Carcassonne : les paras du 3e RPIMa de retour ce mardi de Saint-Martin

Arrivés dans la nuit de ce lundi à mardi, à 4h du matin à l’aéroport de Roissy, les militaires du 3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine ont regagné la métropole. Déployés dans les Antilles et plus précisément sur l’île de Saint-Martin, le dimanche 10 septembre, les paras avaient répondu en moins de 24 heures à l’alerte du dispositif d’échelon national
d’urgence TAP (Troupes Aéroportées) aussi appelé « Guépard ».

"Retour au calme de la situation sécuritaire"
Le déploiement sur court préavis du 3e RPIMa et des autres unités (3e REI et 33e RIMa) a permis, en patrouillant jour et nuit dans l’ensemble de l’île, "de mettre fin à plusieurs tentatives de pillage", précise le "3" dans un communiqué. Et d'indiquer que "le retour au calme de la situation sécuritaire à Saint-Martin permet maintenant le désengagement de ces unités. Les forces de sécurité intérieures seules sont désormais à même d’assurer la sécurité de l’île, le risque d’une nouvelle dégradation étant écarté".

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vendredi 15 septembre 2017

Mémorial du quai des Déportés à Compiegne (60)






Entre 1942 et 1944, 50 000 personnes sont parties du "quai des déportés" de Royallieu, à Compiègne, vers les camps de la mort. Historique de ce quai avec le témoignage de Roger Laine, ancien déporté Mauthausen. Face à une certaine indifférence,Denis Cureaux, président de l'association Culture, histoire et patrimoine ferroviaires souhaite préserver ce haut lieu de mémoire et demande son classement. C'est à Royallieu, dans un faubourg de Compiègne, que les Allemands ont établi le principal camp du Frontstalag 122. Le lieu, une ancienne caserne militaire construite en 1913, avait abrité un hôpital militaire pendant la Première Guerre mondiale, puis pendant la "Drôle de Guerre". Dans la nuit du 12 au 13 décembre 1941, un premier convoi de 1043 Juifs est conduit à Royallieu, composé d'environ 700 "notables juifs" raflés à Paris et de 300 Juifs étrangers amenés du camp de Drancy où ils étaient internés depuis août 1941. Au total, environ 3500 Juifs ont été internés à Royallieu. Dans un premier temps, le transfert se fait sous la surveillance des gendarmes français, mais très vite ceux-ci s'inquiètent des conséquences que leur implication pourrait avoir dans leurs rapports avec la population locale. A partir de la fin de 1942, ce sont des gendarmes venus de la région parisienne qui effectuent la surveillance. Si les gendarmes français participent encore en 1943-1944 à la surveillance des convois, il apparaît que les SS interviennent de plus en plus dans les opérations de transfert des déportés du camp à la gare C'est de la gare de Compiègne qu'est parti, le 27 mars 1942, à destination d'Auschwitz, le premier train de déportés quittant le sol français, avec 1112 Juifs. 39 autres trains ont ensuite emporté, en un peu plus de deux ans, 40 000 hommes et femmes du Frontstalag 122 vers les camps, dont environ 2200 déportés raciaux et 37 323 déportés politiques. Les historiens ont distingué 29 grands convois : 3 en 1942, 11 en 1943, 15 en 1944. Celui parti le 6 juillet 1942 marque la première déportation de prisonniers politiques, en grande majorité communistes. Le dernier convoi à destination de Buchenwald part le 17 août 1944.

mercredi 13 septembre 2017

L’adjudant-chef Christophe GIROUX, âgé de 54 ans est décédé lundi 11 septembre 2017 à 8h30.

L’adjudant-chef Christophe GIROUX, âgé de 54 ans est décédé lundi 11 septembre 2017 à 8h30.
Il a eu un malaise au volant de son véhicule en venant au quartier et a eu un arrêt cardio respiratoire.Il a servi durant sa longue carrière au 1er RI, 8ème GC, 9ème RCP, 1er RMD, et 16ème BC.
Qu’il repose en paix.


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F.Parly "travaille en pleine confiance avec les armées"

La ministre des Armées Florence Parly a déclaré aujourd'hui travailler en "pleine confiance" avec le nouveau chef d'état-major des armées, le général François Lecointre, et ne pas voir de "débat" sur ...
La ministre des Armées Florence Parly a déclaré aujourd'hui travailler en "pleine confiance" avec le nouveau chef d'état-major des armées, le général François Lecointre, et ne pas voir de "débat" sur le financement des opérations extérieures. "Nous travaillons en pleine confiance pour une raison très simple, c'est que c'est le président de la République et moi-même qui l'avons choisi et nommé", a relevé Florence Parly sur France 2.
Sur le financement des opérations extérieures (Opex), qui était en grande partie assumé en interministériel ces dernières années et le sera en 2017 par les Armées, "il n'y a pas de sujet, il n'y a pas de débat", a-t-elle ajouté. Le général Lecointre a mis en garde hier contre les "réflexes de régulation budgétaire sauvages" et jugé "extrêmement dangereux" de laisser à la seule charge des Armées le financement des Opex.
Parce qu'il est responsable des opérations, le chef d'état-major des armées a "aussi des responsabilités en matière de cohérence générale à la fois de la programmation et des engagements budgétaires", a-t-il dit à l'Université d'été de la Défense - qui réunit chaque année parlementaires, militaires et experts - à Toulon (Var).
Son précédesseur, le général Pierre de Villiers, a démissionné en juillet après un rappel à l'ordre brutal du président Emmanuel Macron pour avoir vivement contesté devant une commission parlementaire le serrage de vis budgétaire imposé en 2017 aux armées.

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Militaires: F.Parly promet d'améliorer leur quotidien

Florence Parly s'est employée aujourd'hui à rassurer les forces armées françaises sur leur avenir budgétaire, promettant en outre des mesures pour améliorer les conditions de vie des militaires.Lors d'un discours de clôture des universités d'été de la Défense de Toulon (Var), la ministre des Armées s'est efforcée d'expliquer les coupes de cette année, rappelant en parallèle l'engagement d'Emmanuel Macron à porter les ressources des armées à 2% du PIB (50 milliards d'euros) en 2025.
"Beaucoup de commentateurs ont préféré se focaliser sur les mesures qui ont été prises de façon ponctuelle pour faire face aux impasses budgétaires de l’année 2017, occultant ainsi l’ampleur de l’augmentation de notre budget pour 2018 et au-delà", a-t-elle expliqué. "Nous avons trouvé en arrivant une situation budgétaire difficile, voire calamiteuse", a-t-elle souligné.
Le budget de la Défense a été amputé de 850 millions d'euros cette année dans le cadre des économies demandées par l'exécutif pour contenir le déficit public sous le seuil de 3% du PIB. Cette décision a suscité l'incompréhension et la colère d'une communauté militaire déjà sous tension, et la démission cet été du général Pierre de Villiers, chef d'état-major des armées françaises.
Lire aussi - Démission du général Pierre de Villiers : la fin de l'illusion communicante
Emmanuel Macron a annoncé en juillet que le budget de la Défense serait porté à 34,2 milliards d'euros en 2018 - contre 32,7 milliards cette année - dont 650 millions pour les opérations extérieures.Conformément à la trajectoire annoncée par le président Emmanuel Macron, chef des Armées, la ministre a précisé que le gouvernement préparait une loi de programmation militaire pour la période 2019-25 "en vue d’une adoption d’ici la fin du 1er semestre 2018". "Les crédits budgétaires augmenteront de 1,8 milliard d'euros en 2018", a-t-elle aussi confirmé.
Florence Parly a indiqué que des "mesures de trésorerie" et le "décalage de quelques programmes" permettraient de financer le surcoût des opérations extérieures qui dépasse chaque année 1,1 milliard d'euros depuis 2013. Il a atteint 1,14 milliard en 2016.
En réponse au malaise d'une partie de l'armée, Florence Parly a annoncé pour octobre "un plan d'accompagnement des familles et de l'amélioration des conditions de vie des militaires". Il comprendra un important volet logement, la fourniture de 49.000 gilets pare-balles pour les soldats et une enveloppe de 25 millions d'euros pour l'alimentation du personnel de Sentinelle

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