Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
vendredi 31 mai 2013
jeudi 30 mai 2013
mercredi 29 mai 2013
mardi 28 mai 2013
lundi 27 mai 2013
Lourdes. Caroline de Monaco au 55e pèlerinage militaire
Le 55e Pèlerinage militaire international s'est terminé hier. Une invitée de marque, Caroline de Monaco, était au premier rang lors de la messe internationale à la basilique Saint-Pie X.
Les cornemuses et l'orgue ont retenti dans la basilique souterraine hier matin.
Sommet du 55e PMI, la messe internationale a rassemblé les 35 nations présentes lors de ce rassemblement. Et une princesse était au premier rang, Caroline de Monaco. Elle était présente durant les 3 jours du Pèlerinage militaire international en tant que marraine du 17e Régiment de génie parachutiste de Montauban. Toujours très élégante, elle a fait des apparitions discrètes à la Grotte où elle s'est recueillie, ainsi qu'auprès des blessés invalides.
L'autre «people» de ce rassemblement marche sur ses quatre pattes. «Rocco», chien renifleur du douanier de l'aéroport Tarbes/Lourdes/Pyrénées, a eu droit à son hommage au cours de cette célébration. «Il fait son dernier pèlerinage. Il part à la retraite», confiait, très ému, son maître Grégoire.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/27/1635505-lourdes-caroline-de-monaco-au-55e-pelerinage-militaire.html
Les cornemuses et l'orgue ont retenti dans la basilique souterraine hier matin.
Sommet du 55e PMI, la messe internationale a rassemblé les 35 nations présentes lors de ce rassemblement. Et une princesse était au premier rang, Caroline de Monaco. Elle était présente durant les 3 jours du Pèlerinage militaire international en tant que marraine du 17e Régiment de génie parachutiste de Montauban. Toujours très élégante, elle a fait des apparitions discrètes à la Grotte où elle s'est recueillie, ainsi qu'auprès des blessés invalides.
L'autre «people» de ce rassemblement marche sur ses quatre pattes. «Rocco», chien renifleur du douanier de l'aéroport Tarbes/Lourdes/Pyrénées, a eu droit à son hommage au cours de cette célébration. «Il fait son dernier pèlerinage. Il part à la retraite», confiait, très ému, son maître Grégoire.
Une profondeur spirituelle
Mgr Luc Ravel, évêque des armées françaises, se réjouit de ce 55e PMI. «Ce pèlerinage a un caractère festif. Mais depuis quelques années, on a remis une profondeur spirituelle», indique-t-il. Pour lui, c'est un honneur de présider ce pèlerinage. «Je n'ai pas le droit de laisser ce rassemblement militaire flancher. Je suis très heureux de la présence de nouvelles délégations, comme le Pérou, le Chili et le Brésil», avoue-t-il. Il espère que dès l'année prochaine, d'autres pays viendront se joindre à eux.http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/27/1635505-lourdes-caroline-de-monaco-au-55e-pelerinage-militaire.html
Le militaire blessé à la Défense est sorti de l'hôpital
Cédric Cordiez est sorti de l'hôpital militaire de Percy à Clamart, a indiqué ce lundi le gouvernement militaire de Paris. Le militaire avait été blessé au cou à l'arme blanche samedi à la Défense.
"Le première classe Cédric Cordiez du 4e régiment de chasseurs de Gap a quitté l'hôpital tôt ce matin et a été récupéré par son unité", a précisé cette source. Une incapacité totale de travail (ITT) de dix jours lui a été prescrite par les médecins, a ajouté la source. Samedi, le soldat participait à une patrouille classique en trinôme avec deux camarades quand il a été frappé par derrière au niveau de la nuque avec une arme blanche.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/27/1635511-militaire-blesse-defense-est-sorti-hopital.html
"Le première classe Cédric Cordiez du 4e régiment de chasseurs de Gap a quitté l'hôpital tôt ce matin et a été récupéré par son unité", a précisé cette source. Une incapacité totale de travail (ITT) de dix jours lui a été prescrite par les médecins, a ajouté la source. Samedi, le soldat participait à une patrouille classique en trinôme avec deux camarades quand il a été frappé par derrière au niveau de la nuque avec une arme blanche.
L'enquête progresse
Interrogé sur Canal+, Manuel Valls a déclaré ce lundi que les enquêteurs de la brigade criminelle disposaient de "pistes sérieuses" sur son agresseur. Selon des sources proches de l'enquête, une bande vidéo montre l'agresseur présumé, portant un petit chapeau et une tenue noire, en prière quelques minutes avant l'agression. Par ailleurs, les policiers ont retrouvé près des lieux de l'agression un sac en plastique contenant une bouteille, un couteau et des détritus.http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/27/1635511-militaire-blesse-defense-est-sorti-hopital.html
dimanche 26 mai 2013
La compagne du militaire agressé à la Défense : "Cédric est traumatisé"
La compagne de Cédric Cordier, le militaire agressé au cou samedi à La Défense, a affirmé dimanche sur RTL que celui-ci, toujours hospitalisé à Clamart, était "traumatisé".
La compagne de Cédric Cordier, le militaire de 23 ans agressé et blessé au cou samedi, alors qu'il effectuait une patrouille Vigipirate à La Défense, a affirmé dimanche au micro de RTL que celui-ci, toujours hospitalisé à Clamart, était "traumatisé". Depuis l'agression "il n'est pas tranquille", a expliqué la jeune femme, Amélie, 22 ans. "A 4 heures du matin, il y a un infirmier qui est rentré dans sa chambre, il s'est tout de suite redressé, car il croyait que c'était l'agresseur qui revenait pour finir le travail", a-t-elle dit.
Elle a également estimé que le militaire, issu du 4e régiment de chasseurs de Gap, "a vraiment eu de la chance, car, à deux centimètres près c'était la carotide qui était atteinte". "Il pouvait mourir", a-t-elle ajouté, précisant que selon les dires des médecins qui ont examiné Cédric Cordier la blessure provenait vraisemblablement d'un cutter.
"On ne s'attend pas à ça à Paris"
La jeune femme a également estimé que "l'agresseur visait spécialement un militaire". "C'est écœurant quand même. On ne s'attend pas à ça à Paris. Au Mali je veux bien, mais à Paris!", a-t-elle poursuivi.
Cédric Cordier avait été agressé samedi vers 17h50, alors qu'avec deux collègues il participait à une patrouille Vigipirate dans la "salle d'échange" de la Défense. Il était toujours hospitalisé dimanche à l'hôpital militaire Percy à Clamart (Hauts-de-Seine). Ses jours ne sont pas en danger. Le parquet antiterroriste de Paris a été saisi de l'affaire. Mercredi, un soldat britannique a été tué à l'arme blanche à Londres par deux hommes d'origine nigériane qui ont affirmé aux témoins agir "au nom d'Allah". Le gouvernement britannique a estimé que c'était un acte "manifestement de nature terroriste
3e Génie / Remise de képis et de lettres de félicitations
C'est une tradition : la remise des képis marque la fin de la formation initiale des jeunes engagés incorporés au 3e régiment du Génie.
Vendredi, la cérémonie au mémorial de Berthaucourt n'a pas dérogé à cette règle, puisque 12 jeunes militaires, de la section du lieutenant Lendo, ont reçu leur képi.
Cette cérémonie marque la fin de leur formation initiale. Après 3 mois d'apprentissage généraliste au centre des militaires de Dieuze (Moselle), ils ont été présentés au drapeau du régiment et ont reçu leur fourragère. Ils ont alors débuté leur formation de sapeur et, après cette remise de képi, ils vont rejoindre leurs compagnies respectives.
Cet événement est plus « intimiste » que la présentation au drapeau. Les soldats Xavier Bergdoll, Geoffrey Charensol, Ludovic Lendormy et Hugues Cherpitelle ont reçu leur képi devant le mémorial, des mains du colonel Bertrand, chef de corps du « 3 », du capitaine Peytavin, commandant la compagnie de commandement et de logistique, de M. Loison, président de l'amicale des anciens du Génie et du 3e RG et du caporal-chef Hemmel, président des engagés volontaires du régiment.
Auparavant, des lettres de félicitations ont été lues à deux militaires. L'adjudant Stéphane Allais a reçu cette lettre du général Guibert, commandant la Première brigade mécanisée, pour son implication en tant que chef de section, détaché au CFIM de Dieuze du 15 novembre 2012 au 14 février 2013.
Autre militaire félicité, le sergent Kévin Coltel s'est également fortement impliqué dans sa mission de formation et s'est illustré par la qualité de son instruction au sein du même centre de formation.
Enfin, la médaille de la Défense nationale échelon or a été remise au caporal-chef David Rouet, de la 3e compagnie de combat du Génie, au caporal-chef Florent Noizet et au caporal-chef Pascal Pierrard de la compagnie de commandement et de logistique.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/3e-genie-remise-de-kepis-et-de-lettres-de-felicitations
Vendredi, la cérémonie au mémorial de Berthaucourt n'a pas dérogé à cette règle, puisque 12 jeunes militaires, de la section du lieutenant Lendo, ont reçu leur képi.
Cette cérémonie marque la fin de leur formation initiale. Après 3 mois d'apprentissage généraliste au centre des militaires de Dieuze (Moselle), ils ont été présentés au drapeau du régiment et ont reçu leur fourragère. Ils ont alors débuté leur formation de sapeur et, après cette remise de képi, ils vont rejoindre leurs compagnies respectives.
Cet événement est plus « intimiste » que la présentation au drapeau. Les soldats Xavier Bergdoll, Geoffrey Charensol, Ludovic Lendormy et Hugues Cherpitelle ont reçu leur képi devant le mémorial, des mains du colonel Bertrand, chef de corps du « 3 », du capitaine Peytavin, commandant la compagnie de commandement et de logistique, de M. Loison, président de l'amicale des anciens du Génie et du 3e RG et du caporal-chef Hemmel, président des engagés volontaires du régiment.
Auparavant, des lettres de félicitations ont été lues à deux militaires. L'adjudant Stéphane Allais a reçu cette lettre du général Guibert, commandant la Première brigade mécanisée, pour son implication en tant que chef de section, détaché au CFIM de Dieuze du 15 novembre 2012 au 14 février 2013.
Autre militaire félicité, le sergent Kévin Coltel s'est également fortement impliqué dans sa mission de formation et s'est illustré par la qualité de son instruction au sein du même centre de formation.
Enfin, la médaille de la Défense nationale échelon or a été remise au caporal-chef David Rouet, de la 3e compagnie de combat du Génie, au caporal-chef Florent Noizet et au caporal-chef Pascal Pierrard de la compagnie de commandement et de logistique.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/3e-genie-remise-de-kepis-et-de-lettres-de-felicitations
Agression à Paris : elle visait délibérément un militaire, selon Le Drian, qui parle de terrorisme
Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, qui s'est rendu samedi soir au chevet du militaire agressé à l'arme blanche près de Paris, a affirmé qu'"on a voulu (le) tuer parce qu'il était militaire", et souligné sa détermination à mener avec son collègue de l'Intérieur Manuel Valls "une lutte implacable contre le terrorisme".
Là c'est parce qu'il est militaire qu'il y a eu agression, a-t-il insisté. Assurant Manuel Valls et la police de "toute (sa) confiance" pour l'enquête et la recherche de l'agresseur, qui était en fuite samedi soir, Jean-Yves Le Drian a poursuivi : "La sécurité des Françaises et des Français c'est un bien imprescriptible, c'est un des fondements de la République, cela ne souffre aucun atermoiement". Et d'enchaîner: "Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls et moi-même, chacun dans nos domaines, nous poursuivons une lutte implacable contre le terrorisme et contre tout acte qui remettrait en cause notre sécurité".
Le militaire en patrouille Vigipirate été agressé samedi à l'arme blanche à La Défense (Hauts-de-Seine) par un homme qui a pris la fuite et dont les motivations restent inconnues.
Cette agression intervient trois jours après le meurtre mercredi à Londres d'un soldat britannique par deux islamistes radicaux, avec lequel aucun lien n'a toutefois été fait à ce stade par les enquêteurs.
http://www.midilibre.fr/2013/05/25/paris-un-militaire-agresse-au-cutter-a-la-defense-ses-jours-pas-en-danger,703855.php
"On a voulu tuer un militaire parce qu'il était militaire (...). Un militaire qui assure la sécurité des Français dans le cadre du plan Vigipirate", a déclaré le ministre de la Défense devant des journalistes à sa sortie de l'hôpital Percy à Clamart (Hauts-de-Seine). "Heureusement l'acte criminel n'a pas entraîné de conséquences graves", a-t-il ajouté.
Le militaire blessé, "le première classe Cédric Cordier", est dans un état "rassurant, satisfaisant", selon M. Le Drian qui a pu échanger avec lui "très cordialement" dans cet établissement militaire où il a été admis après son agression. "Je lui ai fait part de ma solidarité, de mon soutien, à lui (...) mais aussi à tous les militaires qui aujourd'hui en France ou au Mali ou ailleurs assurent la sécurité des Françaises et des Français.Là c'est parce qu'il est militaire qu'il y a eu agression, a-t-il insisté. Assurant Manuel Valls et la police de "toute (sa) confiance" pour l'enquête et la recherche de l'agresseur, qui était en fuite samedi soir, Jean-Yves Le Drian a poursuivi : "La sécurité des Françaises et des Français c'est un bien imprescriptible, c'est un des fondements de la République, cela ne souffre aucun atermoiement". Et d'enchaîner: "Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls et moi-même, chacun dans nos domaines, nous poursuivons une lutte implacable contre le terrorisme et contre tout acte qui remettrait en cause notre sécurité".
Le militaire en patrouille Vigipirate été agressé samedi à l'arme blanche à La Défense (Hauts-de-Seine) par un homme qui a pris la fuite et dont les motivations restent inconnues.
Cette agression intervient trois jours après le meurtre mercredi à Londres d'un soldat britannique par deux islamistes radicaux, avec lequel aucun lien n'a toutefois été fait à ce stade par les enquêteurs.
http://www.midilibre.fr/2013/05/25/paris-un-militaire-agresse-au-cutter-a-la-defense-ses-jours-pas-en-danger,703855.php
samedi 25 mai 2013
Sissonne Un régiment d'infanterie recréé
Le centre d'entraînement aux actions en zone urbaine de Sissonne s'appellera Cenzub-94e régiment d'infanterie à partir du mois de juillet.
LES militaires sont gens de tradition. Cet intérêt pour l'histoire et cette constance à célébrer l'héroïsme se manifestent à Sissonne. Le Centre d'entraînement aux actions en zone urbaine (Cenzub), va s'appeler Cenzub-94e régiment d'infanterie à partir du 1er juillet.
Cette modification ne se traduit pas par le renfort de militaires. Le changement sera plutôt perceptible sur les uniformes. Désormais, ceux qui travaillent au centre de combat urbain porteront la fourragère du 94e régiment d'infanterie.
La ville, reconstituée avec ses immeubles et ses équipements, est un outil d'entraînement unique en Europe. Il emploie six cents militaires et civils et accueille entre 11 000 et 13 000 soldats pour des exercices.
Ceux-ci plongent directement dans l'affrontement le plus délicat : la guerre dans les villes ou les bourgades. Un théâtre habituel des conflits et une dimension qui rappelle l'interminable crise en Syrie.
Si la plupart des combattants, venant à Sissonne, sont français, quelques-uns d'entre eux sont des Britanniques.
Le centre, symbolisant l'avenir, avec l'emploi de nouvelles technologies pour assister à la progression des troupes, s'ancre dans le passé par ce lien avec le 94e régiment d'infanterie.
Il a été créé en 1709 avec des recrues allemandes. Il se distingue à Valmy, à Austerlitz et il est reconstitué en 1871. En 1914, l'unité est engagée dans la Marne et en 1916 dans la Somme. Un an plus tard, c'est Verdun et le Chemin des Dames.
Cet ancrage dans l'Aisne se manifeste avec la défense de ponts en mai et juin 1940. Dans la région de Troyes, sur un front mouvant, il perd 2 800 hommes sur 3 000.
Après l'Algérie, de 1956 à 1962, il est recréé en Lorraine puis est implanté à Sissonne jusqu'en 1993, l'année de sa dissolution.
Le Cenzub, créé en 2004, reçoit alors le drapeau du 94e régiment d'infanterie. Son histoire, émaillée de beaucoup de bravoure, continue.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/sissonne-un-regiment-dinfanterie-recree?xtcr=1&xtmc=régiment d'infanterie recréé
LES militaires sont gens de tradition. Cet intérêt pour l'histoire et cette constance à célébrer l'héroïsme se manifestent à Sissonne. Le Centre d'entraînement aux actions en zone urbaine (Cenzub), va s'appeler Cenzub-94e régiment d'infanterie à partir du 1er juillet.
Cette modification ne se traduit pas par le renfort de militaires. Le changement sera plutôt perceptible sur les uniformes. Désormais, ceux qui travaillent au centre de combat urbain porteront la fourragère du 94e régiment d'infanterie.
La ville, reconstituée avec ses immeubles et ses équipements, est un outil d'entraînement unique en Europe. Il emploie six cents militaires et civils et accueille entre 11 000 et 13 000 soldats pour des exercices.
Ceux-ci plongent directement dans l'affrontement le plus délicat : la guerre dans les villes ou les bourgades. Un théâtre habituel des conflits et une dimension qui rappelle l'interminable crise en Syrie.
Si la plupart des combattants, venant à Sissonne, sont français, quelques-uns d'entre eux sont des Britanniques.
Le centre, symbolisant l'avenir, avec l'emploi de nouvelles technologies pour assister à la progression des troupes, s'ancre dans le passé par ce lien avec le 94e régiment d'infanterie.
Il a été créé en 1709 avec des recrues allemandes. Il se distingue à Valmy, à Austerlitz et il est reconstitué en 1871. En 1914, l'unité est engagée dans la Marne et en 1916 dans la Somme. Un an plus tard, c'est Verdun et le Chemin des Dames.
Cet ancrage dans l'Aisne se manifeste avec la défense de ponts en mai et juin 1940. Dans la région de Troyes, sur un front mouvant, il perd 2 800 hommes sur 3 000.
Après l'Algérie, de 1956 à 1962, il est recréé en Lorraine puis est implanté à Sissonne jusqu'en 1993, l'année de sa dissolution.
Le Cenzub, créé en 2004, reçoit alors le drapeau du 94e régiment d'infanterie. Son histoire, émaillée de beaucoup de bravoure, continue.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/sissonne-un-regiment-dinfanterie-recree?xtcr=1&xtmc=régiment d'infanterie recréé
vendredi 24 mai 2013
Niger : l'armée française met fin à la prise d'otages menée par des jihadistes
Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a annoncé que les forces spéciales étaient intervenues vendredi matin pour faire cesser la prise d'otages qui avait démarré jeudi à Agadez.
Que s'est-il passé jeudi et vendredi à Agadez après l'attentat suicide commis devant un camp militaire ? Pour l'instant, le fil des événements reste flou.
Dans un premier temps, les autorités nigériennes avaient expliqué que plusieurs assaillants ayant attaqué la base dans la foulée de l'attentat s'étaient enfuis dans le désert et que l'armée les poursuivait. En fin d'après-midi, il a été question d'une prise d'otages d'élèves officiers, dans l'enceinte du camp. En fin de soirée, cette prise d'otages était officiellement terminée. Il semble cependant que c'était loin d'être le cas.
Deux morts
En début d'après-midi, Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a en effet confirmé que l'armée française était intervenue, à la demande de Mahamadou Issoufou, le président nigérien, pour déloger les derniers terroristes retranchés dans le camp. "Cela a permis d'aboutir à une stabilisation de la situation, heureusement", a-t-il dit sur BFM TV.
En début d'après-midi, Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a en effet confirmé que l'armée française était intervenue, à la demande de Mahamadou Issoufou, le président nigérien, pour déloger les derniers terroristes retranchés dans le camp. "Cela a permis d'aboutir à une stabilisation de la situation, heureusement", a-t-il dit sur BFM TV.
"L'objectif (ndlr : des terroristes) était que le Mali devienne un sanctuaire islamiste, ça ne le sera pas. Il faut maintenant éviter qu'il y ait, soit au Nord-Niger, soit dans une partie du Tchad, des risques identiques", a-t-il ajouté, qualifiant la région du Sahel de "zone d'instabilité". Les services du ministère ont également précisé que l'assaut avait eu lieu à l'aube et qu'au moins deux jihadistes avaient été tués dans l'opération.
Hollande exprime sa "solidarité"
De son côté, François Hollande a exprimé vendredi sa "solidarité" au Niger et à son président Mahamadou Issoufou. Il voit dans les attentats de jeudi -outre celui d'Agadez, la mine exploitée par Areva à Arlit a aussi été victime d'une attaque suicide- "une preuve supplémentaire" de la nécessité de soutenir l'Afrique contre le terrorisme
De son côté, François Hollande a exprimé vendredi sa "solidarité" au Niger et à son président Mahamadou Issoufou. Il voit dans les attentats de jeudi -outre celui d'Agadez, la mine exploitée par Areva à Arlit a aussi été victime d'une attaque suicide- "une preuve supplémentaire" de la nécessité de soutenir l'Afrique contre le terrorisme
Armées : Hollande confirme 24.000 suppressions de postes
"Au terme de la loi de programmation militaire 2014 - 2019, les effectifs du ministère seront réduits de 24.000 hommes supplémentaires pour atteindre des effectifs de l'ordre de 250.000 personnels de la défense", a affirmé vendredi matin le chef de l'Etat, dans un discours à l'Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN), soulignant que ceux-ci figuraient parmi les plus importants en Europe.
François Hollande, a aussi confirmé le maintien "à son niveau actuel" de "l'effort pour notre défense". "Le budget sera fixé en 2014 à 31,4 milliards d'euros c'est-à-dire exactement le même montant qu'en 2012 et en 2013. Pour l'ensemble de la période 2014-2025, cela représentera 365 milliards d'euros, dont 179,2 milliards d'euros pour la période 2014-2019", a-t-il aussi confirmé.
Le Livre blanc de la Défense 2013, remis fin avril au président de la République, prévoit 24.000 nouvelles suppressions de postes dans les armées d'ici à 2019, soit près de 10% des effectifs, tout en réaffirmant les ambitions de la France, malgré les contraintes budgétaires.
http://lci.tf1.fr/politique/armees-hollande-confirme-24-000-suppressions-de-postes-7975301.html
François Hollande, a aussi confirmé le maintien "à son niveau actuel" de "l'effort pour notre défense". "Le budget sera fixé en 2014 à 31,4 milliards d'euros c'est-à-dire exactement le même montant qu'en 2012 et en 2013. Pour l'ensemble de la période 2014-2025, cela représentera 365 milliards d'euros, dont 179,2 milliards d'euros pour la période 2014-2019", a-t-il aussi confirmé.
Le Livre blanc de la Défense 2013, remis fin avril au président de la République, prévoit 24.000 nouvelles suppressions de postes dans les armées d'ici à 2019, soit près de 10% des effectifs, tout en réaffirmant les ambitions de la France, malgré les contraintes budgétaires.
http://lci.tf1.fr/politique/armees-hollande-confirme-24-000-suppressions-de-postes-7975301.html
Boé. Une femme gendarme force un chauffard ivre à s'arrêter
En prenant les choses en main à Boé, une femme gendarme en repos jeudi, a mis fin à la dérive d'un conducteur qui roulait dangereusement avec 4 g d'alcool dans le sang.
Un véritable danger public a été intercepté grâce à la réactivité d'une femme gendarme qui n'était pas en service ce jour-là. Un militaire rompu à l'insécurité routière dans le cadre de son métier...
Un homme de 48 ans, domicilié au Passage-d'Agen, conduisait jeudi avec un taux record de 4,2 g d'alcool dans le sang à Agen.
À moitié affaissé sur le siège passager, le conducteur était repéré par cette femme gendarme en permission jeudi, qui le suivait en voiture depuis l'avenue du Général-de-Gaulle.
Elle témoigne: «Il faisait des écarts dangereux sur la route d'autant que des voitures arrivaient en face. Son véhicule tanguait de gauche à droite et il a évité de justesse un cycliste sur le bas-côté».
Parvenu cahin-caha à hauteur du rond-point de Lacapelette dans la zone d'activité commerciale de Boé, le conducteur immobilise son véhicule à cheval sur deux voies.
Un autre automobiliste qui se retrouve coincé dans la file, vient voir à son tour ce qu'il se passe. «Je lui ai vite demandé de serrer le frein à main pendant que je retenais la voiture. Et constatant très vite que son état ne relevait pas d'un problème de santé, j'ai composé le numéro de la police». Très vite la femme militaire se retrouve seule à gérer la situation avec le conducteur qui est amorphe et ne prononce pas un mot. Mais alors qu'il montre des signes d'excitation, elle pense qu'il va redémarrer. Elle veut gagner du temps : «Je lui ai ordonné de ne pas bouger en lui expliquant que j'allais faire la circulation».
Afin qu'il n'avance pas et pour le coincer, elle n'hésite pas à se placer devant sa Renault Mégane. Elle fait signe de doubler aux autres usagers indifférents à la situation qui s'impatientent et klaxonnent malgré les feux de détresse. Pas un ne daigne s'arrêter. Elle sera rejointe par une autre conductrice qui avait fait le tour complet du rond-point pour lui porter assistance.
Arrivée sur les lieux, la police a contrôlé le suspect qui présentait un taux d'alcoolémie de 2,1 mg par litre d'air expiré, soit plus de 4 g dans le sang. L'individu a été placé en cellule de dégrisement plusieurs heures au commissariat d'Agen, avant de pouvoir être auditionné. Sa voiture lui a été confisquée et son permis a été retiré sur le champ. Il a déjà deux procédures pour délit routier à son actif. Cette femme militaire a fait preuve d'héroïsme, consciente que le conducteur pouvait provoquer un accident. Elle avait déjà eu peur qu'il fauche le cycliste.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/24/1633609-une-femme-gendarme-force-un-chauffard-ivre-a-s-arreter.html
Un véritable danger public a été intercepté grâce à la réactivité d'une femme gendarme qui n'était pas en service ce jour-là. Un militaire rompu à l'insécurité routière dans le cadre de son métier...
Un homme de 48 ans, domicilié au Passage-d'Agen, conduisait jeudi avec un taux record de 4,2 g d'alcool dans le sang à Agen.
À moitié affaissé sur le siège passager, le conducteur était repéré par cette femme gendarme en permission jeudi, qui le suivait en voiture depuis l'avenue du Général-de-Gaulle.
Elle témoigne: «Il faisait des écarts dangereux sur la route d'autant que des voitures arrivaient en face. Son véhicule tanguait de gauche à droite et il a évité de justesse un cycliste sur le bas-côté».
Parvenu cahin-caha à hauteur du rond-point de Lacapelette dans la zone d'activité commerciale de Boé, le conducteur immobilise son véhicule à cheval sur deux voies.
Automobilistes en renfort
«J'ai pensé à un malaise au départ, relate encore le témoin. Je suis descendue de ma voiture et j'ai bloqué sa voiture qui s'est mise à reculer. Elle devait être au point mort».Un autre automobiliste qui se retrouve coincé dans la file, vient voir à son tour ce qu'il se passe. «Je lui ai vite demandé de serrer le frein à main pendant que je retenais la voiture. Et constatant très vite que son état ne relevait pas d'un problème de santé, j'ai composé le numéro de la police». Très vite la femme militaire se retrouve seule à gérer la situation avec le conducteur qui est amorphe et ne prononce pas un mot. Mais alors qu'il montre des signes d'excitation, elle pense qu'il va redémarrer. Elle veut gagner du temps : «Je lui ai ordonné de ne pas bouger en lui expliquant que j'allais faire la circulation».
Afin qu'il n'avance pas et pour le coincer, elle n'hésite pas à se placer devant sa Renault Mégane. Elle fait signe de doubler aux autres usagers indifférents à la situation qui s'impatientent et klaxonnent malgré les feux de détresse. Pas un ne daigne s'arrêter. Elle sera rejointe par une autre conductrice qui avait fait le tour complet du rond-point pour lui porter assistance.
Arrivée sur les lieux, la police a contrôlé le suspect qui présentait un taux d'alcoolémie de 2,1 mg par litre d'air expiré, soit plus de 4 g dans le sang. L'individu a été placé en cellule de dégrisement plusieurs heures au commissariat d'Agen, avant de pouvoir être auditionné. Sa voiture lui a été confisquée et son permis a été retiré sur le champ. Il a déjà deux procédures pour délit routier à son actif. Cette femme militaire a fait preuve d'héroïsme, consciente que le conducteur pouvait provoquer un accident. Elle avait déjà eu peur qu'il fauche le cycliste.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/24/1633609-une-femme-gendarme-force-un-chauffard-ivre-a-s-arreter.html
jeudi 23 mai 2013
La 10.000.000è Journée défense et sécurité lundi
Le dix millionième certificat de la Journée défense et sécurité (JDS) sera remis lundi à un jeune homme ou une jeune fille à Montreuil, en Seine-Saint-Denis par le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, a annoncé jeudi le ministère de la Défense. Lors du point de presse hebdomadaire du ministère de la Défense, Pierre Bayle, directeur de la Délégation à l'information et à la communication de la Défense (Dicod), a précisé que la remise se déroulerait en présence d'Alain Richard, ancien ministre socialiste de la Défense.
Après la fin du service militaire obligatoire, Alain Richard avait lancé le 3 octobre 1998 la Journée d'appel et de préparation à la défense (JAPD), une obligation à laquelle sont assujettis depuis tous les garçons et les filles de 17 ans de nationalité française. En janvier 2011, la JAPD avait été remplacée par la JDC qui accueille chaque année près de 760.000 jeunes.
Mise en oeuvre par la direction du service national du ministère de la Défense, la JDC constitue la troisième étape du "parcours de citoyenneté". Elle fait suite à l'enseignement de défense prévu dans les programmes de l'Education nationale en classe de troisième et de première, et au recensement obligatoire pour les garçons et les filles de nationalité française à l'âge de 16 ans. Cette journée obligatoire permet notamment de détecter l'illettrisme. Selon une enquête réalisée en 2011, les jeunes de 17 ans ou plus sont à 80% des "lecteurs efficaces", mais près de 5% peuvent être considérés comme illettrés.
mercredi 22 mai 2013
mardi 21 mai 2013
lundi 20 mai 2013
Cérémonie à Villers-Semeuse 3e RG : 32 nouveaux engagés honorés
Hier matin, sur la place de la Mairie de Villers-Semeuse, 32 jeunes engagés, venant de terminer leur formation générale initiale au CFIM (centre de formation initiale des militaires du rang) de Dieuze, ont été présentés au drapeau du 3e RG et ont reçu leur fourragère.
Tous ont suivi la formation générale initiale, et vont commencer leur formation de sapeur : la FSI (formation de spécialité initiale), aux ordres du lieutenant Anaëlle Riou et de son équipe d'encadrement.
La présentation au drapeau du régiment marque la reconnaissance de leur aptitude à effectuer les missions élémentaires dévolues à tout combattant des forces armées.
La fourragère - que les militaires du 3e RG ont l'honneur de porter à l'épaule - a été attribuée au régiment le 21 avril 1916 au regard de l'endurance, du mordant, de la volonté de vaincre dont ont fait preuve les sapeurs qui ont combattu sous les plis du drapeau du 3e RG lors de la Première Guerre mondiale.
Les quatre plus méritants de la section, les soldats Maxime Dubois - Benjamin Wauthier, Vincent Moudoulaud et Maxime Lefebvre - se sont vu remettre leur fourragère par le colonel Bertrand commandant le 3e RG, par Annick Bonne représentant Guy Ferreira, maire de Villers-Semeuse, par Jean-Pol Loison, président de l'amicale ardennaise des anciens du Génie et du 3e RG, et par le caporal-chef Julien Hemmel, président des engagés volontaires du « 3 ».
Lors de cette cérémonie, un témoignage de satisfaction et une lettre de félicitations ont été lues. Au sergent Julien Lozac'h, pour s'être distingué lors d'un chantier de dépollution sur la frontière israélienne et libanaise lors de l'opération Daman de janvier à mai 2009.
Au caporal Xavier Sayad, pour s'être distingué par son investissement lors de l'opération Hephaistos (prévention et lutte contre les feux de forêt en zone sud du 26 juillet au 3 septembre 2012).
Le sergent Emilien Fleury et le caporal-chef Eric Fouche recevront la médaille de la Défense nationale échelon Argent.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ceremonie-a-villers-semeuse-3e-rg-32-nouveaux-engages-honores
Tous ont suivi la formation générale initiale, et vont commencer leur formation de sapeur : la FSI (formation de spécialité initiale), aux ordres du lieutenant Anaëlle Riou et de son équipe d'encadrement.
La présentation au drapeau du régiment marque la reconnaissance de leur aptitude à effectuer les missions élémentaires dévolues à tout combattant des forces armées.
La fourragère - que les militaires du 3e RG ont l'honneur de porter à l'épaule - a été attribuée au régiment le 21 avril 1916 au regard de l'endurance, du mordant, de la volonté de vaincre dont ont fait preuve les sapeurs qui ont combattu sous les plis du drapeau du 3e RG lors de la Première Guerre mondiale.
Les quatre plus méritants de la section, les soldats Maxime Dubois - Benjamin Wauthier, Vincent Moudoulaud et Maxime Lefebvre - se sont vu remettre leur fourragère par le colonel Bertrand commandant le 3e RG, par Annick Bonne représentant Guy Ferreira, maire de Villers-Semeuse, par Jean-Pol Loison, président de l'amicale ardennaise des anciens du Génie et du 3e RG, et par le caporal-chef Julien Hemmel, président des engagés volontaires du « 3 ».
Lors de cette cérémonie, un témoignage de satisfaction et une lettre de félicitations ont été lues. Au sergent Julien Lozac'h, pour s'être distingué lors d'un chantier de dépollution sur la frontière israélienne et libanaise lors de l'opération Daman de janvier à mai 2009.
Au caporal Xavier Sayad, pour s'être distingué par son investissement lors de l'opération Hephaistos (prévention et lutte contre les feux de forêt en zone sud du 26 juillet au 3 septembre 2012).
Le sergent Emilien Fleury et le caporal-chef Eric Fouche recevront la médaille de la Défense nationale échelon Argent.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/ceremonie-a-villers-semeuse-3e-rg-32-nouveaux-engages-honores
dimanche 19 mai 2013
samedi 18 mai 2013
Mali: Point de situation sur l'opération Serval
Au cours de ces 7 derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 120 sorties, principalement consacrées aux opérations de transport dans le cadre de la relève de la brigade Serval. Une trentaine de sorties ont été dédiées à l’appui feu des opérations, une soixantaine aux missions de transport, la trentaine de sorties restantes étant consacrées au soutien des opérations (ravitaillement et renseignement).
Le 11 mai a eu lieu le transfert d’autorité (TOA) entre le général Barrera et le général Kolodziej à la tête de la brigade Serval, déployée sur la plateforme opérationnelle de GAO. La relève des éléments composant le GTIA 2 est en cours à Tessalit et à Gao. Parallèlement à ces mouvements de relèves, le désengagement se poursuit. Un premier convoi de VBCI est arrivé à Bamako le 15 mai. Il repartira prochainement pour Abidjan.
Au centre du pays, sur la boucle du Niger, les unités de la force Serval ont poursuivi leurs opérations de sécurisation dans la région de Gao. La plus significative, l’opération Chaillol, conduite les 13 et 14 mai dans les collines de Bargui, avait pour objectif de poursuivre l’action contre les groupes terroristes entre Gao et Bourem. Cette opération n’a pas révélé de présence terroriste mais a permis de saisir et de détruire un important stock de munitions composé de plus de 150 obus de tous calibres, de plusieurs centaines de fusées et d’une dizaine de propulseurs de roquettes.
Sur les autres positions françaises, les opérations de patrouille et de reconnaissance se poursuivent sans pour autant donner lieu à des accrochages avec les terroristes.
Enfin, la montée en puissance de la force africaine continue. Le bataillon logistique de la MISMA, essentiellement armé par des militaires ivoiriens, poursuit sa mise en condition à Bamako avant d’être déployé en soutien des opérations.
Musique crépusculaire à la Caverne du Dragon
C'est dans une caverne utilisée comme ligne de front entre les Français et les Allemands que se déroulera la nuit la plus atypique du Laonnois. À Oulches-la-Vallée-Foulon, la Caverne du Dragon, musée du Chemin des Dames, proposera un programme hors-norme, ce soir, à l'occasion de la 9e édition de la Nuit européenne des musées.
En parallèle de l'exposition temporaire « On les aura : carnet de guerre d'un poilu », l'auteur de dessins illustrant le cahier de croquis retrouvé après la Première Guerre mondiale, projettera ses dessins sur les parois de la caverne. Ses contes seront entrecoupés de morceaux de guitare électrique.
La caverne, ancienne carrière de pierres se transformera l'espace d'une soirée en salle de spectacle.
Rendre accessible au plus grand nombre
Deux visites d'1 h 15 seront programmées à 20 heures et à 21 h 30, et le circuit qu'empruntera le public débutera par une visite de 30 minutes de la caverne, suivi du concert. Les artistes se produiront à deux reprises, l'espace étant limité à 49 personnes. À la fin du spectacle, l'auteur dédicacera son ouvrage.
Dans la caverne, le public avisé ou non, découvrira le terrain de guerre en 1914-1918 grâce à la reconstruction d'une tranchée, aux fils barbelés, aux casques et aux armes.
Au-dessus de leur tête, les visiteurs verront sur les parois, des dessins d'époque. Un peu plus loin, le public apprendra que les soldats dans les tranchées étaient avant tout des hommes et certains, des artistes. Ils pourront ainsi contempler leurs objets artisanaux. La sculpture de Saint-Jean-Baptiste sera dévoilée et l'histoire de l'offensive sanglante du Chemin des Dames et de ses 300 000 morts sera contée. Des lampes juchées sur des pics rappelleront aux visiteurs les heures noires de cette guerre et le sacrifice des tirailleurs sénégalais. Pour les couche-tard, des visites guidées d'1 h 30 de la caverne auront lieu à 23 heures et 23 h 30.
« Avec l'ouverture de nos portes pour la Nuit européenne des musées, nous avons souhaité rendre cette exposition accessible au plus grand nombre », précise Annaëlle Viard-Crétat, responsable des services des publics. L'exposition coproduite avec la bibliothèque départementale de l'Aisne est à découvrir jusqu'au 16 décembre.
De con côté, le musée d'Art et d'archéologie de Laon accueillera le public autour de contes et de musique en relation avec les œuvres d'art des différentes salles. Les artistes déambuleront en même temps que le public, et découvriront le musée au fur et à mesure.
En Europe, la Nuit des musées est l'occasion de découvrir près de 3 000 sites dont 1 300 en France. Sons et lumières, concerts et spectacles, la soirée s'annonce d'ores et déjà festive.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/musique-crepusculaire-a-la-caverne-du-dragon?mobile=mobile
En parallèle de l'exposition temporaire « On les aura : carnet de guerre d'un poilu », l'auteur de dessins illustrant le cahier de croquis retrouvé après la Première Guerre mondiale, projettera ses dessins sur les parois de la caverne. Ses contes seront entrecoupés de morceaux de guitare électrique.
La caverne, ancienne carrière de pierres se transformera l'espace d'une soirée en salle de spectacle.
Rendre accessible au plus grand nombre
Deux visites d'1 h 15 seront programmées à 20 heures et à 21 h 30, et le circuit qu'empruntera le public débutera par une visite de 30 minutes de la caverne, suivi du concert. Les artistes se produiront à deux reprises, l'espace étant limité à 49 personnes. À la fin du spectacle, l'auteur dédicacera son ouvrage.
Dans la caverne, le public avisé ou non, découvrira le terrain de guerre en 1914-1918 grâce à la reconstruction d'une tranchée, aux fils barbelés, aux casques et aux armes.
Au-dessus de leur tête, les visiteurs verront sur les parois, des dessins d'époque. Un peu plus loin, le public apprendra que les soldats dans les tranchées étaient avant tout des hommes et certains, des artistes. Ils pourront ainsi contempler leurs objets artisanaux. La sculpture de Saint-Jean-Baptiste sera dévoilée et l'histoire de l'offensive sanglante du Chemin des Dames et de ses 300 000 morts sera contée. Des lampes juchées sur des pics rappelleront aux visiteurs les heures noires de cette guerre et le sacrifice des tirailleurs sénégalais. Pour les couche-tard, des visites guidées d'1 h 30 de la caverne auront lieu à 23 heures et 23 h 30.
« Avec l'ouverture de nos portes pour la Nuit européenne des musées, nous avons souhaité rendre cette exposition accessible au plus grand nombre », précise Annaëlle Viard-Crétat, responsable des services des publics. L'exposition coproduite avec la bibliothèque départementale de l'Aisne est à découvrir jusqu'au 16 décembre.
De con côté, le musée d'Art et d'archéologie de Laon accueillera le public autour de contes et de musique en relation avec les œuvres d'art des différentes salles. Les artistes déambuleront en même temps que le public, et découvriront le musée au fur et à mesure.
En Europe, la Nuit des musées est l'occasion de découvrir près de 3 000 sites dont 1 300 en France. Sons et lumières, concerts et spectacles, la soirée s'annonce d'ores et déjà festive.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/musique-crepusculaire-a-la-caverne-du-dragon?mobile=mobile
Défense. Déploiement de forces dans le ciel breton
D'importantes forces aéronavales se déploieront la semaine prochaine dans le ciel breton, dans le cadre d'un exercice conjoint avec la Suisse et la Grande-Bretagne.
La base d'aéronautique navale de Landivisiau accueillera du 21 au 31 mai l'entraînement opérationnel "Air Defense Week" regroupant des forces françaises, suisses et britanniques. Il s'agit du premier entraînement de ce type depuis 2008.
Objectif, confronter les différentes tactiques mises en œuvre et développer la capacité des différentes composantes terrestres, aériennes et maritimes françaises à opérer conjointement.
Pour préserver l'environnement autour de la base, explique la Marine, les entraînement se situeront principalement au-dessus de la mer.
D'importantes forces seront mobilisées : la frégate antiaérienne Cassard, 12 Super-Etendard, 12 Rafale Marine et plusieurs autres de l'Armée de l'Air, un Hawkeye, des Mirage, des avions de patrouille maritime ATL2, deux détachements d'artillerie parachutiste, un d'artillerie de Marine…
La Suisse mettra en œuvre sept chasseurs F18 et la Grande-Bretagne deux hélicoptères Seaking et sa frégate de défense antiaérienne HMS Diamond.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/bretagne/defense-deploiement-de-forces-dans-le-ciel-breton-17-05-2013-2105859.php
La base d'aéronautique navale de Landivisiau accueillera du 21 au 31 mai l'entraînement opérationnel "Air Defense Week" regroupant des forces françaises, suisses et britanniques. Il s'agit du premier entraînement de ce type depuis 2008.
Objectif, confronter les différentes tactiques mises en œuvre et développer la capacité des différentes composantes terrestres, aériennes et maritimes françaises à opérer conjointement.
Pour préserver l'environnement autour de la base, explique la Marine, les entraînement se situeront principalement au-dessus de la mer.
D'importantes forces seront mobilisées : la frégate antiaérienne Cassard, 12 Super-Etendard, 12 Rafale Marine et plusieurs autres de l'Armée de l'Air, un Hawkeye, des Mirage, des avions de patrouille maritime ATL2, deux détachements d'artillerie parachutiste, un d'artillerie de Marine…
La Suisse mettra en œuvre sept chasseurs F18 et la Grande-Bretagne deux hélicoptères Seaking et sa frégate de défense antiaérienne HMS Diamond.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/bretagne/defense-deploiement-de-forces-dans-le-ciel-breton-17-05-2013-2105859.php
vendredi 17 mai 2013
Des « Rafale » prennent un avion de tourisme en chasse
Mercredi vers 17 h, Richard Velten a été témoin d’une drôle de scène depuis la fenêtre de sa cuisine, à son domicile de Plobsheim.
Il raconte : « Il y avait deux avions de chasse qui poursuivaient un bimoteur. On aurait dit qu’ils voulaient le faire atterrir. Ça a duré un quart d’heure, sans exagérer. Tous les murs tremblaient. C’était digne d’un film ! »
Repéré sur un radar alors qu’il survolait la zone interdite proche de la centrale nucléaire de Fessenheim, le pilote de l’avion léger TB 9 a été contacté par la police du ciel sur une fréquence de secours à laquelle il n’était pas connecté. Une omission qui constitue à elle seule une infraction. La deuxième.
Lorsqu’il a à nouveau survolé cette même zone interdite, troisième infraction, deux avions Rafale appartenant à une patrouille de Saint-Dizier qui étaient en entraînement à proximité ont rejoint l’engin qui survolait alors Plobsheim pour procéder à son identification visuelle et radio.
L’avion a finalement atterri à Entzheim. Son pilote, rattaché à un aérodrome de la région, aura maintenant affaire à la justice.
Le survol volontaire par le pilote d’un aéronef d’une zone interdite est en effet passible de 45 000 euros d’amende, d’une interdiction de piloter pendant trois ans et d’un an de prison. Six mois s’il s’agit d’une simple négligence.
http://www.dna.fr/faits-divers/2013/05/17/c-etait-digne-d-un-film
Il raconte : « Il y avait deux avions de chasse qui poursuivaient un bimoteur. On aurait dit qu’ils voulaient le faire atterrir. Ça a duré un quart d’heure, sans exagérer. Tous les murs tremblaient. C’était digne d’un film ! »
Survol de la centrale de Fessenheim
L’affaire, bien qu’originale, ne tient absolument pas de la fiction. Il s’agit en réalité d’une opération de la police du ciel auprès d’un pilote qui a accumulé les infractions au code de l’aviation civile.Repéré sur un radar alors qu’il survolait la zone interdite proche de la centrale nucléaire de Fessenheim, le pilote de l’avion léger TB 9 a été contacté par la police du ciel sur une fréquence de secours à laquelle il n’était pas connecté. Une omission qui constitue à elle seule une infraction. La deuxième.
Lorsqu’il a à nouveau survolé cette même zone interdite, troisième infraction, deux avions Rafale appartenant à une patrouille de Saint-Dizier qui étaient en entraînement à proximité ont rejoint l’engin qui survolait alors Plobsheim pour procéder à son identification visuelle et radio.
L’avion a finalement atterri à Entzheim. Son pilote, rattaché à un aérodrome de la région, aura maintenant affaire à la justice.
Le survol volontaire par le pilote d’un aéronef d’une zone interdite est en effet passible de 45 000 euros d’amende, d’une interdiction de piloter pendant trois ans et d’un an de prison. Six mois s’il s’agit d’une simple négligence.
http://www.dna.fr/faits-divers/2013/05/17/c-etait-digne-d-un-film
jeudi 16 mai 2013
Un bâtiment du 40e RA à moitié détruit par le feu
L'incendie n'a pas fait de victimes, mais les dégâts matériels sont importants.
Un appareil électrique serait à l'origine du feu. Hier peu après midi, un militaire du 40e régiment d'artillerie aurait aperçu hier de la fumée se dégager dans sa chambre. Il aurait eu le réflexe d'ouvrir la fenêtre, ce qui a eu pour conséquence d'attiser les flammes. Le brasier s'est rapidement propagé aux combles du grand bâtiment, dans l'enceinte du camp militaire où se trouve le régiment, à Suippes.
Au moins quatre chambres de la batterie installée dans cette aile ont été détruites. Les pompiers estimaient à la fin de leur opération que des bureaux aménagés au rez-de-chaussée pourraient également avoir été endommagés.
Grandes échelles
La toiture, dont les poutres ont brûlé, a été largement ouverte par les flammes. De nombreuses tuiles sont tombées autour de l'édifice au cours de l'opération d'extinction.
Les pompiers, venus en grand nombre des principaux centres de secours marnais, ont dû utiliser plusieurs grandes échelles afin de venir à bout du sinistre. Les effectifs déployés étaient importants. Il faut dire que l'alerte initiale précisait que des blessés pouvaient se trouver parmi les militaires du régiment. Mais les responsables du 40e RA ont rapidement eu la certitude qu'aucune victime n'était à déplorer après avoir procédé à un appel des soldats.
Ce sinistre est survenu au moment où l'armée de terre s'apprête à subir de nouvelles restrictions budgétaires, soulignait un officier présent. Les bâtiments inspectés se sont toutefois révélés en bon état, la réfection des locaux étant réalisée de façon continue.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-batiment-du-40e-ra-a-moitie-detruit-par-le-feu
Un appareil électrique serait à l'origine du feu. Hier peu après midi, un militaire du 40e régiment d'artillerie aurait aperçu hier de la fumée se dégager dans sa chambre. Il aurait eu le réflexe d'ouvrir la fenêtre, ce qui a eu pour conséquence d'attiser les flammes. Le brasier s'est rapidement propagé aux combles du grand bâtiment, dans l'enceinte du camp militaire où se trouve le régiment, à Suippes.
Au moins quatre chambres de la batterie installée dans cette aile ont été détruites. Les pompiers estimaient à la fin de leur opération que des bureaux aménagés au rez-de-chaussée pourraient également avoir été endommagés.
Grandes échelles
La toiture, dont les poutres ont brûlé, a été largement ouverte par les flammes. De nombreuses tuiles sont tombées autour de l'édifice au cours de l'opération d'extinction.
Les pompiers, venus en grand nombre des principaux centres de secours marnais, ont dû utiliser plusieurs grandes échelles afin de venir à bout du sinistre. Les effectifs déployés étaient importants. Il faut dire que l'alerte initiale précisait que des blessés pouvaient se trouver parmi les militaires du régiment. Mais les responsables du 40e RA ont rapidement eu la certitude qu'aucune victime n'était à déplorer après avoir procédé à un appel des soldats.
Ce sinistre est survenu au moment où l'armée de terre s'apprête à subir de nouvelles restrictions budgétaires, soulignait un officier présent. Les bâtiments inspectés se sont toutefois révélés en bon état, la réfection des locaux étant réalisée de façon continue.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-batiment-du-40e-ra-a-moitie-detruit-par-le-feu
mercredi 15 mai 2013
Un véhicule blindé fait 2 tonneaux lors de manœuvres, 7 militaires blessés
Sept militaires ont été légèrement blessés mercredi lors d’un accident d’un véhicule de l’avant blindé (VAB) de l’armée pendant des manœuvres près de Mende (Lozère).
Les sept militaires sont des élèves de la division d’application de l’infanterie de l’école militaire de Draguignan, qui effectue des manœuvres «sur terrain libre» en Lozère. Le plus sérieusement atteint a une jambe cassée.
Les sept hommes, correctement équipés et attachés, se trouvaient à bord du véhicule qui empruntait un chemin avec un fort dévers rendu très glissant par les pluies importantes des derniers jours, sur le lieu-dit Pierrefiche-de-Barjac.
Le véhicule, légèrement endommagé, doit être dégagé à l’aide d’un moyen spécialisé en provenance du 4e régiment du matériel à Nîmes.
Malgré l’accident, les exercices doivent se poursuivre dans les jours qui viennent.
http://www.bienpublic.com/actualite/2013/05/15/un-vehicule-blinde-fait-2-tonneaux-lors-de-manoeuvres-7-militaires-blesses
Les sept militaires sont des élèves de la division d’application de l’infanterie de l’école militaire de Draguignan, qui effectue des manœuvres «sur terrain libre» en Lozère. Le plus sérieusement atteint a une jambe cassée.
Les sept hommes, correctement équipés et attachés, se trouvaient à bord du véhicule qui empruntait un chemin avec un fort dévers rendu très glissant par les pluies importantes des derniers jours, sur le lieu-dit Pierrefiche-de-Barjac.
Le véhicule, légèrement endommagé, doit être dégagé à l’aide d’un moyen spécialisé en provenance du 4e régiment du matériel à Nîmes.
Malgré l’accident, les exercices doivent se poursuivre dans les jours qui viennent.
http://www.bienpublic.com/actualite/2013/05/15/un-vehicule-blinde-fait-2-tonneaux-lors-de-manoeuvres-7-militaires-blesses
mardi 14 mai 2013
lundi 13 mai 2013
dimanche 12 mai 2013
Tarbes. Le marathon partira et arrivera du 35e RAP
«C'est un lieu enchanteur, mythique, très apprécié par les Tarbais.» Président de la compagnie des Tarbathoniens, coorganisatrice du marathon avec la municipalité, Jean Vivez ne tarit pas d'éloges sur le 35e RAP.
«Lors de la première Tarbalade que nous avons organisée dimanche 7 avril, sa traversée a été très appréciée.» Alors, pour la première fois, le régiment militaire tarbais accueillera le départ et l'arrivée du marathon. «Le 35e est par définition un régiment sportif qui a le goût de l'effort, fidèle à sa devise «droit devant».
De plus, il a la volonté de se fondre dans la vie tarbaise, explique le lieutenant-colonel Patrick Corberan, commandant en second du régiment.
L'accueil du marathon s'inscrit dans les journées «Portes ouvertes» du régiment qui s'inscrivent elles-mêmes dans les fêtes de la ville de Tarbes.» Non seulement le régiment prendra part à l'organisation de la manifestation mais, en plus, il inscrira de nombreux participants.
«Au moins 150», précise le lieutenant-colonel Patrick Corberan.
Jean Vivez a ajouté que la manifestation serait animée par des orchestres et des bandas au départ, à l'arrivée et au niveau du ravitaillement de la place de la mairie.
La sécurisation de l'épreuve sera assurée en partie par l'association Bagnères Assistance. Par ailleurs, une société professionnelle a été sollicitée pour donner le chronométrage précis aux participants dès leur arrivée.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/12/1624342-tarbes-le-marathon-partira-et-arrivera-du-35e-rap.html
«Lors de la première Tarbalade que nous avons organisée dimanche 7 avril, sa traversée a été très appréciée.» Alors, pour la première fois, le régiment militaire tarbais accueillera le départ et l'arrivée du marathon. «Le 35e est par définition un régiment sportif qui a le goût de l'effort, fidèle à sa devise «droit devant».
De plus, il a la volonté de se fondre dans la vie tarbaise, explique le lieutenant-colonel Patrick Corberan, commandant en second du régiment.
L'accueil du marathon s'inscrit dans les journées «Portes ouvertes» du régiment qui s'inscrivent elles-mêmes dans les fêtes de la ville de Tarbes.» Non seulement le régiment prendra part à l'organisation de la manifestation mais, en plus, il inscrira de nombreux participants.
«Au moins 150», précise le lieutenant-colonel Patrick Corberan.
Jean Vivez a ajouté que la manifestation serait animée par des orchestres et des bandas au départ, à l'arrivée et au niveau du ravitaillement de la place de la mairie.
La sécurisation de l'épreuve sera assurée en partie par l'association Bagnères Assistance. Par ailleurs, une société professionnelle a été sollicitée pour donner le chronométrage précis aux participants dès leur arrivée.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/12/1624342-tarbes-le-marathon-partira-et-arrivera-du-35e-rap.html
samedi 11 mai 2013
Disparu du Riolan: un corps retrouvé dans la clue
Un corps a été retrouvé ce vendredi midi dans la clue du Riolan, sur la commune de Sigale.
Si seul un examen médico-légal pourra permettre de l'identifier avec certitude, il est vraisemblable qu'il s'agisse là de la dépouille de Cyril Aubert, victime d'un accident de canyoning dans cette clue le 28 avril dernier.
D'importants moyens ont été engagés afin de retrouver ce Niçois de 28 ans, policier national en poste à Cannes. Les efforts conjoints des gendarmes du PGHM et du GMG, des sapeurs-pompiers du GRIMP et des CRS qui l'ont retrouvé, ont abouti à cette découverte, plusieurs centaines de mètres en aval du lieu de l'accident.
http://www.nicematin.com/nice/disparu-du-riolan-un-corps-retrouve-dans-la-clue.1253175.html
Si seul un examen médico-légal pourra permettre de l'identifier avec certitude, il est vraisemblable qu'il s'agisse là de la dépouille de Cyril Aubert, victime d'un accident de canyoning dans cette clue le 28 avril dernier.
D'importants moyens ont été engagés afin de retrouver ce Niçois de 28 ans, policier national en poste à Cannes. Les efforts conjoints des gendarmes du PGHM et du GMG, des sapeurs-pompiers du GRIMP et des CRS qui l'ont retrouvé, ont abouti à cette découverte, plusieurs centaines de mètres en aval du lieu de l'accident.
http://www.nicematin.com/nice/disparu-du-riolan-un-corps-retrouve-dans-la-clue.1253175.html
Dépôt pétrolier à défendre
Il ne le cache pas et le dit sans ostentation et le sourire aux lèvres. Chaque fois qu’il revient sur le terrain d’un exercice avec d’autres réservistes, Jean-Luc Wenziger retrouve « le plaisir de servir la France, de participer à sa défense ». Lui qui est chef d’équipe de sécurité et incendie dans un hypermarché et caporal de réserve du 152e RI de Colmar, ajoute : « Oui, tout cela a un sens patriotique ». Jean-Luc Wenziger et soixante-cinq hommes et femmes appartenant aux compagnies de réserve de sept régiments de la 7e brigade blindée de Besançon, prennent actuellement part à l’exercice d’alerte baptisé « Lynx » sur le territoire de la commune de Gennes. Tous et toutes sont d’âges divers, de 18 à la soixantaine, et de professions totalement différentes. Tous et toutes sont des réservistes provenant du 19e RG de Besançon, du 35e RI de Belfort, du 1er RA de Bourogne, du 1er RCH de Verdun, du 152e RI de Colmar, du 4e RD de Carpiagne, du 54e RA d’Hyères. Eux qui s’entraînent tout au long de l’année comme des soldats d’active, ont revêtu l’uniforme et retrouvé les équipements militaires.
« Cet exercice d’alerte réserve se déroule à Gennes autour du dépôt pétrolier. Le but est de valider la capacité de la 7e brigade blindée à engager une compagnie de réservistes dans des conditions réelles d’alerte sous un préavis de 48 heures. Cette mission de sécurité générale est destinée à défendre un site d’intérêt général qui a une importance vitale. Ce site de Gennes se trouve sur la jonction du pipeline sud-européen avec la Suisse. Un attentat terroriste aurait de graves conséquences écologiques et économiques », rapporte le colonel de réserve Jacques Pivard, responsable du montage de l’opération.
http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/05/11/depot-petrolier-a-defendre
« Cet exercice d’alerte réserve se déroule à Gennes autour du dépôt pétrolier. Le but est de valider la capacité de la 7e brigade blindée à engager une compagnie de réservistes dans des conditions réelles d’alerte sous un préavis de 48 heures. Cette mission de sécurité générale est destinée à défendre un site d’intérêt général qui a une importance vitale. Ce site de Gennes se trouve sur la jonction du pipeline sud-européen avec la Suisse. Un attentat terroriste aurait de graves conséquences écologiques et économiques », rapporte le colonel de réserve Jacques Pivard, responsable du montage de l’opération.
Soldats et « agitateurs »
Selon un scénario préparé à l’avance et comprenant plusieurs incidents, les réservistes se sont répartis en plusieurs groupes. Les uns endossant le rôle des soldats d’active, les autres en civil jouant des manifestants tentant de s’introduire dans le site classé. Criant, grimpant aux hautes grilles de protection du site, ces derniers ont peu à peu été pris en tenaille par deux groupes de soldats après divers mouvements de repli, de contournement et de reprise de l’attaque. Au final, des « agitateurs » sont parvenus à fuir mais cinq d’entre eux ont été coincés. Leur interrogatoire d’identité a été fait par des gendarmes, présence d’un officier de police judiciaire oblige. Le tout a été suivi et pris en photo par séquences par le lieutenant Nicolas Querci, officier de communication. Si l’exercice d’alerte ressemble à un jeu de rôles grandeur nature, les uns et les autres savent les règles de l’engagement à respecter et dans les limites de la partie du scénario qui leur est dévolue. « Tout est dans les limites de l’intervention. Il arrive un moment où on peut être dans le cadre de la légitime défense si l’agression atteint des limites mais les participants sont tous formés et entraînés », précise le colonel Pivard. Le maire de Gennes, Mme Maryse Millet, a salué hier les participants à l’exercice qui s’est déroulé à l’écart de sa commune, dans la forêt jouxtant le dépôt pétrolier.http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/05/11/depot-petrolier-a-defendre
vendredi 10 mai 2013
jeudi 9 mai 2013
mercredi 8 mai 2013
mardi 7 mai 2013
Cérémonie d’hommage national au sergent Stéphane Duval
Monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a présidé à cette cérémonie, au côté du général d’armée Bertrand Ract Madoux, chef d’État-major de l’armée de Terre (CEMAT).
Civils et militaires ont rendu un dernier hommage au sergent Stéphane Duval, décédé lors de l’explosion de son véhicule au Nord-Est du Mali, pendant une opération de reconnaissance et de fouille conduite par les forces spéciales contre les groupes terroristes.
Promu au grade supérieur à titre posthume, le sergent Stéphane Duval a été fait chevalier de la Légion d’honneur par le ministre au cours de cet hommage. Le CEMAT lui avait auparavant remis une citation comportant l’attribution de la croix de la valeur militaire avec palme de bronze ainsi que la médaille militaire.
« Aujourd’hui, au nom du président de la République, je m’incline avec respect devant la douleur qui pèse dans le cœur de votre famille, de vos frères d’armes. Mais dans la gravité de cette cérémonie, j’entends aussi la fierté de tous devant l’exemple de votre dévouement et de votre bravoure.
Cette fierté, je la partage, car ce sont ces qualités, les vôtres, celles d’un engagement déterminé, qui ont permis d’inverser le rapport de force que nous connaissions au Mali. Par votre action, nous avons fait changer la peur de camp. Et ce sont ces mêmes qualités qui continuent d’inspirer l’engagement de vos camarades, qui sont déterminés à mener à bien la dernière mission dans laquelle vous vous êtes illustré. (…)
En cet instant, mes pensées vont à vos proches, et spécialement à votre épouse, ainsi qu’à vos deux enfants. Ils grandiront dans l’amour d’un père absent et, au-delà du deuil, dans la fierté de l’exemple que vous offrez à tous. Cette lumière ne s’éteindra jamais.
À plusieurs milliers de kilomètres du théâtre où vos frères d’armes poursuivent pour quelques temps encore une mission difficile mais essentielle, vous entrez aujourd’hui dans le cœur des Français, qui sont fiers de leurs soldats (…) », a déclaré monsieur Jean-Yves Le Drian.
L’armée de Terre, unie dans la peine, tient à assurer de son soutien sans faille la famille, les proches et les camarades de combat du sergent Duval.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/ceremonie-d-hommage-national-au-sergent-stephane-duval
Civils et militaires ont rendu un dernier hommage au sergent Stéphane Duval, décédé lors de l’explosion de son véhicule au Nord-Est du Mali, pendant une opération de reconnaissance et de fouille conduite par les forces spéciales contre les groupes terroristes.
Promu au grade supérieur à titre posthume, le sergent Stéphane Duval a été fait chevalier de la Légion d’honneur par le ministre au cours de cet hommage. Le CEMAT lui avait auparavant remis une citation comportant l’attribution de la croix de la valeur militaire avec palme de bronze ainsi que la médaille militaire.
« Aujourd’hui, au nom du président de la République, je m’incline avec respect devant la douleur qui pèse dans le cœur de votre famille, de vos frères d’armes. Mais dans la gravité de cette cérémonie, j’entends aussi la fierté de tous devant l’exemple de votre dévouement et de votre bravoure.
Cette fierté, je la partage, car ce sont ces qualités, les vôtres, celles d’un engagement déterminé, qui ont permis d’inverser le rapport de force que nous connaissions au Mali. Par votre action, nous avons fait changer la peur de camp. Et ce sont ces mêmes qualités qui continuent d’inspirer l’engagement de vos camarades, qui sont déterminés à mener à bien la dernière mission dans laquelle vous vous êtes illustré. (…)
En cet instant, mes pensées vont à vos proches, et spécialement à votre épouse, ainsi qu’à vos deux enfants. Ils grandiront dans l’amour d’un père absent et, au-delà du deuil, dans la fierté de l’exemple que vous offrez à tous. Cette lumière ne s’éteindra jamais.
À plusieurs milliers de kilomètres du théâtre où vos frères d’armes poursuivent pour quelques temps encore une mission difficile mais essentielle, vous entrez aujourd’hui dans le cœur des Français, qui sont fiers de leurs soldats (…) », a déclaré monsieur Jean-Yves Le Drian.
L’armée de Terre, unie dans la peine, tient à assurer de son soutien sans faille la famille, les proches et les camarades de combat du sergent Duval.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/ceremonie-d-hommage-national-au-sergent-stephane-duval
lundi 6 mai 2013
dimanche 5 mai 2013
Loudéac. Au cœur d’un exercice militaire des élèves de Saint-Cyr Coëtquidan
Scènes inhabituelles samedi matin, à Loudéac. Les habitants et les passants ont pu apercevoir des militaires, cachés un peu partout dans la ville.
Que tout le monde se rassure, il ne s’agissait que d’un exercice militaire des élèves des écoles inter-armées de Saint-Cyr Coëtquidan. Tous sont déjà des militaires de terrain, certains ont même déjà combattu en Afghanistan.
Cet exercice, qui dure deux semaines, est le support de l’évaluation finale des sous-lieutenants. Parmi les 250 militaires déployés sur le terrain, une centaine est jugée. Les autres sont des renforts du 13e bataillon de chasseurs alpins et du 44e Régiment de transmission.
Pour voir la vidéo cliquez sur ce lien............ http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Loudeac.-Au-cœur-d-un-exercice-militaire-des-eleves-de-Saint-Cyr-Coetquidan_40812-2189421_actu.Htm
Un missile français détruit au large du Finistère lors d'un tir d'essai
Le ministère,
qui ne donne aucune indication sur les raisons de la destruction de ce missile,
souligne qu'il s'agissait d'un tir d'essai et que le missile a été détruit
au-dessus de l'océan.
Comme les précédents tirs d'essai, celui de dimanche l'a été à partir de la baie d'Audierne (Finistère), au sud de la pointe de Penmarc'h. La zone de retombée aurait dû se situer, si l'essai avait été réussi, au centre de l'Atlantique nord, à plusieurs centaines de kilomètres de toute côte.
Les vols de M51 sont habituellement suivis par les moyens techniques de la Direction générale de l'armement de Biscarosse et de Quimper, et par le Monge,
bâtiment d'essais et de mesures chargé du suivi de l'essai au large. Lors de chaque essai, des zones aériennes et maritimes sont réservées temporairement.
Les missiles sont toujours sans charge nucléaire lors des essais.
Un missile
balistique stratégique M51, sans charge nucléaire, lancé dimanche, à partir du
sous-marin nucléaire lanceur d'engin "Le Vigilant", depuis la baie d'Audierne
(Finistère), a été "détruit peu après son décollage, au-dessus de l'océan", a
annoncé le ministère de la Défense, dans un
communiqué.
Le ministère, qui ne donne aucune indication sur les raisons de la destruction de ce missile, souligne qu'il s'agissait d'un tir d'essai et que le missile a été détruit, au-dessus de l'océan, "dans une zone interdite pour la circonstance à la navigation maritime et à la circulation aérienne".
Le ministère, qui ne donne aucune indication sur les raisons de la destruction de ce missile, souligne qu'il s'agissait d'un tir d'essai et que le missile a été détruit, au-dessus de l'océan, "dans une zone interdite pour la circonstance à la navigation maritime et à la circulation aérienne".
Ce tir a été entrepris par la direction générale de l'armement
(DGA) et la Marine nationale. Le missile M51, système d'arme des sous-marins
nucléaires lanceurs d'engin (SNLE), avait été validé en juillet 2010, après un
cinquième tir d'essai (deux depuis le sous-marin nucléaire "Le Terrible" en
janvier puis juillet 2010, et
trois depuis des installations terrestres en 2006, 2007 et 2008).
trois depuis des installations terrestres en 2006, 2007 et 2008).
"J'ai vu dans le ciel une fumée blanche et des gros
débris tomber dans la mer"
Une habitante du
Guilvinec interviewée par France 3 a décrit la scène : "J'ai vu une fumée
blanche et des gros débris dans la mer. J'ai d'abord cru que c'était un avion
qui s'était abimé dans l'océan."
La zone de retombée devait être le centre de
l'Atlantique nord
Comme les précédents tirs d'essai, celui de dimanche l'a été à partir de la baie d'Audierne (Finistère), au sud de la pointe de Penmarc'h. La zone de retombée aurait dû se situer, si l'essai avait été réussi, au centre de l'Atlantique nord, à plusieurs centaines de kilomètres de toute côte.
Les vols de M51 sont habituellement suivis par les moyens techniques de la Direction générale de l'armement de Biscarosse et de Quimper, et par le Monge,
bâtiment d'essais et de mesures chargé du suivi de l'essai au large. Lors de chaque essai, des zones aériennes et maritimes sont réservées temporairement.
Les missiles sont toujours sans charge nucléaire lors des essais.
samedi 4 mai 2013
[Mali] décès du caporal-chef Stéphane Duval
Né le 22 août 1980, le caporal-chef Stéphane DUVAL aura servi la France durant 11 ans.
A 22 ans, il s’engage le 2 avril 2002 au 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa) à Bayonne. A l’issue d’une brillante formation initiale, il réussit son examen d’opérateur des réseaux mobiles spéciaux.
Le 1er juillet 2008, il est affecté au 6e bataillon d’infanterie de marine (6e BIMa) au Gabon durant deux ans et revient servir dans son régiment d’origine, le 1er RPIMa, le 1er juillet 2010.
Le 2 avril 2013, il est promu caporal-chef de 1re classe.
Le caporal-chef DUVAL a effectué de nombreuses missions extérieures au cours desquelles son professionnalisme a été à chaque fois souligné : Gabon en 2004, Guyane en 2007, République de Côte d’Ivoire en 2005 et 2007, Afghanistan en 2003 et 2010 et Burkina Faso en 2011 et 2013.
Le 21 février 2012, le caporal-chef DUVAL reçoit une citation à l’ordre de la division, celle-ci comporte l’attribution de la Croix de la Valeur Militaire avec étoile d’argent.
Déjà engagé au Burkina Faso fin 2011, en qualité d’opérateur radio de la cellule de mise en œuvre tactique, il fait preuve de remarquables qualités militaires pour lesquelles il reçoit une lettre de félicitations.
Il est également décoré de la médaille d’outre-mer avec agrafe « République de Côte d’Ivoire », de la médaille d’argent de la défense nationale avec agrafe « troupes aéroportées » et « missions d’assistance extérieure ».
Le caporal-chef DUVAL était engagé dans le cadre de l’opération SERVAL depuis février 2013.
Il participait à des opérations de forces spéciales dans le Nord-Est du Mali avec, pour objectif, de rechercher et de détruire les groupes terroristes qui s’y trouveraient encore.
Le 29 avril 2013, en début d’après-midi, entre Tin Zaouaten et Boughessa, son véhicule léger a sauté sur un engin explosif, provoquant son décès.
Agé de 33 ans, marié et père de deux enfants, il a été tué dans l’accomplissement de sa mission au service de la France.
L'armée de Terre présente ses condoléances à sa famille, ses proches et ses camarades du 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa).
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/mali-deces-du-caporal-chef-stephane-duval
A 22 ans, il s’engage le 2 avril 2002 au 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa) à Bayonne. A l’issue d’une brillante formation initiale, il réussit son examen d’opérateur des réseaux mobiles spéciaux.
Le 1er juillet 2008, il est affecté au 6e bataillon d’infanterie de marine (6e BIMa) au Gabon durant deux ans et revient servir dans son régiment d’origine, le 1er RPIMa, le 1er juillet 2010.
Le 2 avril 2013, il est promu caporal-chef de 1re classe.
Le caporal-chef DUVAL a effectué de nombreuses missions extérieures au cours desquelles son professionnalisme a été à chaque fois souligné : Gabon en 2004, Guyane en 2007, République de Côte d’Ivoire en 2005 et 2007, Afghanistan en 2003 et 2010 et Burkina Faso en 2011 et 2013.
Le 21 février 2012, le caporal-chef DUVAL reçoit une citation à l’ordre de la division, celle-ci comporte l’attribution de la Croix de la Valeur Militaire avec étoile d’argent.
Déjà engagé au Burkina Faso fin 2011, en qualité d’opérateur radio de la cellule de mise en œuvre tactique, il fait preuve de remarquables qualités militaires pour lesquelles il reçoit une lettre de félicitations.
Il est également décoré de la médaille d’outre-mer avec agrafe « République de Côte d’Ivoire », de la médaille d’argent de la défense nationale avec agrafe « troupes aéroportées » et « missions d’assistance extérieure ».
Le caporal-chef DUVAL était engagé dans le cadre de l’opération SERVAL depuis février 2013.
Il participait à des opérations de forces spéciales dans le Nord-Est du Mali avec, pour objectif, de rechercher et de détruire les groupes terroristes qui s’y trouveraient encore.
Le 29 avril 2013, en début d’après-midi, entre Tin Zaouaten et Boughessa, son véhicule léger a sauté sur un engin explosif, provoquant son décès.
Agé de 33 ans, marié et père de deux enfants, il a été tué dans l’accomplissement de sa mission au service de la France.
L'armée de Terre présente ses condoléances à sa famille, ses proches et ses camarades du 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa).
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/mali-deces-du-caporal-chef-stephane-duval