Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian est arrivé aujourd'hui en Jordanie pour fêter le Nouvel an auprès des pilotes français engagés dans les opérations contre le groupe Etat islamique (EI). Le ministre a atterri en fin d'après-midi sur une base d'où les avions de chasse français Rafale décollent quotidiennement vers l'Irak et la Syrie voisine. Huit Rafale français sont stationnés sur cette base, dont la localisation reste confidentielle en raison des risques d'infiltration et d'attaques terroristes. Six autre Rafale basés aux Emirats arabes unis (EAU) participent aussi aux opérations d'appui aérien aux forces irakiennes dans le cadre de la coalition antijihadiste internationale dirigée par les Etats-Unis.
L'effort aérien se concentre sur la bataille de Mossoul, deuxième ville d'Irak et ultime bastion de l'EI dans ce pays, que les forces locales peinent à reprendre. Les forces irakiennes ont entamé jeudi la deuxième phase de l'offensive - lancée le 17 octobre - pour reprendre complètement l'est de la ville, les jihadistes continuant d'occuper la totalité de la partie occidentale de l'autre côté du Tigre.
Depuis septembre 2014, l'opération anti-EI française Chammal a réalisé plus de 5.000 sorties aériennes, 1.000 frappes et neutralisé 1.600 objectifs en Irak ou Syrie. Entre 2.500 et 3.000 combattants de l'EI ont été tués par l'armée française, estime-t-on de source militaire française.
Outre les avions basés en Jordanie et aux EAU, la France a aussi engagé à trois reprises son unique porte-avions, le Charles de Gaulle, dont la dernière mission s'est achevée à la mi-décembre avant 18 mois de pause technique. L'armée française mobilise aussi environ 500 hommes en Irak: ils appuient les forces irakiennes avec quatre canons CAESAR au sud de Mossoul et conseillent soldats irakiens et peshmergas kurdes, au plus près de la ligne de front, sans participer toutefois directement aux combats.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Revue de presse de toutes les informations militaires française ...OTAN...vie des réservistes...vidéos des engagements en opérations extérieures...recrutement...
samedi 31 décembre 2016
vendredi 30 décembre 2016
jeudi 29 décembre 2016
Hommage aux 3 gendarmes décédés en service dans l'Oise le 23 décembre
publication de Monsieur le Préfet de l'Oise.
Ce matin, à Beauvais, les honneurs militaires ont été rendus par le ministre de l'intérieu...r Bruno Le Roux, en présence du général d'armée Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale, aux trois gendarmes du PSIG de Méru décédés en service commandé le 23 décembre, dans un accident de la circulation routière dans l'Oise.
Il s'agit du gendarme Florian GUSTAVE, 25 ans, et des gendarmes adjoints volontaires Yassad Boumssimrat, 26 ans et Théo Delpierre, 18 ans.
mercredi 28 décembre 2016
Un hommage aux 3 gendarmes morts à Berneuil-en-Bray (60)
Jeudi, un hommage sera rendu à Beauvais aux 3 gendarmes morts dans un accident de la route vendredi dernier à Berneuil-en-Bray dans l'Oise. La cérémonie aura lieu au monument aux morts de la commune.
Le ministre de l'Intérieur est annoncé pour cet hommage aux 3 gendarmes décédés dans un accident de la route vendredi 23 décembre à Berneuil-en-Bray dans l'Oise.
Selon les 1ers éléments de l'enquête, la météo et l'état de la chaussée seraient en cause.
Vendredi 23 décembre, vers 18h, 3 gendarmes du PSIG de la compagnie de Méru (60) ont été tués dans un accident de la route alors qu'ils étaient en patrouille sur la Départementale 2 à Berneuil-en-Bray dans l'Oise : leur véhicule de fonction est entré en collision avec une fourgonnette dont les 3 occupants ont été gravement blessés.
Les militaires étaient âgés de 18, 25 et 26 ans.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/oise/beauvais
mardi 27 décembre 2016
lundi 26 décembre 2016
dimanche 25 décembre 2016
Gard : Hugo, meilleur limier des gendarmes, vient de prendre sa retraite
A u groupement du Gard, le Saint-Hubert en poste depuis sept ans est remplacé par Jupiter, un nouveau pisteur.
Après un septennat passé à pister les personnes disparues, Hugo, le Saint-Hubert des gendarmes du Gard vient de prendre sa "retraite". Il est remplacé par Jupiter, un autre Saint-Hubert. Il s'agit d'une race de chien particulièrement performante pour pister et retrouver les disparus. Le Gard est l'un des rares départements à compter dans ses rangs un chien de ce type. "En France, seuls 13 groupements disposent d'une équipe cynophile équipée d'un Saint-Hubert", indique le lieutenant-colonel Baudoux, le commandant en second du groupement de gendarmerie du Gard.
Les militaires et leurs chiens interviennent également dans le cadre d'affaires criminelles de toutes sortes. "Au départ, ce sont des chiens de chasse. Ils sont reconnus pour leur flair mais sont moins prisés que certaines races de chiens qui courent plus vite que le Saint-Hubert, plus performant quand il est en meute. Mais cela coûte assez cher d'en posséder une entière", ajoute Bruno Mourier, qui s'est occupé de la formation d'Hugo dès le début. Il va aussi l'accompagner dans sa retraite. Manifestement, le maître-chien et son animal ont noué une relation quasi fusionnelle.
"Il est capable de suivre une odeur sur plusieurs kilomètres. Les humains ne s'en rendent pas compte mais ils laissent dans leur sillage une empreinte olfactive unique. Lors des interventions, le chien suit une sorte de chemin olfactif de la personne recherchée." Si les Saint-Hubert ont du flair, ils ont aussi de la mémoire. L'adjudant Mourier rappelle que trois mois après un exercice, Hugo avait retrouvé un homme présent parmi une foule de cent personnes. "Moi, j'avais oublié son visage, mais pas le chien."
http://www.midilibre.fr/2016/12/24/hugo-le-meilleur-limier-des-gendarmes-part-en-retraite,1445191.php
Les vivants et les morts
Ce vendredi matin, l'ancien et le futur limier en chef jouaient dans la cour de la gendarmerie sous le regard des militaires. Si, pour eux, il s'agit d'une sorte de jeu ou une activité qui s'apparente à la chasse, leur emploi s'effectue généralement dans des conditions difficiles, puisqu'ils sont employés pour rechercher des personnes disparues "vivantes ou décédées", précise l'adjudant-chef Bruno Mourier, qui dirige le groupe d'intervention cynophile. Lequel compte quatre maîtres-chiens pour le groupement du Gard. Ainsi, l'emploi des équipes cynophiles signifie bien souvent que la situation est extrêmement critique, car les autres moyens de recherches se sont avérés inefficaces.Les militaires et leurs chiens interviennent également dans le cadre d'affaires criminelles de toutes sortes. "Au départ, ce sont des chiens de chasse. Ils sont reconnus pour leur flair mais sont moins prisés que certaines races de chiens qui courent plus vite que le Saint-Hubert, plus performant quand il est en meute. Mais cela coûte assez cher d'en posséder une entière", ajoute Bruno Mourier, qui s'est occupé de la formation d'Hugo dès le début. Il va aussi l'accompagner dans sa retraite. Manifestement, le maître-chien et son animal ont noué une relation quasi fusionnelle.
"Il est capable de suivre une odeur sur plusieurs kilomètres"
Il en va de même avec son successeur, Jupiter, que l'adjudant-chef a accueilli dans le groupe cynophile alors que ce n'était qu'un chiot de deux mois. Aujourd'hui âgé de deux ans, le chien est parfaitement opérationnel. Mais il a fallu une formation soutenue pour hisser Jupiter au même niveau de flair qu'Hugo."Il est capable de suivre une odeur sur plusieurs kilomètres. Les humains ne s'en rendent pas compte mais ils laissent dans leur sillage une empreinte olfactive unique. Lors des interventions, le chien suit une sorte de chemin olfactif de la personne recherchée." Si les Saint-Hubert ont du flair, ils ont aussi de la mémoire. L'adjudant Mourier rappelle que trois mois après un exercice, Hugo avait retrouvé un homme présent parmi une foule de cent personnes. "Moi, j'avais oublié son visage, mais pas le chien."
http://www.midilibre.fr/2016/12/24/hugo-le-meilleur-limier-des-gendarmes-part-en-retraite,1445191.php
samedi 24 décembre 2016
vendredi 23 décembre 2016
jeudi 22 décembre 2016
Des soldats français fêtent Noël sur une base militaire au Niger
Tous mes vœux aux soldats français en OPEX loin de leurs familles pour ces fêtes de fin d'année 2016...
Je pense bien à vous !!!
mercredi 21 décembre 2016
Le chef des armées veut une hausse du budget
Le chef d'état-major des armées (CEMA), le général Pierre de Villiers, plaide mercredi dans Les Echos pour un effort budgétaire accru en matière de défense, soulignant qu'"on ne gagne pas une guerre sans effort de guerre".
Au surlendemain de l'attentat au camion-bélier qui a fait 12 morts lundi soir à Berlin, le CEMA signe une tribune dans le quotidien économique où il demande "une hausse progressive du budget de la défense" pour atteindre les 2% du PIB, contre 1,77% actuellement. Il s'agit de "rester capable d'assurer, dans la durée, la protection de la France et des Français face au spectre complet des menaces", écrit-il.
"Il faut comprendre que le moindre décalage de cohérence entre les menaces, les missions et les moyens s'apparente au grain de sable qui grippe le système et conduit à la défaite", ajoute le général de Villiers, pour qui "on ne gagne pas une guerre sans effort de guerre".
Saluant la fin de la "tendance baissière des trente-cinq dernières années", rendant hommage au "volontarisme" du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, le général estime que "désormais, pour les armées, cet effort doit se traduire par une hausse progressive du budget de la défense pour rejoindre la cible de 2% du PIB, avant la fin du prochain quinquennat".
L'effort demandé "ne pourra être ni allégé ni reporté, en dépit de la complexité de l'équation budgétaire étatique prévisionnelle", fait-il valoir en ajoutant en guise de conclusion: "le prix de la paix c'est l'effort de guerre".
Le projet de budget de la Défense pour 2017 s'élève à 32,7 milliards d'euros, à 1,77% du produit intérieur brut (PIB), ce qui marque une stabilité par rapport à 2016. La France s'est engagée à le porter à 2% du PIB d'ici 2025 dans le cadre de l'Otan.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php
Au surlendemain de l'attentat au camion-bélier qui a fait 12 morts lundi soir à Berlin, le CEMA signe une tribune dans le quotidien économique où il demande "une hausse progressive du budget de la défense" pour atteindre les 2% du PIB, contre 1,77% actuellement. Il s'agit de "rester capable d'assurer, dans la durée, la protection de la France et des Français face au spectre complet des menaces", écrit-il.
"Il faut comprendre que le moindre décalage de cohérence entre les menaces, les missions et les moyens s'apparente au grain de sable qui grippe le système et conduit à la défaite", ajoute le général de Villiers, pour qui "on ne gagne pas une guerre sans effort de guerre".
Saluant la fin de la "tendance baissière des trente-cinq dernières années", rendant hommage au "volontarisme" du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, le général estime que "désormais, pour les armées, cet effort doit se traduire par une hausse progressive du budget de la défense pour rejoindre la cible de 2% du PIB, avant la fin du prochain quinquennat".
L'effort demandé "ne pourra être ni allégé ni reporté, en dépit de la complexité de l'équation budgétaire étatique prévisionnelle", fait-il valoir en ajoutant en guise de conclusion: "le prix de la paix c'est l'effort de guerre".
Le projet de budget de la Défense pour 2017 s'élève à 32,7 milliards d'euros, à 1,77% du produit intérieur brut (PIB), ce qui marque une stabilité par rapport à 2016. La France s'est engagée à le porter à 2% du PIB d'ici 2025 dans le cadre de l'Otan.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php
mardi 20 décembre 2016
lundi 19 décembre 2016
dimanche 18 décembre 2016
samedi 17 décembre 2016
vendredi 16 décembre 2016
jeudi 15 décembre 2016
mercredi 14 décembre 2016
mardi 13 décembre 2016
lundi 12 décembre 2016
dimanche 11 décembre 2016
samedi 10 décembre 2016
vendredi 9 décembre 2016
jeudi 8 décembre 2016
La remplaçante de la P4
Voici le véhicule qui remplacera la P4. concue par RENAULT TRUCK DEFENSE (ACMAT ) ce véhicule léger tactique polyvalent, sera livré en 3700 exemplaires. Chassis : FORD EVERST
mercredi 7 décembre 2016
Montpellier : le chien Ertone, décoré de la médaille de la défense nationale
C e mardi matin, à Montpellier, au groupement de gendarmerie départemental de l'Hérault, avait lieu une cérémonie un peu particulière.
Plusieurs gendarmes étaient décorés. Parmi les récipiendaires, le chien militaire Ertone, spécialisé dans la recherche de personne et en défense de la compagnie de Lodève. Il a reçu la médaille de bronze de la défense nationale des mains du général Lecouffe, commandant-adjoint de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.
Pour son maître, le maréchal des logis-chef, c'est la plus belle des récompenses. Au mois de janvier dernier à Creissan, près de Béziers, le gendarme et son chien étaient sur la piste d'une personne armée d'un fusil de chasse qui voulait mettre fin à ses jours quand soudain, deux coups de feu ont retenti dans le village. Ertone, berger malinois de sept ans et demi, est à la fin de sa carrière, un pincement au coeur pour son maître qui le récupérera chez lui.
http://www.midilibre.fr/herault/montpellier/
Pour son maître, le maréchal des logis-chef, c'est la plus belle des récompenses. Au mois de janvier dernier à Creissan, près de Béziers, le gendarme et son chien étaient sur la piste d'une personne armée d'un fusil de chasse qui voulait mettre fin à ses jours quand soudain, deux coups de feu ont retenti dans le village. Ertone, berger malinois de sept ans et demi, est à la fin de sa carrière, un pincement au coeur pour son maître qui le récupérera chez lui.
http://www.midilibre.fr/herault/montpellier/
mardi 6 décembre 2016
lundi 5 décembre 2016
Sondage: les gendarmes sont fiers de l'être
Les gendarmes sont bien sous leurs képis, mais critiques de leurs conditions matérielles de travail, avouant en outre avoir parfois peur en mission. Réalisé par l'Ifop pour la revue L'Essor de la gendarmerie, il montre que 72% des gendarmes, de statut militaire, se déclarent satisfaits de leur "situation professionnelle actuelle" et plus de neuf sur dix sont "fiers" de l'être. Il se disent très satisfaits de l'intérêt de leur travail (74%), contents de leur logement de fonction en caserne sur leur lieu d'affectation (65 %), de leurs horaires (59 %) et de leur rémunération (53 %).
Mais interrogés précisément sur les locaux, le matériel informatique et les véhicules, seulement 33 % déclarent être satisfaits de leurs conditions matérielles de travail, 37 % de leurs équipements de protection (gilets pare-balles). 79% sont contents de leur armement. Ils sont encore 54% à déclarer avoir "souvent ou de temps en temps" peur lors de leurs missions et interventions. 67% estiment par ailleurs que le "contexte terroriste" a changé "quelque chose" dans l'exercice de leurs missions, sans autre explication. Six gendarmes sur dix (61%) disent aussi que leurs relations avec la population se sont dégradées.
Sur les conditions de travail, 46% estiment qu'elles se sont également dégradées. 43% jugent moyenne la concertation, encore timide chez les gendarmes qui n'ont pas le droit de se syndiquer comme leur collègues policiers civils. Ils sont enfin unanimes (97%) à juger que les magistrats ne condamnent "pas assez sévèrement" les délinquants multi-récidivistes. Et 62% que les gendarmes sont moins bien considérés par les pouvoirs publics que les policiers. Le gendarme type est un sous-officier de moins de 30 ans, affecté en gendarmerie départementale, indique ce sondage.
L'Essor de la Gendarmerie est vendu par abonnement à 15.000 gendarmes d'active, réservistes ou retraités.
* L'enquête a été menée auprès d'un échantillon de 1.189 gendarmes. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne, déployé sur le site et la page Facebook du journal du 10 au 22 novembre 2016.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Mais interrogés précisément sur les locaux, le matériel informatique et les véhicules, seulement 33 % déclarent être satisfaits de leurs conditions matérielles de travail, 37 % de leurs équipements de protection (gilets pare-balles). 79% sont contents de leur armement. Ils sont encore 54% à déclarer avoir "souvent ou de temps en temps" peur lors de leurs missions et interventions. 67% estiment par ailleurs que le "contexte terroriste" a changé "quelque chose" dans l'exercice de leurs missions, sans autre explication. Six gendarmes sur dix (61%) disent aussi que leurs relations avec la population se sont dégradées.
Sur les conditions de travail, 46% estiment qu'elles se sont également dégradées. 43% jugent moyenne la concertation, encore timide chez les gendarmes qui n'ont pas le droit de se syndiquer comme leur collègues policiers civils. Ils sont enfin unanimes (97%) à juger que les magistrats ne condamnent "pas assez sévèrement" les délinquants multi-récidivistes. Et 62% que les gendarmes sont moins bien considérés par les pouvoirs publics que les policiers. Le gendarme type est un sous-officier de moins de 30 ans, affecté en gendarmerie départementale, indique ce sondage.
L'Essor de la Gendarmerie est vendu par abonnement à 15.000 gendarmes d'active, réservistes ou retraités.
* L'enquête a été menée auprès d'un échantillon de 1.189 gendarmes. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne, déployé sur le site et la page Facebook du journal du 10 au 22 novembre 2016.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php