afghanistan
- De la médaille d'Outre-mer RCI
- De la médaille d'Outre-mer RCA
Le lieutenant Mezzalma était marié et père de deux enfants.
Jean-Nicolas PANEZYCK a souscrit un contrat d'engagement de 5 ans au titre du 21e régiment d'infanterie de marine en novembre 2005.
Élevé à la distinction de 1re classe à compter du 1er septembre 2006, il était chef d'équipe d'infanterie depuis fin 2008. Il a été promu caporal le 1er août 2008. Il a souscrit un nouveau contrat de 6 ans à compter de novembre 2010. Au cours de sa carrière, le caporal Panezyck a effectué des missions en Nouvelle-Calédonie (2006), au Kosovo (2008), en Guyane (2009), en Afghanistan (depuis début juin 2010).
Il est décoré de la médaille de la Défense nationale échelon bronze.
Le caporal Panezyck était célibataire, sans enfant ; il avait 25 ans.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/deux-nouveaux-morts-francais-en-afghanistan-23-08-2010-1227866_53.php
Fréjus : drapeau en berne au 21ème Régiment d'Infanterie
Le drapeau tricolore est en berne depuis lundi matin au 21ème Régiment d'Infanterie des Troupes de Marine (Rima) à Fréjus (Var) où les militaires ont appris que deux de leurs collègues ont trouvé la mort et trois autres été blessés en Afghanistan.
En début d'après midi, le commandant en second de l'unité, le lieutenant-colonel Jean-Paul Dazat, a réuni sur la place d'armes du camp Lecoq les militaires restés sur la base arrière pour leur expliquer les événements de la nuit.
«C'est quelque chose qui nous touche et qu'on fait partager à toute la communauté du régiment», a dit le lieutenant colonel Dazat à la presse précisant que toutes les familles avaient été prévenues.
Il a apporté quelques précisions sur les circonstances de la mort des deux militaires tués qu'il connaissait, «deux professionnels» qui appartenaient comme les trois blessés «à une unité de combat».
L'officier qui a refusé de communiquer sur les identités et les âges a également indiqué que parmi les cinq personnes concernées, «certains avaient déjà été en opération en Afghanistan».
Selon lui, «les militaires tués et blessés dans la vallée de la Kapissa» étaient engagés «dans une opération de sécurisation de la vallée de Bédraou qui avait débuté dans la nuit».
«Dans un premier temps une unité a été accrochée et nous avons eu trois blessés. Il y a eu une riposte immédiate sur les insurgés et c'est au moment du désengagement de l'une des unités françaises engagées que nos deux soldats ont perdu la vie», a-t-il expliqué.
Les trois militaires blessés ont été évacués sur l'hopital français de Kaboul et qu'ils devraient être rapatriés en France d'ici 24 heures, a-t-il précisé, ajoutant que deux cérémonies officielles dont les dates n'ont pas encore été arrêtées seront organisées en l'honneur des victimes, l'une à Paris l'autre à Fréjus au 21ème Rima.
Cinq cents hommes du 21ème Rima de Fréjus, soit trois compagnies de combat et une compagnie de commandement et de logistique, sont actuellement engagés en Afghanistan.
http://www.leparisien.fr/international/frejus-drapeau-en-berne-au-21eme-regiment-d-infanterie-23-08-2010-1040571.php
En début d'après midi, le commandant en second de l'unité, le lieutenant-colonel Jean-Paul Dazat, a réuni sur la place d'armes du camp Lecoq les militaires restés sur la base arrière pour leur expliquer les événements de la nuit.
«C'est quelque chose qui nous touche et qu'on fait partager à toute la communauté du régiment», a dit le lieutenant colonel Dazat à la presse précisant que toutes les familles avaient été prévenues.
Il a apporté quelques précisions sur les circonstances de la mort des deux militaires tués qu'il connaissait, «deux professionnels» qui appartenaient comme les trois blessés «à une unité de combat».
L'officier qui a refusé de communiquer sur les identités et les âges a également indiqué que parmi les cinq personnes concernées, «certains avaient déjà été en opération en Afghanistan».
Selon lui, «les militaires tués et blessés dans la vallée de la Kapissa» étaient engagés «dans une opération de sécurisation de la vallée de Bédraou qui avait débuté dans la nuit».
«Dans un premier temps une unité a été accrochée et nous avons eu trois blessés. Il y a eu une riposte immédiate sur les insurgés et c'est au moment du désengagement de l'une des unités françaises engagées que nos deux soldats ont perdu la vie», a-t-il expliqué.
Les trois militaires blessés ont été évacués sur l'hopital français de Kaboul et qu'ils devraient être rapatriés en France d'ici 24 heures, a-t-il précisé, ajoutant que deux cérémonies officielles dont les dates n'ont pas encore été arrêtées seront organisées en l'honneur des victimes, l'une à Paris l'autre à Fréjus au 21ème Rima.
Cinq cents hommes du 21ème Rima de Fréjus, soit trois compagnies de combat et une compagnie de commandement et de logistique, sont actuellement engagés en Afghanistan.
http://www.leparisien.fr/international/frejus-drapeau-en-berne-au-21eme-regiment-d-infanterie-23-08-2010-1040571.php
Afghanistan : deux militaires français tués en Kapisa
Dernières informations sur l'opération ayant entrainé la mort de deux soldats français
Lundi 23 août 2010, le GTIA Kapisa et les forces de sécurité afghanes ont conduit une opération de sécurisation en vallée de Bedraou au cours de laquelle deux militaires français ont été tués.
Cette opération s’inscrivait dans le cadre d’une campagne d’opérations menée par la brigade française en Kapisa et Surobi, visant à désorganiser les réseaux insurgés, à réduire leurs capacités logistiques. Ainsi, depuis le début du mois d’août, les GTIA Kapisa et Surobi ont conduit une quinzaine d’opérations au nord et sud de la Kapisa, et au nord d’Uzbeen. Dans le cadre d’une de ces opérations, deux militaires français ont été tués ce matin en Kapisa.
L’opération de sécurisation, conduite par le GTIA Kapisa et les forces de sécurité afghanes, a commencé tôt cette nuit. Les unités du GTIA Kapisa se sont tout d’abord déployées vers l’entrée de la vallée de Bedraou où ils ont engagés des insurgés. Trois militaires français ont été blessés. Ils ont été évacués vers la base française de Tagab puis par hélicoptères français vers l’hôpital militaire de Kaboul.
Après les ripostes par tirs de mortiers sur les positions insurgées, l’opération s’est poursuivie dans la même zone. Au cours d’une phase de désengagement d’une unité, deux militaires français ont été grièvement blessés par balle au cours de cet accrochage et sont décédés des suites de leurs blessures.
Les deux militaires tués et les trois blessés appartiennent au 21ème régiment d’infanterie de marine de Fréjus. Les militaires blessés sont actuellement pris en charge à l’hôpital militaire français de Kaboul.
http://www.defense.gouv.fr/operations/afghanistan/actualites/afghanistan-deux-militaires-francais-tues-en-kapisa
Lundi 23 août 2010, le GTIA Kapisa et les forces de sécurité afghanes ont conduit une opération de sécurisation en vallée de Bedraou au cours de laquelle deux militaires français ont été tués.
Cette opération s’inscrivait dans le cadre d’une campagne d’opérations menée par la brigade française en Kapisa et Surobi, visant à désorganiser les réseaux insurgés, à réduire leurs capacités logistiques. Ainsi, depuis le début du mois d’août, les GTIA Kapisa et Surobi ont conduit une quinzaine d’opérations au nord et sud de la Kapisa, et au nord d’Uzbeen. Dans le cadre d’une de ces opérations, deux militaires français ont été tués ce matin en Kapisa.
L’opération de sécurisation, conduite par le GTIA Kapisa et les forces de sécurité afghanes, a commencé tôt cette nuit. Les unités du GTIA Kapisa se sont tout d’abord déployées vers l’entrée de la vallée de Bedraou où ils ont engagés des insurgés. Trois militaires français ont été blessés. Ils ont été évacués vers la base française de Tagab puis par hélicoptères français vers l’hôpital militaire de Kaboul.
Après les ripostes par tirs de mortiers sur les positions insurgées, l’opération s’est poursuivie dans la même zone. Au cours d’une phase de désengagement d’une unité, deux militaires français ont été grièvement blessés par balle au cours de cet accrochage et sont décédés des suites de leurs blessures.
Les deux militaires tués et les trois blessés appartiennent au 21ème régiment d’infanterie de marine de Fréjus. Les militaires blessés sont actuellement pris en charge à l’hôpital militaire français de Kaboul.
http://www.defense.gouv.fr/operations/afghanistan/actualites/afghanistan-deux-militaires-francais-tues-en-kapisa
Afghanistan : l’action des commandos de l’air en Kapisa
Quatre commandos de l’air, trois servant au CPA n°30 (commando parachutiste de l’air) et un renfort du détachement du CFA (commandement des forces aériennes), sont actuellement en opération, pour une durée de six mois, au sein du GTIA Hermès (groupement tactique interarmées) sur la base opérationnelle avancée (FOB-Forward Operational Base ) de Tagab, dans la province de Kapisa au nord-est de Kaboul. Principalement armé par le 21e régiment d’infanterie de Marine de Fréjus, ce GTIA, fort de 800 hommes, a pour mission d’appuyer les forces gouvernementales afghanes dans la sécurisation de son aire de responsabilité, une zone d’environ 600 km2.
La tâche qui incombe à ces commandos de l’air est la mise en œuvre de l’appui aérien sous toutes ses formes, à partir du poste de commandement du GTIA Hermès (TOC- Tactical Operational Center ), au profit des trois compagnies de combat déployées sur le terrain. Dans leur rang, se trouvent deux Forward Air Controllers (FAC-contrôleurs aériens avancés), dont un contrôleur tactique aérien (CTA), un transmetteur de combat et un opérateur station d’aide à l’interprétation multicapteurs (SAIM).
Pleinement intégrés, ils partagent avec leurs camarades des troupes de Marine le même culte de la mission, véritable ciment du GTIA, contribuant ainsi à asseoir les liens fraternels qui unissent les commandos de l’air et l’armée de terre. Ils n’en sont pas à leur premier séjour en Afghanistan, puisque trois d’entre eux ont déjà servi au « Royaume de l’Insolence », notamment au sein des OMLT (Operational Mentoring and Liaison Team ), chargées du tutorat de l’armée afghane.
Les commandos de l’air, présents depuis plusieurs années sur le théâtre afghan, continuent ainsi d’écrire les pages d’une histoire prestigieuse d’un livre ouvert, par leurs anciens, dans les années 60. « L’action des commandos de l’air est essentielle pour la réussite de la mission. Je peux témoigner combien nos soldats, qui ont été au contact de troupes ennemies plusieurs fois par semaine, apprécient d’avoir les avions et hélicoptères en appui de leurs actions », explique le colonel Michel de Mesmay (armée de terre), commandant la Task Force Hermès .
http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites2/afghanistan-l-action-des-commandos-de-l-air-en-kapisa
Deux soldats français tombent en Afghanistan
Il s'agit des 46e et 47e militaires français tués dans ce pays depuis décembre 2001. Deux soldats français ont été tués et trois autres blessés lundi lors de combats en Afghanistan, a annoncé l'Elysée dans un communiqué. Les deux soldats morts sont un officier et un soldat tous deux issus du 21e Régiment d'infanterie de marine (Fréjus). Blessés par balle au sud de Tagab, ils n'ont pas survécu à leurs blessures.
"Ces militaires ont payé de leur vie l'engagement de la France au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan", a-t-elle ajouté, précisant que trois autres soldats "ont été blessés au cours de la nuit, au début de l'opération".
Le chef de l'Etat réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes. Il condamne avec la plus grande fermeté les attaques meurtrières des insurgés contre nos soldats et exprime la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité", ajoute le communiqué.
http://lci.tf1.fr/monde/asie/2010-08/deux-soldats-francais-tombent-en-afghanistan-6044236.html
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20100823.FAP7134/deux-militaires-francais-tues-en-afghanistan.html
"Ces militaires ont payé de leur vie l'engagement de la France au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan", a-t-elle ajouté, précisant que trois autres soldats "ont été blessés au cours de la nuit, au début de l'opération".
Le chef de l'Etat réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes. Il condamne avec la plus grande fermeté les attaques meurtrières des insurgés contre nos soldats et exprime la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité", ajoute le communiqué.
http://lci.tf1.fr/monde/asie/2010-08/deux-soldats-francais-tombent-en-afghanistan-6044236.html
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20100823.FAP7134/deux-militaires-francais-tues-en-afghanistan.html
Deux soldats français tués en Afghanistan
Alerte info
Deux soldats français, dont un officier, ont été tués et trois autres blessés lundi lors de combats en Afghanistan, portant à quarante-sept le nombre de militaires français tués dans ce pays depuis décembre 2001, a annoncé l'Elysée dans un communiqué
PLus d'infos à suivre....
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/23/97001-20100823FILWWW00330-afghanistan-2-soldats-francais-tues.php
Epidémie de dengue: l'armée est mobilisée en Martinique
Une réunion a eu lieu dimanche matin à la préfecture de Martinique avec toutes les institutions qui sont impliquées dans l'éradication de l'épidémie de dengue, dont l'armée, qui agira sur le terrain dès demain, a déclaré le commandant supérieur des forces armées. Lire la suite l'article
"Nous devons prendre à bras le corps l'épidémie", a rapporté l'amiral Loïc Raffaelli.
L'épidémie de dengue qui sévit depuis février aux Antilles a fait 13 morts. Un plan d'action a été activé. Il accélérera tout ce qui a été fait jusqu'à présent en Martinique et en Guadeloupe, a annoncé la préfecture.
L'armée se rendra dans un premier temps dans les écoles pour exterminer les gîtes larvaires à quelques jours de la rentrée. Les interventions seront menées par le RSMA (Régiment des Services Militaires Adaptés) et le 33è RIMA (Régiment d'Infanterie de Marine). Quarante militaires seront mobilisés.
Les forces armées auront à charge de commencer à intervenir dans le sud de la Martinique, où l'épidémie a débuté et où elle est la plus virulente.
Le problème doit être traité à grande échelle pour que tout le monde soit mobilisé, a déclaré l'Agence Régional de la Santé qui suit l'évolution de l'épidémie. " L'armée va permettre d'avoir plus de moyens techniques et d'intervenir là où c'est difficile ", rapporte à l'AFP Christian Ursullet, Directeur Général de l'ARS.
Un point sera fait demain soir à la préfecture de Fort-de-France et une réunion est prévue mercredi prochain à Matignon pour mettre en place le plus rapidement possible tous les moyens nécessaires à l'éradication de l'épidémie.
http://www.lepoint.fr/societe/epidemie-de-dengue-l-armee-est-mobilisee-en-martinique-22-08-2010-1227559_23.php
"Nous devons prendre à bras le corps l'épidémie", a rapporté l'amiral Loïc Raffaelli.
L'épidémie de dengue qui sévit depuis février aux Antilles a fait 13 morts. Un plan d'action a été activé. Il accélérera tout ce qui a été fait jusqu'à présent en Martinique et en Guadeloupe, a annoncé la préfecture.
L'armée se rendra dans un premier temps dans les écoles pour exterminer les gîtes larvaires à quelques jours de la rentrée. Les interventions seront menées par le RSMA (Régiment des Services Militaires Adaptés) et le 33è RIMA (Régiment d'Infanterie de Marine). Quarante militaires seront mobilisés.
Les forces armées auront à charge de commencer à intervenir dans le sud de la Martinique, où l'épidémie a débuté et où elle est la plus virulente.
Le problème doit être traité à grande échelle pour que tout le monde soit mobilisé, a déclaré l'Agence Régional de la Santé qui suit l'évolution de l'épidémie. " L'armée va permettre d'avoir plus de moyens techniques et d'intervenir là où c'est difficile ", rapporte à l'AFP Christian Ursullet, Directeur Général de l'ARS.
Un point sera fait demain soir à la préfecture de Fort-de-France et une réunion est prévue mercredi prochain à Matignon pour mettre en place le plus rapidement possible tous les moyens nécessaires à l'éradication de l'épidémie.
http://www.lepoint.fr/societe/epidemie-de-dengue-l-armee-est-mobilisee-en-martinique-22-08-2010-1227559_23.php
Côte d’Ivoire : la force Licorne réhabilite une école
Du 09 au 14 août, dans la commune de Djebonoua (située à 250 km au nord d’Abidjan), les militaires de la force Licorne ont réhabilité l’école primaire de Konzo dans le cadre d’un projet civilo-militaire.
L’objectif était de remettre en état des salles de classes avant la rentrée scolaire. Ce projet a pu être mené grâce à l’aide apportée par les forces de défense et de sécurité ivoirienne pour réaliser les travaux nécessitant des compétences et des savoir-faire spécifiques tels que la maçonnerie, la couverture du toit, la peinture.
Trois salles de classes ont été réhabilitées à la grande satisfaction des enseignants qui seront en mesure d’accueillir, d’ici septembre, une centaine d’élèves. La traditionnelle cérémonie d’inauguration a permis aux parents de visiter l’école et d’apprécier les efforts entrepris dans le domaine de l’éducation par les autorités locales et la force Licorne.
http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites2/cote-d-ivoire-la-force-licorne-rehabilite-une-ecole
L’objectif était de remettre en état des salles de classes avant la rentrée scolaire. Ce projet a pu être mené grâce à l’aide apportée par les forces de défense et de sécurité ivoirienne pour réaliser les travaux nécessitant des compétences et des savoir-faire spécifiques tels que la maçonnerie, la couverture du toit, la peinture.
Trois salles de classes ont été réhabilitées à la grande satisfaction des enseignants qui seront en mesure d’accueillir, d’ici septembre, une centaine d’élèves. La traditionnelle cérémonie d’inauguration a permis aux parents de visiter l’école et d’apprécier les efforts entrepris dans le domaine de l’éducation par les autorités locales et la force Licorne.
http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites2/cote-d-ivoire-la-force-licorne-rehabilite-une-ecole
dimanche 22 août 2010
Afghanistan: 4 soldats américains tués
Quatre soldats américains ont été tués aujourd'hui dans le sud et l'est de l'Afghanistan lors de combats et par l'explosion d'une mine artisanale, l'arme de prédilection des insurgés, a annoncé le commandement de l'Otan à Kaboul.
Deux militaires américains sont morts au cours d'une attaque des insurgés dans l'est du pays, a d'abord indiqué l'Otan. Un troisième soldat américain a été tué lors de combats dans le sud du pays. Et un quatrième a péri dans l'explosion d'une mine artisanale, toujours dans le sud.
Ces décès portent à 451 le nombre de soldats étrangers (dont 292 Américains) ayant trouvé la mort dans des opérations militaires en Afghanistan depuis le début de l'année, contre 520 pour toute l'année 2009, selon un bilan établi à partir du site indépendant icasualties.org.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/22/97001-20100822FILWWW00096-afghanistan-4-soldats-americains-tues.php
Deux militaires américains sont morts au cours d'une attaque des insurgés dans l'est du pays, a d'abord indiqué l'Otan. Un troisième soldat américain a été tué lors de combats dans le sud du pays. Et un quatrième a péri dans l'explosion d'une mine artisanale, toujours dans le sud.
Ces décès portent à 451 le nombre de soldats étrangers (dont 292 Américains) ayant trouvé la mort dans des opérations militaires en Afghanistan depuis le début de l'année, contre 520 pour toute l'année 2009, selon un bilan établi à partir du site indépendant icasualties.org.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/22/97001-20100822FILWWW00096-afghanistan-4-soldats-americains-tues.php
Sur les chemins de mémoire au camp militaire de Suippe
Le camp militaire de Suippes (Marne) abrite de nombreux vestiges de la Première guerre mondiale. Le 18 août, il a ouvert ses portes à un groupe de randonneurs, passionnés d’histoire pour un circuit « Sur les pas des armées de Champagne »
C’est comme si chaque jour on vous annonçait la mort de 900 militaires français. Et cela pendant quatre ans. C’était ça la guerre de 14-18 », explique le caporal-chef Eric Marchal, en pointant une ancienne Tranchée de la grande guerre.
Guide d’un jour, ce réserviste et passionné d’histoire de la grande guerre s’attèlle à informer la centaine de participants effectuant une randonnée pédestre au sein du camp militaire de Suippes. Une marche de 14 kilomètres à la découverte de l’Histoire, celle de la première guerre mondiale dont de nombreux vestiges sont encore présents dans cette emprise militaire.
C’est notamment le cas du Mont Muret (côte 201), théâtre de l’offensive de septembre 1915, un des lieux phares de cette randonnée. Un lieu chargé de souvenir où des milliers de soldats français et allemands sont tombés pour défendre leurs couleurs. C’est ensuite dans le village détruit de Tahure que les randonneurs ont pu découvrir ce qui reste de l’ancienne église du village. Un parcours historique organisé par le Centre d’entraînement des brigades (CEB) de Mourmelon, qui a ouvert pour la journée le camp militaire de Suippes.
Le CEB de Mourmelon a pour mission le soutient à l’entraînement des forces en mettant à disposition des espaces de manœuvre de champs de tir, de l’hébergement et des matériels.
Cette première randonnée sur les terres ravagées de la première guerre mondiale sera suivie prochainement d’une autre ouverture exceptionnelle du camp de Suippes à l’occasion d’un circuit des villages détruits. (Perthes-lès-Hurlus ; Hurlu ; Mesnil-lès-Hurlus ;Tahure). Cette manifestation se déroulera à la fin de l’été, le 12 septembre. Elle est organisée à l’initiative du Centre d’interprétation Marne 14-18, situé au carrefour des sites de Verdun et du Chemin des Dames. Il abrite une riche collection iconographique de la Grande guerre, visible tout au long de l’année.
Renseignements et inscription :
Centre d’interprétation Marne 14-18
03 26 68 24 09
www.marne14-18.fr
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/sur-les-chemins-de-memoire-au-camp-militaire-de-suippes
C’est comme si chaque jour on vous annonçait la mort de 900 militaires français. Et cela pendant quatre ans. C’était ça la guerre de 14-18 », explique le caporal-chef Eric Marchal, en pointant une ancienne Tranchée de la grande guerre.
Guide d’un jour, ce réserviste et passionné d’histoire de la grande guerre s’attèlle à informer la centaine de participants effectuant une randonnée pédestre au sein du camp militaire de Suippes. Une marche de 14 kilomètres à la découverte de l’Histoire, celle de la première guerre mondiale dont de nombreux vestiges sont encore présents dans cette emprise militaire.
C’est notamment le cas du Mont Muret (côte 201), théâtre de l’offensive de septembre 1915, un des lieux phares de cette randonnée. Un lieu chargé de souvenir où des milliers de soldats français et allemands sont tombés pour défendre leurs couleurs. C’est ensuite dans le village détruit de Tahure que les randonneurs ont pu découvrir ce qui reste de l’ancienne église du village. Un parcours historique organisé par le Centre d’entraînement des brigades (CEB) de Mourmelon, qui a ouvert pour la journée le camp militaire de Suippes.
Le CEB de Mourmelon a pour mission le soutient à l’entraînement des forces en mettant à disposition des espaces de manœuvre de champs de tir, de l’hébergement et des matériels.
Cette première randonnée sur les terres ravagées de la première guerre mondiale sera suivie prochainement d’une autre ouverture exceptionnelle du camp de Suippes à l’occasion d’un circuit des villages détruits. (Perthes-lès-Hurlus ; Hurlu ; Mesnil-lès-Hurlus ;Tahure). Cette manifestation se déroulera à la fin de l’été, le 12 septembre. Elle est organisée à l’initiative du Centre d’interprétation Marne 14-18, situé au carrefour des sites de Verdun et du Chemin des Dames. Il abrite une riche collection iconographique de la Grande guerre, visible tout au long de l’année.
Renseignements et inscription :
Centre d’interprétation Marne 14-18
03 26 68 24 09
www.marne14-18.fr
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles2/sur-les-chemins-de-memoire-au-camp-militaire-de-suippes
samedi 21 août 2010
Une ancienne mine découverte en Corse
Les plongeurs démineurs de la Marine nationale ont procédé ce matin à l'explosion d'une mine datant de la Seconde Guerre mondiale, découverte la veille par un plongeur au large d'une plage à Olmeto (Corse-du-Sud), a-t-on appris auprès de la gendarmerie. "Il s'agit d'une mine antichar française datant de la Seconde Guerre mondiale, utilisée probablement par les Italiens pour piéger les plages dans l'éventualité d'un débarquement", a indiqué à l'AFP le commandant de la compagnie de Sartène (Corse-du-Sud), le capitaine Olivier Benech.
La mine a été découverte vendredi par un plongeur au large d'une des plages d'Olmeto. Un périmètre de sécurité a été mis en place et l'accès à la plage a été interdit. Les plongeurs démineurs de la Marine nationale de Toulon l'ont fait exploser sur place en fin de matinée. C'est la première fois qu'une mine est découverte dans ce secteur où des obus ont notamment déjà été retrouvés.
Sous occupation italienne, la Corse est le premier département français à avoir été libéré à partir de septembre 1943.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/21/97001-20100821FILWWW00493-une-ancienne-mine-decouverte-en-corse.php
La mine a été découverte vendredi par un plongeur au large d'une des plages d'Olmeto. Un périmètre de sécurité a été mis en place et l'accès à la plage a été interdit. Les plongeurs démineurs de la Marine nationale de Toulon l'ont fait exploser sur place en fin de matinée. C'est la première fois qu'une mine est découverte dans ce secteur où des obus ont notamment déjà été retrouvés.
Sous occupation italienne, la Corse est le premier département français à avoir été libéré à partir de septembre 1943.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/21/97001-20100821FILWWW00493-une-ancienne-mine-decouverte-en-corse.php
Afghanistan: un soldat britannique tué
Un soldat britannique a été tué aujourd'hui dans un échange de tirs survenu dans la province du Helmand, sud de l'Afghanistan, a annoncé le ministère britannique de la Défense.
Le soldat, qui appartenait au 1er bataillon du régiment du Duc de Lancaster, a été tué samedi matin dans le district de Nad-e Ali alors qu'il assurait la protection d'une rencontre de responsables afghans locaux avec des soldats de la Force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf) et de l'armée afghane, a expliqué le MoD dans un communiqué. Ce décès porte à 332 le nombre de soldats britanniques tués en Afghanistan depuis l'intervention internationale en 2001.
L'Isaf avait annoncé un peu plus tôt la mort de deux soldats de l'Otan, sans dévoiler leur nationalité, l'un lors d'une "attaque des insurgés", l'autre par l'explosion d'une mine artisanale, l'arme de prédilection des rebelles.
Près de 141.000 soldats américains et de l'Otan sont actuellement déployés en Afghanistan, en particulier dans les provinces de Kandahar et du Helmand, bastions méridionaux de l'insurrection des talibans. Quelque 9.500 Britanniques sont stationnés dans le pays, constituant le deuxième contingent derrière les Américains.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/21/97001-20100821FILWWW00429-afghanistan-un-soldat-britannique-tue.php
Le soldat, qui appartenait au 1er bataillon du régiment du Duc de Lancaster, a été tué samedi matin dans le district de Nad-e Ali alors qu'il assurait la protection d'une rencontre de responsables afghans locaux avec des soldats de la Force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf) et de l'armée afghane, a expliqué le MoD dans un communiqué. Ce décès porte à 332 le nombre de soldats britanniques tués en Afghanistan depuis l'intervention internationale en 2001.
L'Isaf avait annoncé un peu plus tôt la mort de deux soldats de l'Otan, sans dévoiler leur nationalité, l'un lors d'une "attaque des insurgés", l'autre par l'explosion d'une mine artisanale, l'arme de prédilection des rebelles.
Près de 141.000 soldats américains et de l'Otan sont actuellement déployés en Afghanistan, en particulier dans les provinces de Kandahar et du Helmand, bastions méridionaux de l'insurrection des talibans. Quelque 9.500 Britanniques sont stationnés dans le pays, constituant le deuxième contingent derrière les Américains.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/21/97001-20100821FILWWW00429-afghanistan-un-soldat-britannique-tue.php
Afghanistan: 2 soldats australiens tués
Deux soldats australiens ont été tués et deux autres blessés par l'explosion d'une bombe en Afghanistan, a annoncé aujourd'hui le ministre australien de la Défense, ce qui porte à 20 le nombre de soldats australiens tués dans le conflit afghan.
"Hier, nous avons perdu deux bons soldats australiens", a déclaré le ministre John Faulkner à la presse aujourd'hui, jour de vote en Australie pour des législatives anticipées qui s'annoncent extrêmement serrées.
Les deux soldats ont été tués hier, lors d'une patrouille, par l'explosion d'une bombe placée sur le côté d'une route, une semaine jour pour jour après la mort d'un membre des forces spéciales australiennes, abattu dans la province de Kandahar, berceau des talibans dans le sud du pays.
Environ 1.500 soldats australiens sont déployés au sein de la force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf) dans la province de l'Uruzgan (sud), où ils entraînent l'armée afghane à combattre les insurgés talibans
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/21/97001-20100821FILWWW00350-afghanistan-2-soldats-australiens-tues.php
"Hier, nous avons perdu deux bons soldats australiens", a déclaré le ministre John Faulkner à la presse aujourd'hui, jour de vote en Australie pour des législatives anticipées qui s'annoncent extrêmement serrées.
Les deux soldats ont été tués hier, lors d'une patrouille, par l'explosion d'une bombe placée sur le côté d'une route, une semaine jour pour jour après la mort d'un membre des forces spéciales australiennes, abattu dans la province de Kandahar, berceau des talibans dans le sud du pays.
Environ 1.500 soldats australiens sont déployés au sein de la force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf) dans la province de l'Uruzgan (sud), où ils entraînent l'armée afghane à combattre les insurgés talibans
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/21/97001-20100821FILWWW00350-afghanistan-2-soldats-australiens-tues.php
Atalante : troisième opération en trois jours pour le De Grasse dans le Golfe d’Aden
Le 19 août en fin d’après-midi, pour la troisième fois en trois jours, les marins de la frégate française De Grasse , navire amiral de l’opération européenne Atalante, ont intercepté des présumés pirates dans l’est du Golfe d’Aden.
Un boutre et un skiff suspects avait été repérés bord à bord par un avion de patrouille maritime japonais, en mission de reconnaissance dans l’IRTC (Internationally Recommended Transit Corridor ). Situé à environ 50 milles nautiques, le De Grasse a fait route vers la zone.
Deux heures après, l’hélicoptère et l’équipe de visite du De Grasse ont intercepté le skiff, avec six suspects à son bord. Ces derniers n’ont opposé aucune résistance mais ils avaient pris soin de jeter la plupart des preuves matérielles présentes à bord auparavant.
Après les premières investigations à bord du skiff, les suspects ont été embarqués à bord du De Grasse , pour y être interrogés. Ils se sont vus proposer de l’eau et de quoi se restaurer.
Ayant également rallié la zone, l’USS Winston Churchill , navire américain engagé dans la Task Force 151 , s’est lancé à la poursuite du boutre qu’il a contrôlé.
Cet événement démontre l’excellente coordination entre les différents acteurs de la lutte contre la piraterie au large de la Somalie
http://www.defense.gouv.fr/operations/piraterie/actualites/atalante-troisieme-operation-en-trois-jours-pour-le-de-grasse-dans-le-golfe-d-aden
Un boutre et un skiff suspects avait été repérés bord à bord par un avion de patrouille maritime japonais, en mission de reconnaissance dans l’IRTC (Internationally Recommended Transit Corridor ). Situé à environ 50 milles nautiques, le De Grasse a fait route vers la zone.
Deux heures après, l’hélicoptère et l’équipe de visite du De Grasse ont intercepté le skiff, avec six suspects à son bord. Ces derniers n’ont opposé aucune résistance mais ils avaient pris soin de jeter la plupart des preuves matérielles présentes à bord auparavant.
Après les premières investigations à bord du skiff, les suspects ont été embarqués à bord du De Grasse , pour y être interrogés. Ils se sont vus proposer de l’eau et de quoi se restaurer.
Ayant également rallié la zone, l’USS Winston Churchill , navire américain engagé dans la Task Force 151 , s’est lancé à la poursuite du boutre qu’il a contrôlé.
Cet événement démontre l’excellente coordination entre les différents acteurs de la lutte contre la piraterie au large de la Somalie
http://www.defense.gouv.fr/operations/piraterie/actualites/atalante-troisieme-operation-en-trois-jours-pour-le-de-grasse-dans-le-golfe-d-aden
vendredi 20 août 2010
Afghanistan : un millier de munitions récupérées par les soldats français
L’opération Hermès Square réalisée par le GTIA Hermès en Afghanistan a permis de saisir plus d’un millier de munitions. Une belle « récolte » pour les soldats afghans et les marsouins de Fréjus.
Les soldats du 21e régiment d’infanterie de marine (21e RIMa) de Fréjus, épaulé par un groupe génie du 1er régiment étranger de génie (1er REG) arrivent près de l’école de Tatarkhel, dans les montagnes afghanes. Le bâtiment est le point de ralliement des 300 soldats afghans et marsouins pendant les trente-six heures que durera l’opération Hermès Square .
L’opération est lancée. La section d’aide à l’engagement direct (SAED), quitte l’école en direction du nord du village. Sa mission ? Assister la police nationale afghane dans les fouilles des maisons pour y découvrir armes, munitions ou engins explosifs.
Alors que les soldats entrent dans le village, des coups de feu se font entendre…
Le premier objectif est une kala (maison afghane). L’adjudant Ludovic, le chef du groupe, appelle à lui l’interprète, frappe à la porte et explique à ses occupants la raison de leur présence. La maison est fouillée par le groupe du génie.
Après cette première fouille, soldats afghans et français poursuivent leurs investigations dans les bâtiments voisins. Alors que la section approche d’un hangar, les tirs reprennent. Les soldats français ripostent. Le tireur cherche à harceler le groupe. Les ruelles étroites ceintes de murs hauts gênent les marsouins qui cherchent un angle de visée sur le tireur. Une fois repéré, celui-ci est contraint de cesser le feu. Pendant que la section rouge 40 sécurise la ruelle, les hommes de la SAED investissent le hangar. On entend alors la voix de l’adjudant à la radio : « On a un millier de munitions de Kalachnikov, des albums de photos où sont représentés des insurgés, des adresses de messagerie… On récupère tout ça et on rompt le contact! A ‘Rouge 40’ : ma section rompt le contact, on se repositionne sur l’école».
L’adjudant ne se laisse pas déborder par l’euphorie tant que tous ses hommes ne l’ont pas encore rejoint. Alors que le dernier militaire arrive, le chef ôte son casque et savoure la réussite de la mission. Les soldats auront, durant la mission, récupéré près d’un millier de munitions
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/afghanistan-un-millier-de-munitions-recuperees-par-les-soldats-francais
Les soldats du 21e régiment d’infanterie de marine (21e RIMa) de Fréjus, épaulé par un groupe génie du 1er régiment étranger de génie (1er REG) arrivent près de l’école de Tatarkhel, dans les montagnes afghanes. Le bâtiment est le point de ralliement des 300 soldats afghans et marsouins pendant les trente-six heures que durera l’opération Hermès Square .
L’opération est lancée. La section d’aide à l’engagement direct (SAED), quitte l’école en direction du nord du village. Sa mission ? Assister la police nationale afghane dans les fouilles des maisons pour y découvrir armes, munitions ou engins explosifs.
Alors que les soldats entrent dans le village, des coups de feu se font entendre…
Le premier objectif est une kala (maison afghane). L’adjudant Ludovic, le chef du groupe, appelle à lui l’interprète, frappe à la porte et explique à ses occupants la raison de leur présence. La maison est fouillée par le groupe du génie.
Après cette première fouille, soldats afghans et français poursuivent leurs investigations dans les bâtiments voisins. Alors que la section approche d’un hangar, les tirs reprennent. Les soldats français ripostent. Le tireur cherche à harceler le groupe. Les ruelles étroites ceintes de murs hauts gênent les marsouins qui cherchent un angle de visée sur le tireur. Une fois repéré, celui-ci est contraint de cesser le feu. Pendant que la section rouge 40 sécurise la ruelle, les hommes de la SAED investissent le hangar. On entend alors la voix de l’adjudant à la radio : « On a un millier de munitions de Kalachnikov, des albums de photos où sont représentés des insurgés, des adresses de messagerie… On récupère tout ça et on rompt le contact! A ‘Rouge 40’ : ma section rompt le contact, on se repositionne sur l’école».
L’adjudant ne se laisse pas déborder par l’euphorie tant que tous ses hommes ne l’ont pas encore rejoint. Alors que le dernier militaire arrive, le chef ôte son casque et savoure la réussite de la mission. Les soldats auront, durant la mission, récupéré près d’un millier de munitions
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/afghanistan-un-millier-de-munitions-recuperees-par-les-soldats-francais
La dernière brigade de combat américaine a quitté l'Irak
La dernière brigade de combat américaine stationnée en Irak a quitté jeudi le pays mais il reste encore quelque 50.000 soldats américains dans le pays chargés de former l'armée
Les derniers éléments ont traversé la frontière (koweïtienne) à 06H00 (03H00 GMT). C'est la dernière brigade de combat, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a plus de troupes de combat en Irak", a déclaré à l'AFP un porte-parole de l'armée américaine, le lieutenant-colonel Eric Bloom.
Il s'agit de la 4e Brigade Stryker de la deuxième division d'infanterie, qui était basée à Abou Ghraïb, un des endroits les plus dangereux d'Irak situé à 25 km à l'ouest de Bagdad.
"Il leur reste encore quelques jours pour nettoyer et préparer les équipements afin de pouvoir les expédier et ensuite les derniers soldats (de la base) partiront", a-t-il dit.
Cela a pris deux jours aux 360 véhicules militaires et à 1.200 soldats pour se rendre au Koweït, a-t-il précisé. Les quelque 4.000 autres soldats de la brigade sont partis par avion.
Désormais, il reste selon lui 56.000 soldats américains en Irak.
Le capitaine Russell Varnado du Camp Arifjan, une importante base à 70 km au sud de Koweït City, a affirmé à l'AFP que les troupes se préparaient à être rapatriées "bientôt", sans préciser de date.
Le Koweït abrite, dans le désert près de la frontière irakienne, plusieurs camps militaires américains et une base navale, utilisés lors de l'invasion de l'Irak en 2003.
Il est prévu que 50.000 militaires américains demeurent dans le pays après le 1er septembre, date fixée par les Etats-Unis pour mettre fin à leur mission de combat en Irak au profit d'un rôle d'entraînement et de conseil, dans le cadre de l'"Opération Iraqi Freedom", nouveau nom donné à la mission.
Les 6.000 soldats restants, qui doivent avoir quitté le pays d'ici le 1er septembre, sont dispersés dans tout l'Irak, a précisé à l'AFP le capitaine Sarah Baumgardner, une porte-parole de l'armée.
"Nous continuerons notre retrait responsable pour l'achever le 1er septembre", a souligné le général Stephen Lanza sur la chaîne américaine MSNBC. "Nous allons changer nos opérations de combat pour passer à des opérations de stabilisation", a-t-il dit.
L'ensemble des troupes américaines doit par ailleurs avoir quitté le pays d'ici la fin de 2011, selon un accord conclu avec Bagdad.
Le porte-parole du département d'Etat, Philip Crowley, s'exprimant en direct sur la chaîne de télévision américaine MSNBC au moment où étaient montrées, dans la nuit, les images de blindés franchissant la frontière, a évoqué un "moment historique" mais rappelé que l'engagement américain en Irak était solide et à long terme.
"Nous ne mettons pas fin à notre engagement en Irak. Nous allons avoir un important travail à faire (...) Ce n'est pas la fin de quelque chose, mais une transition vers quelque chose de différent. Nous sommes engagés à long terme en Irak", a-t-il dit.
Le conflit irakien, qui a coûté la vie à 4.400 Américains et où les Etats-Unis ont engagé mille milliards de dollars, a eu "un coût élevé", a-t-il souligné.
Dans une lettre datée du 18 août et que l'on peut lire sur le site internet de la Maison Blanche, le président Obama salue également la fin de la mission de combat tout en ne faisant aucune mention du départ des dernières unités combattantes dans la nuit de mercredi à jeudi.
Le chef de l'état-major irakien, le général Babaker Zebari, avait averti le 11 août que le retrait total de l'armée américaine fin 2011 était prématuré, estimant que ses forces ne seraient pas en mesure d'assurer pleinement la sécurité du pays avant 2020.
Ce départ intervient alors que l'Irak traverse une profonde crise politique avec l'incapacité des principaux partis politiques irakiens à se mettre d'accord pour former un nouveau gouvernement, cinq mois après les élections législatives du 7 mars.
http://actu.orange.fr/
Les derniers éléments ont traversé la frontière (koweïtienne) à 06H00 (03H00 GMT). C'est la dernière brigade de combat, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a plus de troupes de combat en Irak", a déclaré à l'AFP un porte-parole de l'armée américaine, le lieutenant-colonel Eric Bloom.
Il s'agit de la 4e Brigade Stryker de la deuxième division d'infanterie, qui était basée à Abou Ghraïb, un des endroits les plus dangereux d'Irak situé à 25 km à l'ouest de Bagdad.
"Il leur reste encore quelques jours pour nettoyer et préparer les équipements afin de pouvoir les expédier et ensuite les derniers soldats (de la base) partiront", a-t-il dit.
Cela a pris deux jours aux 360 véhicules militaires et à 1.200 soldats pour se rendre au Koweït, a-t-il précisé. Les quelque 4.000 autres soldats de la brigade sont partis par avion.
Désormais, il reste selon lui 56.000 soldats américains en Irak.
Le capitaine Russell Varnado du Camp Arifjan, une importante base à 70 km au sud de Koweït City, a affirmé à l'AFP que les troupes se préparaient à être rapatriées "bientôt", sans préciser de date.
Le Koweït abrite, dans le désert près de la frontière irakienne, plusieurs camps militaires américains et une base navale, utilisés lors de l'invasion de l'Irak en 2003.
Il est prévu que 50.000 militaires américains demeurent dans le pays après le 1er septembre, date fixée par les Etats-Unis pour mettre fin à leur mission de combat en Irak au profit d'un rôle d'entraînement et de conseil, dans le cadre de l'"Opération Iraqi Freedom", nouveau nom donné à la mission.
Les 6.000 soldats restants, qui doivent avoir quitté le pays d'ici le 1er septembre, sont dispersés dans tout l'Irak, a précisé à l'AFP le capitaine Sarah Baumgardner, une porte-parole de l'armée.
"Nous continuerons notre retrait responsable pour l'achever le 1er septembre", a souligné le général Stephen Lanza sur la chaîne américaine MSNBC. "Nous allons changer nos opérations de combat pour passer à des opérations de stabilisation", a-t-il dit.
L'ensemble des troupes américaines doit par ailleurs avoir quitté le pays d'ici la fin de 2011, selon un accord conclu avec Bagdad.
Le porte-parole du département d'Etat, Philip Crowley, s'exprimant en direct sur la chaîne de télévision américaine MSNBC au moment où étaient montrées, dans la nuit, les images de blindés franchissant la frontière, a évoqué un "moment historique" mais rappelé que l'engagement américain en Irak était solide et à long terme.
"Nous ne mettons pas fin à notre engagement en Irak. Nous allons avoir un important travail à faire (...) Ce n'est pas la fin de quelque chose, mais une transition vers quelque chose de différent. Nous sommes engagés à long terme en Irak", a-t-il dit.
Le conflit irakien, qui a coûté la vie à 4.400 Américains et où les Etats-Unis ont engagé mille milliards de dollars, a eu "un coût élevé", a-t-il souligné.
Dans une lettre datée du 18 août et que l'on peut lire sur le site internet de la Maison Blanche, le président Obama salue également la fin de la mission de combat tout en ne faisant aucune mention du départ des dernières unités combattantes dans la nuit de mercredi à jeudi.
Le chef de l'état-major irakien, le général Babaker Zebari, avait averti le 11 août que le retrait total de l'armée américaine fin 2011 était prématuré, estimant que ses forces ne seraient pas en mesure d'assurer pleinement la sécurité du pays avant 2020.
Ce départ intervient alors que l'Irak traverse une profonde crise politique avec l'incapacité des principaux partis politiques irakiens à se mettre d'accord pour former un nouveau gouvernement, cinq mois après les élections législatives du 7 mars.
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lundi 16 août 2010
Blog en pause
Je suis parti faire un petit tour en exercice
je reviens le 20 aout....
Vous m'attendrez?
Regardez je suis un de ces militaires ....
dimanche 15 août 2010
Le 3ème régiment du Génie a un nouveau commandant
Les Carolos ont pu assister à une cérémonie militaire pour le moins spectaculaire. Le colonel Thierry Marotte a passé le commandement du 3ème régiment du génie au lieutenant-colonel Meriau.
Pour Olivier Marotte, le fait que cette année, la passation de commandement se déroule place Ducale constitue un signe fort. En effet, il y a deux ans, c'est dans les quartiers du « 3 » qu'il était passé chef de corps du régiment, du fait du contexte défavorable qui s'était installé à cause de la rumeur au sujet d'un supposé démantèlement du régiment. Le colonel a affirmé à ce propos que si le régiment a connu une restructuration, son existence n'a jamais été menacée, et qu'il a mené un combat pendant deux ans contre cette rumeur. «Le régiment est bien dans sa ville», a-t-il déclaré. De nombreuses personnalités Carolos étaient d'ailleurs présentes lors de la passation.
Le 3ème génie a un nouveau commandant
envoyé par LaSemainedesArdennes. - L'info video en direct.
http://www.lasemainedesardennes.fr/Le-3eme-regiment-a-un-nouveau-commandant,1.media?a=1587
Pour Olivier Marotte, le fait que cette année, la passation de commandement se déroule place Ducale constitue un signe fort. En effet, il y a deux ans, c'est dans les quartiers du « 3 » qu'il était passé chef de corps du régiment, du fait du contexte défavorable qui s'était installé à cause de la rumeur au sujet d'un supposé démantèlement du régiment. Le colonel a affirmé à ce propos que si le régiment a connu une restructuration, son existence n'a jamais été menacée, et qu'il a mené un combat pendant deux ans contre cette rumeur. «Le régiment est bien dans sa ville», a-t-il déclaré. De nombreuses personnalités Carolos étaient d'ailleurs présentes lors de la passation.
Le 3ème génie a un nouveau commandant
envoyé par LaSemainedesArdennes. - L'info video en direct.
http://www.lasemainedesardennes.fr/Le-3eme-regiment-a-un-nouveau-commandant,1.media?a=1587
GUERRE EN AFGHANISTAN - Petraeus pourrait juger un retrait en 2011 prématuré
Le général David Petraeus, commandant des forces américaines et internationales en Afghanistan a déclaré dimanche qu'il entendait se réserver le droit de juger un retrait de ce pays en juillet 2011 prématuré, dans une interview à la chaîne de télévision NBC. Interrogé pour savoir s'il pourrait juger que le processus de retrait ne peut pas débuter à cette date fixée par le président Barack Obama, il a répondu : "certainement, oui".
Observant qu'il "ne considérait pas (cette date comme) contraignante", le général a expliqué que lors de ses entretiens avec le président Obama dans le Bureau ovale celui-ci lui avait "clairement indiqué que ce qu'il attend de moi, ce sont mes meilleurs conseils militaires". "Nous avons eu une bonne discussion sur cela et je pense que le président a été très clair en expliquant qu'il s'agissait (le retrait, ndlr) d'un processus pas d'un événement et que cela dépendra des conditions" sur le terrain, a poursuivi le haut gradé.
http://www.lepoint.fr/monde/guerre-en-afghanistan-petraeus-pourrait-juger-un-retrait-en-2011-premature-15-08-2010-1225367_24.php
Observant qu'il "ne considérait pas (cette date comme) contraignante", le général a expliqué que lors de ses entretiens avec le président Obama dans le Bureau ovale celui-ci lui avait "clairement indiqué que ce qu'il attend de moi, ce sont mes meilleurs conseils militaires". "Nous avons eu une bonne discussion sur cela et je pense que le président a été très clair en expliquant qu'il s'agissait (le retrait, ndlr) d'un processus pas d'un événement et que cela dépendra des conditions" sur le terrain, a poursuivi le haut gradé.
http://www.lepoint.fr/monde/guerre-en-afghanistan-petraeus-pourrait-juger-un-retrait-en-2011-premature-15-08-2010-1225367_24.php
2500 jeeps US pour l'armée afghane
L'armée de terre américaine a passé fin juillet un contrat d'un montant de 619 millions de dollars avec le constructeur privé AM General pour la livraison de 2.526 jeeps Humvee à l'armée et à la police afghanes, a annoncé le Pentagone.
Ces véhicules tout terrain à usage multiple seront fabriqués à South Bend, dans l'Indiana, et devraient être livrés d'ici au 31 décembre 2013. En décembre 1999, Am General et General Motors Co.avaient convenu de fabriquer, vendre et distribuer ensemble des véhicules de la marque Hummer, version civile des Humvee militaires.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/14/97001-20100814FILWWW00369-2500-jeeps-us-pour-l-armee-afghane.php
Ces véhicules tout terrain à usage multiple seront fabriqués à South Bend, dans l'Indiana, et devraient être livrés d'ici au 31 décembre 2013. En décembre 1999, Am General et General Motors Co.