Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls et le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian se sont rendus aujourd'hui au Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) à Satory (Yvelines) afin de récompenser cette unité pour son rôle en Afghanistan. Il s'agissait de la première visite conjointe d'un ministre de l'Intérieur et d'un ministre de la Défense au GIGN depuis sa création en 1974.
Le groupe d'intervention s'est particulièrement distingué fin 2011 et, en 2012 à la suite de l'annonce du désengagement progressif des troupes françaises d'Afghanistan. Il a notamment permis de déjouer en Kapisa, une province au nord-est de Kaboul anciennement sous contrôle de l'armée française, "une attaque de l'insurrection évitant de nombreuses pertes parmi nos forces militaires", selon la citation lue lors de la remise de "la Croix de la Valeur militaire avec palme de bronze" au drapeau du GIGN.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/31/97001-20130731FILWWW00471-vallsle-drian-visite-au-gign.php
Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
mercredi 31 juillet 2013
Plus de 1000 personnes ont signé la pétition pour le « 3 »
Depuis que notre journal a révélé que le « 3 » était sur la sellette, dans le cadre de la Loi de programmation militaire qui doit être connue ce vendredi, les Carolos et plus largement les Ardennais se mobilisent pour montrer leur attachement au régiment.
La caserne Dumerbion, forte d'environ 1 200 militaires, qui représentent 2 000 habitants avec conjoints et enfants, est essentielle au chef-lieu. À ses commerces, ses services, ses écoles ou ses entreprises. Des chiffres remontant à 2008, lors du premier coup de semonce sur le « 3 », révélaient que les militaires injectent chaque année environ 30 millions d'euros dans la ville.
Les élus ont réagi mardi à la nouvelle menace. Bérengère Poletti a pris la plume pour alerter le président de la République et le ministre de la Défense des énormes enjeux locaux, et de la nécessité de préserver le régiment. Jean-Luc Warsmann et Claudine Ledoux ont apporté hier leur soutien au « 3 » (lire par ailleurs) Boris Ravignon a pour sa part lancé une pétition, d'abord uniquement sur internet (dès lundi après-midi), et depuis mardi en ville.
En ville et sur le web
Des équipes du conseiller général UMP ont sillonné tout l'après-midi plusieurs quartiers du chef-lieu (Mézières, Faubourg de Pierre, Mohon et le centre-ville). Elles ont sensibilisé les piétons et déposé des pétitions chez les commerçants, la plupart du temps très réceptifs. Mardi soir, le texte avait obtenu près de 400 signatures dans les rues. Quant à sa version numérique, partagée un grand nombre de fois sur les réseaux sociaux, elle avait été signée par environ 700 personnes. De tous bords, est-il besoin de le préciser.
On a vu ainsi de nombreuses personnalités « étiquetées » à gauche, comme des artistes ou des politiques (c'est le cas de Laurent Bouvier, élu du Parti de gauche dans la Pointe), signer et appeler à signer le texte.
Pour mémoire, sous le titre « Défendons le 3e régiment du Génie à Charleville-Mézières », la pétition se présente ainsi : « Vendredi 2 août, le conseil des ministres doit adopter le projet de loi de programmation militaire. Les informations ne sont pas bonnes : le 3e régiment du Génie pourrait être supprimé. Cette décision serait une mise à mort pour Charleville-Mézières. Le 3e RG, c'est plus de 1 200 emplois directs dans notre ville. Le départ des militaires signifierait la perte de centaines d'usagers pour les services publics de la ville, les crèches, les écoles… Refusons tous ensemble et mobilisons-nous ! ». Jusqu'à jeudi, la pétition va être distribuée un peu partout en ville. Puis un décompte sera fait jeudi soir. Le nombre de signatures sera transmis, avec le texte, à François Hollande, chef des armées, le vendredi 2 août, jour où la Loi de programmation militaire sera dévoilée.
http://www.lunion.presse.fr/region/plus-de-1000-personnes-ont-signe-la-petition-pour-le-3-jna17b0n167094
La caserne Dumerbion, forte d'environ 1 200 militaires, qui représentent 2 000 habitants avec conjoints et enfants, est essentielle au chef-lieu. À ses commerces, ses services, ses écoles ou ses entreprises. Des chiffres remontant à 2008, lors du premier coup de semonce sur le « 3 », révélaient que les militaires injectent chaque année environ 30 millions d'euros dans la ville.
Les élus ont réagi mardi à la nouvelle menace. Bérengère Poletti a pris la plume pour alerter le président de la République et le ministre de la Défense des énormes enjeux locaux, et de la nécessité de préserver le régiment. Jean-Luc Warsmann et Claudine Ledoux ont apporté hier leur soutien au « 3 » (lire par ailleurs) Boris Ravignon a pour sa part lancé une pétition, d'abord uniquement sur internet (dès lundi après-midi), et depuis mardi en ville.
En ville et sur le web
Des équipes du conseiller général UMP ont sillonné tout l'après-midi plusieurs quartiers du chef-lieu (Mézières, Faubourg de Pierre, Mohon et le centre-ville). Elles ont sensibilisé les piétons et déposé des pétitions chez les commerçants, la plupart du temps très réceptifs. Mardi soir, le texte avait obtenu près de 400 signatures dans les rues. Quant à sa version numérique, partagée un grand nombre de fois sur les réseaux sociaux, elle avait été signée par environ 700 personnes. De tous bords, est-il besoin de le préciser.
On a vu ainsi de nombreuses personnalités « étiquetées » à gauche, comme des artistes ou des politiques (c'est le cas de Laurent Bouvier, élu du Parti de gauche dans la Pointe), signer et appeler à signer le texte.
Pour mémoire, sous le titre « Défendons le 3e régiment du Génie à Charleville-Mézières », la pétition se présente ainsi : « Vendredi 2 août, le conseil des ministres doit adopter le projet de loi de programmation militaire. Les informations ne sont pas bonnes : le 3e régiment du Génie pourrait être supprimé. Cette décision serait une mise à mort pour Charleville-Mézières. Le 3e RG, c'est plus de 1 200 emplois directs dans notre ville. Le départ des militaires signifierait la perte de centaines d'usagers pour les services publics de la ville, les crèches, les écoles… Refusons tous ensemble et mobilisons-nous ! ». Jusqu'à jeudi, la pétition va être distribuée un peu partout en ville. Puis un décompte sera fait jeudi soir. Le nombre de signatures sera transmis, avec le texte, à François Hollande, chef des armées, le vendredi 2 août, jour où la Loi de programmation militaire sera dévoilée.
http://www.lunion.presse.fr/region/plus-de-1000-personnes-ont-signe-la-petition-pour-le-3-jna17b0n167094
[SERVAL] Décès du brigadier-chef Martin-Vall
Le brigadier-chef MARTIN-VALLET était engagé au Mali depuis le 30 mai 2013 dans le cadre de l'opération SERVAL où il remplissait la fonction de spécialiste manutention transport. Mardi 30 juillet, en fin d'après-midi, il a été victime, à bord de son véhicule de transport logistique (VTL), d'un accident mortel à une vingtaine de kilomètres au Nord-Est de Douentza. Lors d'un convoi logistique en direction de Bamako, son véhicule a versé dans un fossé aprés avoir cherché à éviter une ornière. Au cours de cette mission, le brigadier-chef est décédé et un soldat a été blessé. Les deux militaires ont été évacués vers l'antenne chirurgicale de Gao.
Né le 22 novembre 1984 à Saint-Denis (93), le brigadier-chef Marc MARTIN-VALLET aura servi la France durant près de sept ans. À 22 ans, le 24 octobre 2006, après avoir obtenu un bac professionnel comptabilité, il souscrit pour cinq ans un contrat d'engagé volontaire de l'armée de Terre au CIRAT (centre d'information et de recrutement de l'armée de Terre) de Dunkerque (59). Le 7 novembre 2006, il rejoint le 515e régiment du train à Brie (16) ; il y débute alors sa formation initiale pour une durée de 2 mois durant laquelle il fait preuve d'un fort potentiel et de prédispositions pour le métier remarqués par sa hiérarchie. Le 1er juin 2007, il est élevé à la distinction de 1re classe et est affecté à l'escadron de transport n°4. Engagé discipliné et volontaire, il y occupe la fonction de citernier tactique et obtient le 6 mars 2008 son certificat technique élémentaire (CTE) "gradé d'escouade" dans le domaine mouvement ravitaillements.
De mai à septembre 2008, il est désigné pour participer à l'opération TRIDENT au Kosovo en qualité de citernier tactique, contribuant au ravitaillement et au soutien en carburant de la Task Force Nord. Il exécute brillamment les tâches qui lui sont confiées et montre de solides connaissances de son matériel qu'il met avec enthousiasme et grand professionnalisme au service de l'accomplissement de la mission.
Dès son retour, s'appuyant sur un travail rigoureux et une forte motivation, il suit, du 1er décembre 2008 au 6 février 2009, la formation générale élémentaire (FGE) à l'issue de laquelle il obtient d'excellents résultats. Le 1er juillet 2010, il est nommé au grade de brigadier et obtient, le 1er septembre de la même année, son certificat de qualification technique dans la spécialité mouvements ravitaillements. De mai à septembre 2011, il est projeté avec son escadron au Liban dans le cadre de l'opération DAMAN XV FINUL. Durant cette nouvelle mission en tant que citernier tactique, ses chefs saluent, une fois de plus, son exemplarité.
À l'issue de sa mission, il ne cesse de se perfectionner et d'accroître ses compétences techniques et tactiques. Il confirme qu'il est un soldat solide et déterminé, expérimenté et aguerri. Ses qualités sont
unanimement reconnues : ses États de service sont donc récompensés par une promotion au grade de brigadier-chef le 1er octobre 2012.
Il s'agit du 7e militaire français mort pour la France au Mali.
Le brigadier-chef MARTIN-VALLET était titulaire de la médaille d'outre-mer avec agrafe Liban, de la médaille d'argent de la défense nationale, de la médaille commémorative française avec agrafe Ex-Yougoslavie, et de la médaille non Article 5 de l'Otan.
Le brigadier-chef Marc MARTIN-VALLET vivait en concubinage et n'avait pas d'enfant.
Âgé de 28 ans, il a été tué dans l'accomplissement de sa mission au service de la France.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/serval-deces-du-brigadier-chef-martin-vallet
Né le 22 novembre 1984 à Saint-Denis (93), le brigadier-chef Marc MARTIN-VALLET aura servi la France durant près de sept ans. À 22 ans, le 24 octobre 2006, après avoir obtenu un bac professionnel comptabilité, il souscrit pour cinq ans un contrat d'engagé volontaire de l'armée de Terre au CIRAT (centre d'information et de recrutement de l'armée de Terre) de Dunkerque (59). Le 7 novembre 2006, il rejoint le 515e régiment du train à Brie (16) ; il y débute alors sa formation initiale pour une durée de 2 mois durant laquelle il fait preuve d'un fort potentiel et de prédispositions pour le métier remarqués par sa hiérarchie. Le 1er juin 2007, il est élevé à la distinction de 1re classe et est affecté à l'escadron de transport n°4. Engagé discipliné et volontaire, il y occupe la fonction de citernier tactique et obtient le 6 mars 2008 son certificat technique élémentaire (CTE) "gradé d'escouade" dans le domaine mouvement ravitaillements.
De mai à septembre 2008, il est désigné pour participer à l'opération TRIDENT au Kosovo en qualité de citernier tactique, contribuant au ravitaillement et au soutien en carburant de la Task Force Nord. Il exécute brillamment les tâches qui lui sont confiées et montre de solides connaissances de son matériel qu'il met avec enthousiasme et grand professionnalisme au service de l'accomplissement de la mission.
Dès son retour, s'appuyant sur un travail rigoureux et une forte motivation, il suit, du 1er décembre 2008 au 6 février 2009, la formation générale élémentaire (FGE) à l'issue de laquelle il obtient d'excellents résultats. Le 1er juillet 2010, il est nommé au grade de brigadier et obtient, le 1er septembre de la même année, son certificat de qualification technique dans la spécialité mouvements ravitaillements. De mai à septembre 2011, il est projeté avec son escadron au Liban dans le cadre de l'opération DAMAN XV FINUL. Durant cette nouvelle mission en tant que citernier tactique, ses chefs saluent, une fois de plus, son exemplarité.
À l'issue de sa mission, il ne cesse de se perfectionner et d'accroître ses compétences techniques et tactiques. Il confirme qu'il est un soldat solide et déterminé, expérimenté et aguerri. Ses qualités sont
unanimement reconnues : ses États de service sont donc récompensés par une promotion au grade de brigadier-chef le 1er octobre 2012.
Il s'agit du 7e militaire français mort pour la France au Mali.
Le brigadier-chef MARTIN-VALLET était titulaire de la médaille d'outre-mer avec agrafe Liban, de la médaille d'argent de la défense nationale, de la médaille commémorative française avec agrafe Ex-Yougoslavie, et de la médaille non Article 5 de l'Otan.
Le brigadier-chef Marc MARTIN-VALLET vivait en concubinage et n'avait pas d'enfant.
Âgé de 28 ans, il a été tué dans l'accomplissement de sa mission au service de la France.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/serval-deces-du-brigadier-chef-martin-vallet
Mali: un soldat français meurt dans un accident de la route
Un militaire français de l'opération Serval a trouvé la mort et un autre a été blessé dans un accident de la route survenu mardi dans le centre du Mali, a annoncé mercredi le ministère de la Défense.
Dans un communiqué, le ministère fait état de «la mort accidentelle du brigadier-chef Marc Martin-Vallet, 28 ans, sur une piste à une vingtaine de kilomètres de Douentza». Il appartenait au 515e régiment du train (camp de la Braconne, Charente). «L'un de ses camarades a été blessé dans l'accident. Son pronostic vital n'est pas engagé», précise-t-on de même source, indiquant que le véhicule de transport logistique qui transportait ces deux militaires a «versé dans un fossé».
http://www.20minutes.fr/article/1194437/20130731-mali-soldat-francais-meurt-accident-route
Dans un communiqué, le ministère fait état de «la mort accidentelle du brigadier-chef Marc Martin-Vallet, 28 ans, sur une piste à une vingtaine de kilomètres de Douentza». Il appartenait au 515e régiment du train (camp de la Braconne, Charente). «L'un de ses camarades a été blessé dans l'accident. Son pronostic vital n'est pas engagé», précise-t-on de même source, indiquant que le véhicule de transport logistique qui transportait ces deux militaires a «versé dans un fossé».
http://www.20minutes.fr/article/1194437/20130731-mali-soldat-francais-meurt-accident-route
Mali : un militaire français mort et un autre blessé
Le ministère de la Défense annonce la mort d'un militaire français au Mali, ainsi qu'un blessé, dans un accident de la route.
Des infos à suivre...
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/31/97001-20130731FILWWW00260-mali-un-militaire-francais-mort-et-un-autre-blesse.php
Des infos à suivre...
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/31/97001-20130731FILWWW00260-mali-un-militaire-francais-mort-et-un-autre-blesse.php
mardi 30 juillet 2013
Le Département veut sauver le 3e Génie
ARDENNES. Alors que le « 3 » est menacé, Benoît Huré rappelle que le conseil général soutient financièrement le régiment depuis trente ans. Et qu'il s'apprête à lui offrir un nouvel équipement d'un coût de 2,5 millions d'euros.
LA main sur le cœur, c'est bien, mais la main à la poche, c'est encore mieux. Pour conserver « ses » militaires, le conseil général a souvent puisé dans ses caisses. Et il doit justement à nouveau le faire, début 2014, pour financer une aire militaire de franchissement de la Meuse, à Nouvion-sur-Meuse. Coût de l'opération : 2,5 millions. Autant dire une somme, lorsqu'on connaît l'état des finances départementales.
Jacques Sourdille s'était aussi mobilisé
Ayant découvert qu'une épée de Damoclès plane au-dessus de la caserne Dumerbion (nos éditions d'hier), Benoît Huré demande désormais des garanties. Histoire de ne pas faire payer aux contribuables ardennais un outil qui se révélerait, à peine construit, déjà inutile. « Au printemps 2008, se souvient Benoît Huré, lors de la forte mobilisation pour sauver le « 3 », nous avions rencontré (les cinq parlementaires ardennais, ndlr) le ministre de la Défense Hervé Morin. La discussion avait été très tendue. Au terme de la négociation, nous nous étions engagés, si le régiment ne fermait pas, à accompagner ses projets. C'est ce que nous faisons avec l'aire de franchissement de la Meuse. Après de nombreuses études, les travaux vont commencer dans quelques mois, et nous en supportons seuls la facture. » (*) Refusant à la fois le départ des militaires et la construction d'un équipement qui ne servirait à rien, le président du conseil général s'apprête à solliciter un rendez-vous au ministère de la Défense. « Des engagements ont été pris, il faut les respecter », insiste Benoît Huré. Ce dernier rappelle que ce n'est pas la première fois que les Ardennes soutiennent le 3e RG. « Dans les années 80, déjà pour maintenir le « 3 », le président Sourdille avait décidé dans l'urgence de racheter le château d'Hagnicourt. Il s'agissait de doter le régiment d'un terrain d'entraînement, puisqu'il n'en avait pas. C'est grâce au conseil général que les militaires disposent aujourd'hui d'un terrain prestigieux de 350 hectares. » Inquiet à l'idée que le millier d'« hommes » du Génie quitte Charleville, Benoît Huré appelle donc les Ardennais et les élus de tous bords à se mobiliser. Mais il prévient : « Si l'on trouve un accord, il sera forcément financier ».
http://www.lunion.presse.fr/economie-region/le-departement-veut-sauver-le-3e-genie-jna0b0n166451
LA main sur le cœur, c'est bien, mais la main à la poche, c'est encore mieux. Pour conserver « ses » militaires, le conseil général a souvent puisé dans ses caisses. Et il doit justement à nouveau le faire, début 2014, pour financer une aire militaire de franchissement de la Meuse, à Nouvion-sur-Meuse. Coût de l'opération : 2,5 millions. Autant dire une somme, lorsqu'on connaît l'état des finances départementales.
Jacques Sourdille s'était aussi mobilisé
Ayant découvert qu'une épée de Damoclès plane au-dessus de la caserne Dumerbion (nos éditions d'hier), Benoît Huré demande désormais des garanties. Histoire de ne pas faire payer aux contribuables ardennais un outil qui se révélerait, à peine construit, déjà inutile. « Au printemps 2008, se souvient Benoît Huré, lors de la forte mobilisation pour sauver le « 3 », nous avions rencontré (les cinq parlementaires ardennais, ndlr) le ministre de la Défense Hervé Morin. La discussion avait été très tendue. Au terme de la négociation, nous nous étions engagés, si le régiment ne fermait pas, à accompagner ses projets. C'est ce que nous faisons avec l'aire de franchissement de la Meuse. Après de nombreuses études, les travaux vont commencer dans quelques mois, et nous en supportons seuls la facture. » (*) Refusant à la fois le départ des militaires et la construction d'un équipement qui ne servirait à rien, le président du conseil général s'apprête à solliciter un rendez-vous au ministère de la Défense. « Des engagements ont été pris, il faut les respecter », insiste Benoît Huré. Ce dernier rappelle que ce n'est pas la première fois que les Ardennes soutiennent le 3e RG. « Dans les années 80, déjà pour maintenir le « 3 », le président Sourdille avait décidé dans l'urgence de racheter le château d'Hagnicourt. Il s'agissait de doter le régiment d'un terrain d'entraînement, puisqu'il n'en avait pas. C'est grâce au conseil général que les militaires disposent aujourd'hui d'un terrain prestigieux de 350 hectares. » Inquiet à l'idée que le millier d'« hommes » du Génie quitte Charleville, Benoît Huré appelle donc les Ardennais et les élus de tous bords à se mobiliser. Mais il prévient : « Si l'on trouve un accord, il sera forcément financier ».
http://www.lunion.presse.fr/economie-region/le-departement-veut-sauver-le-3e-genie-jna0b0n166451
lundi 29 juillet 2013
Restructuration des armées : le 3e Génie sur la sellette
APRÈS les déboires du CSSA, on pensait que les Ardennais avaient eu leur quota de mauvaises nouvelles pour 2013. Il n'en est rien. Depuis quelques jours, l'inquiétude s'est déplacée du stade Dugauguez à la caserne Dumerbion de Charleville-Mézières. Un fonctionnaire proche des militaires évoque « un grand pessimisme » sous les képis carolos. L'information est venue de Paris. Elle a été transmise de manière officieuse à Benoît Huré. Le président du conseil général, qui se dit « très préoccupé », en a informé plusieurs élus. Selon lui, le « 3 » figure parmi les sites condamnés dans la prochaine Loi de programmation militaire (LPM), qui sera dévoilée vendredi. Celle-ci traduit sur le terrain les recommandations stratégiques du Livre blanc de la Défense, rendu public le 29 avril, concernant la période 2014 -2019.
« En tête de peloton »
« Le choix a été fait de supprimer 24 000 postes pour cette période (*), rappelle Benoît Huré. Cela ne sera pas possible sans supprimer des régiments. Dix sites ont donc été choisis pour fermer, et le 3e Génie en fait partie. Il serait même en tête de peloton… » Un départ qui serait un coup de massue pour Charleville-Mézières. Fort de plus d'un millier de militaires, le « 3 » est un des plus gros poumons de la ville. Il représente près de 2 000 habitants en comptant les conjoints et les enfants (environ 600). Les trois quarts de ces foyers vivent au chef-lieu. Écoles, commerces, services, entreprises (les militaires en font travailler une cinquantaine) : la disparition du régiment aurait des répercussions énormes. Sans compter ce que les militaires, qui sont aussi des contribuables, injectent comme recettes fiscales dans les caisses… Benoît Huré résume les trois conséquences majeures qu'aurait leur départ. « Il y a d'abord un enjeu de défense nationale : nous sommes nombreux au Sénat à penser qu'il y a un seuil minimal de militaires en dessous duquel il ne faut plus descendre, car le monde a rarement été aussi dangereux, et le risque terroriste aussi élevé. Ensuite il y a l'immense implication des militaires dans la vie socio-économique, en termes d'emplois ou d'aménagement du territoire. Fermer le régiment reviendrait à porter un coup très dur à Charleville-Mézières et aux Ardennes. Enfin, on ne peut ignorer l'attachement des Ardennais à l'armée. Ici le militaire est le symbole de celui qui a ramené la paix et la liberté. » Avant qu'il ne soit trop tard, Benoît Huré appelle à une nouvelle « union sacrée », comme au printemps 2008. Cette année-là, le couperet était tombé tout près, et avait finalement emporté le Centre d'entraînement commando de Givet. Dans les années 80, Sedan avait déjà perdu le 12e régiment de chasseurs à cheval. Dumerbion est la dernière caserne ardennaise encore occupée par des militaires. Les hommes du « 3 » y sont installés depuis 1947. À l'heure où on leur demande de rendre leur bail, le moment est venu, selon Benoît Huré, de sonner la « mobilisation générale ».
* En plus des 55 000 postes pour la période 2009-2014, dont 10 000 restent encore à trouver.
http://www.lunion.presse.fr/region/restructuration-des-armees-le-3e-genie-sur-la-sellette-jna0b0n165706
« En tête de peloton »
« Le choix a été fait de supprimer 24 000 postes pour cette période (*), rappelle Benoît Huré. Cela ne sera pas possible sans supprimer des régiments. Dix sites ont donc été choisis pour fermer, et le 3e Génie en fait partie. Il serait même en tête de peloton… » Un départ qui serait un coup de massue pour Charleville-Mézières. Fort de plus d'un millier de militaires, le « 3 » est un des plus gros poumons de la ville. Il représente près de 2 000 habitants en comptant les conjoints et les enfants (environ 600). Les trois quarts de ces foyers vivent au chef-lieu. Écoles, commerces, services, entreprises (les militaires en font travailler une cinquantaine) : la disparition du régiment aurait des répercussions énormes. Sans compter ce que les militaires, qui sont aussi des contribuables, injectent comme recettes fiscales dans les caisses… Benoît Huré résume les trois conséquences majeures qu'aurait leur départ. « Il y a d'abord un enjeu de défense nationale : nous sommes nombreux au Sénat à penser qu'il y a un seuil minimal de militaires en dessous duquel il ne faut plus descendre, car le monde a rarement été aussi dangereux, et le risque terroriste aussi élevé. Ensuite il y a l'immense implication des militaires dans la vie socio-économique, en termes d'emplois ou d'aménagement du territoire. Fermer le régiment reviendrait à porter un coup très dur à Charleville-Mézières et aux Ardennes. Enfin, on ne peut ignorer l'attachement des Ardennais à l'armée. Ici le militaire est le symbole de celui qui a ramené la paix et la liberté. » Avant qu'il ne soit trop tard, Benoît Huré appelle à une nouvelle « union sacrée », comme au printemps 2008. Cette année-là, le couperet était tombé tout près, et avait finalement emporté le Centre d'entraînement commando de Givet. Dans les années 80, Sedan avait déjà perdu le 12e régiment de chasseurs à cheval. Dumerbion est la dernière caserne ardennaise encore occupée par des militaires. Les hommes du « 3 » y sont installés depuis 1947. À l'heure où on leur demande de rendre leur bail, le moment est venu, selon Benoît Huré, de sonner la « mobilisation générale ».
* En plus des 55 000 postes pour la période 2009-2014, dont 10 000 restent encore à trouver.
http://www.lunion.presse.fr/region/restructuration-des-armees-le-3e-genie-sur-la-sellette-jna0b0n165706
Une armée avec moins d'hommes, mais plus d'avions et de blindés
Elle a fait l'objet d'une âpre et longue bataille entre le ministère de la Défense et ceux de l'Économie et du Budget, entre le ministère de la Défense et les militaires. La loi de programmation militaire (LPM) sera présentée lors du dernier Conseil des ministres avant les vacances, vendredi 2 août. Elle dessinera l'armée française des années à venir. Certaines données vont faire grincer des dents. D'ici à 2019, sur ses 280.000 emplois, l'armée va en perdre 34.000 : 10.000 pertes déjà prévues par la majorité précédente ; 24.000 par l'actuelle. Selon nos informations, sur ces 24.000 nouvelles suppressions de postes, 8.000 concerneront les forces opérationnelles et 16.000 l'administration. Armée de terre, armée de l'air, marine nationale : toutes trois vont devoir se serrer la ceinture, les deux premières plus encore que la marine. "Parce que le ministre, le chef d'état-major des armées et la présidente de la commission à l'Assemblée sont bretons?" persifle un gradé de l'armée de terre.
Au moins deux bases aériennes et entre cinq et dix régiments devraient fermer, un sujet hautement sensible à l'approche des élections municipales. Dès septembre, les premières annonces de fermeture, héritées de la LPM précédente, devraient être rendues publiques. La dissuasion nucléaire devrait échapper aux mesures d'économies, une aberration selon l'ancien ministre de la Défense Hervé Morin : "C'est une grave erreur! La France n'a plus les moyens de s'offrir les deux composantes, océanique et aéroportée. Mais c'est un sujet tabou, on entre dans la symbolique de ce qui fait un chef…" Avis partagé par le général Desportes, ancien patron de l'École de guerre, désormais professeur à Sciences-Po : "Un luxe que nous ne pouvons plus nous offrir et qui va une nouvelle fois détériorer l'outil conventionnel."
Afin de privilégier la modernisation des matériels, l'achat de Rafale, d'avions de transport de troupes A400M, d'avions ravitailleurs A330-MRTT, de drones et d'engins blindés, l'armée va devoir procéder à de nombreuses mesures d'économies et faire rentrer de l'argent. Comment? En diminuant le nombre de postes. En réformant enfin les ressources humaines : entre 2011 et 2012, plusieurs sources évaluent entre 100 et 150 millions d'euros les salaires indûment payés en raison des défections de l'aberrant logiciel Louvois.
Près de 6 milliards de recettes espérées
Une somme qu'il s'agit désormais d'aller récupérer auprès des fonctionnaires concernés. Le taux d'encadrement (colonels et généraux) passerait de 17 à 16%. Quant au nombre de militaires déployés à l'étranger (les "opex"), il devrait passer de 30.000 à 15.000 ou 20.000.
Économies d'un côté, rentrées d'argent de l'autre… Des terrains et des bâtiments vont être vendus, pour une valeur estimée autour de 300 millions d'euros en 2014. Le ministère de la Défense, qui estime avoir hérité en mai 2012 d'au moins 3 milliards de commandes de matériel auprès des industriels non financées, table donc sur des recettes exceptionnelles, près de 6 milliards d'euros : ventes de fréquences dans la bande des 700 MHz aux opérateurs de téléphonie mobile en 4G et de télévision numérique ; cession de participations publiques dans des entreprises de défense telles que Nexter et Safran ; désengagement partiel au sein d'EADS… Mais surtout vente de matériel : lundi, la France a vendu pour un milliard d'euros de satellites militaires aux Émirats arabes unis.
Le ministre Jean-Yves Le Drian passe son week-end en Inde, afin de concrétiser l'achat de 126 Rafale, "en très, très bonne voie", indique une source militaire, contrairement à la piste brésilienne, abandonnée. Patricia Adam, députée (PS) du Finistère et présidente de la Commission de la défense nationale et des forces armées se montre optimiste : "La France est le seul pays d'Europe à ne pas baisser son budget militaire. La volonté du gouvernement est de maintenir les capacités de production de nos entreprises et de permettre à la France de pouvoir attaquer seule et la première, comme au Mali." Pour preuve, les forces spéciales, désormais commandées par le général de Saint-Quentin, patron de l'opération Serval au Mali, vont voir leurs effectifs augmenter de 1.000 hommes.
dimanche 28 juillet 2013
- Tu fais quoi samedi ? - Gendarme !
Sébastien Trupia fait des études de commerce international. Pourtant, il ne rêve pas de passer sa vie à courir d’un avion à l’autre pour faire signer des contrats et profiter d’un salaire annuel à six chiffres. Non, son rêve, il le vit déjà. Vendredi, il a reçu les insignes de réserviste de la gendarmerie des mains du général de division Jean-Régis Vechambre. Un privilège réservé au major de la promotion annuelle des nouveaux réservistes de Lorraine. Et le meilleur des 45 garçons et 31 filles qui ont rejoint la réserve cette année, c’est lui.
À 18 ans, le jeune homme originaire d’Œting va donc passer plusieurs journées par an dans une brigade de gendarmerie, pour épauler les gendarmes de carrière. Mais surtout pour apprendre le métier. Car comme beaucoup de ses camarades de promotion, il veut devenir gendarme.
« Depuis que je suis petit, je veux devenir militaire, témoigne-t-il. J’ai toujours voulu servir mon pays. Mais surtout servir ceux qui y vivent. Je veux aider les gens. C’est pour ça que j’ai décidé de devenir gendarme. »
Au cours des trois semaines de formation qu’il vient d’effectuer, il a découvert l’univers de la gendarmerie. Ses codes, ses valeurs, ses règles, ses armes, aussi. « J’ai adoré ça, sourit-il. L’esprit militaire, c’est fait pour moi. J’aime les choses carrées, les gens corrects, la justice. Je suis comme ça. » Il vise aujourd’hui le concours de sous-officier à la fin de ses études.
En Lorraine, la réserve de la gendarmerie compte 1 444 hommes et femmes. Ils ont effectué 23 844 journées de service en 2012.
« Nous sommes des réservistes, mais nous ne sommes pas QUE des réservistes, insiste Sébastien Trupia. Nous représentons la France et portons ses armes, c’est une grande responsabilité.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/07/28/tu-fais-quoi-samedi-gendarme
À 18 ans, le jeune homme originaire d’Œting va donc passer plusieurs journées par an dans une brigade de gendarmerie, pour épauler les gendarmes de carrière. Mais surtout pour apprendre le métier. Car comme beaucoup de ses camarades de promotion, il veut devenir gendarme.
« Depuis que je suis petit, je veux devenir militaire, témoigne-t-il. J’ai toujours voulu servir mon pays. Mais surtout servir ceux qui y vivent. Je veux aider les gens. C’est pour ça que j’ai décidé de devenir gendarme. »
Au cours des trois semaines de formation qu’il vient d’effectuer, il a découvert l’univers de la gendarmerie. Ses codes, ses valeurs, ses règles, ses armes, aussi. « J’ai adoré ça, sourit-il. L’esprit militaire, c’est fait pour moi. J’aime les choses carrées, les gens corrects, la justice. Je suis comme ça. » Il vise aujourd’hui le concours de sous-officier à la fin de ses études.
Un renfort nécessaire
En attendant, et dès le mois prochain, il communiquera ses disponibilités à la compagnie de gendarmerie de Forbach, qui fera appel à lui pour des missions ponctuelles. « Les réservistes sont là pour renforcer, pas pour remplacer », indique le colonel de réserve Michel Thivet, qui participe à la formation des réservistes. Un renfort dont la gendarmerie aurait bien du mal à se passer : « Sans les réservistes, bien des choses ne pourraient plus se passer », indique le général de division Vechambre.En Lorraine, la réserve de la gendarmerie compte 1 444 hommes et femmes. Ils ont effectué 23 844 journées de service en 2012.
« Nous sommes des réservistes, mais nous ne sommes pas QUE des réservistes, insiste Sébastien Trupia. Nous représentons la France et portons ses armes, c’est une grande responsabilité.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/07/28/tu-fais-quoi-samedi-gendarme
Armée : moins 34.000 hommes d’ici à 2019
Sujet brûlant s’il en est au sein du gouvernement et entre le gouvernement et l’opposition, la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019 sera présentée lors du prochain conseil des ministres, vendredi. Au menu, un budget de la Défense maintenu pour les trois prochaines années mais de douloureux équilibres à trouver. L’armée française des années 2020 comptera davantage de matériel mais moins d’hommes : moins 34.000 par rapport à aujourd’hui. Quelles réductions? quels impacts sur les commandes de matériels? Où réaliser des économies? Des révélations à paraître dimanche dans le JDD.
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http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Armee-moins-34-000-hommes-d-ici-a-2019-621213
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samedi 27 juillet 2013
vendredi 26 juillet 2013
Opération Serval : point de situation du 25 juillet 2013
Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 70 sorties. Une trentaine a été dédiée à l’appui feu des opérations terrestres, une vingtaine était consacrée aux missions de transport et autant aux missions de ravitaillement et de renseignement.
Au sol, la force Serval poursuit les opérations dans la boucle du Niger et au Nord du pays.
Le soutien de la force Serval à la MINUSMA dans le cadre de la sécurisation du processus électoral se poursuit. Ce soutien se traduit notamment par l’appui apporté par les détachements de liaison et d’appui (DLA) à l’ensemble des bataillons de la MINUSMA dans le pays. Dans ce cadre, les DLA ont participé cette semaine, en soutien des bataillons de la MINUSMA, à la distribution des cartes « NINA » dans les régions de Ménaka, Douentza, Goundam et de Tessalit.
A Kidal, le retour progressif de l’administration malienne permet aux autorités locales maliennes la préparation du scrutin électoral. Les sous-groupement tactique interames français (SGITA) et les DLA appuient la MINUSMA dans sa mission de sécurisation des élections et participent notamment aux patrouilles sécuritaires mixtes conduites par la MINUSMA et les forces armées maliennes dans la ville.
Dans le cadre de la sécurisation des élections présidentielles dont le premier tour aura lieu dimanche 28 juillet, le centre malien de coordination nationale se mettra en place vendredi 26 et restera actif jusqu’à la proclamation des résultats. Il regroupera différents responsables des forces de sécurité maliennes, ainsi que des officiers de liaisons de la MINUSMA et de la force Serval. Au niveau régional, ce centre dispose de relais grâce aux centres de coordination régionaux placés aux ordres des gouverneurs.
Parallèlement au soutien apporté à la MINUSMA et aux forces maliennes, les opérations de sécurisation de la zone se poursuivent et la force maintient un rythme opérationnel significatif afin de maintenir l’affaiblissement des groupes terroristes. Le 23 juillet, au cours d’une opération dans le Nord-Est du pays, un véhicule de l’avant blindé a été victime d’une explosion à une soixantaine de kilomètres au Nord de Gao, blessant très légèrement deux soldats. L’opération se poursuit et les deux militaires devraient pouvoir retrouver leur section dans la semaine.
Le 19 juillet à Gao, le premier puits restauré grâce aux actions de la force Serval a été inauguré dans le quartier du Château, en présence des autorités locales de la cité des Asquias et du général Kolodziej, commandant la brigade Serval.
Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent leurs missions de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes ainsi qu’à poursuivre le transfert progressif de la zone aux contingents de la MINUSMA.
Le Drian présente le Livre blanc en Inde
Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, arrivé hier soir à New Dehli, entreprend une visite de deux jours en Inde destinée "à approfondir le dialogue stratégique" entre les deux pays, cinq mois après celle du président François Hollande.
Jean-Yves Le Drian, a ajouté aujourd'hui le ministère de la Défense dans un communiqué, y présentera notamment "à la communauté politique et militaire indienne" le nouveau Livre blanc français qui préfigurera la Loi de programmation militaire (LPM, 2014-2019). Elle sera examinée le 2 août en Conseil des ministres.
A noter que l'Inde a choisi le Rafale en janvier 2012 après un appel d'offres portant sur 126 appareils et une option de 63 avions supplémentaires, mais la transaction n'a toujours pas abouti. Le Rafale n'a encore jamais été vendu à l'exportation
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/07/26/97002-20130726FILWWW00245-inde-le-drian-veut-approfondir-le-dialogue.php
Jean-Yves Le Drian, a ajouté aujourd'hui le ministère de la Défense dans un communiqué, y présentera notamment "à la communauté politique et militaire indienne" le nouveau Livre blanc français qui préfigurera la Loi de programmation militaire (LPM, 2014-2019). Elle sera examinée le 2 août en Conseil des ministres.
A noter que l'Inde a choisi le Rafale en janvier 2012 après un appel d'offres portant sur 126 appareils et une option de 63 avions supplémentaires, mais la transaction n'a toujours pas abouti. Le Rafale n'a encore jamais été vendu à l'exportation
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/07/26/97002-20130726FILWWW00245-inde-le-drian-veut-approfondir-le-dialogue.php
jeudi 25 juillet 2013
mercredi 24 juillet 2013
Deux soldats français légèrement blessés dans l'explosion de leur véhicule au Mali
L'origine de l'explosion reste pour le moment indéterminée...
Deux soldats français, qui participaient à une opération de sécurisation, ont été «légèrement blessés» mardi au nord de Gao (Mali), dans l'explosion de leur véhicule, survenue pour une raison indéterminée, a indiqué mercredi à l'AFP l'état-major de l'armée française.
«Il y a eu une explosion sur un VAB (véhicule blindé). Deux hommes ont été légèrement blessés», a expliqué le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major.
L'explosion est survenue à 60 km au nord de Gao, a-t-il précisé. Les deux blessés ont été transportés à l'infirmerie militaire de Gao et rejoindront leur bataillon «dans les jours qui viennent» pour reprendre leur service, a-t-il indiqué.
Ils participaient à une opération de sécurisation, qui s'est poursuivie, a ajouté le colonel Burkhard
http://www.20minutes.fr/monde/mali/1191937-20130724-deux-soldats-francais-legerement-blesses-explosion-vehicule-mali
Deux soldats français, qui participaient à une opération de sécurisation, ont été «légèrement blessés» mardi au nord de Gao (Mali), dans l'explosion de leur véhicule, survenue pour une raison indéterminée, a indiqué mercredi à l'AFP l'état-major de l'armée française.
«Il y a eu une explosion sur un VAB (véhicule blindé). Deux hommes ont été légèrement blessés», a expliqué le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major.
Reprise de leur service «dans les jours qui viennent»
Le colonel Burkhard a affirmé que le véhicule, qui transportait huit hommes, n'avait pas sauté sur une mine. Il a ajouté que la nature de l'explosion n'avait été encore déterminée.L'explosion est survenue à 60 km au nord de Gao, a-t-il précisé. Les deux blessés ont été transportés à l'infirmerie militaire de Gao et rejoindront leur bataillon «dans les jours qui viennent» pour reprendre leur service, a-t-il indiqué.
Ils participaient à une opération de sécurisation, qui s'est poursuivie, a ajouté le colonel Burkhard
http://www.20minutes.fr/monde/mali/1191937-20130724-deux-soldats-francais-legerement-blesses-explosion-vehicule-mali
mardi 23 juillet 2013
Les parachutistes se jettent à l’eau
Le mardi 16 juillet 2013, les forces armées de la Nouvelle-Calédonie (FANC) ont organisé un exercice de saut en mer au profit des militaires du 1er régiment de chasseurs parachutistes (1er RCP) de Pamiers. Ils arment la compagnie tournante du régiment d’infanterie de marine Pacifique-Nouvelle-Calédonie (RIMaP-NC) de Plum.
Après un premier repérage de la zone de saut (1km de long par 400 m de large), un témoin inerte de dérive (TID) a été largué depuis l’avion CASA 235. Il sert à évaluer l’orientation du vent et à définir l’axe de largage le plus adéquat, pour que, malgré la dérive subie durant le saut, les parachutistes atterrissent dans la zone délimitée.
Au total, ce sont 40 parachutistes qui ont été largués par vagues successives au-dessus de la Baie des Citrons. Côté soutien, entre les équipes de récupération, la sécurité et le service sanitaire, l’exercice a mobilisé autant de personnes et 13 embarcations (Zodiac, chaland, vedette).
Très lourd en moyen et en organisation, l’exercice est organisé trois fois par an au profit des compagnies tournantes. Ce type de saut n’est effectué qu’outre-mer : à la Réunion et en Nouvelle-Calédonie. Il permet de préparer les parachutistes à être opérationnels sur tous terrains et être aguerris à tous types d’atterrissages. L’objectif est donc d’acquérir des compétences supplémentaires.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/les-parachutistes-se-jettent-a-l-eau
Après un premier repérage de la zone de saut (1km de long par 400 m de large), un témoin inerte de dérive (TID) a été largué depuis l’avion CASA 235. Il sert à évaluer l’orientation du vent et à définir l’axe de largage le plus adéquat, pour que, malgré la dérive subie durant le saut, les parachutistes atterrissent dans la zone délimitée.
Au total, ce sont 40 parachutistes qui ont été largués par vagues successives au-dessus de la Baie des Citrons. Côté soutien, entre les équipes de récupération, la sécurité et le service sanitaire, l’exercice a mobilisé autant de personnes et 13 embarcations (Zodiac, chaland, vedette).
Très lourd en moyen et en organisation, l’exercice est organisé trois fois par an au profit des compagnies tournantes. Ce type de saut n’est effectué qu’outre-mer : à la Réunion et en Nouvelle-Calédonie. Il permet de préparer les parachutistes à être opérationnels sur tous terrains et être aguerris à tous types d’atterrissages. L’objectif est donc d’acquérir des compétences supplémentaires.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/les-parachutistes-se-jettent-a-l-eau
lundi 22 juillet 2013
Session extraordinaire du Conseil supérieur de la fonction militaire
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a présidé une session extraordinaire du Conseil supérieur de la fonction militaire (CSFM) qui s'est réuni le 19 juillet à l’amphithéâtre Foch, à l’Ecole militaire à Paris. Au programme : présentation du futur projet de la Loi de programmation militaire (LPM 2014-2019) et discussion sur la prochaine réforme des retraites.
Jean-Yves Le Drian a présidé vendredi 19 juillet dans la matinée une session extraordinaire du CSFM pour présenter à ses membres le futur projet de la Loi de programmation militaire. Il a également recueilli l’avis des membres du Conseil sur le régime de pension des militaires et ce, en amont de la concertation sur la prochaine réforme des retraites.
Constatant qu’aucune concertation n’avait été initiée avec le personnel militaire sur la réforme des retraites en 2010, Jean-Yves Le Drian a pris l’initiative d’engager le dialogue sur ce point avec les membres du Conseil, qui ont pour leur part présenté leur avis sur cette question et sur les spécificités liées à la condition militaire. Le ministre de la Défense portera cet avis devant le gouvernement.
Depuis sa prise de fonction en mai 2012, Jean-Yves Le Drian réunit le CSFM à chaque événement important de la vie du ministère et des armées. Il a créé dans ce cadre un groupe de liaison composé de membres du CSFM. Très attaché au dialogue direct avec les militaires et leurs représentants, le ministre réunit autant que nécessaire ce groupe de liaison entre deux sessions du CSFM afin de recueillir l'avis des militaires sur des sujets d’intérêt général ayant un impact sur la condition des personnels militaires.
dimanche 21 juillet 2013
Un triomphe pour le lieutenant Garin
Semaine clef dans la carrière du lieutenant Laurent Garin, chef d’une section d’élèves au 3e bataillon de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr (première année de scolarité). Jeudi 18 juillet 2013, il a été élevé à la dignité de chevalier de la Légion d’honneur. Samedi 20, il a reçu son galon d’officier
Bel exemple pour nos jeunes officiers, mais aussi pour les sous-officiers qui souhaitent devenir officier, quelle que soit la voie de recrutement choisie ! Le colonel Francis Chanson, directeur des formations d’élèves, a remis les insignes de chevalier de la Légion d’honneur lors de la répétition générale du Triomphe des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC).
Samedi 20 juillet, lors des cérémonies nocturnes du Triomphe 2013, l’adjudant-chef Garin est devenu officiellement lieutenant : il a reçu son galon d’officier lors de la remise des galons à l’ensemble du recrutement officier de l’année 2013.
L’adjudant-chef Garin revient sur sa remise de Légion d’honneur : « J’ai pensé à tous les hommes que j’ai commandés lors de mes deux temps de commandement de chef de section : c’est un peu grâce à eux si j’en suis arrivé là. J’ai pensé aussi à un camarade mort en Afghanistan à mes côtés. J’ai pensé enfin à ma famille et à son abnégation.»
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/un-triomphe-pour-le-lieutenant-garin
Bel exemple pour nos jeunes officiers, mais aussi pour les sous-officiers qui souhaitent devenir officier, quelle que soit la voie de recrutement choisie ! Le colonel Francis Chanson, directeur des formations d’élèves, a remis les insignes de chevalier de la Légion d’honneur lors de la répétition générale du Triomphe des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC).
Samedi 20 juillet, lors des cérémonies nocturnes du Triomphe 2013, l’adjudant-chef Garin est devenu officiellement lieutenant : il a reçu son galon d’officier lors de la remise des galons à l’ensemble du recrutement officier de l’année 2013.
L’adjudant-chef Garin revient sur sa remise de Légion d’honneur : « J’ai pensé à tous les hommes que j’ai commandés lors de mes deux temps de commandement de chef de section : c’est un peu grâce à eux si j’en suis arrivé là. J’ai pensé aussi à un camarade mort en Afghanistan à mes côtés. J’ai pensé enfin à ma famille et à son abnégation.»
http://www.defense.gouv.fr/terre/actu-terre/un-triomphe-pour-le-lieutenant-garin
Mali. Le pays n’est pas stabilisé selon le général en chef de Serval
Le général Grégoire de Saint-Quentin, qui va prendre la direction des forces spéciales après avoir mené l’opération Serval au Mali, reconnaît dans Le Journal du Dimanche que ce pays n’est pas « complètement stabilisé » malgré « une dynamique de succès militaires répétés ».
« Le Mali est-il aujourd’hui complètement stabilisé ? La réponse est non. Nous ne pouvons pas parler de victoire militaire au sens où vous évoqueriez celle de 1945 sur l’Allemagne. Mais nous sommes dans une dynamique de succès militaires répétés que beaucoup auraient estimés inespérés il y a six mois », ajoute-t-il.
« Il faut du temps pour reconstruire »
« Le territoire malien est grand comme plus de deux fois la France. Pour ses deux tiers, il a été pendant un an sous la coupe des groupes terroristes qui ont mis à bas toutes les structures administratives et sécuritaires, comme la gendarmerie et la garde nationale. L’armée malienne a été défaite et ses matériels ont été détruits. Il faut du temps pour reconstruire tout cela dans un pays aussi vaste », souligne le général.
Serval, un modèle pour les opérations futures ?
Cependant, selon le général de Saint-Quentin, « Serval a démontré la capacité de l’armée française à s’engager en premier sur un théâtre d’opérations, de façon très rapide et puissante, ce que peu d’armées peuvent faire en réalité […] Serval est peut-être un modèle à prolonger pour les opérations futures. »
samedi 20 juillet 2013
vendredi 19 juillet 2013
jeudi 18 juillet 2013
Musée de la cavalerie
Les galops de l’histoire… Installé à Saumur, à proximité de l’école de cavalerie, le musée occupe les anciennes écuries du manège du Cadre noir, haut lieu d’histoire et d’équitation militaire.
Tout au long d’un parcours qui retrace l’épopée de la cavalerie depuis sa création par Charles VII en 1445 jusqu'à nos jours, le musée est destiné à mettre en valeur ses grandes figures et à faire comprendre les principales orientations tactiques et techniques de cette arme. Il occupe trois pavillons Sur 1 400 m². Le premier couvre la période allant de la naissance de la cavalerie au XVe siècle jusqu’au désastre de Sedan en septembre 1870. Les batailles d’Austerlitz et de Waterloo y sont plus particulièrement développées. Une seconde galerie expose l’histoire de l’arme de la IIIe République à nos jours. La dernière partie est réservée aux chercheurs. Elle comprend une salle de lecture et une bibliothèque de 18 000 ouvrages. Les uniformes, armures, casques, armes ou encore peintures présents dans ces pavillons proviennent majoritairement de l’école de la cavalerie.
Le travail de recherche et le grand intérêt porté par le public à ce musée lui permettent, aujourd’hui, de candidater prochainement à l’appellation « musée de France ».
Musée de la cavalerie
Quartier Bessières
49 400 Saumur.
Ouverture : du lundi au jeudi de 9h à 12h et de 14h à 17h et le week-end de 14h à 18h.
Tarif : entrée gratuite.
http://bit.ly/MuséeCaval
Tout au long d’un parcours qui retrace l’épopée de la cavalerie depuis sa création par Charles VII en 1445 jusqu'à nos jours, le musée est destiné à mettre en valeur ses grandes figures et à faire comprendre les principales orientations tactiques et techniques de cette arme. Il occupe trois pavillons Sur 1 400 m². Le premier couvre la période allant de la naissance de la cavalerie au XVe siècle jusqu’au désastre de Sedan en septembre 1870. Les batailles d’Austerlitz et de Waterloo y sont plus particulièrement développées. Une seconde galerie expose l’histoire de l’arme de la IIIe République à nos jours. La dernière partie est réservée aux chercheurs. Elle comprend une salle de lecture et une bibliothèque de 18 000 ouvrages. Les uniformes, armures, casques, armes ou encore peintures présents dans ces pavillons proviennent majoritairement de l’école de la cavalerie.
Le travail de recherche et le grand intérêt porté par le public à ce musée lui permettent, aujourd’hui, de candidater prochainement à l’appellation « musée de France ».
Renseignements pratiques
Adresse :Musée de la cavalerie
Quartier Bessières
49 400 Saumur.
Ouverture : du lundi au jeudi de 9h à 12h et de 14h à 17h et le week-end de 14h à 18h.
Tarif : entrée gratuite.
http://bit.ly/MuséeCaval
mercredi 17 juillet 2013
mardi 16 juillet 2013
lundi 15 juillet 2013
Défendez les !!!
Nos militaires ne méritaient pas les propos honteux de Monsieur Xavier Cantat (compagnon Madame la ministre Cécile Duflot.)
Je ne suis pas soumis au devoir de réserve ( je ne suis plus en activité), alors je demande que ce tweet fasse l'objet d'une condamnation sans réserve du chef des armées ( Monsieur le Président de la République) et de Monsieur le Ministre de la défense.
Nos militaires méritent le respect ... eu égard à leur investissement dans les missions que la République leur confie au péril de leur vie.
Défendez les ... ils ne parlent pas mais ils sont meurtris par des propos malveillants.... défendez les !!!
Major (ER) Francis Praira
Je ne suis pas soumis au devoir de réserve ( je ne suis plus en activité), alors je demande que ce tweet fasse l'objet d'une condamnation sans réserve du chef des armées ( Monsieur le Président de la République) et de Monsieur le Ministre de la défense.
Nos militaires méritent le respect ... eu égard à leur investissement dans les missions que la République leur confie au péril de leur vie.
Défendez les ... ils ne parlent pas mais ils sont meurtris par des propos malveillants.... défendez les !!!
Major (ER) Francis Praira
dimanche 14 juillet 2013
Suivez le défilé du 14 Juillet minute par minute
Avions, uniformes et engins rutilants : cette nouvelle édition du 14 Juillet, qui se déroulera sous un ciel radieux, ne devrait pas manquer de panache. Rendez-vous dès 8h15 sur TF1 et MYTF1News.
Sur le thème "Une armée d'avant-garde, fière de son passé", 4800 hommes et femmes, mais aussi 240 chevaux et 265 véhicules descendront les Champs-Elysées. Economie oblige : le défilé sera toutefois légèrement réduit par rapport à l'an passé avec un peu moins d'avions ou 35% de véhicules militaires en moins sur le pavé.
Voici le programme :
8:15 Début de l'émission spéciale sur TF1, présentée par Anne-Claire Coudray et Gilles Bouleau. MYTF1News a pu assister aux derniers préparatifs : la matinée s'annonce exceptionnelle, avec quelques surprises concoctées par la rédaction de TF1.
Vous nous suivez sur votre smartphone ou sur notre toute nouvelle appli pour tablette :
- Suivez l'émission de TF1 en direct enrichi en contenus exclusifs grâce à la fonctionnalité Connect de nos applis
Vous nous suivez sur ordinateur depuis notre site :
9:10 Fin de la mise en place des troupes à pied et motorisées sur le site Étoile / Champs-Élysées.
9:20 Inspection des troupes par les officiers généraux commandant les défilés à pied et motorisé.
A voir : L'armée française en chiffres
9:45 Mise en place des détachements d'honneur de la Garde républicaine, place de l'Étoile et place de la Concorde.
10:00 Arrivée du Président de la République avenue de Friedland. Revue des troupes.
10:15 Honneurs rendus au Président de la République, place de la Concorde, par le 1er régiment d'infanterie de la Garde républicaine.
DEBUT DU DEFILE
10:20 Animation d'ouverture dont le thème est les 50e anniversaire de L'ordre national du Mérite, distinction créée le 3 décembre 1963 par le général de Gaulle.
toutes les photos et vidéos sur ce lien............. http://lci.tf1.fr/dossiers/14-juillet/suivez-le-defile-du-14-juillet-minute-par-minute-8128342.html
samedi 13 juillet 2013
vendredi 12 juillet 2013
jeudi 11 juillet 2013
Claire, le nouvel as
DANS LE CIEL DE NORVÈGE, elle a obtenu fin juin les ultimes qualifications faisant d’elle une pilote opérationnelle apte au combat. Claire, jolie bordelaise de 28 ans, a la chasse et le pilotage dans le sang. Première femme à piloter un Rafale, le fleuron de l’armée de l’air, « Sharon », son nom de code, rêvait de cette destinée depuis l’âge de 5 ans et un passage sur un meeting aérien. Un rêve forgé dans l’environnement familial, son père étant navigateur officier système d’arme dans l’armée de l’air. Claire est une héritière des pionniers de l’aviation militaire, surnommés les as.
« Ma fierté n’est pas d’être la première femme dans un Rafale. C’est d’être un pilote de chasse. Je ne suis pas une femme qui pilote mais un pilote », annonce Claire. « Elle fait du bon boulot. Je ne fais pas la différence. C’est un pilote. Elle est toujours très pro, très concentrée », note un mécano de l’escadron 1/7 de Saint-Dizier. « Elle s’est très bien intégrée. Investie et très persévérante, elle remplit tous les objectifs, identiques à ceux des hommes. Elle est apte à participer aux missions de guerre. Être une femme lui impose forcément une pression supplémentaire puisque c’est la première dans le Rafale et qu’elle peut être la première a échoué », estime le lieutenant-colonel Rouillé, son patron du 1/7.
Claire concède que parfois, elle est « regardée comme une bête bizarre » et que, ses collègues font « attention à ce qu’ils disent ». Sharon a huit à dix ans à vivre dans l’escadron, à multiplier les missions, à passer les échelons pour se hisser au plus haut niveau technique mais aussi pour prendre des responsabilités. Les plus hautes fonctions lui tendent les bras. Elle se rêve pilote d’essai mais a aussi des envies de femme : rencontrer l’homme de sa vie même si « lorsque je dis que je suis pilote de chasse, cela calme un peu » et faire des enfants. « La grosse différence avec un homme, c’est la vie de famille. Tant que je vole, avoir un enfant ce n’est pas trop possible. Il faudra que je m’arrête. Dans une carrière comme la mienne, c’est à prendre en compte. Ma vie professionnelle passe avant tout. Ce ne sera pas toujours comme ça », avoue Claire qui voit ses copines se marier et avoir des enfants. Elle ne compte renoncer à rien. Ni à servir dans une combinaison anti-jet. Ni à terre, au « plaisir à se déguiser en fille ».
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/07/11/claire-le-nouvel-as
« Ma fierté n’est pas d’être la première femme dans un Rafale. C’est d’être un pilote de chasse. Je ne suis pas une femme qui pilote mais un pilote », annonce Claire. « Elle fait du bon boulot. Je ne fais pas la différence. C’est un pilote. Elle est toujours très pro, très concentrée », note un mécano de l’escadron 1/7 de Saint-Dizier. « Elle s’est très bien intégrée. Investie et très persévérante, elle remplit tous les objectifs, identiques à ceux des hommes. Elle est apte à participer aux missions de guerre. Être une femme lui impose forcément une pression supplémentaire puisque c’est la première dans le Rafale et qu’elle peut être la première a échoué », estime le lieutenant-colonel Rouillé, son patron du 1/7.
« Je ne suis pas une femme qui pilote mais un pilote »
Claire est brillante. Avis unanime. Major de l’école de l’air, où sont formés les officiers, elle est la seule des sept femmes de sa promotion à avoir intégré l’école de la chasse dont elle est aussi sortie numéro 1. N’en déplaisent aux esprits chagrins, trop souvent masculins, elle n’a pas eu de bonnes notes parce qu’elle est une femme mais parce qu’elle était la meilleure. Cela lui a ouvert le siège du Rafale. « Major de promotion, c’était une étape. J’ai tout sacrifié depuis dix ans pour en arriver là. C’était un incroyable défi. La grosse marche est passée et je veux continuer. Je n’oublie pas qu’à chaque étape, il faut faire ses preuves. Pour l’instant, je suis au bas de l’échelle. Voler seule, c’est l’aboutissement. Je n’ai jamais imaginé piloter autre chose qu’un avion de chasse. Et, le Rafale est l’avion le plus moderne, le plus performant… ». Sa motivation et ses ambitions s’inscrivent en lettre d’or dans son regard bleu acier ou bleu azur, selon qu’on le croise avant ou après une mission. À la descente du Rafale, ses traits marqués montrent qu’elle a exploité le potentiel de son avion. Il ne peut en être autrement. Bientôt, elle sera dans le ciel du Mali. La promiscuité d’une vie plus rustique entourée d’hommes ne la perturbe pas. Pas plus délivrer la mort. « Faire la guerre, on n’y pense pas quand on est jeune. La première motivation, c’est piloter. Je vais avoir à détruire des objectifs mais cela ne me rebute pas. J’y suis préparé. J’appliquerai une volonté politique. J’ai hâte d’être confrontée à une mission de combat opérationnelle. Je vais faire pour la première fois ce pourquoi je m’entraîne depuis des mois ». Et le risque d’y laisser sa peau ? « On y pense mais ce n’est pas une obsession. Ce n’est pas un métier comme un autre et on accepte de se mettre en danger ».Claire concède que parfois, elle est « regardée comme une bête bizarre » et que, ses collègues font « attention à ce qu’ils disent ». Sharon a huit à dix ans à vivre dans l’escadron, à multiplier les missions, à passer les échelons pour se hisser au plus haut niveau technique mais aussi pour prendre des responsabilités. Les plus hautes fonctions lui tendent les bras. Elle se rêve pilote d’essai mais a aussi des envies de femme : rencontrer l’homme de sa vie même si « lorsque je dis que je suis pilote de chasse, cela calme un peu » et faire des enfants. « La grosse différence avec un homme, c’est la vie de famille. Tant que je vole, avoir un enfant ce n’est pas trop possible. Il faudra que je m’arrête. Dans une carrière comme la mienne, c’est à prendre en compte. Ma vie professionnelle passe avant tout. Ce ne sera pas toujours comme ça », avoue Claire qui voit ses copines se marier et avoir des enfants. Elle ne compte renoncer à rien. Ni à servir dans une combinaison anti-jet. Ni à terre, au « plaisir à se déguiser en fille ».
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/07/11/claire-le-nouvel-as
mercredi 10 juillet 2013
mardi 9 juillet 2013
Albatros : les forces spéciales en infiltration sous voile
Fin juin 2013, les forces spéciales de l’armée de Terre ont suivi pendant une semaine la campagne d’entraînement à l’infiltration sous voile (ISV) Albatros dans le sud-ouest de la France.
Organisée par la brigade des forces spéciales Terre (BFST), cet entraînement a rassemblé une vingtaines de soldats de toutes les composantes du commandement des opérations spéciales (COS). Ces unités sont les seules en France à détenir l’expertise OXY c'est-à-dire d’infiltration sous voile à très grande hauteur (TGH).
Cette technique pointue consiste à effectuer de jour comme de nuit des sauts en parachute sous oxygène (d’où le terme de capacité OXY), dans la plus grande discrétion. Le largage peut aller jusqu’à près de 10 000m d’altitude. Le parachute s’ouvre peu après la sortie de l’avion et les soldats dérivent sous voile sur plusieurs dizaines de kilomètres en fonction des conditions météo et de la situation au sol. Le posé de nuit se fait sans balisage, dans des zones non reconnues et souvent exiguës.
Ce procédé de mise en place est particulièrement efficace et adapté aux exigences des opérations spéciales car il permet d’assurer à la fois la sûreté de l’aéronef volant à très grande hauteur et une totale furtivité dans l’infiltration des opérateurs.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/albatros-les-forces-speciales-en-infiltration-sous-voile
Organisée par la brigade des forces spéciales Terre (BFST), cet entraînement a rassemblé une vingtaines de soldats de toutes les composantes du commandement des opérations spéciales (COS). Ces unités sont les seules en France à détenir l’expertise OXY c'est-à-dire d’infiltration sous voile à très grande hauteur (TGH).
Cette technique pointue consiste à effectuer de jour comme de nuit des sauts en parachute sous oxygène (d’où le terme de capacité OXY), dans la plus grande discrétion. Le largage peut aller jusqu’à près de 10 000m d’altitude. Le parachute s’ouvre peu après la sortie de l’avion et les soldats dérivent sous voile sur plusieurs dizaines de kilomètres en fonction des conditions météo et de la situation au sol. Le posé de nuit se fait sans balisage, dans des zones non reconnues et souvent exiguës.
Ce procédé de mise en place est particulièrement efficace et adapté aux exigences des opérations spéciales car il permet d’assurer à la fois la sûreté de l’aéronef volant à très grande hauteur et une totale furtivité dans l’infiltration des opérateurs.
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/albatros-les-forces-speciales-en-infiltration-sous-voile
[Portrait] "Monsieur circu du 14 Juillet", l'autre nom du lieutenant-colonel Hollender
Fort de ses 25 participations à l’organisation du défilé parisien dans le cadre de la mission du groupement de circulation routière (GCR), le 14 Juillet n’a plus aucun secret pour lui. Cette année encore, le lieutenant-colonel Daniel Hollender sera, de nouveau, le « monsieur circu » de l’événement national.
« La circu et le 14 Juillet, je suis tombé dedans tout petit ». En 2012, à 58 ans, il devait prendre sa retraite. Mais, lorsque la 1er brigade logistique le rappelle, cette année, pour pallier un manque d’effectif, celui-ci n’a pas pu refuser. Lui qui a été chef de peloton puis commandant d’unité, jusqu’à devenir chef d’état-major tactique du GCR, a une parfaite connaissance du dispositif que représente cet événement. Le groupement est composé de 500 hommes et est au service des opérationnels qui défilent. L’objectif est d’organiser et de faciliter leurs déplacements dès leur arrivée à Paris.
« Rien ne se passe jamais comme prévu »
Le 14 Juillet déplace l'équivalent d’une brigade interarmes. Dès le 1er juillet, 800 km d’itinéraires doivent être reconnus et du 8 au 12 juillet, les opérationnels travaillent de jours comme de nuit. Plus spécifiquement, lors de la nuit des « petits lutins », du 9 au 10 juillet, tous les escadrons sont déployés dans Paris pour jouer les phases de concentration et de dislocation des troupes. Le jour J, le GRC prend en charge 150 bus transportant les troupes à pied et près de 400 engins motorisés. Il est impératif que tout soit en place pour 9 h. Mais au fond, « rien ne se passe jamais comme prévu ! » tempère le lieutenant-colonel Hollender. A ses yeux, son 14 juillet le plus émouvant fut le moment où le chef de corps du 601e RCR a défilé. La « circu » était alors à l’honneur. C’est pourquoi, cette année encore, pour la 26e fois, il aura plaisir « de vibrer et de sabler le champagne lorsque le défilé sera terminé ».
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/portrait-monsieur-circu-du-14-juillet-l-autre-nom-du-lieutenant-colonel-hollender
« La circu et le 14 Juillet, je suis tombé dedans tout petit ». En 2012, à 58 ans, il devait prendre sa retraite. Mais, lorsque la 1er brigade logistique le rappelle, cette année, pour pallier un manque d’effectif, celui-ci n’a pas pu refuser. Lui qui a été chef de peloton puis commandant d’unité, jusqu’à devenir chef d’état-major tactique du GCR, a une parfaite connaissance du dispositif que représente cet événement. Le groupement est composé de 500 hommes et est au service des opérationnels qui défilent. L’objectif est d’organiser et de faciliter leurs déplacements dès leur arrivée à Paris.
« Rien ne se passe jamais comme prévu »
Le 14 Juillet déplace l'équivalent d’une brigade interarmes. Dès le 1er juillet, 800 km d’itinéraires doivent être reconnus et du 8 au 12 juillet, les opérationnels travaillent de jours comme de nuit. Plus spécifiquement, lors de la nuit des « petits lutins », du 9 au 10 juillet, tous les escadrons sont déployés dans Paris pour jouer les phases de concentration et de dislocation des troupes. Le jour J, le GRC prend en charge 150 bus transportant les troupes à pied et près de 400 engins motorisés. Il est impératif que tout soit en place pour 9 h. Mais au fond, « rien ne se passe jamais comme prévu ! » tempère le lieutenant-colonel Hollender. A ses yeux, son 14 juillet le plus émouvant fut le moment où le chef de corps du 601e RCR a défilé. La « circu » était alors à l’honneur. C’est pourquoi, cette année encore, pour la 26e fois, il aura plaisir « de vibrer et de sabler le champagne lorsque le défilé sera terminé ».
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/portrait-monsieur-circu-du-14-juillet-l-autre-nom-du-lieutenant-colonel-hollender
lundi 8 juillet 2013
dimanche 7 juillet 2013
samedi 6 juillet 2013
Info "La Provence" : Le 14 juillet, les chars Leclerc resteront au garage
Grosse déception en perspective pour les spectateurs et autres passionnés d'engins militaires qui assisteront aux défilés du 14-juillet, à Paris comme à Marseille. En effet, les fameux chars Leclerc ne seront pas à la parade cette année, ni sur les Champs-Elysées, ni sur l'avenue du Prado, essentiellement pour des raisons budgétaires. Contrairement aux véhicules à roues, ces chars de combat sont montés sur chenilles et doivent être transportés sur les lieux des défilés à bord de véhicules porte-chars, ce qui augmente considérablement le coût de leur déplacement.
La consommation en carburant de ces monstres de 55 tonnes est également très élevée. Plus étonnant encore: pour la première fois cette année, le défilé marseillais ne comportera aucun engin blindé. La parade phocéenne réunira 660 militaires, 46 motos et seulement 37 véhicules fournis pour l'essentiel par les sapeurs-pompiers et les marins-pompiers.....................propos du blogueur..... dommage pour les Leclerc !!!
http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2433892/le-14-juillet-les-chars-leclerc-resteront-au-garage.html
La consommation en carburant de ces monstres de 55 tonnes est également très élevée. Plus étonnant encore: pour la première fois cette année, le défilé marseillais ne comportera aucun engin blindé. La parade phocéenne réunira 660 militaires, 46 motos et seulement 37 véhicules fournis pour l'essentiel par les sapeurs-pompiers et les marins-pompiers.....................propos du blogueur..... dommage pour les Leclerc !!!
http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2433892/le-14-juillet-les-chars-leclerc-resteront-au-garage.html
Un site d’information pour les blessés et leurs familles
Le jeudi 4 juillet 2013, lors de sa visite à la Cellule d’aide aux blessés de l’armée de Terre (CABAT), monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a annoncé l’ouverture de la page « infos blessés famille » sur le site internet du ministère. S’inscrivant dans la démarche d’accompagnement global des blessés entreprise de longue date, cette initiative a pour but de favoriser l’information, l’accompagnement et la prise en charge des blessés.
Ce site permettra aux blessés et à leurs proches de disposer d’un outil supplémentaire, accessible sans restrictions de lieu ou de temps, proposant des actualités, des explications et des guides pratiques venant en complément de l’action menée par les acteurs institutionnels, assurantiels, mutualistes ou associatifs.
Ce nouvel espace est consultable à l’adresse suivante : www.defense.gouv.fr/blesses
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/un-site-d-information-pour-les-blesses-et-leurs-familles2
Ce site permettra aux blessés et à leurs proches de disposer d’un outil supplémentaire, accessible sans restrictions de lieu ou de temps, proposant des actualités, des explications et des guides pratiques venant en complément de l’action menée par les acteurs institutionnels, assurantiels, mutualistes ou associatifs.
Ce nouvel espace est consultable à l’adresse suivante : www.defense.gouv.fr/blesses
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/un-site-d-information-pour-les-blesses-et-leurs-familles2
vendredi 5 juillet 2013
Clip de l'armée de Terre 2013 - Mars 2013
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/04/97001-20130704FILWWW00559-lyon-un-prof-accuse-de-faux-partenariat.php
jeudi 4 juillet 2013
mercredi 3 juillet 2013
Reconversion/militaires: Casino s'engage
Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à recruter dans l'armée. A l'occasion d'une réception à l'Hôtel de Brienne dans le cadre des activités du club «Défense Mobilité et Entreprises», le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian doit signer de nouveaux partenariats avec des groupes du secteur privé. Il va, tout d'abord, renouveler un accord entre Keolis et Défense Mobilité, l'agence du ministère de la Défense en charge de la reconversion des militaires dans le civil. Puis deux nouvelles conventions seront officialisées, avec le groupe Casino et Seris Group.
«Ces trois grands groupes viennent ainsi élargir le spectre des
opportunités offertes par Défense Mobilité aux ressortissants du ministère de la Défense», se félicite le ministère. «Le retour à l'emploi civil est un axe majeur de notre politique des ressources humaines, et un élément indissociable du parcours professionnel des militaires.»
Chaque année, Défense Mobilité organise et accompagne le retour à la vie civile de plus de 16.500 personnels, ayant été formés à plus de 400 métiers, et possédant un savoir-faire et un savoir-être reconnus, fait valoir le ministère.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/07/03/97002-20130703FILWWW00471-reconversionmilitaires-casino-s-engage.php
«Ces trois grands groupes viennent ainsi élargir le spectre des
opportunités offertes par Défense Mobilité aux ressortissants du ministère de la Défense», se félicite le ministère. «Le retour à l'emploi civil est un axe majeur de notre politique des ressources humaines, et un élément indissociable du parcours professionnel des militaires.»
Chaque année, Défense Mobilité organise et accompagne le retour à la vie civile de plus de 16.500 personnels, ayant été formés à plus de 400 métiers, et possédant un savoir-faire et un savoir-être reconnus, fait valoir le ministère.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/07/03/97002-20130703FILWWW00471-reconversionmilitaires-casino-s-engage.php