Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
mercredi 30 septembre 2015
Tir d'essai réussi d'un missile balistique M-51
La France a mené avec succès mercredi matin un tir d'essai en vol du missile balistique stratégique M51 au-dessus de l'Atlantique, a annoncé le ministère de la Défense dans un communiqué.
"Mercredi à 10H28, la direction générale de l'armement (DGA) a effectué, depuis le centre d'Essais de Biscarrosse (Landes), un essai en vol du missile balistique stratégique M51", indique le ministère dans ce communiqué. Cet "essai s'est déroulé comme prévu et a été effectué sans charge nucléaire", est-il précisé alors que le dernier essai du M51 en mai 2013 avait été un échec, le missile s'étant autodétruit peu après son décollage d'un sous-marin nucléaire
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/30/97001-20150930FILWWW00131--tir-d-essai-reussi-d-un-missile-balistique-m-51.php
"Mercredi à 10H28, la direction générale de l'armement (DGA) a effectué, depuis le centre d'Essais de Biscarrosse (Landes), un essai en vol du missile balistique stratégique M51", indique le ministère dans ce communiqué. Cet "essai s'est déroulé comme prévu et a été effectué sans charge nucléaire", est-il précisé alors que le dernier essai du M51 en mai 2013 avait été un échec, le missile s'étant autodétruit peu après son décollage d'un sous-marin nucléaire
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/30/97001-20150930FILWWW00131--tir-d-essai-reussi-d-un-missile-balistique-m-51.php
mardi 29 septembre 2015
lundi 28 septembre 2015
Bombardements en Syrie : les mirages de Nancy déployés
Ils n'ont pas participé aux premières frappes dimanche 28 septembre 2015 contre un camp d’entraînement des terroristes de Daech. Mais les mirages 2000D de la BA 133 de Nancy-Ochey déployés en Jordanie et la cinquantaine de militaires qui les accompagnent sont prêts à l'action.
Dimanche 27 septembre 2015, un raid aérien a détruit, en Syrie, un camp d’entraînement des groupes terroristes au Moyen-Orient. Ce raid était composé, pour la partie chasse, de cinq avions de type Rafale de l'armée de l'Air française
Ces cinq avions de chasse ont décollé des Emirats Arabes Unis (EAU). Les mirages 2000D de Nancy-Ochey, basé avec d'autres mirages de notre armée de l'Air (3 Mirage 2000 D et 3 mirage 2000 N) en Jordanie, n’ont pas été sollicités pour cette intervention spécifique.
Toutefois, les avions lorrains et la cinquantaine de militaires de la BA 133 de Nancy-Ochey déployés dans le cadre de l'opération Chammal sont prêts à répondre aux sollicitations du commandement de l’état-major des armées et de la coalition internationale dont ils dépendent.
La BA 133 précisent que "ces avions interviennent quotidiennement lors de frappes en Irak selon la situation tactique et les besoins de la coalition".
Plusieurs missions peuvent-être menées par les avions de Nancy : renseignement avant et après raids (éventuellement en lien avec des troupes au sol et le système rover de transmission de données par flux vidéo, photo ci-contre), bombardement, accompagnement et protection d'autres avions, ou encore actions de dissuasion (passages d'intimidation dit "show of force", tirs de semonce, etc.)
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/bombardements-en-syrie-les-mirages-de-nancy-deployes-817413.html
Dimanche 27 septembre 2015, un raid aérien a détruit, en Syrie, un camp d’entraînement des groupes terroristes au Moyen-Orient. Ce raid était composé, pour la partie chasse, de cinq avions de type Rafale de l'armée de l'Air française
Ces cinq avions de chasse ont décollé des Emirats Arabes Unis (EAU). Les mirages 2000D de Nancy-Ochey, basé avec d'autres mirages de notre armée de l'Air (3 Mirage 2000 D et 3 mirage 2000 N) en Jordanie, n’ont pas été sollicités pour cette intervention spécifique.
Toutefois, les avions lorrains et la cinquantaine de militaires de la BA 133 de Nancy-Ochey déployés dans le cadre de l'opération Chammal sont prêts à répondre aux sollicitations du commandement de l’état-major des armées et de la coalition internationale dont ils dépendent.
La BA 133 précisent que "ces avions interviennent quotidiennement lors de frappes en Irak selon la situation tactique et les besoins de la coalition".
Plusieurs missions peuvent-être menées par les avions de Nancy : renseignement avant et après raids (éventuellement en lien avec des troupes au sol et le système rover de transmission de données par flux vidéo, photo ci-contre), bombardement, accompagnement et protection d'autres avions, ou encore actions de dissuasion (passages d'intimidation dit "show of force", tirs de semonce, etc.)
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/bombardements-en-syrie-les-mirages-de-nancy-deployes-817413.html
Service des essences : les militaires de l'ombre
Le Service des essences des armées est présent à Nancy depuis trente ans, aujourd'hui à travers l'état major de la Delpia (Direction de l'exploitation et de la logistique interarmées). Il assure une mission stratégique pour les forces françaises déployées dans le monde et ses hommes sont souvent en première ligne, voire projetés au delà de la ligne de front avec les forces spéciales pour faire le point sur les ressources utilisables en opération. Découverte en images de ses actions sur le terrain à l'occasion de cet anniversaire.
VOIR LE DIAPORAMA SUR CE LIEN .... http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/09/25/service-des-essences-les-militaires-de-l-ombre-(diaporama)
VOIR LE DIAPORAMA SUR CE LIEN .... http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/09/25/service-des-essences-les-militaires-de-l-ombre-(diaporama)
dimanche 27 septembre 2015
13h15 le dimanche. Soldats de l'image
Depuis 1915, les opérateurs du service cinématographique des armées réalisent les images des guerres auxquelles participe la France. Des tranchées de Verdun aux confins de l’Italie, de l’Indochine à l’Algérie, en Afghanistan, au Sahel... ils sont les soldats de l’image, au front ou à l'arrière, là où les militaires vivent leur engagement sous les drapeaux, là aussi où ils meurent.
Alfred Machin, Raymond Méjat, Marcel Vandy ou Pierre Schoendoerffer autrefois… Vivianne et Morgan aujourd'hui sur le terrain de l’opération Barkhane au Mali… Des femmes et des hommes sous l'uniforme, témoins de leur temps, plongent au cœur des combats armés aussi d'un appareil photo ou d'une caméra. Ils servent leur institution en travaillant pour la mémoire des hommes, pour l’Histoire.
Avec ce document de Roger Motte et Ghislain Delaval réalisé avec les images exceptionnelles de ce centre d’archives et de production audiovisuelle, le magazine "13h15 le dimanche" (Facebook, Twitter, #13h15) diffusé sur France 2 ouvre les portes du fort d’Ivry (Val-de-Marne), où cette richesse iconographique séculaire est restaurée et conservée comme un trésor, pour les générations à venir.
http://t.nl.francetvinfo.fr/r/?id=h6b90a8dd,2391c820,2391c85a
Alfred Machin, Raymond Méjat, Marcel Vandy ou Pierre Schoendoerffer autrefois… Vivianne et Morgan aujourd'hui sur le terrain de l’opération Barkhane au Mali… Des femmes et des hommes sous l'uniforme, témoins de leur temps, plongent au cœur des combats armés aussi d'un appareil photo ou d'une caméra. Ils servent leur institution en travaillant pour la mémoire des hommes, pour l’Histoire.
Une richesse iconographique séculaire
L'Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD) conserve depuis un siècle plus de 10 millions de clichés et près de 30 000 titres de films. Ce fonds progressivement numérisé est constamment enrichi par la production de ces reporters en treillis, les versements des organismes de la Défense et les dons des particuliers.Avec ce document de Roger Motte et Ghislain Delaval réalisé avec les images exceptionnelles de ce centre d’archives et de production audiovisuelle, le magazine "13h15 le dimanche" (Facebook, Twitter, #13h15) diffusé sur France 2 ouvre les portes du fort d’Ivry (Val-de-Marne), où cette richesse iconographique séculaire est restaurée et conservée comme un trésor, pour les générations à venir.
http://t.nl.francetvinfo.fr/r/?id=h6b90a8dd,2391c820,2391c85a
La France a mené ses premières frappes aériennes en Syrie
L'Elysée a annoncé ce dimanche que la France avait mené ses premières frappes aériennes contre le groupe État islamique en Syrie
La France «a frappé en Syrie», sur la base des renseignements collectés lors des vols de reconnaissance aérienne engagés depuis plus de deux semaines, a annoncé la présidence française dans un communiqué.
Cette opération, faite «dans le respect de notre autonomie d'action, en coordination avec nos partenaires de la région», confirme la détermination à «lutter contre la menace terroriste que constitue Daech», l'organisation État islamique, souligne la présidence, sans plus de précisions sur le déroulement de cette opération militaire.
«Nous frapperons à chaque fois que notre sécurité nationale sera en jeu», indique encore l'Elysée.
http://www.lefigaro.fr/international/2015/09/27/01003-20150927ARTFIG00019-la-france-a-mene-ses-premieres-frappes-aeriennes-en-syrie.php
La France «a frappé en Syrie», sur la base des renseignements collectés lors des vols de reconnaissance aérienne engagés depuis plus de deux semaines, a annoncé la présidence française dans un communiqué.
Cette opération, faite «dans le respect de notre autonomie d'action, en coordination avec nos partenaires de la région», confirme la détermination à «lutter contre la menace terroriste que constitue Daech», l'organisation État islamique, souligne la présidence, sans plus de précisions sur le déroulement de cette opération militaire.
«Nous frapperons à chaque fois que notre sécurité nationale sera en jeu», indique encore l'Elysée.
http://www.lefigaro.fr/international/2015/09/27/01003-20150927ARTFIG00019-la-france-a-mene-ses-premieres-frappes-aeriennes-en-syrie.php
samedi 26 septembre 2015
vendredi 25 septembre 2015
Intempéries : l'armée en renfort dans l'Hérault
30 militaires de la sécurité civile sont arrivés hier dans l'Hérault.
Ils sont mobilisés depuis hier après-midi, pour aider les communes de l'Hérault touchées par l'épisode cévenol du 12 septembre : un détachement de près de 30 militaires des 'formations militaires de la sécurité civile' (ForMiSC) est arrivé en renfort depuis Brignoles dans le Var, pour prêter main-forte dans le secteur de Lodève, le plus touché. "Il dispose de matériels adaptés pour faire face aux situations et difficultés recensées sur place", a fait savoir la préfecture de l'Hérault, soulignant que cette intervention était liée "aux instructions données par Manuel Valls, Premier ministre, à l'occasion de son déplacement dans l'Hérault le 20 septembre".
"Délai resserré"
Dimanche, à l'occasion de sa venue à Montpellier pour le congrès du PRG, le chef du gouvernement avait annoncé la déclaration prochaine de l'état de catastrophe naturelle pour les communes sinistrées, après avoir rencontré une dizaine d'élus et parlementaires de l'Hérault. La préfecture a indiqué hier que "les demandes des 38 communes qui ont sollicité le classement en reconnaissance de catastrophe naturelle ont été examinées le 22 septembre en commission interministérielle, dans un délai exceptionnellement resserré". Manuel Valls avait aussi relevé les dégâts matériels "très importants" notamment dans la vigne, et avait souhaité la mise en œuvre rapide de "la procédure de calamité agricole". Les ForMiSC appartiennent au Génie, et sont spécialisées "pour intervenir en appui des moyens locaux pour combattre les catastrophes et les sinistres". Le détachement "participera aux travaux de nettoyage des cours d'eau et de retrait des embâcles (...) et pourra également contribuer à rétablir la circulation sur certains axes de circulation coupés", a précisé la préfecture.
http://www.lindependant.fr/2015/09/25/intemperies-l-armee-en-renfort,2088812.php
Ils sont mobilisés depuis hier après-midi, pour aider les communes de l'Hérault touchées par l'épisode cévenol du 12 septembre : un détachement de près de 30 militaires des 'formations militaires de la sécurité civile' (ForMiSC) est arrivé en renfort depuis Brignoles dans le Var, pour prêter main-forte dans le secteur de Lodève, le plus touché. "Il dispose de matériels adaptés pour faire face aux situations et difficultés recensées sur place", a fait savoir la préfecture de l'Hérault, soulignant que cette intervention était liée "aux instructions données par Manuel Valls, Premier ministre, à l'occasion de son déplacement dans l'Hérault le 20 septembre".
"Délai resserré"
Dimanche, à l'occasion de sa venue à Montpellier pour le congrès du PRG, le chef du gouvernement avait annoncé la déclaration prochaine de l'état de catastrophe naturelle pour les communes sinistrées, après avoir rencontré une dizaine d'élus et parlementaires de l'Hérault. La préfecture a indiqué hier que "les demandes des 38 communes qui ont sollicité le classement en reconnaissance de catastrophe naturelle ont été examinées le 22 septembre en commission interministérielle, dans un délai exceptionnellement resserré". Manuel Valls avait aussi relevé les dégâts matériels "très importants" notamment dans la vigne, et avait souhaité la mise en œuvre rapide de "la procédure de calamité agricole". Les ForMiSC appartiennent au Génie, et sont spécialisées "pour intervenir en appui des moyens locaux pour combattre les catastrophes et les sinistres". Le détachement "participera aux travaux de nettoyage des cours d'eau et de retrait des embâcles (...) et pourra également contribuer à rétablir la circulation sur certains axes de circulation coupés", a précisé la préfecture.
http://www.lindependant.fr/2015/09/25/intemperies-l-armee-en-renfort,2088812.php
jeudi 24 septembre 2015
Cérémonie d'hommage aux harkis ce vendredi 25 septembre à châlons-en-Champagne
Vendredi 25 septembre, la Ville participe aux commémorations qui rendent hommage aux harkis et autres membres des formations supplétives de l’armée française en Algérie. La cérémonie débutera à 9 h 30, place des Harkis, dans le quartier du Mont-Saint-Michel, par le discours du député-maire, Benoist Apparu suivi de la lecture du message du secrétaire d’État chargé des Anciens combattants et de la mémoire par Jean-François Savy, préfet de région. Une gerbe sera ensuite déposée au pied de la stèle par les autorités civiles et militaires, notamment par le général Fransisco Soriano, délégué militaire départemental, le colonel Olivier Courtet, commandant de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne, et le commissaire Julie Galisson. Une réception est prévue à 10 heures au CSC Rive-gauche, rue Henri-Dunant.
http://www.lunion.com/node/556504
http://www.lunion.com/node/556504
Le général Soriano à la tête de la base de défense Mourmelon-Mailly
Le général de division Francisco Soriano, commandant des centres de préparation des forces, délégué militaire départemental de la Marne est également nommé commandant de la base de défense de Mourmelon-Mailly, au Journal officiel du jeudi 24 septembre 2015.
http://www.lunion.com/node/556131
http://www.lunion.com/node/556131
mercredi 23 septembre 2015
L'armée de Terre s'inquiète du manque d'effectifs
Les chefs de l’armée de Terre ont insisté mercredi sur la nécessité de recruter 11.000 soldats au cours des deux prochaines années pour pouvoir continuer à mener de front opérations extérieures et de sécurité intérieure dans de bonnes conditions.
La mobilisation de l’armée de Terre sur le territoire national depuis les attentats de janvier a « bouleversé l’équilibre entre-temps d’entraînement et missions », a expliqué le commandant des Forces terrestres, le général Arnaud Sainte-Claire Deville.
Quelque 11.000 soldats de l’armée de Terre sont actuellement engagés dans l’opération Sentinelle de défense du territoire (7.000 hommes) ou des opérations à l’étranger (4.000). Les missions s’enchaînent et s’allongent, compliquant de plus en plus les rotations. « Avec les 11.000 supplémentaires, une fois qu’on les aura recrutés, on sera encore capable de faire les deux » - opérations intérieures et extérieures - dans les mêmes conditions opérationnelles qu’avant les attentats, a souligné le chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser.
http://www.20minutes.fr/societe/1693723-20150923-armee-terre-inquiete-manque-effectifs
La mobilisation de l’armée de Terre sur le territoire national depuis les attentats de janvier a « bouleversé l’équilibre entre-temps d’entraînement et missions », a expliqué le commandant des Forces terrestres, le général Arnaud Sainte-Claire Deville.
Les missions s’enchaînent et s’allongent
« L’important, c’est de maintenir la préparation opérationnelle (entraînement) de mes hommes. C’est un de mes défis aujourd’hui », a-t-il ajouté à l’occasion d’une présentation des moyens terrestres de l’armée au camp d’entraînement de Sissonne (Aisne). « Il est vraiment indispensable que j’obtienne les 11.000 hommes qui sont prévus (par la loi de programmation militaire révisée) de manière à ce que nous continuions à faire nos gammes », a insisté le général. Les entraînements sont « l’assurance-vie des soldats en opérations », a-t-il dit.Quelque 11.000 soldats de l’armée de Terre sont actuellement engagés dans l’opération Sentinelle de défense du territoire (7.000 hommes) ou des opérations à l’étranger (4.000). Les missions s’enchaînent et s’allongent, compliquant de plus en plus les rotations. « Avec les 11.000 supplémentaires, une fois qu’on les aura recrutés, on sera encore capable de faire les deux » - opérations intérieures et extérieures - dans les mêmes conditions opérationnelles qu’avant les attentats, a souligné le chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser.
Les métiers des armes peinent à séduire les jeunes
« Pour l’année 2015, cela se présente bien, j’ai bon espoir de recruter les 5.000 (…) L’année prochaine, on devra recruter 6.000, ce sera un challenge encore plus important », a précisé le général Bosser. Le métier des armes, exigeant, dangereux et contraignant pour la vie de famille, peine à séduire les jeunes, notamment dans les rangs subalternes. Le gouvernement a engagé une réflexion sur le rôle que l’armée peut jouer dans la sécurité intérieure à l’aune des nouvelles menaces terroristes et des moyens existants, qui doit déboucher sur un rapport d’ici la fin de l’année.http://www.20minutes.fr/societe/1693723-20150923-armee-terre-inquiete-manque-effectifs
mardi 22 septembre 2015
lundi 21 septembre 2015
dimanche 20 septembre 2015
Marne : hommage à 10 000 hommes tombés sur le front de Champagne
Dans le cadre du centenaire des batailles de Champagne, Jean-Marc Todeschini, Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, auprès du ministre de la Défense, s'est rendu ce dimanche au monument de Navarin entre Souain-Perthes-les-Hurlus et Sommepy-Tahure, dans la Marne.
Le Monument-Ossuaire de "La ferme de Navarin" abrite les restes de 10 000 combattants tombés sur le front de Champagne lors de la Première guerre mondiale.
C'est le général Gouraud, Gouverneur militaire de Paris, qui a été chargé après la guerre d'ériger sur les hauteurs de la Ferme de Navarin, un monument dominant les champs de bataille où s'étaient déroulés les combats les plus acharnés. Le général Gouraud avait commandé la IVème Armée en Champagne en 1916, puis de juin 1917 jusqu'à la victoire en novembre 1918.
Le monument de Navarin est composé d'une imposante pyramide de béton et de grès rose. Il est surmonté d'un groupe de trois statues en pierre, qui représentent trois soldats au combat engagés dans l'attaque qui devait chasser l'ennemi hors de France. Sur le socle du monument ont été inscrits les numéros des divisions qui ont combattu en Champagne.
A l'intérieur du monument, où s'est rendu le ministre, on trouve aussi une chapelle tapissée de stèles et de plaques commémoratives. Dans la crypte ont été déposé les restes de 10 000 soldats, pour la plupart anonymes, tombés en Champagne. La tombe du Général Gouraud, qui avait demandé à être inhumé auprès de ses soldats, se trouve aussi dans le monument.
Source : centre régional de documentation pédagogique.
A onze heures et demie, un arbre de la réconciliation franco-allemande a été planté.
Source : www.marne14-18.fr
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/marne-hommage-10-000-hommes-tombes-sur-le-front-de-champagne-811393.html
Le Monument-Ossuaire de "La ferme de Navarin" abrite les restes de 10 000 combattants tombés sur le front de Champagne lors de la Première guerre mondiale.
C'est le général Gouraud, Gouverneur militaire de Paris, qui a été chargé après la guerre d'ériger sur les hauteurs de la Ferme de Navarin, un monument dominant les champs de bataille où s'étaient déroulés les combats les plus acharnés. Le général Gouraud avait commandé la IVème Armée en Champagne en 1916, puis de juin 1917 jusqu'à la victoire en novembre 1918.
Le monument de Navarin est composé d'une imposante pyramide de béton et de grès rose. Il est surmonté d'un groupe de trois statues en pierre, qui représentent trois soldats au combat engagés dans l'attaque qui devait chasser l'ennemi hors de France. Sur le socle du monument ont été inscrits les numéros des divisions qui ont combattu en Champagne.
A l'intérieur du monument, où s'est rendu le ministre, on trouve aussi une chapelle tapissée de stèles et de plaques commémoratives. Dans la crypte ont été déposé les restes de 10 000 soldats, pour la plupart anonymes, tombés en Champagne. La tombe du Général Gouraud, qui avait demandé à être inhumé auprès de ses soldats, se trouve aussi dans le monument.
Source : centre régional de documentation pédagogique.
La délégation ministérielle s'est ensuite rendue à la nécropole franco-allemande de la Crouée, où une cérémonie a eu lieu. Le cimetière de "la Crouée" est le troisième plus grand cimetière militaire 14-18 de France. Plus de 30 734 corps français y reposent dont 9 050 seulement ont pu être identifiés et enterrés en tombes individuelles. Les 21 684 soldats inconnus sont regroupés dans 8 ossuaires.
Le cimetière a été créé en 1919 et aménagé jusqu’en 1924, il regroupe les corps exhumés de centaines de petits cimetières, tombes et fosses communes des secteurs de Souain, Tahure, Perthes les Hurlus, Beauséjour, le Mesnil-lès-Hurlus, Hurlus, St Hilaire le Grand, St Souplet, Ste Marie à Py, Manre, et Suippes.
Un cimetière allemand se trouve accolé à l’arrière de la nécropole française. 13 786 soldats allemands y reposent dont 11 322 placés en ossuaires. On constate que les cimetières allemands de la zone du front sont souvent accolés aux cimetières français, abolissant ainsi la différence dans la mort.Le cimetière a été créé en 1919 et aménagé jusqu’en 1924, il regroupe les corps exhumés de centaines de petits cimetières, tombes et fosses communes des secteurs de Souain, Tahure, Perthes les Hurlus, Beauséjour, le Mesnil-lès-Hurlus, Hurlus, St Hilaire le Grand, St Souplet, Ste Marie à Py, Manre, et Suippes.
A onze heures et demie, un arbre de la réconciliation franco-allemande a été planté.
Source : www.marne14-18.fr
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/marne-hommage-10-000-hommes-tombes-sur-le-front-de-champagne-811393.html
Des militaires du 3e RPIMa victimes d'agression à Carcassonne
Ces derniers jours, des parachutistes du 3e RPIMa ont été victimes de plusieurs tentatives d'agression. Jeudi matin, deux sous-officiers qui effectuaient leur footing à l'entrée de Montlegun, avec la tenue de sport reconnaissable du régiment, ont vu un automobiliste déporter intentionnellement son véhicule dans leur direction, sans toutefois les toucher. La plaque d'immatriculation n'a pu être relevée, et aucune plainte n'a été déposée pour cette affaire.
Quelques jours plus tôt, c'est un autre militaire du 3e RPIMa qui a été victime d'une agression, alors qu'il circulait en moto, au niveau du pont de Garigliano, route de Limoux, avec un automobiliste, sous l'œil d'un autre militaire du régiment carcassonnais qui a tenté de bloquer la route à l'auteur ; lequel a pris la fuite. Victime de contusions, le pilote de la moto a déposé plainte auprès du commissariat de police. Suite à ces deux affaires, le commandement du 3e RPIMa a rappelé les règles de prudence à ses hommes.
http://www.lindependant.fr/2015/09/20/des-militaires-victimes-d-agression,2086733.php
Quelques jours plus tôt, c'est un autre militaire du 3e RPIMa qui a été victime d'une agression, alors qu'il circulait en moto, au niveau du pont de Garigliano, route de Limoux, avec un automobiliste, sous l'œil d'un autre militaire du régiment carcassonnais qui a tenté de bloquer la route à l'auteur ; lequel a pris la fuite. Victime de contusions, le pilote de la moto a déposé plainte auprès du commissariat de police. Suite à ces deux affaires, le commandement du 3e RPIMa a rappelé les règles de prudence à ses hommes.
http://www.lindependant.fr/2015/09/20/des-militaires-victimes-d-agression,2086733.php
samedi 19 septembre 2015
vendredi 18 septembre 2015
jeudi 17 septembre 2015
mercredi 16 septembre 2015
mardi 15 septembre 2015
lundi 14 septembre 2015
Syrie: "La donne a changé" (Le Drian)
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a justifié aujourd'hui la décision française d'engager des opérations aériennes en Syrie par la nécessité de répondre à une nouvelle "donne" et de ne pas laisser ce théâtre devenir un "angle mort" de la politique française au Moyen-Orient. "Pour la France, c'est un engagement nécessaire car la donne a changé et nous ne pouvons plus nous permettre de laisser la Syrie, principal repaire de Daech, demeurer un angle mort de notre politique au Levant", a-t-il déclaré à l'université d'été de la Défense à Strasbourg.
"La stabilité de ce que d'aucuns appellent la +poudrière du monde+ et notre propre sécurité sont intimement liées. C'est conscient de cet enjeu que le président de la République a pris la décision d'autoriser notre engagement dans le ciel syrien", a ajouté le ministre devant un parterre de parlementaires et de responsables militaires.
"Cette évolution de posture tire les leçons d'un an de campagne de la coalition internationale au Levant. Pour nos armées c'est un engagement supplémentaire", a-t-il souligné. Le Parlement doit débattre demain, sans vote, sur l'engagement militaire français annoncé le 7 septembre par François Hollande en Syrie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/14/97001-20150914FILWWW00333-syrie-la-donne-a-change-le-drian.php
"La stabilité de ce que d'aucuns appellent la +poudrière du monde+ et notre propre sécurité sont intimement liées. C'est conscient de cet enjeu que le président de la République a pris la décision d'autoriser notre engagement dans le ciel syrien", a ajouté le ministre devant un parterre de parlementaires et de responsables militaires.
"Cette évolution de posture tire les leçons d'un an de campagne de la coalition internationale au Levant. Pour nos armées c'est un engagement supplémentaire", a-t-il souligné. Le Parlement doit débattre demain, sans vote, sur l'engagement militaire français annoncé le 7 septembre par François Hollande en Syrie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/14/97001-20150914FILWWW00333-syrie-la-donne-a-change-le-drian.php
Mirages en exercice au-dessus de Strasbourg
Deux Mirages de l'armée de l'air française réalisent actuellement un exercice au-dessus de Strasbourg.
Les deux aéronefs tournent depuis plus de dix minutes et probablement jusqu'à midi au-dessus du centre-ville de Strasbourg. Il s'agit de deux Mirages 2000 D de la base de Nancy Ochey. Ils réalisent un exercice dans le cadre de la 13e université d'été de la Défense qui se tient aujourd'hui et demain à Strasbourg.
Les aéronefs prennent des images à haute altitude du site où se tient une partie de l'université. Les images sont retransmises en direct sur un terminal installé auprès des congressistes. L'objectif est de présenter les dispositifs de guidage au sol et d'observation des théâtres d'opération.
http://www.dna.fr/actualite/2015/09/14/mirages-en-exercice-au-dessus-de-strasbourg
Les deux aéronefs tournent depuis plus de dix minutes et probablement jusqu'à midi au-dessus du centre-ville de Strasbourg. Il s'agit de deux Mirages 2000 D de la base de Nancy Ochey. Ils réalisent un exercice dans le cadre de la 13e université d'été de la Défense qui se tient aujourd'hui et demain à Strasbourg.
Les aéronefs prennent des images à haute altitude du site où se tient une partie de l'université. Les images sont retransmises en direct sur un terminal installé auprès des congressistes. L'objectif est de présenter les dispositifs de guidage au sol et d'observation des théâtres d'opération.
http://www.dna.fr/actualite/2015/09/14/mirages-en-exercice-au-dessus-de-strasbourg
Dieulouard : les réservistes « à la dure
Le décor est bucolique et invite à la balade ou à une partie de pêche dans les eaux de l’Esch. Mais ils ne sont pas là pour ça. En plein cœur de la Petite Suisse lorraine, entre Martincourt et Gézoncourt, ils courent, sautent, franchissent des ponts de singe, rampent, démontent et remontent des armes de service. Ils pompent aussi, courent en portant un camarade sur le dos, et manient matraque et bâton télescopique, sous les ordres énergiques des instructeurs professionnels, dont le lieutenant Maucort, commandant le Peloton de surveillance et d’intervention (PSIG) de Nancy.
Ces réservistes de la gendarmerie, environ quatre-vingts répartis en plusieurs groupes, crapahutant en treillis et rangers dans les sous-bois, sont étudiants, chefs d’entreprise ou policiers municipaux. Ils donnent de leur temps pendant leurs congés auprès des gendarmes d’active. Avant d’arriver à cet atelier, ils ont parcouru déjà plusieurs kilomètres à l’aide d’une carte topographique, depuis Mamey, point de départ de cette journée de formation dédiée aux réservistes du groupement de gendarmerie de Meurthe-et-Moselle. En tout, le long du circuit pédestre de 11 km qui les mènera jusqu’à Gézoncourt, ils auront travaillé sur six ateliers d’information, retraçant quasiment tous les aspects de la mission des gendarmes : police de la route, judiciaire, télécommunications et transmissions, droit d’usage des armes, intervention professionnelle et maîtrise d’individu et enfin accueil en brigade. Le tout placé sous la responsabilité du lieutenant-colonel de réserve Rémy François, ancien commandant en second du groupement de Nancy.
L’après-midi, toute la troupe s’est retrouvée à l’école des Moines à Dieulouard, afin de revoir, de critiquer et de corriger tout ce qui a été fait le matin, sous l’œil expert des instructeurs. Une journée intense donc, commencée dans les bois, et terminée sur les bancs de l’école. Une journée nécessaire pour ces réservistes, qui représentent un apport très important pour la gendarmerie, qui ne pourrait pas s’en passer. « Nous sommes 260 réservistes en Meurthe-et-Moselle », témoigne le major Jean-Marc Samson de Bouxières-sous-Froidmont. « Chaque jour, plusieurs d’entre nous sont en poste dans toutes les brigades du département. »
Et chacun d’entre eux donne une trentaine de jours par an sur ses congés, ses loisirs ou sa vie de famille. Pour la simple satisfaction de servir la collectivité. En plus, ils se forment à la dure pour ça.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-pont-a-mousson/2015/09/14/dieulouard-les-reservistes-a-la-dure
Ces réservistes de la gendarmerie, environ quatre-vingts répartis en plusieurs groupes, crapahutant en treillis et rangers dans les sous-bois, sont étudiants, chefs d’entreprise ou policiers municipaux. Ils donnent de leur temps pendant leurs congés auprès des gendarmes d’active. Avant d’arriver à cet atelier, ils ont parcouru déjà plusieurs kilomètres à l’aide d’une carte topographique, depuis Mamey, point de départ de cette journée de formation dédiée aux réservistes du groupement de gendarmerie de Meurthe-et-Moselle. En tout, le long du circuit pédestre de 11 km qui les mènera jusqu’à Gézoncourt, ils auront travaillé sur six ateliers d’information, retraçant quasiment tous les aspects de la mission des gendarmes : police de la route, judiciaire, télécommunications et transmissions, droit d’usage des armes, intervention professionnelle et maîtrise d’individu et enfin accueil en brigade. Le tout placé sous la responsabilité du lieutenant-colonel de réserve Rémy François, ancien commandant en second du groupement de Nancy.
Simplement pour servir
« Il s’agit pour eux d’entretenir leurs connaissances, théoriques et pratiques », explique l’adjudant Guillaume, présent à l’organisation. « Avec les instructeurs, ils sont placés en situation d’intervention, ils sont mis dans l’urgence. C’est facile de démonter et remonter une arme sur la table d’une salle de cours, mais là, à terre, lorsqu’il faut aller vite, c’est beaucoup moins évident. »L’après-midi, toute la troupe s’est retrouvée à l’école des Moines à Dieulouard, afin de revoir, de critiquer et de corriger tout ce qui a été fait le matin, sous l’œil expert des instructeurs. Une journée intense donc, commencée dans les bois, et terminée sur les bancs de l’école. Une journée nécessaire pour ces réservistes, qui représentent un apport très important pour la gendarmerie, qui ne pourrait pas s’en passer. « Nous sommes 260 réservistes en Meurthe-et-Moselle », témoigne le major Jean-Marc Samson de Bouxières-sous-Froidmont. « Chaque jour, plusieurs d’entre nous sont en poste dans toutes les brigades du département. »
Et chacun d’entre eux donne une trentaine de jours par an sur ses congés, ses loisirs ou sa vie de famille. Pour la simple satisfaction de servir la collectivité. En plus, ils se forment à la dure pour ça.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-pont-a-mousson/2015/09/14/dieulouard-les-reservistes-a-la-dure
dimanche 13 septembre 2015
Syrie: 56% de Français seraient favorables à une intervention terrestre
Cinquante six pour cent de Français seraient favorables à une participation de la France à une éventuelle intervention militaire terrestre internationale en Syrie, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche (JDD).
VIDEO. Hollande n'enverra pas de troupes au sol contre Daesh en Syrie
A la question « Êtes-vous favorable ou non à ce que la France participe au sein d’une coalition internationale à une intervention militaire terrestre en Syrie contre l’Etat islamique ? », 56 % des sondés répondent par l’affirmative contre 43 % de non et 1 % de personnes ne se prononçant pas.
L’adhésion à cette éventuelle intervention est plus forte chez les sympathisants des Républicains (LR) - 64 % - contre 59 % pour les sympathisants du Parti socialiste et 56 % pour ceux du Front national.
Syrie : Vers des frappes aériennes françaises contre Daesh?
Cinquante-huit pour cent des sondés estiment d’ailleurs que l’Etat islamique « peut être vaincu militairement » (contre 40 % de non et 2 % ne se prononçant pas). Mais à la question « Pensez-vous que seule une intervention militaire internationale peut résoudre la crise actuelle en Syrie ? », 50 % pensent plutôt que non (contre 48 % « plutôt oui » et 2 % ne se prononçant pas).
VIDEO. Hollande n'enverra pas de troupes au sol contre Daesh en Syrie
A la question « Êtes-vous favorable ou non à ce que la France participe au sein d’une coalition internationale à une intervention militaire terrestre en Syrie contre l’Etat islamique ? », 56 % des sondés répondent par l’affirmative contre 43 % de non et 1 % de personnes ne se prononçant pas.
L’adhésion à cette éventuelle intervention est plus forte chez les sympathisants des Républicains (LR) - 64 % - contre 59 % pour les sympathisants du Parti socialiste et 56 % pour ceux du Front national.
Syrie : Vers des frappes aériennes françaises contre Daesh?
Cinquante-huit pour cent des sondés estiment d’ailleurs que l’Etat islamique « peut être vaincu militairement » (contre 40 % de non et 2 % ne se prononçant pas). Mais à la question « Pensez-vous que seule une intervention militaire internationale peut résoudre la crise actuelle en Syrie ? », 50 % pensent plutôt que non (contre 48 % « plutôt oui » et 2 % ne se prononçant pas).
L'enquête a été réalisée par téléphone du 11 au 12 septembre auprès d'un échantillon représentatif de la population âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas) de 1.005 personnes.
http://www.20minutes.fr/monde/syrie/1685311-20150913-syrie-56-francais-favorables-intervention-terrestre
http://www.20minutes.fr/monde/syrie/1685311-20150913-syrie-56-francais-favorables-intervention-terrestre
samedi 12 septembre 2015
vendredi 11 septembre 2015
jeudi 10 septembre 2015
mercredi 9 septembre 2015
Melun : la 1re femme général de gendarmerie à la tête de l’école des officiers
Un exemple pour les élèves de l’Ecole des officiers de la gendarmerie nationale (EOGN) de Melun : la nouvelle dirigeante du site, le général Isabelle Guion de Meritens fut première partout ! Première femme brevetée en préparation militaire de parachutiste en 1984, première Saint-Cyrienne à intégrer l’EOGN en 1987, première femme à accéder au grade de colonel en 2006 et première à être promue générale de gendarmerie en 2013 (elle est toujours la seule !), elle reste malgré tout discrète sur sa carrière exceptionnelle.
« J’ai eu un parcours court », préfère résumer cette femme de 53 ans, évoquant le « poids de l’Histoire » avec l’ouverture de la gendarmerie aux femmes dans les fonctions opérationnelles en 1983, aux postes d’officiers en 1984 et aux femmes issues du milieu universitaire en 2002. « Après, l’évolution statutaire fait qu’il faut vingt ans pour créer un colonel et vingt-cinq pour un général ». La cérémonie de sa prise de commandement se déroule ce mercredi.« C’est un honneur et une réelle fierté pour moi de me voir confier la direction de l’EOGN. J’espère ne pas avoir été choisie parce que je suis femme général, mais pour mes compétences en tant que chef militaire », sourit-elle. « Etre une femme ne doit pas modifier l’engagement professionnel. Mais ma sensibilité m’amènera à vérifier que les principes d’égalité professionnelle seront bien appliqués. » Pour l’EOGN, elle évoque deux projets majeurs. D’abord le développement et le rayonnement international du MBA Management et Sécurité créé en 2014 et suivi par toute la promotion de seconde année, ainsi que par des chefs d’entreprises et responsables publics et privés. Autre gros dossier : la rénovation des infrastructures pédagogiques de l’EOGN, dans un contexte budgétaire contraint de l’Etat. « Nous allons chercher des financements innovants », assure-t-elle. Parmi les autres projets, la mise en place d’un campus numérique d’ici fin 2015 permettant aux élèves de MBA et aux étudiants d’universités partenaires de suivre certains cours à distance, en ligne.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77
La musique de la Légion étrangère en concert à Suippes
Les légionnaires viendront le 19 septembre dans la Marne pour commémorer le centenaire des combats de Navarin
La musique de la Légion étrangère donnera un concert exceptionnel, samedi 19 septembre à 20h30, à la salle Geneviève-Dévigne de Suippes, dans la Marne. C’est un événement car et ensemble ne se déplace pas souvent dans la région. Les légionnaires seront présents, à l’initiative de la mairie de Suippes et de l’Union Musicale, dans le cadre de la commémoration du centenaire des combats de Navarin.
La première partie du concert sera assurée par l’Union Musicale de Suippes, dirigée par Roland Bouverot. Une formation qui a sorti, en novembre dernier, un CD intitulé « Honneur aux Poilus » qui reprend une grande partie des morceaux qui étaient joués durant la Première Guerre mondiale et qui sera disponible ce jour-là à la vente.
Le concert du samedi 19 septembre sera en entrée libre avec participation volontaire. La salle ne peut accueillir que six cents personnes, aussi il convient de réserver soit à la Maison des Associations de Suippes, 9 rue Saint-Cloud, soit par mail à union.musicale.suippes@orange.fr, soit par téléphone au 06 07 08 79 53.
http://www.lunion.com/node/544655
La musique de la Légion étrangère donnera un concert exceptionnel, samedi 19 septembre à 20h30, à la salle Geneviève-Dévigne de Suippes, dans la Marne. C’est un événement car et ensemble ne se déplace pas souvent dans la région. Les légionnaires seront présents, à l’initiative de la mairie de Suippes et de l’Union Musicale, dans le cadre de la commémoration du centenaire des combats de Navarin.
La première partie du concert sera assurée par l’Union Musicale de Suippes, dirigée par Roland Bouverot. Une formation qui a sorti, en novembre dernier, un CD intitulé « Honneur aux Poilus » qui reprend une grande partie des morceaux qui étaient joués durant la Première Guerre mondiale et qui sera disponible ce jour-là à la vente.
Le concert du samedi 19 septembre sera en entrée libre avec participation volontaire. La salle ne peut accueillir que six cents personnes, aussi il convient de réserver soit à la Maison des Associations de Suippes, 9 rue Saint-Cloud, soit par mail à union.musicale.suippes@orange.fr, soit par téléphone au 06 07 08 79 53.
http://www.lunion.com/node/544655
mardi 8 septembre 2015
Première patrouille de reconnaissance aérienne française en Syrie
Une patrouille de Rafale a effectué ce matin une mission de reconnaissance au-dessus de la Syrie, la première du genre pour la France, conformément à l'annonce faite la veille par François Hollande, a indiqué le ministère de la Défense
François Hollande l'avait annoncé lundi, au cours de sa conférence de presse semestrielle. Deux avions Rafale ont décollé de leur base à Abu Dhabi, dans le Golfe arabo-persique, mardi matin pour une première mission de reconnaissance dans le ciel syrien. Ces chasseurs-bombardiers français étaient équipés de pod Reco NG (nacelle de reconnaissance). Ces derniers permettent de recueillir des images numériques à haute et basse altitudes. Un avion C-135 ravitailleur français a également participé à cette mission afin de fournir du carburant aux avions. «Il s'agit de recueillir des renseignements sur le groupe terroriste Daech et de renforcer notre capacité d'appréciation autonome de la situation en Syrie», précise le ministère de la Défense interrogé par Reuters. «Des missions similaires pourraient être effectuées dans les jours à venir.»
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/09/08/01016-20150908ARTFIG00233-la-france-mene-sa-premiere-mission-de-reconnaissance-en-syrie.php
François Hollande l'avait annoncé lundi, au cours de sa conférence de presse semestrielle. Deux avions Rafale ont décollé de leur base à Abu Dhabi, dans le Golfe arabo-persique, mardi matin pour une première mission de reconnaissance dans le ciel syrien. Ces chasseurs-bombardiers français étaient équipés de pod Reco NG (nacelle de reconnaissance). Ces derniers permettent de recueillir des images numériques à haute et basse altitudes. Un avion C-135 ravitailleur français a également participé à cette mission afin de fournir du carburant aux avions. «Il s'agit de recueillir des renseignements sur le groupe terroriste Daech et de renforcer notre capacité d'appréciation autonome de la situation en Syrie», précise le ministère de la Défense interrogé par Reuters. «Des missions similaires pourraient être effectuées dans les jours à venir.»
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/09/08/01016-20150908ARTFIG00233-la-france-mene-sa-premiere-mission-de-reconnaissance-en-syrie.php
lundi 7 septembre 2015
Hommage au soldat de 1re classe Baptiste TRUFFAUX
dimanche 6 septembre 2015
samedi 5 septembre 2015
vendredi 4 septembre 2015
jeudi 3 septembre 2015
mercredi 2 septembre 2015
A l'honneur
[À l'honneur] Le dimanche 16 août 2015, à Mâcon, trois militaires du 6e régiment du matériel (6e RMAT) ont sauvé la vie d’une femme de 93 ans victime d’un malaise cardiaque.
En patrouille dans le cadre de l’opération SENTINELLE, le brigadier-chef Johan et ses équipiers, le 1re classe Oscar et le 1re classe Alexandre sont alertés pour venir en aide à une femme inconsciente en pleine rue. Après avoir immédiatement contrôlé la respiration et le pouls de la victime, le chef de pa...trouille installe celle-ci en position latérale de sécurité avant d’alerter les secours.
En patrouille dans le cadre de l’opération SENTINELLE, le brigadier-chef Johan et ses équipiers, le 1re classe Oscar et le 1re classe Alexandre sont alertés pour venir en aide à une femme inconsciente en pleine rue. Après avoir immédiatement contrôlé la respiration et le pouls de la victime, le chef de pa...trouille installe celle-ci en position latérale de sécurité avant d’alerter les secours.
La personne ayant cessé de respirer, le brigadier-chef débute aussitôt un massage cardiaque qu’il maintient jusqu’à l’arrivée des secours guidés par ses équipiers. Après avoir pris en charge la victime, le SAMU a fait savoir à la délégation militaire départementale de Saône-et-Loire que la personne était en vie, hospitalisée en service de réanimation.
Engagés dans le cadre de l’opération SENTINELLE, les militaires de l’ Armée de Terre sont amenés à aider les populations et sont continuellement formés pour pouvoir porter assistance aux victimes.
Engagés dans le cadre de l’opération SENTINELLE, les militaires de l’ Armée de Terre sont amenés à aider les populations et sont continuellement formés pour pouvoir porter assistance aux victimes.
Aveyron: 40 ans après, les habitants du Larzac reprennent la lutte
Au milieu des vivats saluant l’arrivée de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère (DBLE) sur le plateau du Larzac, des voix dissonantes tentent de percer. Les mêmes qui, il y a 40 ans, ont mené le combat contre l’extension du camp militaire sur le causse aveyronnais.
Aveyron : Le camp du Larzac va voir débarquer un millier de légionnaires
Sous le même slogan que dans les années soixante-dix, « Gardem lo Larzac ! », un collectif de paysans, d’habitants et de citoyens opposés à la densification du camp appelle à un rassemblement citoyen samedi matin, devant la sous-préfecture de Millau.
« Il y a deux ans, on nous a dit que le camp allait fermer et là, sans concertation avec la population, on apprend qu’on va avoir des légionnaires. Nous, nous préférons un avenir agronomique ou touristique pour le Larzac, sans l’armée. Nous ne voulons pas que la lutte que nous avons menée il y a quarante ans n’ait servi à rien », peste Christine Thelen, une agricultrice du plateau dont l’exploitation se situe à 500 mètres du camp.
Arrivée en 77 pour participer au mouvement de désobéissance civile, cette antimilitariste imagine aujourd’hui un autre avenir pour le camp, et émet l’idée d’y accueillir des migrants.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1677843-20150902-aveyron-40-ans-apres-habitants-larzac-reprennent-lutte
Aveyron : Le camp du Larzac va voir débarquer un millier de légionnaires
Sous le même slogan que dans les années soixante-dix, « Gardem lo Larzac ! », un collectif de paysans, d’habitants et de citoyens opposés à la densification du camp appelle à un rassemblement citoyen samedi matin, devant la sous-préfecture de Millau.
« Il y a deux ans, on nous a dit que le camp allait fermer et là, sans concertation avec la population, on apprend qu’on va avoir des légionnaires. Nous, nous préférons un avenir agronomique ou touristique pour le Larzac, sans l’armée. Nous ne voulons pas que la lutte que nous avons menée il y a quarante ans n’ait servi à rien », peste Christine Thelen, une agricultrice du plateau dont l’exploitation se situe à 500 mètres du camp.
Arrivée en 77 pour participer au mouvement de désobéissance civile, cette antimilitariste imagine aujourd’hui un autre avenir pour le camp, et émet l’idée d’y accueillir des migrants.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1677843-20150902-aveyron-40-ans-apres-habitants-larzac-reprennent-lutte
Une dizaine de lycéens de Reims s'engagent dans l'armée
Ce mercredi matin à l’hôtel de ville de Reims, a eu lieu la signature solennelle d’une dizaine de jeunes s’engageant dans l’Armée de terre. Ces jeunes viennent d’avoir leur baccalauréat au lycée professionnel Georges-Brière de Tinqueux. Ce dernier est conventionné avec deux régiments locaux, ce qui avait permis à ces élèves, au cours de leurs années de lycée, d’y effectuer des stages.
À cette cérémonie qui s’est déroulée en présence du recteur d’académie et du général commandant le service de maintenance industrielle de l’Armée de terre, étaient associés une dizaines d’autres jeunes signant eux aussi leur engagement dans l’Armée de terre, mais recrutés par la voie ordinaire.
http://www.lunion.com/node/539742
À cette cérémonie qui s’est déroulée en présence du recteur d’académie et du général commandant le service de maintenance industrielle de l’Armée de terre, étaient associés une dizaines d’autres jeunes signant eux aussi leur engagement dans l’Armée de terre, mais recrutés par la voie ordinaire.
http://www.lunion.com/node/539742
mardi 1 septembre 2015
Des engagées volontaires en stage au 501e RCC de Mourmelon-le-Grand
Ayant intégré l’école des sous-officiers de Saint-Maixent en mars dernier, les engagées volontaires sous-officiers (EVSO) Axelle et Aude et leurs camarades ont effectué leur stage en corps de troupes à Mourmelon. Débutant par une semaine au 501 e régiment de chars de combat, ils ont tout d’abord reçu des enseignements sur l’organisation et la vie régimentaire ainsi que sur le métier de soldat. Passage obligé et moment clé de leur stage au 501 : la visite de la salle d’honneur. « Nous ne connaissions par l’histoire des bérets noirs. Le BCH Laurent nous a fait découvrir l’historique, de façon ludique, du glorieux et victorieux 501 e RCC », confie Aude.
Durant ce stage de trois semaines à Mourmelon, les deux EVSO ont passé deux semaines à la section équestre militaire de Mourmelon, encadrées par la sergent-chef Audrey. « Nous avons choisi la spécialité sport équestre pour orienter notre carrière de sous-officier vers l’enseignement de l’équitation aux militaires, aux familles des militaires et aux civils mais aussi pour représenter l’institution lors de compétitions nationales et internationales avec des chevaux militaires, et ce dans toutes les disciplines », résument Axelle et Aude.
Elles ont intégré l’École Nationale des Sous-Officiers d’active (ENSOA) de Saint-Maixent-l’École le 3 mars 2015. Auparavant, Aude était monitrice d’équitation dans le milieu civil depuis quatre ans. Pourquoi s’est-elle tournée vers l’armée ? « Je recherchais un peu plus de rigueur et de discipline, et on retrouve ces aspects surtout dans les structures militaires ».
Axelle, quant à elle, conciliait depuis cinq ans en alternance ses études dans une Maison Familiale Rurale (MFR) et travail avec les chevaux dans les clubs hippiques et fermes équestres. « Mon frère, qui est militaire, m’a appris que l’on pouvait être militaire cavalier pour ainsi vivre de ma passion », souligne-t-elle.
« Nous arrivons en période estivale, les chevaux de club étant en vacances dans la « verte campagne ardennaise », cela nous a permis de remettre en condition le parcours d’obstacles, les écuries et surtout de nous occuper convenablement des chevaux restés au club. Étant en box, nous avons pris le temps de les panser et de les sortir pour brouter l’herbe environnante. Monitrice dans le passé, j’inculquais aux élèves le fait que s’occuper des chevaux ne voulait pas seulement dire monter dessus mais veiller au bien-être et au confort de l’animal. Ici, nous sommes avec des chevaux de qualité et très bien entretenus », ajoutent les EVSO Axelle et Aude.
« Travail et entretien des chevaux, entretien du matériel et des installations, les EVSO ont participé avec enthousiasme à toutes ces tâches », se réjouit la SCH Audrey.
Bien encadrées par le SCH Audrey, les deux élèves officiers ont bien pris la mesure de son niveau d’équitante, de ses qualités pédagogiques qui, avec son sérieux et son dynamisme ont été remarqués et appréciés. En plus de sa fonction d’encadrant, le SCH Audrey les a renseignées sur le cursus atypique qu’elles effectueront. Saint-Maixent, où elles achèveront leur formation de soldat, et Fontainebleau où elles se spécialiseront en équitation militaire, sont les prochains lieux de formation pour ces EVSO, plus motivées que jamais après leur passage à Mourmelon.
http://www.lunion.com/node/539098
Durant ce stage de trois semaines à Mourmelon, les deux EVSO ont passé deux semaines à la section équestre militaire de Mourmelon, encadrées par la sergent-chef Audrey. « Nous avons choisi la spécialité sport équestre pour orienter notre carrière de sous-officier vers l’enseignement de l’équitation aux militaires, aux familles des militaires et aux civils mais aussi pour représenter l’institution lors de compétitions nationales et internationales avec des chevaux militaires, et ce dans toutes les disciplines », résument Axelle et Aude.
Elles ont intégré l’École Nationale des Sous-Officiers d’active (ENSOA) de Saint-Maixent-l’École le 3 mars 2015. Auparavant, Aude était monitrice d’équitation dans le milieu civil depuis quatre ans. Pourquoi s’est-elle tournée vers l’armée ? « Je recherchais un peu plus de rigueur et de discipline, et on retrouve ces aspects surtout dans les structures militaires ».
Axelle, quant à elle, conciliait depuis cinq ans en alternance ses études dans une Maison Familiale Rurale (MFR) et travail avec les chevaux dans les clubs hippiques et fermes équestres. « Mon frère, qui est militaire, m’a appris que l’on pouvait être militaire cavalier pour ainsi vivre de ma passion », souligne-t-elle.
« Nous arrivons en période estivale, les chevaux de club étant en vacances dans la « verte campagne ardennaise », cela nous a permis de remettre en condition le parcours d’obstacles, les écuries et surtout de nous occuper convenablement des chevaux restés au club. Étant en box, nous avons pris le temps de les panser et de les sortir pour brouter l’herbe environnante. Monitrice dans le passé, j’inculquais aux élèves le fait que s’occuper des chevaux ne voulait pas seulement dire monter dessus mais veiller au bien-être et au confort de l’animal. Ici, nous sommes avec des chevaux de qualité et très bien entretenus », ajoutent les EVSO Axelle et Aude.
«
Bien encadrées par le SCH Audrey, les deux élèves officiers ont bien pris la mesure de son niveau d’équitante, de ses qualités pédagogiques qui, avec son sérieux et son dynamisme ont été remarqués et appréciés. En plus de sa fonction d’encadrant, le SCH Audrey les a renseignées sur le cursus atypique qu’elles effectueront. Saint-Maixent, où elles achèveront leur formation de soldat, et Fontainebleau où elles se spécialiseront en équitation militaire, sont les prochains lieux de formation pour ces EVSO, plus motivées que jamais après leur passage à Mourmelon.
http://www.lunion.com/node/539098