C'est le site spécialisé "Lignes de défense" qui a révélé l'information. Un soldat français a été retrouvé mort le 5 août dans la zone militaire française sur l'aéroport de Kaboul, en Afghanistan, a confirmé mercredi à Paris l'état-major des armées.
Selon un porte-parole de l'état-major, une enquête, confiée dans un premier temps à la gendarmerie sur place, est en cours pour déterminer les causes du décès, qui "n'est pas la conséquence d'une attaque ou d'une mort au combat". Le ministère de la Défense n'a pas annoncé le décès du militaire au moment des faits en raison de l'enquête, a-t-on précisé de même source.
Selon "Lignes de défense", ce militaire âgé de 39 ans, Gwénaël Thomas, serait mort par balle, ce que l'état-major n'a pas confirmé. Il s'agit, selon le site, d'un sous-officier de l'armée de l'air, né à Redon (Ille-et-Vilaine), ont les obsèques doivent se dérouler vendredi dans cette ville. Le militaire aurait notamment servi précédemment au Mali, en Côte d'Ivoire et au Liban.
Son décès porte à 89 le nombre de soldats français morts en Afghanistan -tués au combat, accidentellement, par suicide ou de mort naturelle- depuis le début de la présence française au sein de la force multinationale dans ce pays, fin 2001. Environ 500 militaires français sont encore présents en Afghanistan, essentiellement sur l'aéroport de Kaboul, après le retrait de l'essentiel des troupes et du matériel français, conformément au calendrier fixé en mai 2012 par le chef de l'Etat
Selon un porte-parole de l'état-major, une enquête, confiée dans un premier temps à la gendarmerie sur place, est en cours pour déterminer les causes du décès, qui "n'est pas la conséquence d'une attaque ou d'une mort au combat". Le ministère de la Défense n'a pas annoncé le décès du militaire au moment des faits en raison de l'enquête, a-t-on précisé de même source.
Selon "Lignes de défense", ce militaire âgé de 39 ans, Gwénaël Thomas, serait mort par balle, ce que l'état-major n'a pas confirmé. Il s'agit, selon le site, d'un sous-officier de l'armée de l'air, né à Redon (Ille-et-Vilaine), ont les obsèques doivent se dérouler vendredi dans cette ville. Le militaire aurait notamment servi précédemment au Mali, en Côte d'Ivoire et au Liban.
Son décès porte à 89 le nombre de soldats français morts en Afghanistan -tués au combat, accidentellement, par suicide ou de mort naturelle- depuis le début de la présence française au sein de la force multinationale dans ce pays, fin 2001. Environ 500 militaires français sont encore présents en Afghanistan, essentiellement sur l'aéroport de Kaboul, après le retrait de l'essentiel des troupes et du matériel français, conformément au calendrier fixé en mai 2012 par le chef de l'Etat
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