Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
lundi 30 avril 2012
dimanche 29 avril 2012
Le Bleuet de France part en campagne
La première association d’action sociale du monde combattant, le Bleuet de
France, créée dès la fin de la première guerre mondiale, démarre sa campagne
nationale.
Du 2 au 8 mai 2012, les nombreux bénévoles vont organiser des campagnes d’appel à la générosité. Avec près de 1,2 million d’euros collectés chaque année en faveur des victimes de guerre, des anciens combattants et des victimes d’attentats (depuis 1991), le Bleuet de France vient en aide à plus de 18 000 personnes.
Les sommes récoltées vont servir à créer des aides au maintien à domicile, à l’amélioration des conditions de vie en maison de retraite des personnes âgées. Elles vont aussi être utilisées pour les financements d’études des pupilles de la Nation ou encore pour aménager des domiciles ou des véhicules pour les invalides de guerre.
>>> Retrouvez plus d'informations sur cette campagne sur le site de l' association le Bleuet de France
Du 2 au 8 mai 2012, les nombreux bénévoles vont organiser des campagnes d’appel à la générosité. Avec près de 1,2 million d’euros collectés chaque année en faveur des victimes de guerre, des anciens combattants et des victimes d’attentats (depuis 1991), le Bleuet de France vient en aide à plus de 18 000 personnes.
Les sommes récoltées vont servir à créer des aides au maintien à domicile, à l’amélioration des conditions de vie en maison de retraite des personnes âgées. Elles vont aussi être utilisées pour les financements d’études des pupilles de la Nation ou encore pour aménager des domiciles ou des véhicules pour les invalides de guerre.
>>> Retrouvez plus d'informations sur cette campagne sur le site de l' association le Bleuet de France
samedi 28 avril 2012
vendredi 27 avril 2012
Camerone 2012, 149e anniversaire pour la Légion étrangère
Le 30 avril 2012, à Aubagne, la Légion étrangère célèbrera le
149eanniversaire de la bataille de Camerone en 1863. Devenu la fête
traditionnelle de la Légion, ce jour anniversaire rassemble toutes les unités,
où qu’elles soient, pour assister à la lecture du récit du combat« Ils furent ici moins de soixante, opposés à toute une armée. Sa masse
les écrasa. La vie, plutôt que le courage, abandonna ces soldats français à
Camerone le 30 avril 1863 ». Telle est l’inscription qui figure sur le
monument commémoratif de la bataille de Camerone, dressé sur le lieu même de
celle-ci. La bataille de Camerone, épisode de l’expédition du Mexique,
décidée en 1831 par Napoléon III, est réellement le fait d’armes fondateur de la
Légion étrangère, créée en 1831 par Louis-Philippe.
Chaque 30 avril, le souvenir de cette bataille est célébré par toutes les unités et amicales de la Légion étrangère. A Aubagne, la cérémonie de Camerone sera présidée par Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, en présence de Marc Laffineur, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense. Seront également présents l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées, le général d’armée Bertrand Ract-Madoux, chef d’état-major de l’armée de Terre, et le général de brigade Christophe de Saint Chamas, commandant la Légion étrangère,
Cette cérémonie sera également l’occasion de célébrer le 70e
anniversaire de la bataille de Bir Hakeim (26 mai – 11 juin 1942). Celle-ci a en
effet été menée par des unités françaises libres et, en particulier, la
13e demi-brigade de la Légion étrangère.
Aujourd’hui, la Légion étrangère compte 7 300 hommes répartis en 10 régiments, en Métropole comme en Outre-mer. Elle reçoit plus de 10 000 candidats par an en moyenne. Parmi eux, moins d’un millier devient effectivement légionnaire.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/camerone-2012
Chaque 30 avril, le souvenir de cette bataille est célébré par toutes les unités et amicales de la Légion étrangère. A Aubagne, la cérémonie de Camerone sera présidée par Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, en présence de Marc Laffineur, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense. Seront également présents l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées, le général d’armée Bertrand Ract-Madoux, chef d’état-major de l’armée de Terre, et le général de brigade Christophe de Saint Chamas, commandant la Légion étrangère,
Aujourd’hui, la Légion étrangère compte 7 300 hommes répartis en 10 régiments, en Métropole comme en Outre-mer. Elle reçoit plus de 10 000 candidats par an en moyenne. Parmi eux, moins d’un millier devient effectivement légionnaire.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/camerone-2012
jeudi 26 avril 2012
mercredi 25 avril 2012
132e BCAT/ Décès du chien Fitas
Il était l'une des figures du 132e bataillon cynophile de l'armée de terre (BCAT) basé à Suippes. Le chien Fitas, un malinois qui s'était distingué en opération en Afghanistan en déjouant une embuscade insurgée dans la province de Kapisa alors qu'il ouvrait la route à un groupe de combat, est décédé.
S'il était parvenu à détecter une quinzaine de talibans planqués dans une habitation, il avait été capturé au cours de cet accrochage. Disparu pendant quatre mois, il était parvenu à s'échapper et avait été retrouvé le 20 août 2011.
Affaibli et blessé à une patte, il avait été soigné et le général Bertrand Ract-Madoux, chef d'état-major de l'armée de terre, lui avait attribué une citation et l'avait décoré de la médaille d'or de la Défense nationale avec étoile d'argent.
Malheureusement l'animal, que son maître voulait adopter à sa mise à la retraite, est décédé d'une maladie contractée lors de sa captivité. Dans ce régiment plus qu'ailleurs, on sait ce qu'un chien bien dressé peut apporter en service commandé. On sait aussi le nombre de vies que Fitas et ses frères d'armes ont sauvées, aussi doit-on comprendre que sa disparition est vécue comme la perte d'un soldat.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/132e-bcat-deces-du-chien-fitas
S'il était parvenu à détecter une quinzaine de talibans planqués dans une habitation, il avait été capturé au cours de cet accrochage. Disparu pendant quatre mois, il était parvenu à s'échapper et avait été retrouvé le 20 août 2011.
Affaibli et blessé à une patte, il avait été soigné et le général Bertrand Ract-Madoux, chef d'état-major de l'armée de terre, lui avait attribué une citation et l'avait décoré de la médaille d'or de la Défense nationale avec étoile d'argent.
Malheureusement l'animal, que son maître voulait adopter à sa mise à la retraite, est décédé d'une maladie contractée lors de sa captivité. Dans ce régiment plus qu'ailleurs, on sait ce qu'un chien bien dressé peut apporter en service commandé. On sait aussi le nombre de vies que Fitas et ses frères d'armes ont sauvées, aussi doit-on comprendre que sa disparition est vécue comme la perte d'un soldat.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/132e-bcat-deces-du-chien-fitas
Gulf 2012 : le dispositif sol-air franco-émirien est paré
L’exercice Gulf 2012 a débuté le 15 avril
dernier aux Émirats Arabes Unis (EAU). Dans ce cadre, le détachement de défense
sol-air de Saint Dizier (base aérienne 113), sous les ordres du commandant
Thierry Gachot, est installé sur un camp militaire dans le désert émirien.
Soldats français et émiriens travaillent en collaboration sur différents
matériels comme le système d’armes trépied Mistral émirien (6 postes de 2
missiles montés sur Hummer) et le Crotale nouvelle génération
français (8 missiles par système d’armes à courte portée).
Comme l’explique le capitaine Cédric Muller, chef des
opérations sur l’exercice « le détachement de défense sol-air a été déployé
pour valider le rôle de cette composante dans le cadre de l’accord en matière de
Défense qui a été conclu entre les EAU et la France. Sur Gulf 2012, notre
mission commune est de protéger un aéroport militaire […]. Nous le faisons au
sein d’une cellule tactique binationale qui nous permet d’échanger les
situations aériennes et de préparer l’engagement du feu coordonné des deux
nations ».
Chaque Français agit en duo avec un militaire émirien
afin d’échanger leur savoir-faire dans le domaine militaire mais également
partager leur culture réciproque. La coopération entre les deux armées permet
ainsi de renforcer l’interopérabilité à tous les niveaux (postes de commandement
et unités subordonnées) et d’améliorer les capacités opérationnelles de
chacun.
Le capitaine qui commande la compagnie Mistral
de l’armée émirienne, opère avec les soldats français pour la première fois :
« c’est très intéressant de partager nos différentes manières de travailler.
La coopération se fait naturellement. L’exercice se déroulant en anglais, la
barrière de la langue n’existe pas et tout se déroule très bien ! »
Cet entraînement bilatéral sur le terrain montera en
puissance jusqu’au 28 avril, date à laquelle débutera la phase tactique.
Gulf 2012 s’achèvera le 3 mai quand les composantes terrestres, aériennes
et maritimes effectueront des démonstrations en présence de hautes autorités
civiles et militaires des deux pays.
Un site dédié à toute la famille
Le site « Familles » du ministère de la Défense est un site complet,
pratique, utile et comme son nom l'indique destiné aux familles de
militaires, mais pas seulement.
Retrouvez des informations sur des associations consacrées aux familles et aux femmes de militaires, aux retraités et aux civils. Mais également les amicales et la fédération des clubs de la Défense. Les contacts des cellules d' aide à la famille et aux blessés sont aussi disponibles.
Les différentes rubriques du site sont de réels atouts pour les proches de militaires. « Mission à l'étranger » permet aux familles de se tenir au courant des actualités qui les concernent dans les pays où se trouve l'armée française.
« Vie quotidienne » facilite les démarches administratives et répond aux questions concernant le logement ou encore les enfants.
Envie de se divertir ? Avec « Loisirs et vacances », retrouvez une sélection de bons plans pour assister à des concerts, des spectacles humoristiques, des manifestations sportives ou pour satisfaire vos envies d'évasion.
Enfin, feuilletez le magazine BuS, le bulletin d' information sociale de la Défense de la société générale d' administration (SGA).
>>> Visitez le site « Familles » du ministère de la Défense
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/un-site-dedie-a-toute-la-famille
Retrouvez des informations sur des associations consacrées aux familles et aux femmes de militaires, aux retraités et aux civils. Mais également les amicales et la fédération des clubs de la Défense. Les contacts des cellules d' aide à la famille et aux blessés sont aussi disponibles.
Les différentes rubriques du site sont de réels atouts pour les proches de militaires. « Mission à l'étranger » permet aux familles de se tenir au courant des actualités qui les concernent dans les pays où se trouve l'armée française.
« Vie quotidienne » facilite les démarches administratives et répond aux questions concernant le logement ou encore les enfants.
Envie de se divertir ? Avec « Loisirs et vacances », retrouvez une sélection de bons plans pour assister à des concerts, des spectacles humoristiques, des manifestations sportives ou pour satisfaire vos envies d'évasion.
Enfin, feuilletez le magazine BuS, le bulletin d' information sociale de la Défense de la société générale d' administration (SGA).
>>> Visitez le site « Familles » du ministère de la Défense
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/un-site-dedie-a-toute-la-famille
mardi 24 avril 2012
lundi 23 avril 2012
Le ministère en plaquette
Le ministère de la Défense et des Anciens
combattants rend hommage au travail de ces civils et militaires qui s’engagent
au service de la France. Elle témoigne ainsi de leur professionnalisme, reflète
leur diversité, tout en présentant un outil de défense
modernisé.
Rendre hommage aux hommes et femmes de la Défense en
présentant leurs missions et l’organisation du ministère. C’est ce que fait le
ministère de la Défense et des Anciens combattants grâce à une plaquette
présentant des sujets aussi variés que : la politique de défense de la France,
l’engagement militaire à l’étranger, la diversité des métiers, le devoir de
mémoire, etc.
Voir la plaquette…http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/le-ministere-en-plaquette
dimanche 22 avril 2012
Le général Palasset de retour d'Afghanistan
Sur le camp de Nijrab en Afghanistan, le général Jean-Pierre Palasset, commandant la 1re brigade mécanisée de Châlons-en-Champagne et commandant la brigade La Fayette, a remis son commandement au général de brigade Éric Hautecloque-Raysz.
Cette cérémonie a été présidée par le major-général Dan Allyn, commandant le commandement régional Est et en présence du général américain John Allen, commandant la Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS). L'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet, et le général de corps d'armée de Bavinchove, chef d'état-major de la FIAS et représentant national de la France en Afghanistan ainsi que le général Abdullah, commandant le 201e corps de l'armée nationale afghane, participaient à cette prise d'armes.
Le général Palasset s'est adressé aux soldats du 5e mandat de la brigade La Fayette et a exprimé sa fierté « devant l'engagement noble et efficace de chacun d'entre eux ». Il a aussi insisté sur l'expertise acquise par la 3e brigade de l'armée nationale afghane C'est elle qui conduit désormais les opérations de grande ampleur, les Français n'intervenant plus qu'en appui. Le général Palasset a également rendu un vibrant hommage aux soldats morts pour la France.
À la fin de la cérémonie, le général Hautecloque-Raysz a reçu des mains du général Allen, le fanion du 6e mandat de la brigade La Fayette. L'unité continuera d'appuyer les forces afghanes en Surobi et en Kapisa dans le cadre des procédures de transition.
Cette cérémonie a été présidée par le major-général Dan Allyn, commandant le commandement régional Est et en présence du général américain John Allen, commandant la Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS). L'ambassadeur de France en Afghanistan, Bernard Bajolet, et le général de corps d'armée de Bavinchove, chef d'état-major de la FIAS et représentant national de la France en Afghanistan ainsi que le général Abdullah, commandant le 201e corps de l'armée nationale afghane, participaient à cette prise d'armes.
Le général Palasset s'est adressé aux soldats du 5e mandat de la brigade La Fayette et a exprimé sa fierté « devant l'engagement noble et efficace de chacun d'entre eux ». Il a aussi insisté sur l'expertise acquise par la 3e brigade de l'armée nationale afghane C'est elle qui conduit désormais les opérations de grande ampleur, les Français n'intervenant plus qu'en appui. Le général Palasset a également rendu un vibrant hommage aux soldats morts pour la France.
À la fin de la cérémonie, le général Hautecloque-Raysz a reçu des mains du général Allen, le fanion du 6e mandat de la brigade La Fayette. L'unité continuera d'appuyer les forces afghanes en Surobi et en Kapisa dans le cadre des procédures de transition.
samedi 21 avril 2012
vendredi 20 avril 2012
François Hollande veut envoyer des soldats en Syrie
Le candidat PS à l'Élysée, François Hollande, a affirmé vendredi que, s'il était élu et si une intervention militaire en Syrie était décidée par l'ONU, la France "y participerait". "Si elle se fait dans le cadre de l'ONU, nous participerons à cette intervention", a déclaré François Hollande sur Europe 1 interrogé sur une éventuelle intervention militaire de l'ONU en Syrie pour "protéger les civils".
La France a plaidé jeudi, lors d'une réunion de représentants d'une douzaine de pays à Paris, pour un renforcement de la mission d'observateurs en Syrie, qui doit disposer de "moyens terrestres et aériens" et a imputé au régime de Bachar el-Assad les violations du plan Annan. Lors de cette réunion, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a estimé que le régime syrien n'avait pas respecté le cessez-le-feu et a jugé que les observateurs de l'ONU devaient disposer de "moyens terrestres et aériens" pour accomplir leur mandat.
http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/syrie-hollande-la-france-participera-a-une-intervention-militaire-de-l-onu-20-04-2012-1453392_324.php
La France a plaidé jeudi, lors d'une réunion de représentants d'une douzaine de pays à Paris, pour un renforcement de la mission d'observateurs en Syrie, qui doit disposer de "moyens terrestres et aériens" et a imputé au régime de Bachar el-Assad les violations du plan Annan. Lors de cette réunion, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a estimé que le régime syrien n'avait pas respecté le cessez-le-feu et a jugé que les observateurs de l'ONU devaient disposer de "moyens terrestres et aériens" pour accomplir leur mandat.
http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/syrie-hollande-la-france-participera-a-une-intervention-militaire-de-l-onu-20-04-2012-1453392_324.php
Mission innovation : le simulateur virtual battle space 2 (VBS)
Le capitaine Richard Chardoune est le responsable de la mise en oeuvre d'un nouveau logiciel : le VBS 2 (Virtual Battle Space 2). Ce nouveau simulateur, fonctionnel au centre d'entraînement des brigades (CEB) de Mourmelon, est un vrai théâtre d'opération en 3D. Il permet au joueur qui l'utilise d'être en immersion totale et aux unités en préparation opérationnelle, pour le Liban ou l'Afghanistan, de s'entraîner dans les meilleures conditions possibles.
jeudi 19 avril 2012
Les aumôniers militaires à la Défense
Les représentants des aumôniers militaires des quatre principaux cultes, dont la mission est d'assurer un soutien religieux aux personnels de la défense, ont été reçus aujourd'hui à déjeuner par le ministre, Gérard Longuet, a indiqué le ministère au cours du point de presse de la défense.
Mgr Claude-Charles Mino-Matot, aumônier en chef adjoint pour le culte catholique, le pasteur Bernard Delannoy pour le culte protestant, le rabbin Haïm Korsia, aumônier militaire en chef du culte israélite, et l'aumônier musulman Nadir Mehidi, étaient notamment présents, a-t-on précisé de même source. Un peu moins de 400 aumôniers militaires servent actuellement dans les armées françaises, dont 63% pour l'aumônerie catholique, 15% pour le culte protestant, 8% pour l'aumônerie israélite, et 14% pour le culte musulman depuis la création en 2006 de l'aumônerie musulmane, selon les chiffres du ministère.
Les aumôniers militaires sont déployés en priorité auprès des forces en opérations, notamment actuellement en Afghanistan. Seize d'entre eux sont en permanence projetés en Opex.
Présents dans toutes les armées (Terre, Air, Marine, Gendarmerie), ils sont assimilés à des officiers et s'engagent au titre du Service de santé des armées (SSA). "Les opinions ou croyances philosophiques, religieuses ou politiques sont libres dans les armées", mais elles ne peuvent "être exprimées qu'en dehors du service et avec la réserve exigée par l'état militaire", rappelle le ministère
Des guerres et des hommes : idées reçues sur 25 siècles de conflits
Aujourd’hui le terme guerre s’efface doucement de notre vocabulaire. Le ministère de la Défense a remplacé celui de la Guerre et on emploie plus communément les termes de conflit et de crise. Pourtant la guerre, elle, continue à être régie par des principes partagés par toutes les cultures et à toutes les époques.
Pour les auteurs de « Des guerres et des hommes », Marc de Fritsch et Olivier Hubac, s’interroger sur la guerre revient à poser la question du mal et de la violence. Cela amène également à relever l’ambivalence qu’elle cultive, entre fascination et révolte.
Dans ce livre, la guerre est dépeinte comme une activité sociale qui ne doit pas se limiter à l’unique stratégie militaire. C’est pourquoi elle est abordée sous d’autres aspects : économique, politique, juridique et psychologique.
Mais la question centrale de cet ouvrage concerne l’éthique : comment l’homme en vient-il à organiser collectivement la mort de ses semblables ?
>>> Des guerres et des hommes
Editions Le Cavalier Bleu
Marc de Fritsch et Olivier Hubac, avril 2012
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/des-guerres-et-des-hommes-idees-recues-sur-25-siecles-de-conflits
Pour les auteurs de « Des guerres et des hommes », Marc de Fritsch et Olivier Hubac, s’interroger sur la guerre revient à poser la question du mal et de la violence. Cela amène également à relever l’ambivalence qu’elle cultive, entre fascination et révolte.
Dans ce livre, la guerre est dépeinte comme une activité sociale qui ne doit pas se limiter à l’unique stratégie militaire. C’est pourquoi elle est abordée sous d’autres aspects : économique, politique, juridique et psychologique.
Mais la question centrale de cet ouvrage concerne l’éthique : comment l’homme en vient-il à organiser collectivement la mort de ses semblables ?
>>> Des guerres et des hommes
Editions Le Cavalier Bleu
Marc de Fritsch et Olivier Hubac, avril 2012
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/des-guerres-et-des-hommes-idees-recues-sur-25-siecles-de-conflits
mercredi 18 avril 2012
mardi 17 avril 2012
Cérémonie nationale d'hommage à Raymond Aubrac
Le président de la République, chef des armées, a présidé la cérémonie nationale d'hommage à Raymond Aubrac, lundi 16 avril 2012 à 10h00 à l'Hôtel national des Invalides en présence notamment du ministre de la Défense et des Anciens Combattants, Gérard Longuet.
La cérémonie d'honneurs militaires rendus à Raymond Aubrac s'est déroulé à l'Hôtel national des Invalides à Paris ce lundi 16 avril sous la présidence du chef des armées, le président de la République Nicolas Sarkozy. Parmi les personnalités militaires et civiles qui ont honoré la mémoire de ce grand résistant, se trouvaient notamment Gérard Longuet et Marc Laffineur
Des détachements des trois armées et de la Garde républicaine étaient également présents dans la cour d'honneur, tout comme un détachement Nedex (neutralisation, enlèvement, destruction des explosifs) pour rappeler que Raymond Aubrac avait été chargé par le général De Gaulle de la responsabilité du déminage du littoral au début de l'année 1945.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/ceremonie-nationale-d-hommage-a-raymond-aubrac
La cérémonie d'honneurs militaires rendus à Raymond Aubrac s'est déroulé à l'Hôtel national des Invalides à Paris ce lundi 16 avril sous la présidence du chef des armées, le président de la République Nicolas Sarkozy. Parmi les personnalités militaires et civiles qui ont honoré la mémoire de ce grand résistant, se trouvaient notamment Gérard Longuet et Marc Laffineur
Des détachements des trois armées et de la Garde républicaine étaient également présents dans la cour d'honneur, tout comme un détachement Nedex (neutralisation, enlèvement, destruction des explosifs) pour rappeler que Raymond Aubrac avait été chargé par le général De Gaulle de la responsabilité du déminage du littoral au début de l'année 1945.
http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/ceremonie-nationale-d-hommage-a-raymond-aubrac
lundi 16 avril 2012
dimanche 15 avril 2012
Armées Le 132e BCAT décoré de la croix de la valeur militaire
C'est au cours d'une cérémonie solennelle qui s'est déroulée dans la cour d'honneur de l'hôtel des Invalides à Paris, sous la présidence du ministre de la Défense et des Anciens combattants Gérard Longuet, et de l'amiral Édouard Guillaud, chef d'état-major des armées, que le drapeau du 132e bataillon cynophile de l'armée de terre, unité stationnée à Suippes, a été décoré de la croix de la valeur militaire avec palme.
Cette récompense met à l'honneur tout le bataillon qui a été engagé à plusieurs reprises en Afghanistan dans des zones dangereuses, où l'appui de ses chiens a été et est d'une utilité remarquable pour détecter des mines antipersonnel, ainsi que les redoutables engins explosifs improvisés que les insurgés placent sur les axes de communication ou en bordure des pistes.
Sastaus à l'honneur
Ce n'est pas un hasard si l'un des chiens de cette prestigieuse unité, Sastaus, a été cité à l'ordre de la brigade et s'est vu attribuer par le général Bertrand Ract-Madoux, chef d'état-major de l'armée de terre, la médaille d'or de la défense nationale avec étoile de bronze. Sastaus a détecté huit mines antipersonnel et plusieurs engins explosifs improvisés, particulièrement bien dissimulés par l'adversaire. L'animal n'a pas été dupe des pièges sur le terrain et a été pour les hommes du 132e comme pour les militaires associés aux opérations d'une aide essentielle.
Au cours de la même cérémonie, les 2e et 21e régiments d'infanterie de marine ont également reçu la croix de la valeur militaire. Depuis la fermeture de la BA 112 « commandant Marin-la-Meslée » de Reims, ce sont les militaires du 132e BCAT qui représentent l'armée française lors des grandes commémorations patriotiques. Le 11 novembre dernier, ils avaient donné par leur présence de l'épaisseur à ce temps mémoriel essentiel de la Grande Guerre.
Le 132e BCAT est le bataillon de l'appui cynotechnique des unités d'infanterie, précise le ministère de la Défense. Son drapeau porte la devise « un contre huit », et sa fourragère est aux couleurs de la croix de guerre 1914-1918.
Une belle histoire
Constitué en 1977, il bénéficie d'une double filiation : celle du 132e régiment d'infanterie qui s'est illustré particulièrement pendant les deux conflits mondiaux du XXe siècle, et celle des unités cynotechniques des formations vétérinaires (centre d'instruction des formations vétérinaires de Compiègne, 54e groupe vétérinaire de Tarbes et 24e groupe vétérinaire de Suippes).
L'armée de terre précise que « cette caractéristique fait du 132e BCAT une formation unique en son genre, dont la vocation est de former un binôme homme-chien indissociable, capable d'apporter un appui spécialisé aux unités d'infanterie ». Le bataillon est composé de deux compagnies cynotechniques d'intervention, d'une compagnie spécialisée dans la recherche et la détection d'explosifs, et d'une compagnie de commandement et de logistique.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/suippes-armees-le-132e-bcat-decore-de-la-croix-de-la-valeur-militaire
Cette récompense met à l'honneur tout le bataillon qui a été engagé à plusieurs reprises en Afghanistan dans des zones dangereuses, où l'appui de ses chiens a été et est d'une utilité remarquable pour détecter des mines antipersonnel, ainsi que les redoutables engins explosifs improvisés que les insurgés placent sur les axes de communication ou en bordure des pistes.
Sastaus à l'honneur
Ce n'est pas un hasard si l'un des chiens de cette prestigieuse unité, Sastaus, a été cité à l'ordre de la brigade et s'est vu attribuer par le général Bertrand Ract-Madoux, chef d'état-major de l'armée de terre, la médaille d'or de la défense nationale avec étoile de bronze. Sastaus a détecté huit mines antipersonnel et plusieurs engins explosifs improvisés, particulièrement bien dissimulés par l'adversaire. L'animal n'a pas été dupe des pièges sur le terrain et a été pour les hommes du 132e comme pour les militaires associés aux opérations d'une aide essentielle.
Au cours de la même cérémonie, les 2e et 21e régiments d'infanterie de marine ont également reçu la croix de la valeur militaire. Depuis la fermeture de la BA 112 « commandant Marin-la-Meslée » de Reims, ce sont les militaires du 132e BCAT qui représentent l'armée française lors des grandes commémorations patriotiques. Le 11 novembre dernier, ils avaient donné par leur présence de l'épaisseur à ce temps mémoriel essentiel de la Grande Guerre.
Le 132e BCAT est le bataillon de l'appui cynotechnique des unités d'infanterie, précise le ministère de la Défense. Son drapeau porte la devise « un contre huit », et sa fourragère est aux couleurs de la croix de guerre 1914-1918.
Une belle histoire
Constitué en 1977, il bénéficie d'une double filiation : celle du 132e régiment d'infanterie qui s'est illustré particulièrement pendant les deux conflits mondiaux du XXe siècle, et celle des unités cynotechniques des formations vétérinaires (centre d'instruction des formations vétérinaires de Compiègne, 54e groupe vétérinaire de Tarbes et 24e groupe vétérinaire de Suippes).
L'armée de terre précise que « cette caractéristique fait du 132e BCAT une formation unique en son genre, dont la vocation est de former un binôme homme-chien indissociable, capable d'apporter un appui spécialisé aux unités d'infanterie ». Le bataillon est composé de deux compagnies cynotechniques d'intervention, d'une compagnie spécialisée dans la recherche et la détection d'explosifs, et d'une compagnie de commandement et de logistique.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/suippes-armees-le-132e-bcat-decore-de-la-croix-de-la-valeur-militaire
Afghanistan : district de Surobi Le général Palasset passe le témoin
Le transfert de responsabilité aux forces de sécurité afghanes du district de Surobi est effectif. Il a été préparé par le groupement tactique interarmes (GTIA) Picardie, qui était stationné dans le district.
Le passage de témoin a eu lieu au cours d'une cérémonie pendant laquelle les troupes françaises et afghanes ont célébré ensemble cette transition par la symbolique d'une montée des couleurs commune, où les drapeaux afghan et français ont été hissés successivement et accompagnés des hymnes nationaux.
Cette prise d'armes a été présidée par le général Nazar, commandant la 3e brigade de l'armée nationale afghane, et le général Jean-Pierre Palasset, commandant la brigade la Fayette et commandant la 1re brigade mécanisée de Châlons-en-Champagne, et en présence de Bernard Bajolet, ambassadeur de France en Afghanistan et du gouverneur Alizaï de la province de Kaboul.
Le général marnais a insisté sur le rôle joué depuis 2008 par chacun des acteurs civils et militaires afghans et internationaux, ce qui a permis un renforcement de la sécurité, une aide au développement et une meilleure gouvernance locale.
Les forces françaises ont été déployées en Surobi dès 2006, et leur présence a permis de sécuriser la zone et de préparer la montée en puissance des unités afghanes désormais en charge du secteur. Cette importante cérémonie a symbolisé la dernière étape du processus de transition pour l'ensemble de la province de Kaboul.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/afghanistan-district-de-surobi-le-general-palasset-passe-le-temoin
Le passage de témoin a eu lieu au cours d'une cérémonie pendant laquelle les troupes françaises et afghanes ont célébré ensemble cette transition par la symbolique d'une montée des couleurs commune, où les drapeaux afghan et français ont été hissés successivement et accompagnés des hymnes nationaux.
Cette prise d'armes a été présidée par le général Nazar, commandant la 3e brigade de l'armée nationale afghane, et le général Jean-Pierre Palasset, commandant la brigade la Fayette et commandant la 1re brigade mécanisée de Châlons-en-Champagne, et en présence de Bernard Bajolet, ambassadeur de France en Afghanistan et du gouverneur Alizaï de la province de Kaboul.
Le général marnais a insisté sur le rôle joué depuis 2008 par chacun des acteurs civils et militaires afghans et internationaux, ce qui a permis un renforcement de la sécurité, une aide au développement et une meilleure gouvernance locale.
Les forces françaises ont été déployées en Surobi dès 2006, et leur présence a permis de sécuriser la zone et de préparer la montée en puissance des unités afghanes désormais en charge du secteur. Cette importante cérémonie a symbolisé la dernière étape du processus de transition pour l'ensemble de la province de Kaboul.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/afghanistan-district-de-surobi-le-general-palasset-passe-le-temoin
samedi 14 avril 2012
Information sur le tri sélectif au 3e RG 1 000 tonnes de déchets récoltées
La semaine du tri sélectif s'est achevée au 3e régiment du génie par la traditionnelle information sur le tri sélectif dispensée par Cœur d'Ardennes. Cette sensibilisation au personnel du régiment s'avère indispensable afin de sensibiliser les usagers au tri garant d'économie.
En effet, Cœur d'Ardennes récolte 750 tonnes d'ordures ménagères au régiment et 260 tonnes de tri, soit plus de 1.000 tonnes de déchets en 2011. Le cout de revient d'un bac d'ordures ménagères s'élève à 1742 € par an ; celui d'un bac de tri sélectif à 435 € par an.
Le calcul est simple, l'effort doit porter sur le tri sélectif afin de, non seulement faire baisser la facture d'enlèvement des déchets, mais aussi de participer à la protection de l'environnement.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/information-sur-le-tri-selectif-au-3e-rg-1-000-tonnes-de-dechets-recoltees
En effet, Cœur d'Ardennes récolte 750 tonnes d'ordures ménagères au régiment et 260 tonnes de tri, soit plus de 1.000 tonnes de déchets en 2011. Le cout de revient d'un bac d'ordures ménagères s'élève à 1742 € par an ; celui d'un bac de tri sélectif à 435 € par an.
Le calcul est simple, l'effort doit porter sur le tri sélectif afin de, non seulement faire baisser la facture d'enlèvement des déchets, mais aussi de participer à la protection de l'environnement.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/information-sur-le-tri-selectif-au-3e-rg-1-000-tonnes-de-dechets-recoltees
vendredi 13 avril 2012
Aubrac: honneurs militaires aux Invalides
Les honneurs militaires seront rendus à Raymond Aubrac, décédé mardi à 97 ans, lors d'une cérémonie "publique" qui se déroulera lundi à partir de 10h dans la cour d'honneur de l'Hôtel national des Invalides, a annoncé sa famille aujourd'hui.
"Selon les souhaits de Raymond Aubrac, a précisé sa famille, ce sont uniquement deux personnalités liées à la Résistance qui prendront la parole".
La famille a cité Jacques Vistel, président de la Fondation de la Résistance, fils du Compagnon de la Libération Alban Vistel, un des dirigeants de la Résistance de la région lyonnaise et Jean-Louis Crémieux-Brilhac, ex-chef de service de la diffusion clandestine vers la France au commissariat national de l'Intérieur à Londres et auteur de plusieurs livres sur la France Libre. Les trois enfants, les dix petits-enfants et des arrière-petits-enfants de Raymond Aubrac seront présents à la cérémonie.
Raymond Aubrac sera incinéré dans la soirée de lundi "dans l'intimité familiale", a ajouté sa famille. Ses cendres rejoindront ensuite celles de Lucie Aubrac dans le caveau familial du cimetière de Salornay-sur-Guye, un village bourguignon de Saône-et-Loire.
jeudi 12 avril 2012
456 militaires auvergnats partiront, fin mai, pour l’Afghanistan
Ils se sont entraînés dur pendant presqu’un an. Affûtés physiquement et psychologiquement, les hommes du colonel Haberey, qui présidera aux commandes des opérations, partiront fin mai relever leurs frères d’arme du 1 er RI de Sarrebourg, partis en octobre 2011 en « Afgha ».
Une mission longue de six mois en terrain risqué, où plus de soixante-dix soldats français ont déjà trouvé la mort depuis 2001.
Les 2 e et 3 e compagnies clermontoises (soit 456 hommes, dont 10 % de femmes) quitteront la France pour se positionner respectivement à Surobi, au sud de la Kapisa, sur la Highway 7, l’une des principaux axes logistiques afghans et sur le camp de l’OTAN de Warehouse, à l’Est de Kaboul. « Notre mission en Afghanistan est de soutenir la montée en puissance de l’ANA (Armée nationale afghane, NDLR) pour lui permettre de reprendre à son compte la responsabilité de la sécurité de son pays », explique l’état-major. « Nous devons aussi participer à la sécurisation du district de Surobi et de la province de Kapisa, zones placées sous notre responsabilité avec les forces de sécurité afghanes (ANSF) et permettre que les opérations de développement, de reconstruction, le déploiement des services de l’État se poursuivent. Dans le district de Surobi en particulier, nous allons mettre en œuvre le processus de transition avec le transfert de la responsabilité de la sécurité aux ANSF, les appuyer et les soutenir dans les missions de sécurisation dont elles auront désormais la charge. »
Pour le capitaine Thibault Seiliez, qui commandera la 3 e compagnie, cette mission est aussi une grande première. « Le 92 e RI n’était jamais parti pour une opération de ce type en Afghanistan. L’armée afghane n’a pas d’énormes effectifs et peu de moyens. Elle a besoin de gens compétents et qualifiés comme nous. »
Du 6 au 20 mai, les deux compagnies prendront quinze jours de vacances avant le grand départ échelonné entre le 20 et le 27 mai. Retour à la base début décembre 2012.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/04/11/456-militaires-auvergnats-partiront-fin-mai-pour-l-afghanistan
Une mission longue de six mois en terrain risqué, où plus de soixante-dix soldats français ont déjà trouvé la mort depuis 2001.
Les 2 e et 3 e compagnies clermontoises (soit 456 hommes, dont 10 % de femmes) quitteront la France pour se positionner respectivement à Surobi, au sud de la Kapisa, sur la Highway 7, l’une des principaux axes logistiques afghans et sur le camp de l’OTAN de Warehouse, à l’Est de Kaboul. « Notre mission en Afghanistan est de soutenir la montée en puissance de l’ANA (Armée nationale afghane, NDLR) pour lui permettre de reprendre à son compte la responsabilité de la sécurité de son pays », explique l’état-major. « Nous devons aussi participer à la sécurisation du district de Surobi et de la province de Kapisa, zones placées sous notre responsabilité avec les forces de sécurité afghanes (ANSF) et permettre que les opérations de développement, de reconstruction, le déploiement des services de l’État se poursuivent. Dans le district de Surobi en particulier, nous allons mettre en œuvre le processus de transition avec le transfert de la responsabilité de la sécurité aux ANSF, les appuyer et les soutenir dans les missions de sécurisation dont elles auront désormais la charge. »
Pour le capitaine Thibault Seiliez, qui commandera la 3 e compagnie, cette mission est aussi une grande première. « Le 92 e RI n’était jamais parti pour une opération de ce type en Afghanistan. L’armée afghane n’a pas d’énormes effectifs et peu de moyens. Elle a besoin de gens compétents et qualifiés comme nous. »
Du 6 au 20 mai, les deux compagnies prendront quinze jours de vacances avant le grand départ échelonné entre le 20 et le 27 mai. Retour à la base début décembre 2012.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/04/11/456-militaires-auvergnats-partiront-fin-mai-pour-l-afghanistan
mercredi 11 avril 2012
L'Armée bataille aussi pour l'emploi
L'armée de terre recrute. Et elle compte le faire savoir. D'où un rapprochement avec Pôle emploi
PHILIPPE LACOSTE, directeur territorial de Pôle emploi, et l'adjudant Rodrigue Montecot, chef du centre d'informations et de recrutement des forces armées (CIRFA), ont signé jeudi matin à la Maison de l'Ardenne un contrat de service liant Pôle emploi à l'armée de terre.
« Cette convention existant déjà au niveau national va ainsi pouvoir être déclinée à l'échelon départemental. Une collaboration qui doit permettre de remplir un double objectif. Primo, participer, en lien avec les services de l'armée, à une sélection de jeunes Ardennais susceptibles d'être potentiellement intéressés par les métiers militaires. Secundo, rapprocher les services de l'armée des éventuels demandeurs d'emploi en leur mettant nos locaux à disposition » souligne le premier nommé.
Quarante recrues en 2011
Un partenariat d'autant plus opportun que la tranche d'âge que souhaite courtiser l'armée (entre 17 ans et demi et 29 ans) coïncide avec une population qui représente plus de 17 % du fichier de Pôle emploi.
« Aujourd'hui, dans les Ardennes, 3 500 jeunes de moins de 25 ans sont sans emploi ou en activité réduite. Autant dire que nous entendons relayer l'effort déployé par l'armée qui, nationalement, recrute 13 000 jeunes tous les ans après en avoir consulté préalablement 120 000. Nous devons saisir cette opportunité pour tenter d'intéresser ce type de demandeurs d'emploi à même de trouver des conditions d'épanouissement dans cette voie » estime Philippe Lacoste.
En 2011, le responsable du CIRFA se félicite d'avoir ainsi recruté quarante Ardennais. Dont deux filles. « Ils ont signé des contrats de 1, 3, 5 et 10 ans et sont aujourd'hui militaires du rang ou sous-officiers. Ils travaillent comme pompiers de Paris, opérateurs dans l'artillerie, sapeurs de combat, mécaniciens ou cuisiniers. Et parfois dans des camps militaires de la région comme Charleville-Mézières, Mourmelon ou Suippes ».
Avec des soldes pouvant aller de 1 300 euros à plus de 1 500 euros net. Il est vrai que le panel des offres de carrière militaire est très large.
400 métiers recensés au total. « Dans des secteurs comme la maintenance, l'informatique ou le pilotage d'hélicoptère, on est même déficitaire ».
« Contrairement à l'image qu'on peut avoir, les métiers proposés ne sont pas exclusivement liés aux combats, l'armée est au contraire très recruteuse dans une foule de domaines d'activités. Comme la maintenance, l'informatique ou le pilotage d'hélicoptère. Raison de plus pour informer largement sur les possibilités existantes ».
L'armée s'y emploie en développant une information collective et une prospection régulière par mailing, SMS et affichage. « On veut ainsi attirer des scolaires en situation d'échec ou des jeunes non qualifiés ou jusqu'à bac +5. On veut ouvrir à chacun la possibilité de connaître une première expérience professionnelle dans des secteurs où ils peuvent ensuite dérouler leur carrière ».
A eux de faire acte de volontariat.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/larmee-bataille-aussi-pour-lemploi
PHILIPPE LACOSTE, directeur territorial de Pôle emploi, et l'adjudant Rodrigue Montecot, chef du centre d'informations et de recrutement des forces armées (CIRFA), ont signé jeudi matin à la Maison de l'Ardenne un contrat de service liant Pôle emploi à l'armée de terre.
« Cette convention existant déjà au niveau national va ainsi pouvoir être déclinée à l'échelon départemental. Une collaboration qui doit permettre de remplir un double objectif. Primo, participer, en lien avec les services de l'armée, à une sélection de jeunes Ardennais susceptibles d'être potentiellement intéressés par les métiers militaires. Secundo, rapprocher les services de l'armée des éventuels demandeurs d'emploi en leur mettant nos locaux à disposition » souligne le premier nommé.
Quarante recrues en 2011
Un partenariat d'autant plus opportun que la tranche d'âge que souhaite courtiser l'armée (entre 17 ans et demi et 29 ans) coïncide avec une population qui représente plus de 17 % du fichier de Pôle emploi.
« Aujourd'hui, dans les Ardennes, 3 500 jeunes de moins de 25 ans sont sans emploi ou en activité réduite. Autant dire que nous entendons relayer l'effort déployé par l'armée qui, nationalement, recrute 13 000 jeunes tous les ans après en avoir consulté préalablement 120 000. Nous devons saisir cette opportunité pour tenter d'intéresser ce type de demandeurs d'emploi à même de trouver des conditions d'épanouissement dans cette voie » estime Philippe Lacoste.
En 2011, le responsable du CIRFA se félicite d'avoir ainsi recruté quarante Ardennais. Dont deux filles. « Ils ont signé des contrats de 1, 3, 5 et 10 ans et sont aujourd'hui militaires du rang ou sous-officiers. Ils travaillent comme pompiers de Paris, opérateurs dans l'artillerie, sapeurs de combat, mécaniciens ou cuisiniers. Et parfois dans des camps militaires de la région comme Charleville-Mézières, Mourmelon ou Suippes ».
Avec des soldes pouvant aller de 1 300 euros à plus de 1 500 euros net. Il est vrai que le panel des offres de carrière militaire est très large.
400 métiers recensés au total. « Dans des secteurs comme la maintenance, l'informatique ou le pilotage d'hélicoptère, on est même déficitaire ».
« Contrairement à l'image qu'on peut avoir, les métiers proposés ne sont pas exclusivement liés aux combats, l'armée est au contraire très recruteuse dans une foule de domaines d'activités. Comme la maintenance, l'informatique ou le pilotage d'hélicoptère. Raison de plus pour informer largement sur les possibilités existantes ».
L'armée s'y emploie en développant une information collective et une prospection régulière par mailing, SMS et affichage. « On veut ainsi attirer des scolaires en situation d'échec ou des jeunes non qualifiés ou jusqu'à bac +5. On veut ouvrir à chacun la possibilité de connaître une première expérience professionnelle dans des secteurs où ils peuvent ensuite dérouler leur carrière ».
A eux de faire acte de volontariat.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/larmee-bataille-aussi-pour-lemploi
Les robots au cœur du champ de bataille
Ronan Doaré et Henri Hude présentent un livre unique « Les robots au cœur du champ de bataille », dans lequel des spécialistes se questionnent sur l’emploi de ces machines sur les théâtres d’opérations.
« Les robots au cœur du champ de bataille » est une œuvre qui pose des questions fondamentales sur un thème qui fait souvent débat : l’utilisation des robots lors des combats. Leur principal intérêt est pourtant de préserver la vie des soldats et d’augmenter l’efficacité opérationnelle sur les champs de bataille.
Cet ouvrage aborde le sujet de deux façons différentes. Sur un plan éthique : ces nouvelles armes mettent en avant des problématiques fondamentales d’éthique de la guerre. Les robots doivent-ils être automatisés dans leur prise de décision ? Pourront-ils un jour faire eux-mêmes le choix de vie ou de mort ? Quelles conséquences leur utilisation peut-elle avoir sur la politique ?
Et sur un plan juridique : comment définir les aspects réglementaires liés à la robotique aéroterrestre ? Quelles responsabilités l’emploi de ces nouveaux moyens engendre-t-il au regard de la loi ?
A travers les regards croisés de civils et de militaires, d’industriels, d’universitaires et de praticiens, Ronan Doaré et Henri Hude tentent de trouver un cadre d’emploi à l’importante montée en puissance de la robotisation militaire terrestre.
>>> Les robots au cœur du champ de bataille
Ronan Doaré et Henri Hude
Guerre et opinions, Economica, novembre 2011
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/les-robots-au-caeur-du-champ-de-bataille
« Les robots au cœur du champ de bataille » est une œuvre qui pose des questions fondamentales sur un thème qui fait souvent débat : l’utilisation des robots lors des combats. Leur principal intérêt est pourtant de préserver la vie des soldats et d’augmenter l’efficacité opérationnelle sur les champs de bataille.
Cet ouvrage aborde le sujet de deux façons différentes. Sur un plan éthique : ces nouvelles armes mettent en avant des problématiques fondamentales d’éthique de la guerre. Les robots doivent-ils être automatisés dans leur prise de décision ? Pourront-ils un jour faire eux-mêmes le choix de vie ou de mort ? Quelles conséquences leur utilisation peut-elle avoir sur la politique ?
Et sur un plan juridique : comment définir les aspects réglementaires liés à la robotique aéroterrestre ? Quelles responsabilités l’emploi de ces nouveaux moyens engendre-t-il au regard de la loi ?
A travers les regards croisés de civils et de militaires, d’industriels, d’universitaires et de praticiens, Ronan Doaré et Henri Hude tentent de trouver un cadre d’emploi à l’importante montée en puissance de la robotisation militaire terrestre.
>>> Les robots au cœur du champ de bataille
Ronan Doaré et Henri Hude
Guerre et opinions, Economica, novembre 2011
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/les-robots-au-caeur-du-champ-de-bataille
mardi 10 avril 2012
lundi 9 avril 2012
En route pour l’Afghanistan
Ce matin-là, atelier consacré aux engins explosifs improvisés (ou IED dans leur jargon) au camp militaire de Valdahon. Le VAB (véhicule de l’avant blindé) s’est immobilisé. Il suspecte une menace IED (mines artisanales, explosifs, fils déclencheurs…). Par binôme, les soldats doivent sécuriser leur véhicule et le terrain proche dans un rayon de 5 m pour le premier et de 25 m pour le second. Des gestes, instruis par l’adjudant moniteur Fernandez, pas forcément instinctifs pour ces militaires du 6 e régiment du matériel de Besançon, plus habitués à la maintenance technique des équipements (postes radio, véhicules, armes…) dans leur caserne bisontine. « Cet atelier est essentiel car c’est celui qu’ils vont vivre le plus souvent », explique le colonel Christophe Gasançon, chef de corps du 6 e régiment.
En février 2012, ce 6 e régiment (140 hommes… et femmes, mais à peine 5, tous volontaires) a été désigné par le commandement des forces terrestres pour compléter le bataillon logistique (BATLOG) baptisé Koufra : services santé, mécanique-matériel, pétrolier, humain (nourriture, douche…) et transport (containers…). Il sera déployé à Kaboul, en Afghanistan, en octobre 2012, pour une durée de six mois.
Ils vont ensuite passer trois semaines au camp de La Courtine (Creuse). Une 2 e phase collective puisqu’elle réunira pour la première fois le bataillon en entier. Il s’agira donc de générer un esprit de corps et de lui faire prendre identité.
La 3 e et dernière phase se déroulera au camp de Canjuers (Var). Le bataillon continuera son entraînement mais vêtu cette fois de l’équipement qu’il portera en Afghanistan. À savoir 20 à 25 kg sur le dos dont déjà 13 kg rien qu’avec le gilet pare-balles. « Cette période s’achèvera par une évaluation du bataillon pour mesurer son aptitude à réaliser ses futures missions. Si l’on détecte à ce moment-là qu’un soldat est vraiment trop fragilisé, à cause d’un événement personnel récent (divorce, décès…), il ne sera pas déployé et sera remplacé par un membre de la poule de régénération », explique le colonel Gasançon.
Peut-être même, selon les résultats de la présidentielle, que le bataillon tout entier ne sera pas projeté. « Pour l’instant, on se prépare avec rigueur. Si le futur président décide de ne pas nous envoyer, on n’aura aucun état d’âme. Notre devoir est d’obéir au chef des armées », conclut-il.
En février 2012, ce 6 e régiment (140 hommes… et femmes, mais à peine 5, tous volontaires) a été désigné par le commandement des forces terrestres pour compléter le bataillon logistique (BATLOG) baptisé Koufra : services santé, mécanique-matériel, pétrolier, humain (nourriture, douche…) et transport (containers…). Il sera déployé à Kaboul, en Afghanistan, en octobre 2012, pour une durée de six mois.
Une préparation de huit semaines
Des soldats qui ne sont donc pas des combattants mais des soutiens logistiques de ces derniers. Pour autant, lors de cette semaine à Valdahon, première phase de préparation, ils ont reçu une instruction individuelle aux actes élémentaires du combattant. À travers cinq ateliers, chaque homme a atteint les prérequis demandés en matière de tir, de procédures radio, de secourisme au combat et de savoir-faire élémentaire (réalisation et déplacement de convoi, remorquage, pilotage d’un VAB…) sur un champ de guerre.Ils vont ensuite passer trois semaines au camp de La Courtine (Creuse). Une 2 e phase collective puisqu’elle réunira pour la première fois le bataillon en entier. Il s’agira donc de générer un esprit de corps et de lui faire prendre identité.
La 3 e et dernière phase se déroulera au camp de Canjuers (Var). Le bataillon continuera son entraînement mais vêtu cette fois de l’équipement qu’il portera en Afghanistan. À savoir 20 à 25 kg sur le dos dont déjà 13 kg rien qu’avec le gilet pare-balles. « Cette période s’achèvera par une évaluation du bataillon pour mesurer son aptitude à réaliser ses futures missions. Si l’on détecte à ce moment-là qu’un soldat est vraiment trop fragilisé, à cause d’un événement personnel récent (divorce, décès…), il ne sera pas déployé et sera remplacé par un membre de la poule de régénération », explique le colonel Gasançon.
Peut-être même, selon les résultats de la présidentielle, que le bataillon tout entier ne sera pas projeté. « Pour l’instant, on se prépare avec rigueur. Si le futur président décide de ne pas nous envoyer, on n’aura aucun état d’âme. Notre devoir est d’obéir au chef des armées », conclut-il.
Afghanistan : transfert d’autorité du bataillon logistique
Le 5 avril 2012, la cérémonie de transfert d’autorité du bataillon logistique
s’est déroulée sur le camp de Warehouse à Kaboul en Afghanistan. Le
lieutenant-colonel Philippe Lecubain, chef de corps du 516e régiment du Train, a
ainsi succédé au lieutenant-colonel Ange-Antoine Cesari, chef de corps du 7e
régiment du Matériel, qui commandait le bataillon logistique armé par le
bataillon Taillefer depuis octobre 2011.
Lors de cette cérémonie, le colonel Pascal Ducret, commandant le soutien national France en Afghanistan et au Tadjikistan, a tenu à exprimer toute sa satisfaction pour les résultats obtenus aux hommes et aux femmes du bataillon Taillefer dont « le savoir-faire tactique et technique, le savoir-être de soldat sont reconnus de tous ».
Au terme de ce mandat marqué par le début du désengagement des forces françaises d’Afghanistan et de leurs matériels, les chiffres sont éloquents. Le bataillon aura mis sur pied environ 75 convois vers la zone de la Task Force La Fayette (TFLF), traité plus de 20 avions par mois, préparé plus de 350 véhicules pour un retour en métropole, avitaillé 3780 aéronefs, distribué près de 8000 m3 d’équipements et produit environ 85 tonnes de pain.
Œuvrant au profit de l’ensemble des forces françaises de l’opération Pamir, le bataillon logistique a adapté en permanence ses modes d’action afin de contrer les menaces tout en se coordonnant avec les dispositifs de sécurité déployés par les Battle Groups de la TFLF et les forces de sécurités afghanes (ANSF).
A l’issue de la cérémonie, le lieutenant-colonel Philippe Lecubain a pris le commandement du bataillon logistique. Voie Sacrée est principalement armé par le 516e régiment du Train d’Ecrouves, le 3e régiment du Matériel de Muret et le régiment de soutien du combattant de Toulouse.
http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites/afghanistan-transfert-d-autorite-du-bataillon-logistique
Lors de cette cérémonie, le colonel Pascal Ducret, commandant le soutien national France en Afghanistan et au Tadjikistan, a tenu à exprimer toute sa satisfaction pour les résultats obtenus aux hommes et aux femmes du bataillon Taillefer dont « le savoir-faire tactique et technique, le savoir-être de soldat sont reconnus de tous ».
Au terme de ce mandat marqué par le début du désengagement des forces françaises d’Afghanistan et de leurs matériels, les chiffres sont éloquents. Le bataillon aura mis sur pied environ 75 convois vers la zone de la Task Force La Fayette (TFLF), traité plus de 20 avions par mois, préparé plus de 350 véhicules pour un retour en métropole, avitaillé 3780 aéronefs, distribué près de 8000 m3 d’équipements et produit environ 85 tonnes de pain.
Œuvrant au profit de l’ensemble des forces françaises de l’opération Pamir, le bataillon logistique a adapté en permanence ses modes d’action afin de contrer les menaces tout en se coordonnant avec les dispositifs de sécurité déployés par les Battle Groups de la TFLF et les forces de sécurités afghanes (ANSF).
A l’issue de la cérémonie, le lieutenant-colonel Philippe Lecubain a pris le commandement du bataillon logistique. Voie Sacrée est principalement armé par le 516e régiment du Train d’Ecrouves, le 3e régiment du Matériel de Muret et le régiment de soutien du combattant de Toulouse.
http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites/afghanistan-transfert-d-autorite-du-bataillon-logistique
dimanche 8 avril 2012
samedi 7 avril 2012
Le 12e régiment de cuirassiers accueille le Royal Dragoon Guards
Le 12e RC a reçu une délégation d’officiers et de sous-officiers
britanniques du RDG basé à Catterick en Angleterre. Les chefs de corps des deux
régiments ont signé un accord de jumelage (twinning agreement). Celui-ci vise à
reconnaître officiellement les relations amicales établies dans le passé et à
les entretenir durablement en organisant chaque année des échanges entre les
deux unités.
Lors de cette visite, le 12e RC a pu faire part aux britanniques, de sa récente expérience de projection en OMLT (en français, équipe de liaison et de tutorat opérationnel, détachée pour conseiller l’armée nationale afghane). Le RDG devrait être déployé en octobre 2012 sur le territoire afghan.
Un détachement du 12eRC se rendra à son tour au Royal Dragoon Guards fin mai 2012.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/le-12e-regiment-de-cuirassiers-accueille-le-royal-dragoon-guards
Lors de cette visite, le 12e RC a pu faire part aux britanniques, de sa récente expérience de projection en OMLT (en français, équipe de liaison et de tutorat opérationnel, détachée pour conseiller l’armée nationale afghane). Le RDG devrait être déployé en octobre 2012 sur le territoire afghan.
Un détachement du 12eRC se rendra à son tour au Royal Dragoon Guards fin mai 2012.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/le-12e-regiment-de-cuirassiers-accueille-le-royal-dragoon-guards
vendredi 6 avril 2012
. 17e RGP : la 1re compagnie s'est envolée pour la Nouvelle-Calédonie
Le quartier Doumerc vient de se vider de quelques uns de ses soldats à l'occasion d'une nouvelle opération extérieure (Opex)...
Après plus de 3 mois de préparation, la 1ère compagnie du 17e RGP aux ordres du capitaine Vergez, s'est envolée pour la Nouvelle Calédonie. Cette mission de 4 mois consiste principalement à l'entraînement des soldats. Intégrée au Régiment d'infanterie de marine du Pacifique - Nouvelle Calédonie, la 1ère compagnie ne chaumera pas sous le soleil calédonien.
L'un des moments forts de leur séjour sera assurément le passage en tribu. Les paras y seront immergés durant une semaine pour découvrir la culture mélanésienne en aidant les habitants dans leur quotidien aux travers de la réalisation de divers travaux. Ce volet plus social contribue à assurer et faire perdurer les liens armée - nation.
Très formatrice car exigeante au niveau physique et mental, cette mission est une «parfaite première projection». Les jeunes soldats sont confrontés à l'éloignement, à la découverte d'une autre culture dans un milieu plutôt favorable.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/05/1323944-montauban-17e-rgp-la-1re-compagnie-s-est-envolee-pour-la-nouvelle-caledonie.html
Après plus de 3 mois de préparation, la 1ère compagnie du 17e RGP aux ordres du capitaine Vergez, s'est envolée pour la Nouvelle Calédonie. Cette mission de 4 mois consiste principalement à l'entraînement des soldats. Intégrée au Régiment d'infanterie de marine du Pacifique - Nouvelle Calédonie, la 1ère compagnie ne chaumera pas sous le soleil calédonien.
Immersion dans une tribu
Ils passeront notamment 3 semaines au Centre d'instruction nautique et commando et réaliseront d'importants exercices interarmes et interalliés.L'un des moments forts de leur séjour sera assurément le passage en tribu. Les paras y seront immergés durant une semaine pour découvrir la culture mélanésienne en aidant les habitants dans leur quotidien aux travers de la réalisation de divers travaux. Ce volet plus social contribue à assurer et faire perdurer les liens armée - nation.
Très formatrice car exigeante au niveau physique et mental, cette mission est une «parfaite première projection». Les jeunes soldats sont confrontés à l'éloignement, à la découverte d'une autre culture dans un milieu plutôt favorable.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/05/1323944-montauban-17e-rgp-la-1re-compagnie-s-est-envolee-pour-la-nouvelle-caledonie.html
jeudi 5 avril 2012
Mailly-le-Camp : site pilote et modèle durable
Véritable laboratoire, le CENTAC est doté de moyens modernes de simulation,
l’impact des exercices sur l’environnement est ainsi diminué. Sur les 13 000 ha
du camp, les unités contrôlées trouvent à Mailly un environnement réaliste et
paysagé. Pour concilier besoins opérationnels et gestion de l’environnement,
une optimisation concertée de l’espace de manœuvre est conduite tout au long de
l’année. Elle permet de réduire les risques d’incendie et les nuisances.
Aujourd’hui, seul un pas de tir reste dédié à l’entraînement au tir gros
calibre. Ses buttes de tir sont régulièrement purgées et une campagne de
désobusage est effectuée annuellement. « Sur le camp, les déchets sont triés et
regroupés, des opérations de nettoyage sont régulièrement
réalisées », précise le lieutenant-colonel Henri Senra, commandant en
second du CENTAC.
Pendant les exercices, c'est-à-dire 40 semaines par an, l’espace de manœuvre est surveillé par les observateurs arbitres, conseillers du CENTAC, détachés auprès des unités contrôlées. Ils font également respecter les consignes environnementales, comme ne pas prélever des branchages pour camoufler les véhicules ou les positions de combat. À proximité des périmètres de protection des captages d’eau destinés à la consommation humaine, les activités sont limitées. « En fin d’exercice, le nettoyage d’une zone est attribué à chaque unité qui s’apprête à rejoindre sa garnison », poursuit-il. En dehors des exercices, en liaison avec l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la société militaire de chasse assure la gestion du gibier : contrôle des populations animales et limitation des dégâts sur les cultures. La zone sud du camp est classée Natura 2000, le reste du terrain de manœuvre est une zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF). En effet, des fétuques (graminées des prés ou des bois), des genévriers et des pins sylvestres y sont recensés.
La protection de la nature, la gestion des déchets, la préservation de l'eau ou la réduction des consommations d’énergie sont des préoccupations permanentes des militaires, également citoyens et contribuables. Camp exemplaire, le camp de Mailly est un véritable laboratoire de gestion durable. L’ensemble des camps du domaine du ministère de la Défense participe dans leur gestion et par leur action à la politique environnementale.
Pour voir la vidéo cliquez sur ce lien......... http://www.defense.gouv.fr/terre/contenus-des-dossiers/developpement-durable/mailly-le-camp-site-pilote-et-modele-durable
Pendant les exercices, c'est-à-dire 40 semaines par an, l’espace de manœuvre est surveillé par les observateurs arbitres, conseillers du CENTAC, détachés auprès des unités contrôlées. Ils font également respecter les consignes environnementales, comme ne pas prélever des branchages pour camoufler les véhicules ou les positions de combat. À proximité des périmètres de protection des captages d’eau destinés à la consommation humaine, les activités sont limitées. « En fin d’exercice, le nettoyage d’une zone est attribué à chaque unité qui s’apprête à rejoindre sa garnison », poursuit-il. En dehors des exercices, en liaison avec l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), la société militaire de chasse assure la gestion du gibier : contrôle des populations animales et limitation des dégâts sur les cultures. La zone sud du camp est classée Natura 2000, le reste du terrain de manœuvre est une zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF). En effet, des fétuques (graminées des prés ou des bois), des genévriers et des pins sylvestres y sont recensés.
La protection de la nature, la gestion des déchets, la préservation de l'eau ou la réduction des consommations d’énergie sont des préoccupations permanentes des militaires, également citoyens et contribuables. Camp exemplaire, le camp de Mailly est un véritable laboratoire de gestion durable. L’ensemble des camps du domaine du ministère de la Défense participe dans leur gestion et par leur action à la politique environnementale.
Pour voir la vidéo cliquez sur ce lien......... http://www.defense.gouv.fr/terre/contenus-des-dossiers/developpement-durable/mailly-le-camp-site-pilote-et-modele-durable
Découvrez le clip armée de Terre 2012 !
L’engagement opérationnel est la finalité de l’armée de Terre, à l’étranger
comme en France : c’est le message du nouveau clip de l’armée de Terre, qui
présente, en 3 minutes, les hommes et les femmes qui la composent, ses missions,
ses matériels.
« L’armée de Terre est en permanente évolution, notamment avec l’arrivée de nouveaux matériels » explique le colonel Lafitte, chef du service d’information et de relations publiques de l’armée de Terre (SIRPAT). « Nous voulons montrer une entité vivante et inscrite dans la modernité ».
Le film a été tourné au mois de janvier 2012 sur le camp de Canjuers. Organisé par le SIRPA Terre Image de Saint-Maixent, il a réuni plus de 60 personnes, figurants et techniciens, et une dizaine de véhicules, dont un hélicoptère Tigre, un véhicule haute mobilité (VHM) et 2 véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI).
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/decouvrez-le-clip-armee-de-terre-2012
« L’armée de Terre est en permanente évolution, notamment avec l’arrivée de nouveaux matériels » explique le colonel Lafitte, chef du service d’information et de relations publiques de l’armée de Terre (SIRPAT). « Nous voulons montrer une entité vivante et inscrite dans la modernité ».
Le film a été tourné au mois de janvier 2012 sur le camp de Canjuers. Organisé par le SIRPA Terre Image de Saint-Maixent, il a réuni plus de 60 personnes, figurants et techniciens, et une dizaine de véhicules, dont un hélicoptère Tigre, un véhicule haute mobilité (VHM) et 2 véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI).
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/decouvrez-le-clip-armee-de-terre-2012
mercredi 4 avril 2012
Côte d’Ivoire : formation des officiers ivoiriens aux techniques d’état-major
Du 5 au 30 mars 2012, une vingtaine d’officiers des
Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) a été formée aux techniques
d’état-major par un détachement d’instruction opérationnelle (DIO).
Pendant ces quatre semaines, 160 heures de cours ont
été dispensées par les 6 instructeurs qui appartenaient aux Éléments français au
Sénégal (EFS) pour préparer ces officiers à travailler dans un état-major ou
dans un centre opérationnel pour la conduite d’opérations engageant un GTIA
(groupement tactique interarmées).
Pour le lieutenant-colonel Sauvin, chef du détachement
d’instruction, il était important de « préparer ces officiers qui peuvent
être amenés à commander des unités projetées dans le cadre de la CEDEAO
(communauté économique des états d’Afrique de l’ouest) ou de l’ONU pour le
maintien de paix ».
La vingtaine d’officiers stagiaires ivoiriens a pu
renforcer ses connaissances dans des domaines tels que le les règles
d’engagement, le droit des conflits armés, la gestion des ressources humaines et
financières, les techniques d’état-major, la formation à l’exercice de
l’autorité ainsi que la connaissance des institutions internationales qu’ils ont
pu découvrir notamment au travers d’une participation du CICR (Comité
international de la Croix-Rouge).
L’autre moitié du stage était consacrée à la tactique
générale et à la gestion d’un centre opérationnel, avec de multiples exercices
tactiques orientés sur des scénarios d’intervention dans un pays en crise.
Pour certains officiers stagiaires, ce stage a permis
de prendre conscience des nécessités de la gestion à distance des unités : «
cela va nous permettre d’être plus réactif lorsqu’un capitaine nous fait un
compte-rendu, parce que désormais nous comprenons qu’il a la pression du terrain
» indique le chef de bataillon Yeo Adama, commandant en second du GASPM (groupe
autonome de sécurité du premier ministre).
Au cours de ce DIO, toutes les composantes des FRCI
(armée de Terre, de l’Air et la Marine) ainsi que les sapeurs pompiers étaient
représentées. Ce fut l’occasion pour les formateurs d’encourager une cohésion et
une bonne compréhension entre ces officiers pour « qu’ils puissent travailler
de façon coordonnée à la défense de leur pays ». « C’est ce qu’il nous
fallait » témoigne le lieutenant de vaisseau Jacques Aipo Niassou,
commandant d’une unité de fusiliers marins commandos, avant de conclure en
précisant que « cette formation aura permis d’apprendre à mieux nous
connaître et à apporter plus de sérénité dans notre avenir ».
Par leurs actions de coopération, les EFS appuient
l’action de la force Licorne et participent activement à la préparation des
armées des pays de la CEDEAO et notamment celles de Côte d’Ivoire à effectuer
des actions de maintien de la paix au sein la Force africaine en attente (FAA).
Il s’agit du second stage de formation aux techniques d’état-major conduit par
les EFS au profit des officiers ivoiriens depuis le début de l’année.
Armée A mi-parcours de leur mission de 6 mois, les soldats du 1 er RT en Afghanistan font le point sur la situation, entre Épinal et Kaboul
Épinal. Ce sont près de 100 soldats spinaliens du 1 er Régiment de Tirailleurs qui ont rejoint l’Afghanistan en novembre dernier, laissant derrière eux famille et camarades. « On essaie de maintenir le bâtiment à flot en attendant que le régiment se réagrège », explique le lieutenant-colonel Chouan, chargé d’assurer le commandement de la caserne d’Épinal, anormalement vide de ses effectifs, deux autres missions étant aussi en cours au Liban et aux Émirats Arabes Unis.
Si parmi la force envoyée en Afghanistan, quelques officiers spécialistes sont basés à Kaboul, le plus gros des troupes a été mobilisé sur deux zones au nord-est de la capitale. Une quarantaine de tirailleurs se trouve ainsi dans le district de Surobi quand l’autre partie a pris ses quartiers à Tagab. Ils y sont en compagnie d’autres sections venues de toute la France, ce qui demande bien souvent un travail de coordination important, sans compter celle nécessaire avec les armées alliées.
Dans cette phase de transition où est engagé l’État-major, les soldats vosgiens surveillent plusieurs axes logistiques importants. « Ils ne sont pas en première ligne », précise le lieutenant-colonel Chouan.
« Ils apportent un soutien ou un appui aux hommes de la nouvelle armée afghane. » Ils sont donc moins exposés, « même si le risque zéro n’existe pas. »
Dans leur opération, les hommes mobilisés à Surobi peuvent compter sur la tenue de combat Felin, un équipement high-tech. À cela se rajoutent les VBCI. Utilisés depuis un an, ces blindés qui font la fierté du régiment offrent une puissance de feu supérieur et surtout une meilleure protection pour les hommes.
« Leur retour d’expérience sera intéressant lorsqu’ils reviendront », note le capitaine Brossard, qui était sur le front l’année dernière. « Pour l’instant, les hommes semblent satisfaits. »
En attendant de retrouver les Vosges, les soldats disposent des moyens de communication modernes pour rester en contact avec leurs proches. Ce dialogue avec la métropole est des plus importants pour eux.
Il est néanmoins toujours compliqué d’avoir des informations précises sur ce qui se passe sur le terrain, de par la nature « sensible » de ce théâtre d’opération, où 82 soldats des forces françaises ont été tués depuis 2001. Une « bulle » est d’ailleurs mise en place, réduisant voire bloquant momentanément toute communication, dès que surviennent des blessés ou des morts.
Dans ces cas-là, les soldats restés à Épinal jouent un rôle d’élément de liaison d’autant plus essentiel avec les familles, en les rassurant si nécessaire.
L’attente pour ces dernières ne devrait plus trop durer, puisque le retour à la maison est prévu pour le mois de mai ou de juin, sans date précise connue encore. Mais une nouvelle mission d’une durée de 6 mois est d’ores et déjà prévue pour 2013.
Ce sera peut-être la dernière, l’État ayant annoncé le retrait de ses 3.600 soldats d’ici la fin de l’année prochaine.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/04/02/les-nouvelles-du-front
Si parmi la force envoyée en Afghanistan, quelques officiers spécialistes sont basés à Kaboul, le plus gros des troupes a été mobilisé sur deux zones au nord-est de la capitale. Une quarantaine de tirailleurs se trouve ainsi dans le district de Surobi quand l’autre partie a pris ses quartiers à Tagab. Ils y sont en compagnie d’autres sections venues de toute la France, ce qui demande bien souvent un travail de coordination important, sans compter celle nécessaire avec les armées alliées.
Dans cette phase de transition où est engagé l’État-major, les soldats vosgiens surveillent plusieurs axes logistiques importants. « Ils ne sont pas en première ligne », précise le lieutenant-colonel Chouan.
« Ils apportent un soutien ou un appui aux hommes de la nouvelle armée afghane. » Ils sont donc moins exposés, « même si le risque zéro n’existe pas. »
Une nouvelle mission déjà prévue pour 2013
« Dans ce travail de sécurisation, il faut s’adapter aux Afghans, continue d’expliquer le lieutenant-colonel. Il y a une mentalité à comprendre et à changer. D’où la difficulté de parfois parvenir à convaincre. »Dans leur opération, les hommes mobilisés à Surobi peuvent compter sur la tenue de combat Felin, un équipement high-tech. À cela se rajoutent les VBCI. Utilisés depuis un an, ces blindés qui font la fierté du régiment offrent une puissance de feu supérieur et surtout une meilleure protection pour les hommes.
« Leur retour d’expérience sera intéressant lorsqu’ils reviendront », note le capitaine Brossard, qui était sur le front l’année dernière. « Pour l’instant, les hommes semblent satisfaits. »
En attendant de retrouver les Vosges, les soldats disposent des moyens de communication modernes pour rester en contact avec leurs proches. Ce dialogue avec la métropole est des plus importants pour eux.
Il est néanmoins toujours compliqué d’avoir des informations précises sur ce qui se passe sur le terrain, de par la nature « sensible » de ce théâtre d’opération, où 82 soldats des forces françaises ont été tués depuis 2001. Une « bulle » est d’ailleurs mise en place, réduisant voire bloquant momentanément toute communication, dès que surviennent des blessés ou des morts.
Dans ces cas-là, les soldats restés à Épinal jouent un rôle d’élément de liaison d’autant plus essentiel avec les familles, en les rassurant si nécessaire.
L’attente pour ces dernières ne devrait plus trop durer, puisque le retour à la maison est prévu pour le mois de mai ou de juin, sans date précise connue encore. Mais une nouvelle mission d’une durée de 6 mois est d’ores et déjà prévue pour 2013.
Ce sera peut-être la dernière, l’État ayant annoncé le retrait de ses 3.600 soldats d’ici la fin de l’année prochaine.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/04/02/les-nouvelles-du-front
mardi 3 avril 2012
lundi 2 avril 2012
Aviateurs et gendarmes côte à côte lors d’une opération de secours
Lundi 26 mars 2012, un équipage de l’escadron
d’hélicoptères «Alpilles», de la base aérienne 115 d’Orange, a porté secours à
un pilote de planeur accidenté dans la région de Gap.
L’équipage d’alerte SAR (search and rescue –
recherche et sauvetage) a été averti à 19h15 par le centre de coordination des
secours (RCC - Rescue coordination center) de l’armée de l’air, situé à
Lyon. Les deux pilotes, le mécanicien-treuilliste et un médecin du service
médical de la base ont embarqué à bord d’un hélicoptère Fennec et ont décollé à
20h05, soit 50 minutes seulement après l’alerte, direction le sud-ouest de Gap.
Arrivés sur les lieux, les aviateurs ont constaté qu’un hélicoptère de la
gendarmerie était en train d’hélitreuiller une équipe médicale depuis quelques
minutes à peine.
La nuit tombant, les pilotes de l’armée de l’air,
équipés de jumelles à vision nocturne (JVN), ont assisté le pilote de la
gendarmerie, seul pilote à bord de son appareil, dans les manœuvres de
sauvetage. «L’épave du planeur se trouvait dans une zone encaissée et
inaccessible qui empêchait l’équipe médicale au sol d’établir le contact radio
avec le RCC,raconte l’aspirant Joaquim Galland, l’un des pilotes du Fennec.
Nous sommes donc restés en survol de la zone afin de faire le relais entre
les secours et le centre de Lyon. L’équipe médicale a pu ainsi se consacrer
entièrement à la prise en charge de la victime.» L’hélicoptère de la
gendarmerie a ensuite récupéré son équipe et le patient afin de les transporter
vers l’hôpital le plus proche. Pendant toute la manœuvre, les aviateurs, équipés
de JVN, sont restés en appui en cas d’éventuel problème.
dimanche 1 avril 2012
Le porte-avions "Charles de Gaulle" en escale à Cannes
Le "Charles de Gaulle" est en escale à Cannes. Le porte-avions à propulsion nucléaire, fleuron de la Marine nationale française, est à l'ancre au large du Vieux-port depuis ce samedi matin. Il restera au mouillage jusqu'à ce dimanche soir.
Après une longue période d'entretien qui s'est effectuée à Toulon, son port d'attache, le navire commandé par le capitaine de vaisseau Olivier Lebas, est en phase d'entraînement en Méditerranée: les 1 700 membres d'équipage qui se trouvent à son bord depuis le 16 mars apprennent à travailler comme un seul homme. Une belle coordination qui ne s'acquiert cependant pas sans efforts. De jour comme de nuit, l'entraînement intensif devrait se poursuivre un bon mois.
C'est donc pour offrir quelques heures de repos bien méritées à ses marins et pilotes, que le "Charles" restera à Cannes jusqu'à demain soir. D'ici là, les marins auront eu le temps de poser les pieds à terre et, ceux dont les domiciles sont les plus proches, de retrouver leurs familles. Des familles qui, hier matin, les attendaient avec impatience sur le quai du large.
Ce dimanche à 17 heures, tous les permissionnaires devront se trouver à nouveau à bord. Ils reprendront alors le large et l'entraînement.
En attendant, le bâtiment de 261 mètres de long est le centre d'attraction des promeneurs du bord de mer cannois. C'est ........ LA SUITE SUR CE LIEN .......................
http://www.nicematin.com/derniere-minute/le-porte-avions-charles-de-gaulle-en-escale-a-cannes.832089.html
Après une longue période d'entretien qui s'est effectuée à Toulon, son port d'attache, le navire commandé par le capitaine de vaisseau Olivier Lebas, est en phase d'entraînement en Méditerranée: les 1 700 membres d'équipage qui se trouvent à son bord depuis le 16 mars apprennent à travailler comme un seul homme. Une belle coordination qui ne s'acquiert cependant pas sans efforts. De jour comme de nuit, l'entraînement intensif devrait se poursuivre un bon mois.
C'est donc pour offrir quelques heures de repos bien méritées à ses marins et pilotes, que le "Charles" restera à Cannes jusqu'à demain soir. D'ici là, les marins auront eu le temps de poser les pieds à terre et, ceux dont les domiciles sont les plus proches, de retrouver leurs familles. Des familles qui, hier matin, les attendaient avec impatience sur le quai du large.
Ce dimanche à 17 heures, tous les permissionnaires devront se trouver à nouveau à bord. Ils reprendront alors le large et l'entraînement.
En attendant, le bâtiment de 261 mètres de long est le centre d'attraction des promeneurs du bord de mer cannois. C'est ........ LA SUITE SUR CE LIEN .......................
http://www.nicematin.com/derniere-minute/le-porte-avions-charles-de-gaulle-en-escale-a-cannes.832089.html