Evidemment, le nombre de soldats concernés -55- est faible et ne permettra donc qu'une aide limitée. Qu'importe puisqu'il s'agit de montrer symboliquement que la France n'est pas le seul pays non-africain à intervenir en Centrafrique, comme François Hollande le demandait à ses partenaires depuis début décembre.
Vendredi, c'est donc finalement l'Estonie qui a été la première à répondre concrètement à l'appel du chef de l'Etat en annonçant sa participation à la future mission européenne pour soutenir les interventions en Afrique. Leur première affectation sera évidemment la Centrafrique. "L'intervention de la France en Centrafrique a contribué à éviter une catastrophe humanitaire dans ce pays", explique le Premier ministre Andrus Ansip.
Cette décision doit cependant encore être soumise au Parlement la semaine prochaine. Même si la réponse positive ne fait aucun doute, cela rallongera les délais. "L'unité estonienne pourra être envoyée en Afrique à la fin février au plus tôt", explique Andrus Ansip. Elle pourrait rester en Afrique jusqu'à quatre mois.
Cette décision doit cependant encore être soumise au Parlement la semaine prochaine. Même si la réponse positive ne fait aucun doute, cela rallongera les délais. "L'unité estonienne pourra être envoyée en Afrique à la fin février au plus tôt", explique Andrus Ansip. Elle pourrait rester en Afrique jusqu'à quatre mois.
Par ailleurs, l'Onu a averti une nouvelle fois que les éléments étaient réunis pour qu'il y ait un génocide en Centrafrique.
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