mercredi 30 décembre 2015

Le Drian sur le Charles-de-Gaulle pour le Nouvel An

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian se rendra sur le porte-avions Charles-de-Gaulle, stationné dans le Golfe, jeudi à l'occasion du Nouvel An, après une visite aujourd'hui aux soldats déployés dans Paris.

"Ce sera la première fois que je me rendrai sur le porte-avions pour le 1er de l'An. L'année dernière j'étais à N'djamena, l'année d'avant au Mali. Je vais tous les ans fêter les fêtes de fin d'année avec des soldats parce que je pense que c'est ma place", a-t-il dit à l'issue d'une rencontre avec des militaires dans les rues de Paris. Le Charles-de-Gaulle, qui a appareillé le 18 novembre de Toulon (sud de la France) peu après les attentats de Paris, a d'abord été déployé en Méditerranée Orientale puis dans le Golfe pour intensifier les frappes françaises contre le groupe Etat islamique (EI) en Irak et Syrie

Lors d'un déplacement de plusieurs jours, Jean-Yves Le Drian rendra aussi visite à des pilotes et des légionnaires français stationnés au Moyen-Orient dans le cadre de la lutte contre l'EI.
L'aviation française dispose d'une base aux Emirats arabes unis et d'une autre en Jordanie, où sont stationnés respectivement six avions de chasse Rafale et six Mirage 2000.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Sentinelle à Béziers

Depuis le 17 novembre, 16 militaires de l'armée de l'air patrouillent dans les rues du centre-ville et à la gare.
Ils patrouillent dans les rues de Béziers depuis le 17 novembre 2015. Lundi 28 décembre, les seize militaires de l'Armée de terre ont passé la consigne à une nouvelle unité. L'occasion pour le sous-préfet Christian Pouget de les accueillir et de faire le point sur le dispositif Sentinelle.

Quelles forces ont été envoyées sur Béziers ?
Le dispositif comprend des patrouilles à raison de quatre jours par semaine, dont au moins, le samedi, ou le dimanche, entre 7 h 30 et 21 h 30. Vous avez 16 militaires de l'Armée de terre qui patrouillent par groupes de quatre ou huit. Au niveau national, il y a 7 000 militaires engagés dans cette opération Sentinelle. Cela durera le temps de l'état d'urgence. Il n'y a pas encore de fin définie.
Pourquoi la passation se fait-elle dans les locaux du commissariat ?
Ces patrouilles se font en collaboration avec les services de police et de gendarmerie également. Il s'agit de patrouilles dites portées, c'est-à-dire dans leurs véhicules et patrouilles pédestres.
Où se déploient ces patrouilles ?
Sur le centre-ville, à la gare, sur les Allées, les lieux de rassemblement de personnes surtout en ces périodes de fêtes de fin d'année. Cela permet à la police nationale et municipale de quadriller beaucoup plus de territoire sur le centre-ville de Béziers et de s'occuper d'autres affaires.
Quelle est leur mission ?
Ils ont mission de sécuriser les lieux. C'est une assistance et un soutien apprécié autant des forces de l'ordre que de la population, comme on a pu le constater au cours de leurs patrouilles.
Les militaires peuvent-ils intervenir ?
La police est en liaison permanente avec eux. Dès lors qu'ils se rendent compte qu'il y a une infraction, qu'ils en sont victimes ou qu'ils repèrent quelqu'un ou un colis suspect, ils alertent le commissariat et les policiers arrivent sur place.

http://www.midilibre.fr/2015/12/28/passation-de-consignes-pour-les-sentinelles,1263011.php

Barkhane : la France reste en première ligne

Lancée le 11 janvier 2013, l'opération Serval a été relayée le 1er août 2014 par l'opération Barkhane, dans le cadre du «G5 Sahel» réunissant Mali, Mauritanie, Niger, Tchad et Burkina Faso. Engagées depuis bientôt trois ans dans la bande sahélo-saharienne avec les forces africaines et l'ONU contre les groupes terroristes islamiques, les forces françaises ont détruit leurs sanctuaires. Mais les jihadistes continuent à attiser la tension dans la région.
Depuis quelques mois, la Syrie et la lutte contre l'état islamique focalisent l'attention sur le Moyen-Orient. En Afrique les caméras se sont faites plus rares dans la bande sahélo-saharienne. La guerre contre les groupes armés terroristes (GAT) y reste pourtant d'actualité avec l'opération Barkhane, 50e OPEX de la France en Afrique depuis 1958 et son plus vaste théâtre depuis la seconde guerre mondiale. Mauritanie, Burkina-Faso mais surtout Mali, Niger, Tchad… Un peu plus de 3 000 militaires français restent aujourd'hui déployés sur ce territoire pratiquement grand comme l'Europe de l'ouest, conduisant l'essentiel de leurs actions dans des zones désertiques.
En novembre, plus de 1 000 soldats, soit un tiers des effectifs, ont ainsi été engagés au nord du Mali pour de nouveaux ratissages dans l'adrar des Ifoghas ainsi qu'au nord du Niger. Après les «coups de marteau» de Serval en 2013, Barkhane a poursuivi là les «coups de râteau» qu'y avaient déjà opérés les unités de la 11e Brigade Parachutiste de Toulouse depuis le début de l'année 2015 (lire ci-dessous). Continuer à assécher les flux logistiques des GAT, les empêcher de reconstituer leurs camps : une vingtaine de caches d'armes ont été découvertes le mois dernier tandis que plusieurs terroristes étaient neutralisés au sud des frontières algérienne et libyenne. Il y a une dizaine de jours, au Mali, dans le cercle de Ménaka, l'affrontement a été plus violent.
Dans la nuit du 19 au 20 décembre près de la frontière nigérienne, les forces françaises ont livré durant quatre heures un combat intense contre des jihadistes affiliés à al-Mourabitoune qui avait revendiqué la récente attaque contre l'hôtel Radisson Blu de Bamako, conjointement avec al-Qaïda au Maghreb islamique. Un engagement qui s'est soldé par une dizaine de morts côté terroriste et la saisie d'une «quantité importante d'armements et d'explosifs», selon l'état-major des armées.
De fait, s'il ne reste plus de sanctuaires jihadistes dans la zone et qu'un accord de paix a été signé le 20 juin dernier à Alger par la coalition des mouvements touaregs de l'Azawad — lesquels avaient pris en 2012 les armes contre Bamako et passé alors une alliance de circonstance avec les salafistes contre le pouvoir malien — n'en demeure pas moins que la nébuleuse des GAT demeure une réelle menace, profitant toujours du chaos libyen.
Ainsi, alors que Bamako a proclamé l'état d'urgence pour dix jours, le 21 décembre, six personnes au moins ont été tuées cette semaine dans la région de Kidal, au nord-est du Mali, dans l'attaque d'une base d'ex-rebelles touaregs par les islamistes Ansar Dine qui ont revendiqué avoir frappé «des traîtres à la solde de la France».
Ansar Dine, mais aussi Aqmi, Mujao, Signataires par le sang ou Al-Mourabitoune… Pratiquement pas une semaine sans que des soldats des forces africaines, des onusiens de la Minusma ou des civils ne soient tués lors d'attaques ciblées ou d'attentats aveugles. Car si les jihadistes salafistes fuient l'affrontement direct avec les militaires français, leur but reste en effet d'«afghaniser» la région en créant un sentiment d'insécurité constante au sein de la population afin de susciter le rejet des soldats étrangers. La plus grosse bombe à désamorcer pour les militaires français.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/28/2246011-barkhane-la-france-reste-en-premiere-ligne.html

lundi 28 décembre 2015

Décès de l'Adjudant Philippe Jean instructeur à l’école militaire de haute montagne

hebergement d'image La communauté des troupes de montagne est à nouveau endeuillée par un accident dramatique. En effet, le 26 décembre vers 16h30, l’adjudant Philippe JEAN, instructeur à l’école militaire de haute montagne est décédé accidentellement au cours d’un saut de « base jump » depuis le site du Brévent à Chamonix, alors qu’il tentait la répétition d’un nouvel itinéraire dans le secteur du Nant Favre.
Considéré par ses pairs comme très expérimenté dans ce sport qu’il pratiquait avec passion à titre privé, Philippe avait à son actif plus de 850 sauts et connaissait parfaitement le site sur lequel il évoluait. Cette activité était conduite alors qu’il était en permissions.

Formateur enthousiaste aux qualités pédagogiques hors pair, il avait été affecté à l’EMHM en novembre 2014 après avoir servi comme expert formation montagne au 7e régiment du matériel, unité de soutien logistique spécialisée montagne. Entré en service en 1995, iIl avait au cours de sa carrière participé à de nombreuses opérations extérieures, principalement en Afrique.

Passionné de montagne, grimpeur, alpiniste et skieur confirmé, il était titulaire du brevet de chef de détachement depuis 2009. Il était engagé avec ardeur dans le cursus de formation de moniteur guide militaire.

Le chef de corps et l’ensemble du personnel de l’école militaire de haute montagne, s’associent douloureusement à la souffrance des familles et des proches et leur présentent leurs plus profondes condoléances.
http://www.emhm.terre.defense.gouv.fr/spip.php?rubrique11

La 11e B.P. au cœur du dispositif

2 015 aura été une très forte année d'engagement opérationnel et Barkhane la principale destination pour la 11e Brigade Parachutiste, dont l'état-major est stationné à Toulouse, ses régiments étant tous dans notre région à l'exception du 2e REP, basé à Calvi. «Plus de 3 500 personnels de nos différentes unités ont ainsi été engagés en opérations extérieures, soit plus de la moitié de la brigade», précise le colonel Michel Delion, colonel adjoint de la 11e BP.
Si l'on excepte la mission du 1er RHP au Liban, c'est la bande sahélo-saharienne qui a mobilisé tous les effectifs parachutistes en OPEX, avec tout d'abord le 3e RPIMa de Carcassonne et le 2e REP, au Tchad, puis le 1er RCP de Pamiers au Mali en début d'année, avant que le 8e RPIMa ne prenne le relais cet été au Tchad et au Niger ; régiments d'infanterie qui auront été appuyés sur place par des éléments blindés du 1er RHP de Tarbes, des sapeurs du génie du 17e RGP de Montauban, l'artillerie du 35e RAP de Tarbes et le 1er Régiment du train parachutiste de Cugnaux, l'état-major ayant été pour sa part présent au Tchad et au Mali, avec le général Salaün représentant militaire de Barkhane à Bamako.
Un an de présence à N'Djamena, quatre mois à Gao, Tessalit et Kidal… «On retiendra notamment l'opération aéromobile Tigharghar, conduite dans ce secteur de l'adrar des Ifoghas par le 1er RCP», rappelle le colonel Delion (lire page 3). Dans la nuit du 7 avril, c'est ensuite le 2e REP qui aura sauté sur la passe de Salvador, au nord du Niger, autre grand carrefour des trafics, au Sahel. Une zone qui a reçu plusieurs «visites» des hommes de la 11e BP cette année puisqu'à partir du mois août, le 8e RPIMa de Castres a également été largué plusieurs fois, rappelle le colonel Delion.

1 500 paras en plus d'ici 2 017

Mais le terrorisme aura également mobilisé la brigade sur le territoire national même, dans le cadre de l'opération Sentinelle. 750 parachutistes étant d'alerte permanente, après la tuerie de Charlie le 7 janvier, deux compagnies étaient à pied d'œuvre à Paris le lendemain matin. L'état-major est allé lui à Marseille, en renfort, afin de coordonner toutes les unités déployées de Nice à Perpignan tandis que les réservistes protégeaient l'hôpital militaire de Lyon. Après les attentats de Paris le 13 novembre, 300 militaires ont également été immédiatement mobilisés. En première ligne pour l'urgence, les régiments de la 11e BP vont donc être renforcés par 1 500 parachutistes supplémentaires d'ici 2017 , dans le cadre de l'effort de recrutement engagé par le ministère de la Défense.
Pratiquement toutes les unités du grand sud-ouest ont été engagées dans Barkhane en 2015. Au delà de la 11e BP, pour l'armée de Terre, toutes les unités des forces spéciales Terre, basées en Aquitaine, le 5e RHC de Pau (hélicoptères), le 48e RT d'Agen (transmissions), le 3e RMAT de Muret (matériel), ont été projetés. Pour l'armée de l'air, le régiment de chasse 2/30 et l'ESCA de Mont de Marsan, un détachement d'hélicoptère de l'EH Pyrénées de Cazaux et les drones de Cognac ont également opéré.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/28/2246017-la-11e-b-p-au-coeur-du-dispositif.html

Avec le 1er RCP de Pamiers dans le désert malien

Début avril, La Dépêche a pu suivre en opération le 1er Régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers dans le nord du Mali. Sur la boucle du Niger, à Gao, tout d'abord, où le Groupement tactique Désert “Rapace” était commandé par leur chef de corps, le colonel Bruno Helluy, puis à Tessalit et dans la zone désertique bordant la frontière algérienne avec la 4e compagnie. Colonne vertébrale des missions de ratissage sur le terrain, les “rapaces” venaient de passer au crible quatre semaines durant le secteur de Tigharghar dans l'Adrar des Ifoghas, avec l'appui des sapeurs du 17e RGP de Montauban pour le déminage et du 35e RAP de Tarbes, pour l'artillerie et le guidage au sol des frappes aériennes.
Leur bilan ? Quatre jihadistes avaient été mis hors de combat et plus de 10 tonnes d'obus, de roquettes et de matériel pour fabriquer des IED, mines et bombes artisanales, avaient été découverts, portant un coup sévère à la logistique des groupes armés terroristes dans ce secteur. Sanctuaire d'environ 2 000 jihadistes salafistes et théâtre de violents combats en 2013, cette vaste région montagneuse n'en comptait plus, selon les militaires, qu'environ 100 à 200 au printemps 2015, appartenant à différents groupes radicalisés tels qu'Ansar Dine ou Aqmi. Présence qui, avec celle du Mujao, n'avait rien d'hypothétique dans les immenses étendues désertiques du nord Mali. Le lendemain de notre arrivée ? Quatre roquettes étaient tirées sur Gao le dimanche de Pâques, tuant une jeune femme de 21 ans et blessant trois personnes. Puis c'était le départ pour Tessalit… où transitait en suivant le néerlandais Sjaak Rijke, otage d'Aqmi durant 1 224 jours, tout juste libéré par les forces spéciales françaises. Bref, on était immédiatement dans le vif du sujet. Ensuite ? Le temps de découvrir les conditions d'extrême rusticité dans lesquelles vivaient les soldats sur leur plateforme avancée dans le désert et ce serait durant quelques jours une mission avec un convoi blindé pour chercher d'éventuelles caches d'armes au sud de la frontière algérienne. Chaleur, sable, poussière, vent, isolement, “crapahutage” avec jusqu'à 60 kg de matériel sur le dos nécessitant une volonté et un engagement de chaque instant dans des paysages âpres et lunaires… un résumé de ce qu'eux vivaient durant quatre mois, de ces conditions éprouvantes pour les hommes, dont certains avaient pu déjà perdre 15 kg dans le Tigharghar. Boulot obscur, ingrat, loin des projecteurs. «Mais c'est aussi notre fierté de le faire», concluaient les soldats de cette guerre d'usure au ras du sol contre les jihadistes.
 

L'esprit de Noël à la Légion : un miracle d'intégration

hebergement d'image Les crèches de la Légion étrangère ont une mission de cohésion, d'intégration. Elles sont le symbole d'une renaissance, d'une autre chance, accordée aux légionnaires.

Mardi 8 décembre, la section de l'adjudant Lebedev est rentrée la veille de Formiguères où elle était «en oxygénation» au chalet du 4e régiment étranger. Pas de temps à perdre… L'adjudant a recensé les savoir-faire parmi ses hommes, l'un était menuisier dans le civil, un autre plaquiste, électricien. Il y a même un monteur de son et, cerise sur le gâteau, un maquettiste – la Légion étrangère c'est tout cela, des talents multiples… Ils seront le noyau dur pour la conception de la crèche de la 2e compagnie commandée par le capitaine Mettavant au 4e régiment étranger de Castelnaudary. Justement, la première réunion, c'est aujourd'hui. «Vous avez quelques jours pour réaliser une crèche avec bande-son, image, titre et émotion et en respectant un certain nombre de critères», lance l'officier à ses hommes. Chacun a, en amont, réfléchi au sujet avec un thème, voulu par l'officier, qui fait consensus : le départ vers une nouvelle vie pour le légionnaire et un parallèle avec la Nativité, nouveau départ pour l'humanité… «On est tous venus chercher quelque chose, ici», rappelle le capitaine au long passé de légionnaire, qui insiste, martèle à l'attention de tous… «On reste dans la simplicité mais la musique, la voix, les accents, c'est important». On parle aussi visite de sécurité, date du concours fixée au 24 avec la visite du jury, celle du 21-22 où il ne devra rester qu'à peaufiner les détails, et celle butoir au 17 où l'équipe devra avoir rendu sa copie avec «le thème, le titre et la localisation». Qu'importe le prix… «Je veux simplement que vous vous souveniez de votre crèche». Justement, côté souvenir, c'est la marche képi blanc entre Saint-Malo et le Mont-Saint-Michel les 2 et 3 novembre dernier qui a marqué nos jeunes légionnaires, ce sera le thème de leur crèche. Laurent Henry, le monteur de son, soumet son projet en trois scènes : la formation en ferme, la marche en Normandie dans les pas des combattants de la Seconde Guerre mondiale, et enfin l'arrivée au Mont-Saint-Michel. «L'idée est bonne mais il y a trop de points de vue», estime le capitaine. Lui, veut de l'émotion, des sentiments, que la crèche raconte la solitude du légionnaire venu du bout du monde, qui loin des siens, souffre, déprime, tombe pendant la marche et qu'un sergent viendra réconforter, encourager. «Regarde au loin, ce vaisseau de pierre, c'est un endroit magique qui garde la lumière très longtemps…». Le Mont-Saint-Michel, on s'y voit, on y est… «Ici, depuis la nuit des temps, des peuples se sont croisés». D'autres aujourd'hui, y ont marché, coiffés du béret vert. Encore un beau symbole !
Les crèches du 4e régiment étranger ne sont pas ouvertes au public ce 25 décembre.


La famille Légion

Ils sont d'horizons différents, venus pour s'engager au service de la France, des quatre coins du monde. Ils sont catholiques, orthodoxes, bouddhistes ou musulmans et jurent quand ils prêtent serment de considérer «chaque légionnaire comme un frère d'armes, quelles que soient sa nationalité, sa race ou sa religion et de lui manifester toujours la solidarité qui doit unir les membres d'une même famille». Noël, c'est la fête de la famille Légion, pour ceux qui sont loin de chez eux.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/25/2244620-esprit-noel-legion-miracle-integration.html

Mali : l'armée française abat «une dizaine de terroristes

Des militaires français ont tué, dans la nuit du 19 au 20 décembre, «une dizaine de terroristes» au Mali. Cette action a été menée dans la région de Ménaka, dans l'Est du pays, à proximité de la frontière avec le Niger, dans le cadre de l'opération Barkhane de lutte contre le jihadisme dans le Sahel, rapporte le ministère de la Défense dans un communiqué.

Cette action visait des membres de l'organisation jihadiste Al-Mourabitoune, de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, 
récemment ralliée à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Belmokhtar est accusé d'être à l'origine de l'attaque de l'hôtel Radison Blu, à Bamako, la capitale du Mali, lors de laquelle plus de vingt personnes sont mortes le 20 novembre.

Lors de l'opération du week-end dernier, le ministère français de la Défense assure qu'«au terme de combats violents qui ont duré près de quatre heures, deux pick-ups et une dizaine de motos ont été saisis. Une dizaine de terroristes ont été neutralisés (NDLR : formule consacrée pour signifier qu'ils sont morts). Une quantité importante d’armements et d’explosifs a été récupérée».

Dix jours d'état d'urgence

Peu après, le
gouvernement malien a proclamé l'état d'urgence pour dix jours en raison de «l'évolution de la situation sécuritaire au Mali et dans la sous-région», selon un communiqué officiel publié lundi soir après un Conseil des ministres extraordinaire sur la sécurité. Cette mesure d'exception donne notamment plus de possibilités d'interventions aux forces de sécurité et restreint les rassemblements.

«Même en
France, à l'approche des fêtes de fin d'année, il y a des mesures qui sont prises. Le Mali a le devoir de prendre les devants», a déclaré un ministre, sous couvert d'anonymat. «Pour les fêtes de fin d'année, il faut éviter les attroupements. L'ennemi peut profiter de ces attroupements», a-t-il ajouté.

Le Nord du Mali est tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de jihadistes liés à Al-Qaïda, après la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée. Les jihadistes ont été dispersés et en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement, en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale qui se poursuit. Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères.


http://www.leparisien.fr/international/actualites-informations-videos-international

L'armée commande 7 hélicoptères Tigre

La Direction générale de l'armement (DGA) a annoncé la commande de sept hélicoptères de combat Tigre supplémentaires à Airbus Helicopters, portant le parc à 67 unités.

Cette commande, passée le 17 décembre via l'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement (Occar), vise à renforcer la capacité des forces françaises dans la bande sahélo-saharienne notamment.

Le Tigre est capable d'appuyer les troupes au sol, de détruire des objectifs terrestres (blindés et infrastructures), et d'intercepter des menaces aériennes (avions lents, hélicoptères, drones).

L'armée de terre française a déjà réceptionné 55 Tigre. Les sept hélicoptères supplémentaires lui seront livrés en 2017

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php

lundi 21 décembre 2015

Armée française au Sahel: 2 «terroristes» tués

Deux «terroristes» ont été abattus par les forces françaises lors d'une série d'opérations dans le nord du Mali et le nord du Niger, entre fin octobre et début décembre dans le cadre de la mission Barkhane, a informé aujourd'hui l'état-major des Armées françaises. Au cours de cette série d'opérations baptisée Vignemale, «deux terroristes ont été mis hors de combat, au cours d'un accrochage et plusieurs individus ont été appréhendés par les autorités locales», c'est-à-dire maliennes et nigériennes.

L'identité des deux «terroristes» n'a pas été divulguée. «Une vingtaine de caches ont été découvertes, et six pick-up ont été interceptés» a précisé l'état-major, qui a ajouté que ces opérations ont mobilisé un total de 1000 soldats français, dans l'Adrar des Ifoghas, dans le nord du Mali. Ces opérations se sont notamment concentrées sur une «passe désert», un carrefour emprunté par les djihadistes.

En vigueur depuis le 1er août 2014,
l'opération militaire française Barkhane mobilise environ 3500 hommes dotés de chasseurs-bombardiers, d'hélicoptères de combat et de blindés, pour lutter «contre le terrorisme» dans cinq pays : Mauritanie, Mali, Niger, Tchad et Burkina Faso. Elle est dirigée par un état-major installé à N'Djamena.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Ouverture du musée de la Gendarmerie

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Inauguré jeudi 17 décembre par le ministre de l'Intérieur, le musée de la gendarmerie rassemble plus de 2000 pièces de collection. Organisée autour de la plus grande vitrine suspendue d'Europe, véritable prouesse technique de 8,50 mètres de haut, 2 mètres de large et 18 mètres de long, l'exposition permanente retrace l'histoire de notre Institution du Moyen-âge jusqu'à nos jours à travers ses moments forts et ses missions (police judicia...ire, police montée, techniques d'investigation criminelle, prévôté, etc.).
Découvrez en images quelques pièces du musée, un avant-goût de votre future visite... Car forcément, vous viendrez le découvrir !
Musée de la gendarmerie nationale
1-3 rue Émile Leclerc 77000 Melun
www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/musee/ @musee_gn
Ouvert du lundi au dimanche sauf le mardi (de 10h à 17h30/18h)

Le chef du Pentagone sur le Charles de Gaulle

Le chef du Pentagone, Ashton Carter, s'est rendu hier sur le porte-avions français Charles de Gaulle. Il s'agissait d'une première pour un secrétaire américain à la Défense. Cette visite hautement symbolique intervient alors que le groupe aéronaval (GAN) constitué autour du Charles de Gaulle vient de prendre le commandement de la composante navale de la coalition anti-EI emmenée par les Etats-Unis.
Le contre-amiral français René-Jean Crignola, qui dirige le GAN, a pris le 7 décembre pour plusieurs semaines les fonctions de commandant de la coalition navale anti-EI, la Task Force 50 (TF 50), une première pour un non-Américain. Il travaille en étroite collaboration avec l'état-major naval régional américain de la coalition, l'USNAVCENT, basé à Bahreïn, qui opère sur une zone très stratégique, de la mer Rouge au Golfe. Concrètement, le contre-amiral Crignola gère les opérations au niveau tactique. Il assigne des zones, des positions et des missions aux bateaux de la coalition, en lien avec l'état-major américain, d'où la visite d'Ashton Carter sur le navire français.
Le Charles de Gaulle rejoindra aujourd'hui sa zone de déploiement opérationnel dans le Golfe, après une première phase d'opérations contre l'EI en novembre et décembre en Méditerranée orientale.
Les 26 chasseurs-bombardiers embarqués pourraient alors aussitôt reprendre leurs vols, au plus près du théâtre irakien.
Le navire était parti le 18 novembre de Toulon. Il avait ensuite été engagé deux semaines en Méditerranée pour intensifier la campagne française de frappes contre l'EI après les attentats de Paris.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/20/2242028-le-chef-du-pentagone-sur-le-charles-de-gaulle.html

vendredi 18 décembre 2015

À L'HONNEUR : Sentinelle : une intervention dissuasive !

hebergement d'image Déployé pour l’opération #SENTINELLE, le 1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP Tarbes) patrouillait le samedi 12 décembre en Seine et Marne (77) au centre commercial « Val d'Europe ».

En fin d’après-midi, les quatre membres de la patrouille sont témoins d’une rixe opposant deux groupes d’environ 6 personnes, âgés de 16 à 18 ans. ...

Le brigadier-chef Jérôme, responsable de l’équipe, décide d’intervenir et commande immédiatement de s’interposer entre les deux bandes rivales. Analysant la situation et le danger, il fait déployer le bâton de défense. Son aspect dissuasif l’emporte et nos soldats n'auront pas besoin de s'en servir. Toutefois, face à l’agressivité de certains individus, un des militaires recourt à l’emploi de la bombe lacrymogène d’auto-protection.

Un des agresseur est neutralisé par une clé de bras apprise lors des séances de "technique d’intervention opérationnelle rapprochée" (TIOR). Cette action déterminante met aussitôt fin à l’altercation et les autres individus prennent la fuite. Le jeune homme immobilisé a été remis aux forces de police prévenues par les agents de sécurité du centre commercial.
L’intervention efficace et rapide de la patrouille de l’
Armée de Terre a permis de sécuriser la zone afin qu’aucune personne ne soit blessée et que la rixe ne dégénère pas. #FierDeNosSoldats

Le père Noël au 501e RCC de Mourmelon

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Le mercredi 16 décembre 2015, les plus petits comme les plus grands ont rencontré le Père Noël au 501 e  régiment de chars de combat de Mourmelon-le-Grand. Si le père Noël n’a pas troqué son traîneau pour un engin blindé, son apparition a été magique pour les enfants des militaires du régiment. Des étoiles dans les yeux et des sourires se dessinaient sur leurs visages. Transformé en cour d’école, le gymnase du 501e régiment de chars de combat s’est prêté à merveille à cet événement tant attendu !
Après le discours du colonel Mary, chef de corps du 501, place a été donnée au spectacle ! Sapin de Noël, goûter ... sans oublier le père Noël et sa distribution de cadeaux ! Rien n’a été laissé au hasard pour faire de cette journée, l’une des plus exceptionnelles de l’année pour les enfants.
Des instants en famille, chers aux militaires du 501 e  régiment de chars de combat, qui bientôt seront au Tchad dans le cadre de l’opération Barkhane.
http://www.lunion.fr/node/621763

Le Charles de Gaulle fait route vers le Golfe

Le porte-avions français Charles de Gaulle a quitté la Méditerranée orientale pour le Golfe et pris le commandement de la composante navale de la coalition engagée contre le groupe Etat islamique (EI), a annoncé aujourd'hui l'armée française.

Le Groupe aéronaval (GAN) constitué du porte-avions et de bâtiments de protection a passé lundi le canal de Suez après deux semaines d'opérations contre l'EI en Syrie et Irak depuis la Méditerranée, a indiqué l'état-major des armées dans un communiqué. "En pénétrant dans la Mer rouge, le contre-amiral René-Jean Crignola, commandant du GAN, a pris les fonctions de commandant de la Task Force 50 (composante navale de la coalition contre l'EI dirigée par les Etats-Unis) qu'il assurera durant plusieurs semaines", a-t-il ajouté. "C'est la première fois que cette fonction est confiée à un amiral non américain", a souligné l'armée française. "Cela démontre le haut niveau d'interopérabilité que les marines française et américaine ont atteint".

Le Charles de Gaulle a pris concrètement le relais d'un des porte-avions de la Ve flotte américaine qui dirigent traditionnellement les opérations de la Task Force 50 (TF 50). Il va travailler en étroite collaboration avec l'état-major naval régional américain de la coalition, l'USNAVCENT, basé à Bahreïn et qui opère sur une zone très stratégique, de la mer Rouge au Golfe arabo-persique.

Le Charles de Gaulle, engagé en Méditerranée pour intensifier les opérations aériennes contre l'EI après les attentats de Paris, a réalisé 130 sorties aériennes, 22 frappes et neuf missions de renseignement et reconnaissance (ISR) sur les territoires contrôlés par le groupe jihadiste depuis le 23 novembre, est-il précisé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/12/08/97001-20151208FILWWW00129-le-charles-de-gaulle-fait-route-vers-le-golfe.php

Frappes françaises contre Daesh: La France viendrait à manquer de bombes

Contre Daesh, les avions français enchaînent les frappes sans relâche. Depuis le début de l’opération Chammal en septembre 2014, la France aurait ainsi largué 680 bombes, selon le journal Le Monde. D’après les chiffres cités par le quotidien, les Rafale et Mirage auraient sur cette période effectué « 2.500 sorties aériennes, 321 frappes » et détruit « 580 objectifs ».
Cependant, avec l’intensification des frappes depuis les attentats du 13 novembre à Paris, qui ont fait 130 morts, les munitions viendraient à manquer. Le ministère de la Défense aurait donc commandé en urgence « quelques centaines de bombes guidées GBU » [Guided Bomb Unit] à des fournisseurs américains, affirme le Monde.
L’aviation française effectue actuellement en moyenne « quatre ou cinq frappes par jour, en Syrie et en Irak », contre les positions de Daesh, selon une source militaire française. Le quotidien du soir croit savoir qu’en l’espace de trois jours seulement à la suite des attentats, les 15, 16 et 17 novembre, une soixantaine de bombes auraient été larguées.
http://www.20minutes.fr/societe/1744423-20151205-frappes-francaises-contre-daesh-france-viendrait-manquer-bombes

vendredi 4 décembre 2015

Le Président François Hollande est arrivé sur le Charles-de-Gaulle, au large de la Syrie

Le président François Hollande est arrivé en milieu d'après-midi sur le porte-avions Charles-de-Gaulle, déployé dans l'est de la Méditerranée pour participer aux opérations en Syrie et en Irak contre Daech. Il y prononcera notamment une allocution.

Le président de la République est arrivé en milieu d'après-midi sur le porte-avions Charles-de-Gaulle. François Hollande a souhaité rencontrer les militaires engagés dans les opérations de combat contre Daech en Syrie et en Irak.
C'est la première fois qu'il se rend sur le théâtre des opérations militaires françaises. Sa visite intervient trois semaines après les attentats du 13 novembre commis par des jihadistes qui ont fait 130 morts et plusieurs centaines de blessés à Paris.
Le président assistera au catapultage de nuit d'avions Rafale et super Etendard
Accompagné notamment du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, le chef de l'Etat va s'entretenir, entre autres, avec les pilotes de chasse et techniciens qui interviennent sur le porte-avions. Il prononcera une allocution en fin d'après-midi sur ce bâtiment où se trouvent actuellement 2.000 personnes environ. Il doit aussi assister, selon l'Elysée, au catapultage de nuit d'avions Rafale et super Etendard partant en mission.
L'engagement du porte-avions français, pour participer aux opérations contre le groupe EI avait été annoncé le 5 novembre par l'Elysée, à l'issue d'un conseil de défense. Il avait appareillé le 18 novembre de Toulon et a mené ses premières frappes en Syrie le 23 novembre

Mourmelon, le 501e RCC a retrouvé ses anciens

Le samedi 28 novembre 2015, s’est tenu l’Assemblée générale des anciens de la 2 e  Division Blindée, dans le prestigieux hôtel national des Invalides.
Cette assemblée générale était précédée d’un déjeuner à l’hôtel des Invalides, un moment de convivialité en compagnie du Président des anciens du 501 dont Alain RAPHAEL président de l’association du 501 e  RCC, du général CUCHE et du lieutenant-colonel MURY, commandant en second du régiment. Ce repas fut l’occasion d’échanger avec les anciens, de leur faire part des projets du 501, et notamment de la sortie de son Livre « Prestige » en 2016. Ces rencontres font perdurer la mémoire des anciens de la 2 e  DB, soutenue par le dynamisme de nos anciens.
501, France Libre !
http://www.lunion.com/node/610410

jeudi 3 décembre 2015

Hommage national à Alexis Guarato, soldat français mort au Mali

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Un hommage national en l’honneur d’Alexis Guarato, soldat français mortellement blessé au Mali, décédé le 26 novembre 2015. Ce sergent-chef de 35 ans était enterré ce jeudi en présence du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.
>> A lire aussi: Qui était Alexis Guarato, le soldat français mortellement blessé au Mali?

Elevé à titre posthume au grade de sergent-chef

Au cours de ses funérailles, célébrées sur la base aérienne d’Orléans-Bricy, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a salué la « mission vitale pour la nation » des forces françaises au Mali. La cérémonie s’est déroulée en présence de la famille d’Alexis Guarato et de nombreux civils et militaires sur le tarmac de la base
son arrivée, le ministre a passé en revue les troupes, dont plusieurs sections du commando parachutiste de l’Air n°10, basé à Bricy, dont était issu le sergent Guarato, mort à 35 ans, élevé à titre posthume au grade de sergent-chef.
L’hommage national qui a été rendu il y a quelques jours aux victimes des attentats du 13 novembre nous rappelle combien votre mission, aussi difficile soit-elle, est vitale pour la nation », a souligné Jean-Yves Le Drian, face au cercueil recouvert du drapeau tricolore. Il a souligné le « courage exemplaire » de la victime, ses qualités humaines et « sa volonté sans faille ».
Aux proches du militaire, il a exprimé son « émotion », ainsi que « la fierté et la reconnaissance de la nation », avant de déposer la légion d’honneur sur le cercueil.
Vous avez fait honneur à la France»
« C’est la France entière qui se recueille dans le souvenir de l’un des siens, l’un de ceux qui avait fait le choix de la défendre de la plus belle des façons en engageant sa vie pour protéger celle de ses concitoyens. Dans le combat contre les mouvements terroristes qui nous menacent, vous avez fait honneur à la France », a également déclaré le ministre.
Parmi les militaires présents se trouvaient les deux camarades d’armes des forces spéciales blessés en même temps que le sergent-chef Guarato, l’un en fauteuil roulant, l’autre portant le cercueil du défunt. Le 13 octobre dernier, leur véhicule avait sauté sur une mine anti-char alors qu’ils étaient en mission de reconnaissance à 50 km à l’est de Tessalit, dans le nord du Mali.
Un hommage a également été rendu à Paris ce jeudi à 9h30, sur le pont Alexandre III.

http://www.20minutes.fr/monde/1743631-20151203-hommage-national-alexis-guarato-soldat-francais-mort-mali

Un trinôme du 3e RPIMa porte assistance à une personne âgée.

hebergement d'image Alertés par un passant alors qu'ils patrouillaient dans la gare de Lyon lors de leur missions #Sentinelle, le caporal Benjamin et les marsouins parachutistes Loïc et Quentin ont porté secours à une personne âgée en état de convulsion.
Réactifs, ils ont installé un périmètre de sécurité, alerté les secours et prodigué les premiers soins permettant de stabiliser l'état de la victime. Leur action aura permis une prise en charge optimale et une évacuation rapide de la victime vers l'hôpital le plus proche.
L'armée de Terre est fière de compter dans ses rangs, des militaires dotés d'un sens civique exemplaire.

mercredi 2 décembre 2015

Hommage au CPL BIGONI ANTHONY du 1° RCP

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HOMMAGE à
Notre camarade
Le CPL BIGONI ANTHONY (9 ans de Service)
Ancien du 2ème RPIMA (Réunion 974)
Et actuellement du 1er RCP ...

Décédé ce week-end dans le (09)
Toutes nos condoléances à sa famille, amis, collègues, car nous perdons aujourd'hui une image du 1er RCP et surtout de la 2ème Cie du 1er RCP ,une veillée est tenue toute la nuit sur Pamiers ainsi que demain matin.
MERCI À TOI NOTRE BIGO !!!
Tu restera toujours dans nos mémoires et dans notre coeur.
"PAS MOYEN, MOYEN QUAND MÊME