mercredi 30 août 2017
mardi 29 août 2017
lundi 28 août 2017
dimanche 27 août 2017
Adieu Mon Colonel
- Le Lieutenant Colonel (ER) Minoli est décédé le 22 aout à Postua (Italie).
- Le cercueil est exposé dans une chambre funéraire au funérarium Roc Eclerc / 15 rue Maurice Prévoteau / 51100 Reims (10h-18h)....Les obsèques devraient avoir lieu mercredi 30 août à Bétheny
- J'attends la confirmation de cette date et l'heure des obsèques
samedi 26 août 2017
vendredi 25 août 2017
jeudi 24 août 2017
mercredi 23 août 2017
mardi 22 août 2017
lundi 21 août 2017
HK 416 F : Présentation du fusil d'assaut
On a vu hier le MAS 36, le MAT 49, le FSA 49/56 et voila le nouveau fusil d'assaut que remplace le FAMAS
dimanche 20 août 2017
MARCHE DU 35 ème DE BELFORT
Le 35 ! c'est mon premier régiment 1968 !
Sur une de ces photos je reconnais parfaitement la musique du régiment qui était à l'époque à la CEB (compagnie d'éclairage de brigade). Les musiciens étaient tous conducteurs ou tireurs de canons sans recul sur jeep
Sur une de ces photos je reconnais parfaitement la musique du régiment qui était à l'époque à la CEB (compagnie d'éclairage de brigade). Les musiciens étaient tous conducteurs ou tireurs de canons sans recul sur jeep
samedi 19 août 2017
vendredi 18 août 2017
jeudi 17 août 2017
mercredi 16 août 2017
mardi 15 août 2017
lundi 14 août 2017
dimanche 13 août 2017
samedi 12 août 2017
Les militaires du 35e RI « vont bien mais sont assez choqués »
Cédric Perrin, sénateur du Territoire de Belfort et vice-président de la commission de la défense et des forces armées au Sénat, a accompagné hier matin le colonel Charles Palu, commandant la 7e brigade blindée de Besançon, et le chef de corps du 35e régiment d’artillerie (RI) de Belfort, le lieutenant-colonel Christophe Richard, à l’hôpital militaire de Percy à Clamart (Hauts-de-Seine). Il s’est rendu au chevet des trois militaires du 35e RI encore hospitalisés à la suite de l’attentat perpétré mercredi à 8 h à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Les trois autres ont pu quitter l’hôpital mercredi.
Le sénateur a toutefois senti les trois hommes, « même s’ils ne le montrent pas, assez choqués. Ils ont en tous les cas hâte de pouvoir rentrer chez eux auprès de leur famille et leurs proches et de pouvoir retrouver leurs collègues ».
Les trois hommes ont profité de la visite pour louer l’efficacité et la qualité d’intervention des sapeurs-pompiers arrivés en moins de cinq minutes sur place.
« Au vu des circonstances, ils ne s’en sortent pas trop mal. Cela aurait pu être beaucoup plus grave », conclut Cédric Perrin
« Cela aurait pu être beaucoup plus grave »
« Ils vont bien », a résumé le sénateur qui précisait que l’un d’entre eux qui « souffre d’une fracture de la clavicule pourra sortir cet après-midi [vendredi après-midi : NDLR]. » Les deux autres plus gravement touchés, « ils souffrent notamment de problèmes aux vertèbres et au dos » devront encore patienter.Le sénateur a toutefois senti les trois hommes, « même s’ils ne le montrent pas, assez choqués. Ils ont en tous les cas hâte de pouvoir rentrer chez eux auprès de leur famille et leurs proches et de pouvoir retrouver leurs collègues ».
Les trois hommes ont profité de la visite pour louer l’efficacité et la qualité d’intervention des sapeurs-pompiers arrivés en moins de cinq minutes sur place.
« Au vu des circonstances, ils ne s’en sortent pas trop mal. Cela aurait pu être beaucoup plus grave », conclut Cédric Perrin
- Edition Belfort-Héricourt-Montbéliardhttp://www.estrepublicain.fr/defense
vendredi 11 août 2017
jeudi 10 août 2017
Le 35e RI frappé en plein cœur
Pas de déclarations et portes hermétiquement closes. C’est silence radio au quartier Maud’Huy qui abrite le 35e régiment d’infanterie de Belfort. Même le standard est aux abonnés absents.
Aucun des militaires qui franchissent les grilles ne se risque à émettre le moindre commentaire sur l’attentat perpétré à 8 h à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) contre six de leurs collègues en mission pour l’opération Sentinelle. « L’As de Trèfle », surnom du régiment, a été touché en plein cœur.
Dès que la barrière s’ouvre pour laisser passer une fournée de militaires ayant achevé leur service, c’est d’un pas pressé que ceux-ci s’éloignent. Main tendue, le refus est poli envers les journalistes : « on n’a pas envie de parler ! »
Et puis, le mot d’ordre est clair, finit par révéler l’un d’eux. C’est l’état-major qui a la parole. Et en cette fin d’après-midi, des nouvelles plus rassurantes sur les blessés sont parvenues au quartier Maud’Huy. « C’est moins grave qu’on ne le craignait de prime abord » soupire un des « Gaillards » du 35.
« Ce sont aussi les risques du métier. Cet événement vient nous rappeler qu’il faut être encore plus vigilant. » Et les familles ? « Elles sont prévenues et certaines sont déjà parties à Paris. »
Quant à la colère supposée des soldats envers l’agresseur, il relativise : « à qui voulez-vous qu’on en veuille, on ne sait même pas qui c’est ni ce qu’il voulait, ce type. Il a été arrêté. Il est blessé. » Un autre consent à sourire : « J’espère pour lui qu’ils ne l’ont pas amené à Percy ou Clamart où sont hospitalisés nos camarades… ».
Même si certains habitants ignorent la nouvelle, c’est généralement la consternation dans le quartier.
« C’est triste. Aujourd’hui, le risque est partout, mais on est encore plus sensibilisé quand un tel événement atteint un régiment de notre ville » indique Dominique Siess, qui vit depuis 2002 dans le quartier des Glacis où se trouve la caserne.
Depuis la mise en œuvre de l’opération Sentinelle en janvier 2015, le 35e a largement contribué à cette mission de surveillance du territoire national, à Paris comme en province.
En 2016, deux cents Gaillards de l’active et de la réserve y ont participé. Principe majeur : faire intervenir en un lieu donné des troupes venues d’autres régions afin d’éviter d’éventuelles représailles contre les familles.
Il suffit de parcourir les rues avoisinantes pour se rendre compte combien le 35e est apprécié dans le quartier. Alain Dechoz, 70 ans se souvient y avoir fait son service militaire, d’abord au fort Hatry, puis à la caserne Friederichs.
À la pharmacie toute proche de la caserne, Corinne Laforge accueille souvent des militaires : « ils représentent une bonne proportion de la clientèle ».
Fille et cousine de militaire, Séverine Kiblaire, 31 ans, domiciliée à Froidefontaine, voit remonter ses souvenirs d’une enfance vécue dans le quartier : « Quand j’étais petite, j’allais chaque année aux portes ouvertes du régiment. On pouvait même monter dans des chars. Je me souviens aussi quand on est allés à l’inauguration du nouveau bâtiment en 1989. Je ne connais pas personnellement les soldats blessés, mais quand j’ai appris la nouvelle, ça m’a fait de la peine. Malheureusement, on ne pourra jamais l’empêcher. On peut aussi se demander si en patrouillant ainsi, ils ne sont pas trop exposés, trop visibles. »
Le 35e RI frappé en plein cœurhttp://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2017/08/10/le-35e-ri-frappe-en-plein-coeur
Aucun des militaires qui franchissent les grilles ne se risque à émettre le moindre commentaire sur l’attentat perpétré à 8 h à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) contre six de leurs collègues en mission pour l’opération Sentinelle. « L’As de Trèfle », surnom du régiment, a été touché en plein cœur.
Dès que la barrière s’ouvre pour laisser passer une fournée de militaires ayant achevé leur service, c’est d’un pas pressé que ceux-ci s’éloignent. Main tendue, le refus est poli envers les journalistes : « on n’a pas envie de parler ! »
Et puis, le mot d’ordre est clair, finit par révéler l’un d’eux. C’est l’état-major qui a la parole. Et en cette fin d’après-midi, des nouvelles plus rassurantes sur les blessés sont parvenues au quartier Maud’Huy. « C’est moins grave qu’on ne le craignait de prime abord » soupire un des « Gaillards » du 35.
« Ce sont aussi les risques du métier. Cet événement vient nous rappeler qu’il faut être encore plus vigilant. » Et les familles ? « Elles sont prévenues et certaines sont déjà parties à Paris. »
Quant à la colère supposée des soldats envers l’agresseur, il relativise : « à qui voulez-vous qu’on en veuille, on ne sait même pas qui c’est ni ce qu’il voulait, ce type. Il a été arrêté. Il est blessé. » Un autre consent à sourire : « J’espère pour lui qu’ils ne l’ont pas amené à Percy ou Clamart où sont hospitalisés nos camarades… ».
Même si certains habitants ignorent la nouvelle, c’est généralement la consternation dans le quartier.
« C’est triste. Aujourd’hui, le risque est partout, mais on est encore plus sensibilisé quand un tel événement atteint un régiment de notre ville » indique Dominique Siess, qui vit depuis 2002 dans le quartier des Glacis où se trouve la caserne.
Depuis la mise en œuvre de l’opération Sentinelle en janvier 2015, le 35e a largement contribué à cette mission de surveillance du territoire national, à Paris comme en province.
En 2016, deux cents Gaillards de l’active et de la réserve y ont participé. Principe majeur : faire intervenir en un lieu donné des troupes venues d’autres régions afin d’éviter d’éventuelles représailles contre les familles.
Il suffit de parcourir les rues avoisinantes pour se rendre compte combien le 35e est apprécié dans le quartier. Alain Dechoz, 70 ans se souvient y avoir fait son service militaire, d’abord au fort Hatry, puis à la caserne Friederichs.
À la pharmacie toute proche de la caserne, Corinne Laforge accueille souvent des militaires : « ils représentent une bonne proportion de la clientèle ».
Fille et cousine de militaire, Séverine Kiblaire, 31 ans, domiciliée à Froidefontaine, voit remonter ses souvenirs d’une enfance vécue dans le quartier : « Quand j’étais petite, j’allais chaque année aux portes ouvertes du régiment. On pouvait même monter dans des chars. Je me souviens aussi quand on est allés à l’inauguration du nouveau bâtiment en 1989. Je ne connais pas personnellement les soldats blessés, mais quand j’ai appris la nouvelle, ça m’a fait de la peine. Malheureusement, on ne pourra jamais l’empêcher. On peut aussi se demander si en patrouillant ainsi, ils ne sont pas trop exposés, trop visibles. »
Le 35e RI frappé en plein cœurhttp://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2017/08/10/le-35e-ri-frappe-en-plein-coeur
mercredi 9 août 2017
Agression de Levallois Perret
Armée de Terre
Levallois nos pensées sont tournées vers nos fantassins du 35e régiment d'infanterie. Nous assurons à leurs familles et proches notre entier soutien.
Levallois nos pensées sont tournées vers nos fantassins du 35e régiment d'infanterie. Nous assurons à leurs familles et proches notre entier soutien.
mardi 8 août 2017
lundi 7 août 2017
dimanche 6 août 2017
samedi 5 août 2017
vendredi 4 août 2017
Décès accidentel de l’un de ses sous-officiers, l’adjudant François WOIGNIER.
11° Brigade Parachutiste
Mercredi 2 août 2017, le 3e RPIMa annonçait avec douleur le décès accidentel de l’un de ses sous-officiers, l’adjudant François WOIGNIER.
Un hommage militaire lui sera rendu mardi 8 août à la caserne Laperrine de Carcassonne. Se voulant intime, cette cérémonie ne sera pas ouverte au public.
L’adjudant François WOIGNIER s’était engagé dans l’armée à l’âge de 21 ans. Il avait débuté comme parachutiste de deuxième classe, avant de devenir adjudant et chef de section au cours d’une carrière exemplaire portée par des valeurs de courage, d’honneur et de fraternité, qui l’a conduit à participer à 11 missions extérieures et opérations, au Gabon, en Nouvelle-Calédonie, au Kosovo, au Tchad, en Guyane et en Centrafrique. Il a également participé à la mission Sentinelle.
Ses proches disent de lui que «c’était un passionné. Il avait des étoiles dans les yeux quand il parlait de son métier.»
Il laisse l’image d’un sous-officier courageux et exemplaire au parcours remarquable, d’un chef et camarade dynamique et souriant, apprécié de tous.
L’adjudant François Woignier était marié et père d’un enfant de 6 ans.
jeudi 3 août 2017
mercredi 2 août 2017
Tarn-et-Garonne: mort d'un soldat dans un accident de blindé
Un soldat est mort ce matin dans un accident de blindé survenu au cours d'un exercice dans le camp militaire de Caylus, dans le Tarn-et-Garonn, a indiqué une source officielle.
Le chef de bord d'un véhicule de l'avant blindé (VAB) a péri quand son engin s'est retourné lors d'un exercice de conduite sur une piste à l'intérieur du camp de Caylus, pour une raison encore inconnue, a précisé à l'AFP un porte-parole du Sirpa-Terre.
La victime est un sous-officier du 3ème régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) basé à Carcassonne, qui n'était pas aux commandes du blindé lors de l'accident. Les autres passagers de l'engin n'ont pas été blessés, a ajouté la même source.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l'accident.
"L'armée de Terre s'associe à la douleur de la famille, des proches et de tous les frères d'arme du sous-officier décédé et les assure de son soutien", ajoute le Sirpa-Terre dans un communiqué publié en fin d'après-midi.
Le chef de bord d'un véhicule de l'avant blindé (VAB) a péri quand son engin s'est retourné lors d'un exercice de conduite sur une piste à l'intérieur du camp de Caylus, pour une raison encore inconnue, a précisé à l'AFP un porte-parole du Sirpa-Terre.
La victime est un sous-officier du 3ème régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) basé à Carcassonne, qui n'était pas aux commandes du blindé lors de l'accident. Les autres passagers de l'engin n'ont pas été blessés, a ajouté la même source.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l'accident.
"L'armée de Terre s'associe à la douleur de la famille, des proches et de tous les frères d'arme du sous-officier décédé et les assure de son soutien", ajoute le Sirpa-Terre dans un communiqué publié en fin d'après-midi.
- Flash ActuFlash Acthttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
mardi 1 août 2017
Le général Lecointre rend un hommage appuyé à Pierre de Villiers
Le nouveau chef d'état-major des armées a rendu aujourd'hui un hommage appuyé à son prédécesseur, le général Pierre de Villiers, qui a démissionné après une passe d'armes avec le gouvernement sur le budget de la Défense, tout en se disant déterminé à s'inscrire dans la "dynamique volontariste" du président Emmanuel Macron.
» Lire aussi - Démission du général Pierre de Villiers: «Il a sauvé son honneur»
"Je tiens à rendre hommage à mon prédécesseur, le général d'armée Pierre de Villiers, qui a mis toute son énergie à enrayer le phénomène de fragilisation des armées, conséquence d'une purge budgétaire d'une dizaine d'années liée à l'absence de perception des menaces", déclare le général François Lecointre dans son premier ordre du jour aux armées.
"Sa lucidité, son énergie et son infatigable engagement à convaincre le plus haut niveau politique de la dangerosité de la nouvelle ère qui s'ouvrait ont entraîné l'inflexion majeure du redressement de nos armées et du réarmement moral de notre société", ajoute-t-il.
Le général Lecointre, qui reconnaît que sa promotion tient à des "circonstances particulières", indique vouloir poursuivre ce qui a été entrepris et se dit pour cela "déterminé à (s)'inscrire dans la dynamique volontariste du président de la République et agissant en appui direct de notre ministre".
"Je veux affirmer le positionnement des armées au cÅ“ur de leur ministère, consacrer l'efficacité opérationnelle comme principe premier de son organisation et restaurer la responsabilité organique des chefs militaires de tous niveaux", dit-il encore dans cette déclaration diffusée sur les réseaux sociaux.
Le général de Villiers a démissionné le 19 juillet après avoir été sévèrement recadré par le chef de l'Etat pour avoir critiqué des coupes dans le budget des armées dans le cadre des économies annoncées par le gouvernement pour atteindre l'objectif d'un déficit public sous 3% du PIB cette année.
Le président de la République a depuis assuré que le ministère des Armées serait le seul à bénéficier d'une augmentation de crédits en 2018, à hauteur de 1,8 milliard d'euros, et confirmé son ambition de porter ce budget à 2,0% du PIB à l'horizon 2025.
» Lire aussi - Démission du général Pierre de Villiers: «Il a sauvé son honneur»
"Je tiens à rendre hommage à mon prédécesseur, le général d'armée Pierre de Villiers, qui a mis toute son énergie à enrayer le phénomène de fragilisation des armées, conséquence d'une purge budgétaire d'une dizaine d'années liée à l'absence de perception des menaces", déclare le général François Lecointre dans son premier ordre du jour aux armées.
"Sa lucidité, son énergie et son infatigable engagement à convaincre le plus haut niveau politique de la dangerosité de la nouvelle ère qui s'ouvrait ont entraîné l'inflexion majeure du redressement de nos armées et du réarmement moral de notre société", ajoute-t-il.
Le général Lecointre, qui reconnaît que sa promotion tient à des "circonstances particulières", indique vouloir poursuivre ce qui a été entrepris et se dit pour cela "déterminé à (s)'inscrire dans la dynamique volontariste du président de la République et agissant en appui direct de notre ministre".
"Je veux affirmer le positionnement des armées au cÅ“ur de leur ministère, consacrer l'efficacité opérationnelle comme principe premier de son organisation et restaurer la responsabilité organique des chefs militaires de tous niveaux", dit-il encore dans cette déclaration diffusée sur les réseaux sociaux.
Le général de Villiers a démissionné le 19 juillet après avoir été sévèrement recadré par le chef de l'Etat pour avoir critiqué des coupes dans le budget des armées dans le cadre des économies annoncées par le gouvernement pour atteindre l'objectif d'un déficit public sous 3% du PIB cette année.
Le président de la République a depuis assuré que le ministère des Armées serait le seul à bénéficier d'une augmentation de crédits en 2018, à hauteur de 1,8 milliard d'euros, et confirmé son ambition de porter ce budget à 2,0% du PIB à l'horizon 2025.
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